LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
L'ESSAYER C'EST L'ADOPTER
Mis “au coin”, les fesses empourprées en attente de
la friction au Dolpic annoncée par sa mère, Robin ne pouvait s’empêcher de
pleurer à chaudes larmes tant la cuisson de la fessée avait été intense... Il
n’eut pas à attendre longtemps: le temps de préparer cela, et sa mère revint
tout de suite avec un rugueux gant de toilette qu’elle avait copieusement
enduit de la fameuse crème. Comme si la pommade, en elle-même, ne suffisait pas.
– « Avec ça, mon petit chéri, les fesses vont te cuire
un bon moment. Tu vas sentir l'effet de ta fessée au moins jusqu'à la séance
d'essai de ton martinet !
– Non maman , pitié je t'en supplie... Pas le Dolpic...
s'il te plaît ! Tu as tapé très fort tu sais... J'ai les fesses en
feu ! »
Gladys n’a pas pour habitude de s'émouvoir de
l'effet de cuisson des fessées qu'elle administre, au contraire. Souvent à
l'écoute des commentaires de Bettina, elle aurait plutôt tendance à trouver qu'elles ne sont jamais assez
sévères. Insensible aux supplications de son fils, elle le prend sous son bras
et, sans effort particulier, le soulève comme une plume afin de lui faire
bomber le plus possible le derrière et de bien l'avoir sous la main.
– « Continue à faire ton douillet et je t'en remets une en tapant encore plus
fort ! Tu vas voir ce que c'est que d'avoir vraiment les fesses en
feu !»
Elle saisit l'élastique de son slip et le descend jusqu'aux
genoux pour disposer d'une plus grande surfaces à pommader. Elle le frotte alors, énergiquement du bas
des reins en haut des cuisses en n’épargnant même pas la raie, qu'elle enduit
entièrement jusqu'au fond ;
– « Et ça va même te chauffer jusque-là ! »
Dit-elle en riant et en écartant ses grosses
fesses rouges pour lui beurrer généreusement l'anus d'un doigt nonchalant.
Elle ironise.
– « Tout de même, je ne sais pas si tu te rends compte
à
quel point maman prend soin de ton derrière ; »
Elle repart dans un nouvel éclat de rire sonore.
Robin avait anticipé cette “fin de fessée” en voulant se
persuader qu’un peu plus de cuisson de son postérieur ne serait pas beaucoup
plus insupportable que celle causée par l'avalanche de claquées reçues...mais
la friction le rappela à la réalité. Oh que si... le Dolpic faisait le
même effet qu'une plongée du derrière dans de l’eau bouillante. Lorsque Gladys
le reposa au sol, il se mit à
pleurer encore plus fort en tapant des pieds par terre. Elle le reprit aussitôt sous son bras et,
sans pitié, lui allongea une nouvelle fessée d'une bonne dizaine de paires de
claques sur chaque fesse. La méthode fut radicale, il hurla un peu et finit par
se calmer rapidement en serrant les dents pour étouffer ses cris. Elle le
laissa ainsi, le derrière incendié, en lui ordonnant de ne pas bouger.
Quelques minutes après, elle revint vêtue d’un de ces
petits tailleurs noirs, bas nylons assortis, talons aiguille, tenue qu’elle
aimait beaucoup pour aller en ville. Certes, la jupe lui moulait outrageusement
les fesses. Elle était si courte qu'elle laissait entrevoir ses boucles de
jarretelles. Ça ne la gênait pas le moins du monde, bien au contraire. Pas
mécontente du tout d’attirer les regards plus ou moins scandalisés des autres
femmes et aussi ceux des hommes qui se retournaient sur sa croupe si provocante
!
Quant à Robin, elle lui ordonna d’enfiler un de ces slips à
fessée qu’elle était allée
chercher, en choisissant parmi ceux qu'elle lui achetait déjà une
taille en dessous, les plus étroits et les plus serrés. Il obéit en grimaçant
sous son regard impatient et impérieux.
