Décidément, les fessées se succèdent. Depuis que ma compagne a décidé d’être bien plus attentive à mon comportement, elle trouve, à juste titre, plein de raisons pour lesquelles je mérite une fessée. C’était, sans doute, juste parce qu’elle n’y faisait pas attention avant, parce que je ne crois pas avoir changé mes façons de faire.
Je cherche toujours autant à contourner les règles qu’elle m’impose, mais maintenant, elle y est plus attentive et, à chaque fois, qu’elle constate un manquement, je prends une fessée. Et elle n’hésite pas à me baisser la culotte pour que je comprenne bien que je viens de commettre un écart. Ses fessées sont redoutables et un séjour au coin n’est jamais loin. Je suis content quand j’y échappe.
Je préparais le déjeuner. Je n’avais pas tout à fait fini, mais presque quand ma compagne est arrivée. Elle m’a regardé d’un drôle d’air et elle a été éteindre la radio, ce qu’elle ne faisait jamais habituellement.
« Qu’est-ce qui se passe ?
– On va pouvoir parler plus tranquillement !
– Ah bon ?
– Tu n’as pas oublié quelque chose ? »
Évidemment, je m’étais bien rendu compte que j’avais laissé mon téléphone portable chez elle. Je n’en avais pris conscience qu’en le cherchant une fois rendu chez moi. Je n’allais pas retourner le chercher chez elle, mais je ne pouvais pas non plus lui demander de me le ramener… je n’avais plus rien pour la contacter. Il ne me restait plus qu’à espérer qu’elle s’en aperçoive aussi et qu’elle me le ramène. C’est ce qui s'était passé.
« Mon téléphone ?
– Oui, ton téléphone. Et comment je fais, moi, si j’ai besoin de te contacter ?
– Eh bien, tu ne peux pas, puisque je n’ai pas de téléphone, dis-je en souriant.
– Exact, je ne pouvais pas. Et ça te fait sourire ? »
Là, j’ai compris que je m’étais fourré dans un mauvais pas et que, de plus, j’avais aggravé mon cas en laissant supposer que ce n’était pas grave.
« On va voir si tu vas trouver cela amusant pendant longtemps ! Pose tout ça !
– Mais je n’ai pas fini !
– Pose tout ça tout de suite ! »
Son ton avait monté. Elle était sérieuse et je commençais à me douter de ce dont elle avait l’intention. Là où j’en étais, il valait mieux obéir. Je posais les instruments que j’avais en main sur le plan de travail.
« Viens ici ! »
Elle me prit par la main et elle m’entraîna derrière elle. Je la suivis, bien que je sache ce qui m’attendait au bout du périple. Il ne fut pas bien long. Jusqu’au canapé sur lequel elle prit place. Elle me plaça debout devant elle. Sans plus attendre, elle baissa mon pantalon. Ma culotte suivit. Elle m’indiqua où je devais me trouver en me tirant la main, me couchant à plat ventre sur sa cuisse gauche. Alors, elle remonta mon tee-shirt dans mon dos. Mes fesses étaient dégagées. Il ne fallait pas être grand clerc pour savoir ce qui allait suivre.
Elle asséna une dizaine de claques sur mes fesses. Je criais tellement elles étaient fortes et qu’elles cuisaient la peau de mon postérieur.
« En plus, il a trois appels, dont un qui me semble important !
– Mais j’ai regardé et... »
La suite ne l’intéressait pas. Elle reprit la fessée. Je n’arrivais plus à supporter la vigueur de la correction. Je commençais à esquisser le geste de protéger, avec ma main droite qui était libre, mes fesses de l’avalanche de fessées qu’elle me donnait.
« Ta main ! »
Elle jugea certainement que je n’obéissais pas assez vite.
« Je te promets que je vais chercher la règle ! »
La menace fit son effet. Je retirai ma main, laissant place à la suite de la fessée. Je n’en voyais pas le bout. Sa main continuait à s’abattre et je ne pouvais plus le supporter, mais il fallait bien. Je laissais l’intensité de mes cris monter, ce qui ne mit pas plus fin à la fessée.
« Es-tu certain d’avoir compris, dit-elle en marquant une courte pause. »
Je n’eus pas vraiment le temps de répondre avant que sa main vienne encore corriger mes fesses. J’étais soulagé quand la fessée cessa.
« Va te mettre au coin ! »
Je me dépêchais de gagner l’angle de la pièce où elle m’avait déjà souvent envoyé passer de longues minutes, le nez plaqué dans l’angle. Je l’entendis qui me suivait.
C’est étonnant comment je cherche, même dans les moments où je ne devrais pas, à montrer que j’ai conservé une once de mon libre arbitre. Il faut que cela se voie, mais pas trop, car la réaction de ma compagne ne se fait pas attendre quand elle s’en aperçoit. Je gonflais les joues et je soufflais, pour montrer mon agacement. Je ne dus pas le faire assez discrètement.
« Quoi, tu te permets de souffler ? Viens ici ! »
Elle me courba sous son bras. Mon pantalon et ma culotte n’avaient pas changé de place depuis la première fessée. J’en reçus une deuxième, courte, mais vigoureuse. Mes fesses étaient une vraie fournaise. Mes cris n’y changèrent rien.
« Au coin ! »
Je m’y réfugiais aussi vite que je le pouvais. Cela n'empêcha pas ma compagne de m’asséner encore quelques claques sur les fesses alors que j’étais déjà en pénitence. Coincé dans le coin, je ne pouvais pas faire grand-chose, à part prendre la fessée, bien sûr.
« Et je ne te conseille pas de bouger ! Je te surveille ! »
La punition ne fut réellement terminée qu’après que, debout devant elle, je lui ai promis de faire désormais attention. Elle remonta ma culotte et mon pantalon. Oui, la leçon avait été comprise et je crois que, à l’avenir, je vais faire attention à ne plus rien oublier. Je sais ce qui m’attend si je ne tiens pas ma promesse.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
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