dimanche 5 mai 2024

Séjour d’éducation et de discipline chez Papa et Maman - le mercredi 03 avril

C’était ma 4ᵉ visite chez Papa et Maman. J’étais très contente de pouvoir revoir Papa et Maman. Après trois heures et demie de route, enfin, je suis arrivée chez eux.

« Bonjour Papa ! » Je lui ai fait un gros bisou.

« Bonjour Juliette ! » Il était heureux de me voir aussi.

« Bonjour Maman ! » J’ai sauté quasiment dans les bras de Maman et je lui ai fait un gros gros bisou.

« Bonjour, ma Juliette », Maman m’a embrassé aussi fort.

« Bon, tu vas monter dans la chambre et installe-toi. » 

« Oui, Maman ! » lui ai-je répondu.

Je suis redescendue quelques minutes après.

« Tu aimes bien les poissons ? » Maman avait toujours l’habitude de faire attention aux pensionnaires.

« Oui, Maman, j’aime tout. »

« Papa va faire des sardines grillées. »

« Hum, ça doit être très bon ! »





12 h 30

Nous avons déjeuné ensemble.

Comme d’habitude, les plats étaient délicieux. Papa était un très bon cuisinier, j’ai eu du mal à résister à ses bons plats, même j’aurais dû faire un régime.

Je leur ai raconté tout ce qui s’est passé depuis mon dernier séjour, je leur ai montré des photos et des vidéos de mon déplacement. Mais le sujet de notre conversation a vite changé.

« Tu sais, Juliette, tu as fait encore beaucoup de fautes d’inattention dans ton dernier récit ! » Maman a parlé avec un ton plus sévère.

« Ah, oui ? Pourtant, j’ai passé par le correcteur que Papa m’a montré. » J'ai essayé d’en minimiser les conséquences.





« L’ordi, il sait que c’est une femme qui écrit peut-être ?! » Maman m’a regardé, pas contente du tout.

« Non, Maman », lui ai-je répondu avec la tête baissée.

« On va regarder tout cela fin d’après-midi, mais je ne te dis pas la fessée que tu vas recevoir ! »

Oh là là, la remarque de Maman a engendré une grosse pression.

« Maman, juste ce soir à 19 h, j’ai un RDV Visio et ça va prendre 30 min-40 min, je ne veux pas être au coin pendant ce temps-là, s’il te plait. » J’ai regardé Maman en souriant.

« Oui, bien sûr, ma Juliette. »





14 h




Après avoir débarrassé la table, comme d’habitude, Maman m’a demandé :

« Juliette, tu vas monter te brosser les dents ! »

« Oui, Maman ! » J’ai déjà eu plusieurs fessées à cause d’une désobéissance à ce sujet, cette fois, je me suis exécuté sans le moindre problème.

« Va te reposer dans ta chambre, on va faire une petite sieste », Maman m’a suggéré.

« Oui, Maman ! »

C’était vrai que j’étais un peu fatiguée à cause de la route. Après avoir bien mangé, une bonne sieste était bienvenue.





16 h 30

Après avoir fait une bonne sieste, tout le monde était en forme. Papa et Maman ont décidé de m’amener au canal d’Ille et Rance.

Le coin était très joli, les paysages avec ses écluses. Ça sentait que le printemps arrivait petit à petit. Des fleurs commençaient à éclore. On entendait le chant d’oiseau. Il y avait quelques canards dans le canal. Une promenade très agréable. Pendant cette promenade, j’ai fait deux vidéos de Papa et de Maman que je regardais souvent d’ailleurs après mon séjour. Je devais dire que Maman a un talent d’être présentatrice. Elle était tellement douée devant la caméra qu'elle a fait des gestes de présentations comme une vraie professionnelle.

Le temps passait vite, nous avons pris la route de retour presque à 18 h.

Dans la voiture, Maman m’a dit :

« Bon, Juliette, comme tu as un RDV Visio à faire tout à l’heure, après avoir discuté avec Papa, on ne va pas regarder ton dernier récit ce soir, mais demain matin, on commence par ton devoir ! »

« Oui, Maman », lui ai-je répondu. Ouf, je me suis échappé une fessée ce soir.









20 h




Après avoir fini mon RDV, je suis descendue dans le salon pour aider Papa et Maman.