Mais, estimant qu'il mettait trop de temps à son goût pour s'exécuter,
elle le reculotta elle-même, sans ménagement, en s’appliquant à étirer le nylon au maximum pour bien le
lui ajuster sur le derrière. L'effet fut immédiat. Il eut l’impression d’avoir
le postérieur enfermé dans un four cuisant un rôti ! A tel point qu'il
éprouva presque un soulagement, du fait que ce fichu slip lui rentrait dans la
raie des fesses et en laissait une bonne partie à l’air ! Il éprouva cependant
instantanément l’envie incoercible de bouger les élastiques qui lui
cisaillaient les fesses en accentuant la brûlure à l’endroit où ils étaient
placés .
Voyant cela, Gladys
n'hésita pas une seconde et réagit comme il se doit. Elle le remit en position sous son bras, lui
remonta les élastiques entre les fesses et, malgré ses supplications, lui
flanqua une nouvelle fessée pendant quelques minutes. Ses fesses écarlates,
reluisantes au Dolpic claquaient si bien et si fort qu'elle ne résista pas à
l'envie d'en faire profiter toute la surface. Elle le déculotta, cette fois
entièrement, et prolongea la fessée pendant cinq bonnes minutes. Robin fut presque
déçu, non pas que cette fessée supplémentaire soit finie, au contraire, mais
plutôt que sa mère lui ordonne de se reculotter en recalant son slip à sa
place... au fond de la raie.
– « Tu vas tenir ton pantalon baissé pour que tout le
monde voit bien que tu viens de ramasser une bonne fessée avant de
partir ! . Aller... En route ! »
Ils sortirent de la maison, Gladys le faisant marcher au
trot, à côté d'elle, en l’entraînant fermement tenu par une oreille ! Elle marchait d’un pas décidé, faisant
claquer ses hauts talons sur le macadam et les pavés et il avait quelques difficultés à
suivre l’allure .... Elle lui lâchait parfois l’oreille, mais c’était alors
pour claquer la partie des fesses qui débordaient de son slip trop juste, par
un ou deux allers-retours vigoureux qui retentissaient bruyamment sur mon
postérieur. Ainsi stimulé pour avancer
plus vite, il voyait, dans certaines vitrines, que ses fesses arboraient une
couleur cramoisie qui s’accentuait au fur et à mesure qu'ils avançaient. Malgré
ses efforts, à sa grande honte, il ne put s'empêcher de pleurer tout le long du
chemin jusque chez le cordonnier.
Pendant tout le trajet, entre deux claquées généreusement
flanquées sur le bas de ses fesses découvertes, et, de préférence, quand ils
croisaient des passants, Gladys lui fit la leçon.
– « Je te préviens, tu as intérêt à être bien poli envers
tout le monde chez le cordonnier !
– Oh oui , Maman !
– Et quand on nous demandera ce qu’on veut c’est toi qui
répondras.
– Tu veux que je réponde quoi maman ?
– Qu'il te faut un bon martinet parce que je tu es un
garçon désobéissant et que tu as souvent besoin de sévères fessée déculottée !
– Mais Maman ...je ne peux pas dire tout ça
– Bien sûr que si tu vas dire tout ça ! Et si tu discutes encore, je te déculotte
tout de suite et je te mets une autre fessée immédiatement ...là sur le banc
...devant tout le monde ! Tes fesses en seront encore mieux préparées pour ce
qui les attend !
