mardi 22 octobre 2024

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 octobre 2024 – 22 h 15

Ma compagne a trouvé que je ne lui obéissais plus comme je le faisais avant. Il est vrai qu’elle est souvent obligée de répéter plusieurs fois les choses avant que je ne lui obéisse et souvent, je ne le fais qu’en rouspétant. Cela l’exaspère.

De plus, elle a dû répéter certaines consignes plusieurs fois et elle a pu constater que je ne lui obéissais pas toujours, comme le récit ci-dessous le montre.

« Je crois qu’il va falloir que je te donne bien plus fréquemment la fessée ! Désormais, je ne laisserai plus rien passer ! »

C’est ce qui s’est passé hier soir et elle a exigé que je vous en fasse part. En voici donc le récit.

Comme habituellement, elle m’avait déshabillé pour me faire ma toilette du soir. Elle ne m’avait laissé que mon tee-shirt et ce sont les fesses nues qu’elle m’a emmené dans la salle de bain. N’exagérons rien, il n’y a pas plus de cinq mètres à faire, mais, me faire circuler dans la maison sans culotte quand elle l’a décidé montre combien, dans ces moments-là, c’est de son petit garçon dont elle s’occupe.

« Ouste ! Dans la salle de bain pour la toilette. »

Je me gardais bien de faire le pitre. La fessée de samedi dernier avait suffi.

« Va d’abord faire pipi ! »

Elle m’installa sur la cuvette des toilettes, sans avoir besoin de me baisser la culotte, puisque je n’en portais pas. Pendant ce temps, elle préparait le gant et le savon pour me laver. J’urinais et je patientais, assis sur les toilettes.

« Tu as fini ?

– Oui, Maman.

– Bon, tu t’essuies le zizi et tu viens ici. »

Je pris une feuille de papier toilette et j’épongeais la goutte de pipi qui pendait encore à mon sexe. Machinalement, comme je le fais d’habitude, je jetais le papier dans la cuvette et je me levais. Je n’eus pas le temps de tirer la chasse d’eau.

« Qu’as-tu fait du papier ? »


Aïe, le papier ! J’avais oublié qu’elle m’avait ordonné de le mettre dans une poubelle réservée à cet effet et non dans les toilettes. La fosse septique arrive mal à absorber le papier. Elle jeta un œil au fond de la cuvette. Le papier flottait sur l’eau. Aussitôt, elle me donna une claque sur le haut de la cuisse.

« Je crois que ce n’est pas la première fois que je te dis de ne pas mettre le papier dans les toilettes, n’est-ce pas ? »

Elle accompagna sa question par une nouvelle claque sur le haut de la même cuisse, celle qui était à portée de sa main droite. Je ne répondis rien. Je savais que j’étais en tort et je venais d’être pris sur le fait d’une désobéissance répétée.

« Il me semble que la dernière fois, je t’avais déjà donné une fessée pour la même raison. »

Je savais ce qui m’attendait. Je ne protestais pas. Maman avait raison. Me punir de ma désobéissance, de plus réitérée, faisait partie de ses prérogatives de Maman. Elle me rapprocha d’elle pour se placer au centre de la pièce. Elle entoura mes reins de son bras gauche, m’obligeant à me courber sous son bras. Je n’avais que mon tee-shirt sur les épaules. J’étais en parfaite disposition pour recevoir une bonne fessée directement sur la peau des fesses.

« Je vois que la fessée que tu as reçue pour la même désobéissance n’a pas suffi. Je vais être un peu plus sévère. »

Sa main nue vint claquer mes fesses, alternant du côté gauche puis du droit. Elle recommença, aussi fort qu’elle le pouvait, me sembla-t-il, jusqu’à ce que mes cris deviennent perçants. Je crois qu’il lui suffit d’une bonne dizaine de claques. Alors, elle fit tomber sa main quatre, cinq, six fois au même endroit et j’eus toutes les peines du monde à rester courbé sous son bras comme elle l’exigeait dans ces situations. Il m’était interdit de me relever avant la fin de la fessée. Ce fut insupportable. La fessée cessa, mais ce n’était que provisoire.

« Va me chercher la brosse ! »

Elle m’avait laissé me lever et sans tenir compte de mes fesses en feu, elle désigna le petit meuble où sa brosse à cheveux avait été laissée.

« Oh, non, Maman, pas la brosse !

– Tout de suite ! »

J’eus la tentation de lui expliquer combien cette première fessée suffisait, mais je savais que, quoi que je dise, sa décision était prise. Il fallait que cette fessée soit plus cinglante que la précédente, puisque cette première n’avait pas produit les effets désirés.


Je fis deux pas et je pris la brosse. Je la lui tendis. Aussitôt, elle me remit en position sous son coude. Du dos de la brosse, elle vint claquer mes fesses et en appuyant suffisamment pour que je le sente passer. Elle recommença quatre ou cinq fois. Je hurlais à chaque fois. La leçon était réelle et je ne pouvais plus en supporter une telle fessée plus longtemps. N’y tenant plus, je me relevai. Elle eut encore le temps d’appliquer encore une fois la brosse sur mes fesses, puis elle cessa.