Ils m’ont offert un apéro, ils étaient toujours si gentils avec moi. Nous avons discuté plein de choses pendant le repas. Je ne savais plus pour quelle raison que nous avons parlé du chanteur Georges Brassens. J’ai cherché ses chansons sur YouTube, « Les copains d’abord » et j’ai mis la musique. Papa s’est mis à chanter aussi. L’ambiance était si conviviale, j’ai adoré ce moment-là. Ensuite, Maman souhaitait mettre la chanson de Michel Sardou, nous avons débarrassé la table en écoutant la musique.





22 H 30.

Après avoir pris une douche, je suis rentrée dans le lit en attendant Maman.

Le meilleur moment est arrivé, Maman est rentrée dans la chambre, s’est assise à côté de moi. J’ai mis ma tête sur ses cuisses et elle m’a caressé le dos. (Comme je n’ai pas reçu de fessée aujourd’hui, donc pas besoin de crème ce soir.) (😊)





« Demain matin, pas avant 9 h, repose-toi bien, bonne nuit Juliette ! » Maman m’a dit en éteignant la lumière.

« Bonne nuit, Maman ! » J’étais très contente de ma journée et j’ai super bien dormi.









Le jeudi 4 avril - 9 h 15

Je me suis réveillée, mais j’ai eu un peu de flemme pour me lever. J’ai entendu les pas de Maman, elle est rentrée dans la chambre.

« Bonjour Juliette. »

« Bonjour Maman ! »

« As-tu bien dormi ? »

« Oui, Maman. »

« Bon, tu vas te lever et tu descends après, d’accord ? »

« Oui, Maman ! »

Après quelques minutes, je suis descendue.





« Bonjour Papa ! »

« Bonjour Juliette. »

« Tu prends toujours café au lait ? » m’a demandé Papa.

« Oui, Papa. »





Sur la table, il y avait déjà tout, pain, jambon, confiture… Papa a même préparé deux œufs à la coque. Le petit déjeuner était bien copieux.

« Juliette, après manger, tu vas te mettre au devoir ! »

« Maman, je peux t’aider à autre chose ? » J'ai essayé d’éviter encore ne fois ce qui m’attendait.

« Ne fais pas la maline, c’est pour ton bien, et tu le sais bien ! » Maman m’a regardé. Son ton ne laissait pas de place à la discussion.

« Oui, Maman », lui ai-je répondu avec une petite voix, car je savais que j’ai fait encore pas mal de fautes la dernière fois.













10 h 30

La chose sérieuse commençait.

Papa a amené son ordi, il a ouvert mon dernier récit dans lequel il a fait des marques avec différentes couleurs de trait.

« Est-ce que je ne t’ai pas déjà expliqué l’inversion sujet/verbe dans un dialogue ? »

« Oui, Papa ! » lui ai-je répondu avec une toute petite voix.

« Si tu sais, pourquoi tu n’utilises pas ? »

J’ai baissé ma tête sans vraiment avoir une réponse.

« Tu sais très bien la mise au passé de tous les verbes quand le récit est au passé, sauf quand il s’agit d’un dialogue, n’est-ce pas ? »

« Oui ».

« Je pense que tu mérites déjà une bonne fessée pour toutes les fautes que tu as faites, tu sais, quand on compte les points, que tu as encore eu une note négative ! »

Papa n’a pas perdu une seconde. Il a baissé mon pantalon, ensuite ma culotte, j’étais sur ses genoux, les claques commençaient à tomber.

Clac, clac, clac.

Les premières claques étaient encore supportables, mais très vite, Papa a mis un plus de force et de rythme.

Aïe, Aïe, Aïe

Après quelques minutes, Papa a arrêté la fessée.

« Va au coin ».

J’ai obéi tout de suite.

J’ai entendu que Papa et Maman étaient en train de discuter si je dois recevoir une fessée avec la règle. Maman a trouvé que c’était un peu sévère.





« Viens là, Juliette. »

Je me suis retourné vers la table.

« Alors, regarde cette phrase : je vais brosser les dents ou je vais me brosser les dents ? »

Je n’osais plus répondre à Papa.

« Il y a plein de fautes d’étourderie, mais comme tu dis que la règle ne fait pas plus de mal que la main, cette fois, je vais utiliser encore ma main ! »

Je me suis retrouvée à nouveau sur les genoux de Papa. Papa a commencé très fort la fessée cette fois.




J’ai essayé de supporter la douleur en silence, car je savais que j’ai bien mérité cette fessée, mais après quelques minutes, j’ai senti la chaleur de mes fesses qui devenait de plus en plus forte. Papa a encore augmenté l’intensité des claques et la vitesse avec laquelle sa main arrivait sur mes fesses.