– Oh non, Maman ! Pas encore la fessée, je dirai tout,
je te promets ! »
Quand ils arrivèrent
devant la boutique Robin avait les cinq doigts de la main de sa mère imprimé en
rouge sur toute la surface exposée de ses fesses
Ce n'était pas, à proprement parler, ce qu'on pouvait
appeler une simple cordonnerie, ressemelant les chaussures et proposant toutes
sortes de petits services allant de la fabrication de double de clés, aux
tampons encreurs en passant par la gravure de plaques de toutes sortes. Sur un panneau de bois rouge, au-dessus d'une étroite vitrine, était indiqué en lettres italiques, probablement
peintes à la main : ''Maison Delaniaires''. Artisan du cuir depuis mille huit cent quatre-vingt-douze. 'Fabrication de Souliers sur mesure''.
Et dessous en plus petit à peine visible mais bien présent : ''
Instruments de discipline. Martinets, Cravaches, Battoirs''.
Gladys qui a repris son fils par une oreille.
– « C'est une maison sérieuse... hélas, comme on n'en
trouve plus ; »
Elle ouvre la porte
qui fait retentir une petite clochette annonçant un client, et le pousse devant
elle pour entrer. Il manque de
s'affaler, les jambes entravées par son pantalon qu'il est obligé de maintenir
à mi-cuisses avec ses deux mains.
On entend le
cordonnier s'affairer dans son atelier. C'est sa femme qui tient le magasin.
Une belle femme au physique avantageux, qui porte haut et dégage dès le premier
contact une impression de malaise. Son regard noir et perçant laisse deviner
une personne au tempérament affirmé... autoritaire. Ce qui n'a rien d'étonnant quand on
fabrique et vend des instruments de discipline que l'on fait carrément
essayer dans son magasin. Elle semble à peu près du même âge que Gladys, une belle cinquantaine bien portée et
vient vers eux avec un sourire avenant.
Sa voix grave fait sursauter Robin, étonné par un phrasé un
peu distingué plutôt inattendu pour une femme de cordonnier.
– « Madame, Jeune homme... bonjour... Astrid
Delaniaires ...que
puis-je
pour vous ?''
Pas difficile de deviner que c'est elle qui tient les rênes du ménage et gère la boutique.
Robin sent un petit frisson lui parcourir l'échine. Ses
fesses se serrent nerveusement sur les élastiques de son slip englouties entre
les deux. Planté au milieu du magasin,
retenant à deux mains son pantalon au milieu de ses cuisses, il réalise
à quel point elles sont dangereusement exposées... comme une provocation à la
fessée. Il a l'impression d'être aussi scandaleusement visible qu'une
tache de ketchup sur une chemise blanche.
Impressionné par la maîtresse des lieux, il dit bonjour
timidement et aussi poliment qu'il le peut, les yeux rouges...et les fesses encore
plus ! Elle le dévisage des pieds à la tête sans faire pour lui le moindre
effort d’aménité et le fait pivoter sur lui-même pour envelopper d'un regard gourmand
son volumineux postérieur débordant de son slip à fessée. Elle lance à sa mère
un regard admiratif comme pour la féliciter des belles rondeurs si
généreusement développées de son grand garçon. Le coup d'œil professionnel laisse deviner qu'elle
évalue déjà la bonne longueur de lanières du futur martinet.
– « Alors … Que nous vaut le plaisir de la visite de cette
magnifique paire de fesses. J'en voit défiler beaucoup ici, tous les jours et
pas par hasard. Toujours de belles paires, plantureuses et bien charnues,
faites pour les grosses fessées et qui nécessitent du martinet sur mesure pour être
bien corrigées. Mais dans le genre fesses à claques celles-ci ont l'air particulièrement bien
disposées ! Vous ne devez pas vous ennuyer à la maison... les fessées ça doit
claquer souvent... et des sévères ! »
Gladys, apprécie le compliment, mais laisse échapper une
petite moue d'insatisfaction.
– « Oui, mais justement pas encore assez ! Il est
tellement désobéissant et paresseux... je
lui en mets pourtant, à la moindre incartade, mais cela ne suffit pas.
J'ai donc décidé de le punir plus sévèrement encore.
