Je ne vous ai pas tout dit. En fait, depuis le dernier article que j’ai publié, j’ai reçu plusieurs fessées. Moins que lors de la période qui précédait, mais tout de même. Comme ma compagne n’a pas exigé que j’en fasse part sur le blog, je ne l’ai pas fait.
Ce dimanche, elle a renoué avec la tradition, m’ordonnant de publier, sur le blog, les punitions qu’elle m’a données samedi soir. Sa commande était même accompagnée d’une promesse de punition si cela n’était pas fait avant ce soir. Je n’ai donc pas le choix. Voici le récit de ce qui m’est arrivé hier.
Nous étions donc samedi soir. Ma compagne me déshabillait pour aller faire ma toilette. Je dois avouer que j’ai un peu (beaucoup) joué avec elle et surtout, je ne lui ai pas facilité mon déshabillage. Cela faisait tellement longtemps qu’elle ne m’avait pas donné de fessée que je ne connaissais plus trop les limites à ne pas dépasser. Et puis, j’avais plus envie d’un câlin que d’aller faire ma toilette. Ma compagne n'était pas de cet avis.
« Josip, ça suffit ! Tu vas avoir une fessée ! »
J’aurais dû tenir compte de cet avertissement, mais je ne l’ai pas fait. J’ai continué à la pousser de l’épaule alors qu’elle tentait de m’ôter les chaussettes.
« Bon, maintenant, c’est la fessée ! Lève-toi ! »
J’ai bien tenté de négocier, mais c’était peine perdue. Elle était assise sur le bord du lit et dès que j’ai été debout face à elle, elle m’a couché sur son genou gauche. Je connaissais la position pour y avoir souvent été placé. Je savais ce qui allait suivre.
« Non, Maman, pas la fessée ! »
Ma compagne ne tint aucun compte de ma supplique. Sa main s’abattit sur mes fesses, alternant de chaque côté. Je suppose qu’elles sont devenues rouges ? Je ne pouvais pas le constater, le nez dans la housse de couette, mais la cuisson ne cessait d’augmenter jusqu’à devenir insupportable. Mes pieds étaient pris dans la lanière du sac qui était par terre. Je ne pouvais donc pas les remuer comme je le fais habituellement.
Je profitais d’un petit temps de pause pour mettre ma main en protection de mes fesses. Ma compagne n’apprécia pas ce geste de défense. Elle replia mon bras dans mon dos, dégageant de nouveau mes fesses et la fessée reprit.
Mes fesses étaient en feu quand elle arrêta. Cela lui sembla sans doute suffisant.
« Hop ! En vitesse à la toilette ! »
Je ne demandais pas mon reste, tout en marquant un certain détachement. Je me dirigeais vers la salle de bains, mais à mon rythme, malgré la claque sur les fesses qu’elle me donna en me suivant.
Je crois que cette fessée n’a pas suffi, menaça-t-elle ! »
Après une ou deux marques de mauvaise volonté pendant qu’elle me faisait ma toilette du soir, elle confirma son intention.
« Bon, puisque c’est nécessaire, tu vas avoir une autre fessée !
– Non, Maman, je ne le ferai plus ! Je vais être sage !
– Je n’en doute pas. D’ailleurs, après la fessée que tu vas prendre, je suis persuadée que tu n’auras plus envie de te comporter autrement. »
Elle me courba sous son bras.
« Tu vas apprendre à me laisser te laver sans faire le pitre ! »
Comme je ne portais que mon haut de pyjama, mes fesses nues étaient à sa disposition. Elle les claqua, je crois, en y mettant toute son énergie, plus d’une dizaine de fois de chaque côté. Elle me gronda plusieurs fois parce que je ne laissais pas suffisamment mes fesses à destination de sa main. Mais je n’y pouvais rien. Si je me redressais, c’était parce que la cuisson qu’elle arrivait à provoquer sur mes fesses était absolument insupportable. Bien que je n’essayasse pas de me soustraire à la fessée, je ne pouvais pas m’empêcher de me redresser et je comprends que je ne lui facilitais pas les choses.
« Bon, tu l’auras voulu ! »
Elle me remit en position sous son bras et je la laissais faire. C’était le plus simple de recevoir la fessée qu’elle avait décidé de me donner, avant qu’elle ne décide de la doubler ou d’utiliser un instrument punitif. Mais elle avait déjà pris sa décision.
Il y eut un petit temps mort avant que la fessée ne reprenne. Puis je sentis le dos de la brosse à cheveux claquer fortement mes fesses. Avec celle-ci, c’était une autre histoire. Je hurlais et je luttais contre son bras qui m’immobilisait en position punitive. Elle eut le temps d’appliquer trois fois la brosse sur mes fesses nues avant que, n’y tenant plus, je me relevais.
À mon grand étonnement, elle s’en tint là.
« Est-ce que tu vas être sage, maintenant ?
– Oui Maman, m’empressais-je de répondre. »
Elle finit ma toilette et je collaborais, devançant ses demandes, à la grande satisfaction de ma compagne.
« Ouste ! Dans la chambre ! »
Je m’attendais à ce qu’elle me mette au lit, mais au contraire, elle me fit bifurquer vers un coin de la pièce.
« Au coin, et réfléchis à comment tu dois te comporter quand je m’occupe de toi ! »
Elle accompagna ses paroles de quelques bonnes claques sur les fesses et compte tenu de la correction que je venais de recevoir, elles furent très vite très cuisantes. Elle me laissa là pendant plusieurs minutes, sans quitter la chambre.
Je restais au coin, immobile et silencieux, les mains croisées dans le dos, relevant ma veste de pyjama, montrant mes fesses certainement encore rouges de la fessée récemment reçue. Je n’eus le droit d’aller me coucher qu’après qu’elle m’en eut donné l’autorisation, non sans avoir, d’abord, dû lui demander pardon et lui promettre de ne pas recommencer, sous peine d’une nouvelle fessée.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Quelle bonne idée de renouer avec les récits de punitions reçues ! Bravo à vous et au plaisir de vous lire
RépondreSupprimerBonjour Carla,
RépondreSupprimerBonne idée, en effet, mais qui le serait encore plus si nous étions plus nombreux à écrire.
Au plaisir de vous lire,
JLG
Oui c’est un plaisir de te lire Josip. Tu sais moi aussi je suis soumis a une discipline domestique très stricte. Et la fessée est un moyen de la faire respecter… c’est vrai que je suis resté très gamin immature et que j’ai souvent besoin d’une bonne reprise en main…
SupprimerAu plaisir de te lire.
Pascal
Oui c’est vrai il faudrait être plus nombreux…
SupprimerBeaucoup de sévérité. Bravo a madame.
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