Aïe, Aïe, Ouille, Ouille…

J’ai commencé à me tortiller, mais je n’avais aucune chance de s’échapper aux claques. Heureusement, la fessée n’a pas duré très longtemps.

« Va au coin ».

Avec la culotte baissée, j’ai marché comme un canard et j’ai mis mon nez dans le coin.

Je ne savais pas combien de temps est passé, Papa et Maman ont continué à faire leur cuisine. Je sentais la chaleur de mes fesses, mais après quelques minutes, je me suis sentie beaucoup mieux.

« Viens là, Juliette. »

Je me suis retournée vers la table, Papa a monté ma culotte ainsi que mon pantalon.

« Va t’asseoir ».

« Tu vas écrire cette phrase : on écrit je vais me brosser les dents et non je vais brosser les dents. Et tu soulignes me brosser avec une couleur rouge. »

« Oui, Papa. »

« Tu vas écrire 10 fois cette phrase. »

J’ai voulu contester d’écrire 10 fois, mais je n’ai pas osé. J’ai commencé à écrire : « Je vais me brosser les dents et non je vais brosser les dents. » Je l’ai copiée dix fois.

« Tu vas écrire cette phrase : on écrit échapper aux yeux de Maman et non échapper des yeux de Maman, et tu soulignes aux yeux. Tu écris dix fois ! »

« Oui, Papa ! » C’est mieux que j’obéisse.

J’ai donc écrit cette phrase dix fois.

« Papa, j’ai fini »

« Bon, tu vas écrire cette phrase : on écrit ne me fâche pas et non ne me fait pas fâcher, 10 fois aussi ! » Papa ne rigolait pas.

J’ai copié dix fois cette phrase. Papa a vérifié tout ce que j’ai écrit et il était plutôt content. En ce moment-là, heureusement, Maman a dit : « Bon, Juliette, on ne va pas tarder à passer à la table, tu ranges tes affaires et après on mange. »

Cette phrase m'a libéré, même si j'ai encore eu un peu de mal aux fesses. Ensuite, nous avons déjeuné et nous nous sommes reposés.





17h

J’ai accompagné Maman de prendre quelques photos de son chauffage d’appoint gaz afin qu’elle puisse mettre sur le bon coin.





18h

« Juliette, tu vas faire le devoir avec Papa » Maman n’a jamais oublié mon devoir. 😊

Papa a sorti son ordi pour chercher une dictée, moi, j'ai sorti une feuille et j’étais prête pour une nouvelle dictée.

Maman est partie promener ses chiens.

« On commence, je vais te lire tout le texte et après, je te dis phrase par phrase. »

« Oui, Papa »

Nous avons commencé la dictée, j’ai revérifié après avoir fini. Mais le texte me semblait un peu compliqué, donc j’ai donné ma feuille pas très rassurante. Le verdict est tombé : sans compter les autres fautes minoritaires, j’ai commis encore huit fautes d’inattention. Maman est justement rentrée en ce moment. Papa n’a pas hésité annoncer cette mauvaise nouvelle à Maman.

« Juliette a fait encore huit fautes ! »





« Tu as encore fait huit fautes malgré la fessée de ce matin !! » Maman était en colère.

« Viens là ! » m’a ordonné Maman.

Je me suis approchée de Maman, je ne savais même pas comment elle a déjà eu la règle dans sa main. Elle a pris ma main, ensuite elle s’est assise sur le fauteuil, je me suis trouvée à plat ventre sur ses genoux. Maman a commencé la fessée tout d’abord par la main.

Clac, clac, clac.

Gauche, droite, gauche, droite.

Elle a tapé tellement fort, j’ai essayé d'utiliser ma main pour l’empêcher. Bien sûr, en vain, Maman n'a aucune difficulté à mettre mon poignet derrière mon dos et elle a continué à taper fort.

« Aïe, aïe, Maman ! » Je criais.

« Pourquoi tu fais encore autant de fautes ? » m’a demandé Maman.

« C’était difficile, le texte », lui ai-je répondu.

« Ah, bon, donc ce n’est pas parce que tu n’as pas fait attention ? »

Je ne savais pas quoi lui répondre, mais Maman a profité de ce moment pour prendre la règle dans sa main et elle n’a pas hésité une seconde à me faire sentir son impact.

Slac, Slac, Slac

Aïe, aïe, aïe, Maman, Maman !