– Je m'en doute, chère madame ... C'est bien pour ça que
vous êtes ici. Alors...Qu'est-ce que je peux faire pour vous ?»
Elle esquisse un sourire faussement navré et fait semblant
de s'excuser.
– « Pardon... Je devrais dire : pour le derrière du
jeune homme ! »
Elle émet un petit rire entendu en lorgnant d'un regard
gourmand vers les fesses enluminées de Robin que son slip, tiré entre les deux, découvre presque entièrement.
Elles semblent être passées à travers. Il est aussi à l'aise qu'un gamin
attendant que sa mère le déculotte sur le trottoir pour lui flanquer une fessée devant tout le monde. Ce qui lui arrive encore
assez souvent. Gladys adore le fesser en
public et ne rate jamais une occasion de l'humilier de cette manière.
C'est bien ce genre de honte qu'elle va encore lui infliger dans cette
boutique peuplée de rangées de martinets de toutes sortes, accrochés partout
aux murs et sur des présentoirs.
Gladys lui donne un coup de coude et il récite sa leçon en bredouillant.
– «C’est... C’est pour moi, Madame : il me faudrait un bon
martinet parce que je suis un garçon indiscipliné, et... et il faut que Maman me donne souvent de bonnes fessées ...”
Madame Delaniaires hoche la tête d’un air satisfait et lui
répond en insistant à plaisir ;
– « Des bonnes fessées au martinet, bien cuisantes sur tes grosses fesses
déculottées… et
en public, devant tout le monde ! Hein ? C’est ça qu’il te faut ?
– Euuuh... Oui... Oui...C'est ça !
Gladys lui allonge un aller et retour, bien ajusté, sur
chaque fesse. Elles sont juste à portée de sa main, ça claque sec.
– « Oui qui, Robin ?
Il couine. Nouvel aller et retour encore plus fort ;
– Répète ce qu'on vient de te dire !
– Oui madame... Des bonnes fess... fessées au... au martinet, bien cuisantes sur mes... mes grosses
fesses dé... déculottées !
– C'est cela ! Continue la belle femme en le toisant
de toute la hauteur de ses talons aiguille. Pour que ta mère ne se fasse pas
trop mal aux mains parce qu’il faut qu’elles durent longtemps les fessées si on
veut qu'elles soient efficaces. Et
apparemment tu as les fesses dures, à force de t'en prendre... N'est-ce pas ? »
Elle s’adresse à Gladys ; avec un grand sourire
complice.
– « Bon ! on a ce qu’il faut ici , vous en faites pas !
Les martinets, on a en des solides, faits pour flanquer de grosses fessées sur
des derrières résistants comme le sien. »
Elle le fait se retourner et il aperçoit alors une jeune
femme, probablement la fille de la maison, debout derrière le comptoir en train
de ranger des battoirs en cuir et des martinets de toutes tailles. Elle lui
jette un regard moqueur et continue son travail, apparemment habituée à ce
genre de demandes des clients.
Madame Delaniaires ordonne d'un ton sans réplique.
– « Allez, viens par-là ,toi et déculotte-toi entièrement ! Ton slip
enfoncé dans le derrière ne te sert pas à grand-chose !
Gladys approuve en lui appliquant , de nouveau, deux paires
de claques sur les fesses qui retentissent dans le magasin en faisant un bruit
d’enfer ! Robin ne discute pas, ce n'est pas le moment. Sans traîner, Il enlève
immédiatement son pantalon qu'il avait laissé tomber sur ses chevilles et
baisse son slip dont il a du mal à extraire les élastiques d'entre ses fesses
serrées d'appréhension. Astride s'en amuse et s’exclame :
– « Que voilà une belle paire de fesses bien rouges, de garçon
désobéissant qui a déjà reçu une superbe fessée. Je vois que maman à la main
ferme. Elle fesse dur, c'est ce qu'il faut ! »
Gladys tout sourire confirme.