« Tu vas faire une punition écrite, me dit-elle !

– Oh, non, Maman !

– Quoi, qu’est-ce que tu as dit ? »

Évidemment, je ne répondis rien.

« Dans la chambre ! »

Elle m’y suivit.

« Tu mets le pantalon !

– Mais Maman, non, s’il te plaît !

– Quoi ? Mets-toi debout ! »

N’osant pas la contredire plus avant, je me levai. Je reçus alors deux formidables claques sur les fesses.

« Le pantalon et sans rouspéter ! »

Je passai le pantalon et elle me prit par la main pour m’entraîner derrière elle. Arrivés dans le séjour, elle me fit m’asseoir à la table, sur une chaise. Elle mit un papier et un stylo devant moi.

« Tu écris : je ne dois pas mettre de papier toilette dans les WC. Et lisiblement ! Je veux en voir deux pages ! »

Je commençais mon pensum. Arrivé au bout de la page, j’eus le bref espoir qu’il s’en contenterait, mais il fallut en faire une deuxième. Après quoi, elle me mit au lit.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

4 commentaires:

  1. Pour Josip , retour à la sévérité de la part de maman. Ça me rappelle que nombre de grands garçons dont je fais partie doivent être soumis à une discipline stricte. Il faut leur rappeler qu’ils doivent obéir et qu’on ne doit rien leur passer. S’ils reçoivent la fessée déculottée c’est qu’ils l’ont bien cherchée. Une bonne déculottée, il n’y a rien de mieux pour faire prendre conscience que l’on doit obéir et respecter la discipline domestique mise en place dans notre intérêt. La fessée je connais et je sais que si je fais de grosses bêtises c’est en plus le martinet qui est décroché. Ah le martinet…aille aille ouille ouille. Je le redoute mais je sais qu’il est parfois nécessaire.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  2. C’est difficile de reconnaître qu’étant adulte on a encore besoin d’être recadré et de recevoir la fessée comme un gamin. Je reconnais que beaucoup d’adultes pourraient cependant en tirer un grand bénéfice. Il n’y a pas d’âge pour cela dès lors que l’on est immature et que l’on a toujours besoin d’être éduqué. En fait je crois qu’il y a beaucoup plus qu’on ne pense d’adultes qui reçoivent la fessée. Mais bien peu franchissent le pas et se lancent pour en parler. C’est sûr toutefois qu’une bonne fessée déculottée ça remet bien les choses en place.
    Pascal

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  3. Bonsoir papa et maman,
    Je vois que maintenant maman est très sévère avec papa, j'espère que maman ne sera pas aussi sévère quand je viendrai à la maison. 😂
    Juliette

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  4. BONJOUR JULIETTE
    En lisant votre dernier rendez vous d'éducation et de punition, chez maman HUGUETTE et papa josip , je vous transmets ce commentaire:
    En arrivant chez eux, maman huguette décide d'aller avec vous en ville , pour acheter une petite jupe.
    Arrivé au supermerché, juliette vous n'avez pas envie d'acheter cette jupe
    poutant c'est l'été et je pense que vous avez le choix pour l'achat de ce vetement.
    En rentrant à la maison , maman huguette aurait du vous administrer une bonne et cuisante fessée déculottée pour cette désobissance car en lisant les differents thémes sur la fessée qu"elle publie c'est maman huguette qui décides de la situation et il faut lui obeir quelques soit les circonstances.
    D ailleurs cette petite jupe portée par vous juliette aurait été appropriée à papa josip, dans la rédaction de votre dictée en tenue écolière.
    En ce qui concerne cet affront que vous avez prononcé, à l'encontre de votre maman huguette en la traitant de dictatrice, ce n'est pas une impolitesse mais une injure vis àvis de votre mère.
    cette maman aurait du vous administrer en plus de la fessée manuelle que vous avez subie, l'utilisation du martinet sur vos fesses dénudées que maman huguette laisse accrocher dans sa cuisine.
    Cette seconde fessée doit vous faire comprendre juliette que le respect de sa maman est primordial en famille.

    Etant gamin j'ai reçu de bonnes et cuisantes fessées déculottées par ma mére comme maman huguette sait le pratiquer pour une bonne éducation familiale et en société.
    ces fessées ont été bénéfiques pour me permettre de changer mon comportement à la maison ou à l'école quand elle jugeait que la fessée était nécessaire pour mes fautes ou mes erreurs commises en pubic.
    Juliette vous avez une bonne maman disciplinaire, qui sait vous éduquer par la fessée et cette maman est également tres maternelle avec vous car elle sait vous apporter de la tendresse et du réconfort après les punitions.

    au plaisir de vous lire JULIETTE et maman HUGUETTE
    cordialelement
    dominique

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