J’ai eu vraiment mal et j’ai essayé de chercher à protéger mes fesses en utilisant ma main, mais en vain.

« Tu vas faire plus d’attention ? »

« Oui, Maman ! » lui ai-je répondu tout de suite.

« Va au coin ! »





Au début, au coin, ça me faisait du bien, car le temps m’a permis de digérer la douleur aux fesses. Mais après, le temps est devenu long. Maman et Papa ont continué leur discussion comme si je n’existais pas. J’ai essayé de les voir dans le reflet du tableau en verre à côté de mon bras gauche, mais je n’ai rien vu. Après de longues minutes passées, Maman m’a enfin libéré de ma pénitence.





20 h

Nous avons dîné ensemble. Papa a fait une superbe soupe aux légumes. L’ambiance était toujours très conviviale comme d’habitude. J’ai proposé d’aller une fois au festnoz si cela les intéresse.





22 h

Maman a proposé de marcher un peu après le dîner. Papa n’a pas voulu suivre. J’ai mis mon manteau et j’ai suivi Maman. Il faisait noir à la campagne, très peu de lumière, très calme, même avec la lampe à torche de Maman, on ne voyait à peine la petite route. C’est vrai que je n’étais pas très assurée, car j’ai craint un peu de croiser une voiture qui roulait vite à la campagne. Après un quart d’heure, j’ai dit à Maman de rentrer. Mais cette petite marche nous a fait du bien après le dîner.





22 h 30

L’heure de se coucher. Maman est venue dans ma chambre, comme d’habitude, elle m’a fait un gros câlin. (J'adore les câlins de Maman) et je me suis couchée toute contente.


Le précédent récit


Des commentaires ?

L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?

Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ? 

N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça !

22 commentaires:

  1. J'ai l'impression que les fessées de maman sont plus sévères non?

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    1. Caroline,
      Viens donc ici pour recevoir les fessées que tu as méritées depuis longtemps. Tu pourras comparer la sévérité de celles que je donne et de celles que donne Josip. Ainsi, tu auras la réponse à la question que tu poses.
      Je t'attends toujours.
      Huguette

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    2. Je vous encourage de franchir ce pas et d'y aller voir. Vous ne serez certainement pas déçue de leur éducation. De plus, ils sont vraiment très accueillant.

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  2. Oui je trouve que maman est sévère mais toutes les fessées qu’elle administre sont justifiées.

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  3. Réponses
    1. Bonjour Isabelle.
      Huguette

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    2. Comment allez vous Huguette depuis nos derniers échanges ?

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    3. Bonjour Huguette j aimerai offrir un week-end à mon mari pour notre anniversaire. Accepterai tu de garder mes filles ? Les oncles et tantes laxistes ça me dépasse. Je peux vous rémunérer évidemment. C’est assez pressée merci

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    4. Bonjour Isabelle,
      Je ne crois pas que je vais agréer votre proposition.
      D'une part, je ne me vois pas garder vos filles sans avoir le droit de les corriger si elles le méritent , mais je ne crois pas qu'il soit normal qu'une personne qu'elles ne connaissent pas, puisse les deculotter et les fesser.
      Par ailleurs, j'ai des doutes sur la réalité des situations que vous avez décrites. Vos filles sont elles réelles ou virtuelles ?
      Huguette

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    5. Bien réelle, je voulais vous inviter au café afin de faire connaissance mais vu votre remarque on va en rester là. Bonne journée

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    6. Dommage ! Puisque vos filles sont bien réelles et que vous leur donner la fessée déculottée, j'aurais volontiers fait votre connaissance ainsi que la leur autour d'un café. Ce qui ne m'aurait pas empêché de déculotter et de donner une fessée à Josip s'il l'avait mérité durant notre visite, ce qui se ferait fatalement en votre présence. J'espère que vous avez un coin adéquat où je pourrai le mettre, peut-être celui où vos filles passent leur temps de pénitence ?
      J'attends votre réponse.
      Huguette.

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    7. Votre réponse n'est pas très explicite. Imaginez-vous m'inviter pour prendre un café ?
      J'attends votre réponse.
      Hug6

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    8. Isabelle,
      Alors, pas de réaction à mon interrogation ?
      Huguette

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  4. Bonjour tout le monde, heureux de voir que le site et ses protagonistes sont toujours bien là ; et que Juliette poursuit son éducation...
    J'aurais, pour ma part, eu plaisir à rendre visite à Huguette et Josip, il semble que ce ne soit plus d'actualité, bonne continuation à tous.