– « Tout à fait, il vient d’en recevoir une bonne à la
main, plusieurs même, mais maintenant, il lui faut un bon martinet pour que sa
fessée soit efficace. »
Madame Delaniaires est du même avis. Ça tombe bien, des martinets elle en vend. A voir la sévérité de sa cliente, la fréquence
des fessées qu'elle administre et l'endurance des derrières quelle corrige,
elle se réjouit déjà de sa future consommation de martinets.
– « Vous avez raison, à cet âge à force de se prendre des
déculottées ils finissent par avoir des derrières très résistants. C'est fessée
à la main et fessée au martinet qu'il leur faut...les deux...à chaque fois...La
main ET le martinet . Elle rit : pour les maris aussi, d'ailleurs, il faut les deux, »
Gladys soupire pensivement avec un petit rictus plein de sous-entendus . Elle pense aux grosses fesses
fermes d'Edouard. ;
– « Oooh que oui... Et très souvent même ! »
Puis se concentre à
nouveau sur celles de son garçon.
-- « Si vous voulez, je vais vous le tenir sous mon
bras pour que vous puissiez prendre les
mesures de ce qu’il faut comme longueur de lanières quand il est en position
fessée, les fesses bien épanouies, largement développées ?
– Oui, ça sera plus facile. Surtout qu'elles sont déjà bien volumineuses en position
normale. Elles en prennent encore quand elles sont tendues »
Robin, n'a d'autre choix que de se laisser faire et de se
soumettre à la volonté des deux femmes qui le manipule comme elles l’entendent.
Sa mère a posé son talon aiguille sur le tabouret, au
milieu de la boutique et Il se retrouve plié en deux sur sa cuisse, levée à
l'horizontale. Elle le tient, le buste coincé sous son bras, le derrière en l’air, déculotté, bien tendu dans
une des positions qu'elle lui fait prendre pour lui flanquer une fessée. Elle
commande ;
– « Présente bien tes fesses à Madame Delaniaires... Mieux que
ça ! Aller ! «
La tête tournée vers la vitrine, son postérieur orienté
vers le comptoir, Robin aperçoit par-dessus son épaule, la jeune femme qui regarde
le croustillant spectacle les yeux pétillant d'intérêt.
Il sent la fraîcheur d’un centimètre de couturière, lui
entourer les fesses d’une hanche à l’autre, du haut des cuisses à la ceinture,
passer dans la raie, qu’une main ferme écarte sans ménagement, pour mesurer à
nouveau du dessous d’une fesse à la hanche opposée. Le contact du ruban froid
sur son derrière brûlant lui fait du bien. Mais il est brutalement remis debout
et prié d’aller s’agenouiller sur une chaise basse du même genre que leur
“chaise à fessées” à la maison. Il obéit sans rechigner, Il n'a pas
intérêt. Le pantalon aux chevilles , la ceinture traînant au sol, le slip tendu
sur les cuisses, il va y exposer son postérieur comme sa mère l'a dressé à le faire.
Madame Delaniaires,
après un court moment de réflexion, fait son diagnostic.
--« Bon, je pense que des lanières de quarante centimètres
conviendraient au format de son derrière. Cela lui enveloppera bien tout le
fessier sans déborder. Il vaut mieux que leur bout arrive bien sur les fesses,
pour claquer bien comme il faut et que le reste des lanières
cingle efficacement. Et, bonne nouvelle, ses fesses n’auront pas besoin
d’attendre, parce que j’en ai justement de cette longueur »
Robin blêmit . Gladys acquiesce avec un sourire.
– « Ah très bien, pour le reste, je vous fais entièrement
confiance !
La femme de l'artisan du cuir connaît bien ses articles et
explique en détail les différences de modèles de martinets par rapport à leur
utilisation. .
– « Il faut choisir, si vous voulez des lanières
rondes ou carrées. Avec des lanières carrées cela marque plus vite et cela
risque même d'abîmer un peu la peau, bien qu’un garçon ça a la peau plus dure
que les filles... Mais avec des lanières rondes vous pouvez faire durer les
fessées plus longtemps tout en gardant le derrière en état pour en administrer
une autre aussitôt si c’est nécessaire... C’est d'ailleurs le modèle que je
vous conseille. »
Gladys, enchantée, écoute avec attention. La maison
Delaniaires est à la hauteur de sa réputation de sérieux et de compétence. La
patronne poursuit ses recommandations pour que l'article qu'elle propose soit
parfaitement adapté à son usage.
– « Il faut choisir le manche aussi ! Moi je vous le
conseille ni trop long, pour pouvoir vous en servir quand vous mettez le puni à plat ventre sur vos
genoux, ni trop court, pour que les coups de lanières aient assez de force… Et
puis il faut qu’il soit assez gros pour bien tenir en main. Moi, à votre place,
j’en prendrai un bien épais comme celui-ci. De plus, il est fabriqué avec un
manche légèrement cannelé, que vous pourrez lui mettre dans le derrière pendant
une fessée à la main. Bien enfoncé, vous ne risquerez pas de le voir ressortir
et de devoir interrompre sa fessée pour le remettre en place. Une bonne fessée
avec le manche de son martinet planté dans le derrière, je vous garantis que ça fait réfléchir. Ça donne
sûrement pas envie d'y retourner ! »
Madame Delaniaires est décidément une personne de ressource
qui laisse Gladys songeuse. Bien sûr, elle a déjà flanqué des
fessées avec le manche de son martinet coincé entre les fesses du puni, mais
pas encore enfoncé dans le derrière. Elle trouve la suggestion aussi amusante
que pertinente. Il faudra qu'elle mette cette méthode en pratique. Pour le
moment, elle hésite encore sur le choix du martinet.
– « Puisque vous dites que vous en avez de prêt , vous
pouvez m’en passer un pour que je l’essaie ?
– Mais bien sûr chère Madame, lanières rondes ou carrées ?
– Je vais suivre votre conseil : lanières rondes. J'estime
qu'une bonne fessée doit toujours être longue... Il faut qu’elle dure un bon
moment pour être efficace au maximum. Mais j’essaierai peut-être après avec les
lanières carrées, pour voir la différence. »
Robin sent une ligne de sueur dégouliner lentement entre
ses fesses, moites de transpiration. Au train où vont les choses, elles ne vont
certainement pas mettre longtemps à sécher.
La maîtresses des
lieux tend un martinet à sa mère.
– « Vous avez raison… moi c’est ce que j’utilise pour donner
les fessées à Géraldine, la demoiselle qui est au comptoir à côté... J'ai
accepté de la prendre parce que c’est ma nièce, mais je ne vous raconte pas
comment elle m’en fait voir l'insolente! Alors les fessées c’est pas ce qui
manque à la maison ! Parce que, j'aime autant vous dire que je ne m'en prive
pas ; je me régale même ! Elle ne comprend pas autrement que les
fesses rouges et cuisantes.
Gladys croyait quelle était une simple employée mais peu
lui importe. Elle saisit Robin par les cheveux, le fait descendre de la chaise à fessée et sans
ménagement, le met en position, la tête coincée entre ses cuisses qu'elle
resserre comme un étau autour de son cou. Le revers de ses bas nylon et ses
boucles de jarretelles frottent douloureusement sur ses joues.
– « Tends tes
fesses bien en l'air Robin !... Montre à Madame Delaniaires comment tu
prends bien tes fessées ! »
Il s'exécute en geignant et Gladys, de bon cœur, commence aussitôt à essayer le martinet sur son derrière déjà en feu
.... Pour un galop d'essai la fessée est sévère. Chaque cinglée lui incendie de
nouveau les fesses et il se remet à pleurer à chaudes larmes sans se soucier
d’être entendu. Sa mère a l'air satisfaite du résultat. .