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  5. Oui en effet Huguette éduque ses hôtes de façon parfaite. La discipline domestique est stricte et ferme mais c’est nécessaire. Je crois qu’elle ne laisse rien passer. La fessée est toujours punitive et éducative et elle a pour but de faire réfléchir le puni. Il lui arrive même d’utiliser la règle plate ou le martinet. La correction est toujours donnée déculotté c’est d’ailleurs toujours ainsi que doit être données la fessée. Je crois que Josip en a fait l’expérience et que lui aussi reconnaît qu’il tire partie de cette sévérité. Ce serait le cas pour beaucoup d’adultes.

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    1. Oui je suis d’accord avec toi Bruno. Moi aussi je suis un adulte et mon comportement immature nécessite une sévère reprise en main. Chez nous une discipline domestique très stricte est de rigueur. Je sais qu’elle est nécessaire dans mon intérêt et pour mon éducation. Je prends ainsi conscience que mon attitude irresponsable est celle d’un gamin. Je sais qu’au moindre écart je serai puni. Chez nous la correction qui m’est administrée c’est la fessée de déculottée. La fessée éducative et punitive. En travers des genoux le plus souvent ou ployé très fermement sous le bras. La main très haut levée et clac sur une fesse et clac sur l’autre fesse et les aller-retour qui se poursuivent. Inutile de demander pardon ou même de pleurer, la correction doit aller jusqu’au bout. Il fallait y penser avant. Lorsque je fais une bêtises ou lorsque je désobéis je sais que je vais être corrigé. Et puis il y a aussi chez nous le martinet. Ah le martinet, je le redoute. Cela devrait m’inciter a être sage et à obéir, mais il n’en est rien et je m’entête. Alors le martinet est souvent décroché. Il est d’ailleurs suspendu bien en vue dans la cuisine. Ça cingle les fesses et les cuisses. Après étant mis au coin j’ai tout le temps pour réfléchir… interdiction de bouger sinon, gare au martinet il n’est pas encore rangé et peut encore servir. Ces punitions s’avèrent nécessaires pour mon éducation. Ces méthodes sont éprouvées. Pascal

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    2. La fessée la plus humiliante est celle qui est donnée en travers des genoux, culotte baissée en extérieur. Ça arrive parfois lorsque je fais de grosses bêtises ou lorsque je désobéis. Pour être efficace la punition doit être immédiate. Bien entendu et heureusement, la plupart du temps il n’y a personne. Il se peut aussi que de loin certains étant à proximité assistent à la punition. En fait je ne sais pas…
      Je redoute d’être vu pendant que je suis corrigé. Mais si je suis puni, c’est que je l’ai mérité. Il ne tient qu’à moi de bien me tenir. Je sais que je ne suis pas le seul à recevoir la fessée en extérieur. Peut être certains pourront en parler s’ils ont fait cette expérience et me dire ce qu’ils en pensent. Pascal

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    3. Je me doute que recevoir une fessée déculottée en extérieur, ce n’est pas fréquent. Je constate cependant que certains la reçoivent mais qu’il leur est difficile d’en parler. Je sais qu’il arrive à Huguette de fesser ses hôtes même en extérieur s’ils le méritent et dans un but éducatif. Pour être plus efficace la fessée devant être administrée dès que la bêtise est faite. Elle a tout à fait raison. Je sais que Josip aussi à pu faire l’expérience d’une telle fessée. Je crois que c’est une punition efficace. Pascal.

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  6. Bonjour Huguette. Esque votre bolg est fermé, car je constate avec désolation que vous ne plublié plus rien depuis un certaint temps. C'est vraiment dommage si c'étais le cas.Vous et Josip vous êtes des personnes tres aimables et surtout de tres bon conseilleurs pour la fessée, celle que j'imagine toujours.Passez une tres bonne journée.

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  7. Je crois que Josip est devenu sage et que l’éducation stricte que lui est prodiguée par Huguette produit tous ses effets. Ça prouve l’efficacité d’une discipline domestique stricte. Il ne faut pas hésiter, lorsque c’est nécessaire, à administrer la fessée déculottée et même le martinet à un adulte dont le comportement révèle l’immaturité.

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  8. Réponses
    1. Caroline,
      Sera-ce vous qui écrirez le récit de la (ou plutôt des) fessées que vous allez venir recevoir ici ?
      J'attends toujours la date de votre venue.
      Huguette.

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