– « Oui , il a l’air bien celui-là ! Je l'ai bien en main et les
lanières se répartissent parfaitement sur la totalité de son fessier… Et toi Robin, qu’est-ce que tu en dis? Tu le sens comment sur
tes fesses ?
– «“ Roaiiiiee !! Tu tapes fort Maman ! Il cingle dur, celui-là ... ça fait mal ! Les fessées vont
être sévères... mais je sais que je les mérite !!!”
Le malheureux, en larmes, se tortille comme un ver entre
les cuisses de sa mère, sans pouvoir soustraire son derrière écarlate à ses
cuisantes cinglées. Ses joues soumises au frottement continu des bas nylon sont
de la même couleur. Implacable, Gladys décide de prolonger la séance d'essai.
– « Je vais quand même essayer avec les lanières
carrées ! Ce n'est pas fini Robin. Ne te relâche pas et présente-moi bien tes fesses ! »
Astrid lui en tend un autre et commente ;
– « En tout cas , vous voyez c’est la bonne longueur pour le
fesser comme il faut : vous ne perdrez pas de temps, toutes les lanières lui
couvrent bien la totalité des fesses , c’est ce qu’il faut : à chaque coup tout
le derrière est cinglé ! »
Robin gémit et cambre docilement les reins pour arrondir
son derrière au maximum.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 26
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerVoilà une fort belle histoire. On passe du DOLPIC au martinet, cher à mes propres histoires. J'adore le passage de l'achat où une professionnelle sait conseiller la clientèle pour une totale satisfaction. Un raffinement est le manche enfoncé dans le fondement, ce qui aura pour but de calmer ces "jeunes mâles" désobéissants. Je suis aussi pour une parfaite égalité et si de "jeunes femmes" devait d'égarer, il leur faudrait pareil traitement...
Je pense que Robin du bois dans le fondement, faute une nouvelle fois, il pourra nous interpréter la danse de Saint-guy. Ce sera mérité et souhaité.
En ce qui concerne le DOLPIC, une dose sur l'anus doit faire l'effet d'un vésuve en éruption... Brillante idée.
Amitiés.
Elena.
Bonjour
SupprimerOui cela calme et pas que les jeunes males d'allez au coin le manche du martinet planté dans le petit trou ,comme aussi les prises de température avec un gros thermométre tout nu en blouse de fille bouton dos ,j'ai connu cela et adulte
JOJO
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"Maison Delaniaires". Belle publicité pour des articles de discipline. Une concurrente de Mam'e Mocassin ?
C'est plus claquant qu'une "séance-Tupperware" en tout cas. Les articles ne sont ni échangés ni remboursés.
"Tante Gladys semble trouver son bonheur de fesseuse parmi cette panoplie. Quant à Robin, rien ne lui est épargné. Même la honte d'être fessé comme un gamin devant la nièce de la patronne !!!
Courage, champion...
(Mais, où est donc passée la sept... euh... le dessin ? On s'y habitue. Désolé.)
Amicalement. Peter.
Eh oui chère Elena,
RépondreSupprimerVous avez raison, la fessée avec le martinet, double emploi, planté dans le derrière devient d'un raffinement... Je ne vous dis pas! Double peine ou double plaisir, tout dépend de quel côté du manche il est utilisé. Bien évidemment, unisexe, pour les dames comme pour les messieurs et toujours en souplesse.
Comme vous êtes aussi attentives aux subtilités susceptibles de pimenter les corrections, vous aurez retenu le doigt de Dolpic au fond de la raie qui vous fait agréablement pétiller l'anus après une bonne déculottée...
C'est fou ce qu'on s'amuse!
Amicalement
Ramina
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerDelaniaires / Mocassinn deux maisons concurrentes... je dirais stimulantes et complémentaires pour une diversité de proposition. Sûr que les prestations sont plus cuisante que les réunions Tupperware!
C'est vrai que les fesses de Robin sont une nouvelle fois soumise à la sévérité de maman...C'était programmé... Mais depuis le temps qu'il y échappait, il fallait bien que ça finisse par lui tomber sur le derrière.
Quant à Géraldine... pas si innocente que ça...la gourgandine !
Oui, notre amis JLG avait bidouillé une fausse manip... ça arrive et c'est réparé... Finalement tant mieux si on s'habitue à cette compagnie... ( pas la septième évidemment!) Drôle!
Amicalement
Ramina
Ce texte est splendide. J'aimerais en savoir plus sur le Dolpic et les produits pour la cuisson après fessée. J'aimerais savoir si avec de la harissa, du piment, de la moutarde, ça marche aussi. Et si vous avez des expériences avec le crin et la toile de jute. Merci pour vos réponses.
RépondreSupprimerBonjour Marie-Souillon.( encore un pseudo rigolo!)
RépondreSupprimerMerci du compliment qui incite à continuer à écrire. Le retour des lecteurs est le meilleur encouragement et contribue à entretenir la dynamique du blog... Nous en avons tous besoin...
Il vous suffit de taper " Dolpic pommade chauffante " sur votre moteur de recherche et vous verrez que le produit est toujours d'actualité. Evidemment il n'était pas, à l'origine de sa fabrication, destiné à accentuer et entretenir l'effet des fessées. Mais c'est bien une pommade pour échauffer les muscles. D'autant mieux les muscles fessiers pendant et après une bonne déculottée...
Vous trouverez toute une gamme de Beaume échauffant susceptibles de faire l'affaire, comme FLOVIE, WARM CREAM, par exemple... Mais avec DOLPIC, c'est sûr, l'effet fessée ça dure !!! (rires)
Je ne suis pas certain que les condiments alimentaires comme l'Harissa, le piment ou la moutarde soient aussi efficaces... Pique sur la langue, pas sur les fesses. Pas sûr, non plus, du résultat sur des fesses rouges enduites de moutarde. Le gant de crin, par contre, doit être un excellent stimulant. Doublé avec le Dolpic, l'effet des fessées s'en trouve merveilleusement activé!
Cordialement
Ramina
Bonjour Jojobonno. (Trop bien le pseudo! )
RépondreSupprimerNotre ami jojo a le blues de la blouse, dont il semble bien connaître l'usage. Fermée sur le devant, boutonnée par derrière avec ouverture facile pour l'émergence des lanières du martinet des profondeurs postérieures... Le manche étant là ou l'on ne l'attend pas d'habitude.
Sûr ça doit finir de calmer après une bonne déculottée.
En connaisseur Jojobono ?
Cordialement
Ramina
Bonsoir
RépondreSupprimerOui comme le personnage Benoit , j'ai porté la blouse jusqu' 17A , comme lui j'avais honte de porter la blouse qui pour la plupart était des anciennes blouses de ma sœur ainée et les blouses boutons dos était des vraies blouses de fille ,et comme beaucoup troublé par la fessée et c'est comme cela que sont né mes gouts pour la blouse et la fessée. J'ai du attendre l'arrivé de internet pour comprendre que je n'étais pas le seul et aussi faire des rencontres
Jojo
Bonjour, Mme Delaniaires quelle beau nom ! Tout un programme ! Les "Dames" sont un récit que je suis de puis le début et c'est vraiment une histoire claquante à souhait.
RépondreSupprimerEn cette période compliqué, c'est vraiment "génial" de pouvoir continuer à lire les différentes histoires que vous proposez. Continuer de faire vivre "Ces Dames" car je suis certain que leurs diverses aventures risquent de résonner encore longtemps ! Je trouve aussi que c'est très bien que vous introduisiez de nouveaux personnages...cela ouvre des portes dans de nouvelles maisons ou on va entendra aussi claquer.
Cordialement