Mais
qu'est-ce donc, mon gendre ? Où vous croyez-vous ? Pour qui vous prenez-vous ?
Depuis quand osez-vous contester les méthodes que j'emploie pour discipliner
mes enfants ? C'est de l'outrecuidance, de l'insolence !
Je n'admets pas que l'un de mes enfants, le fut-il devenu après
avoir épousé ma fille, conteste mes décisions. De vous, comme de mes autres
enfants, j'attends une obéissance scrupuleuse qui ne laisse pas de place au
questionnement de la tutelle que j’exerce.
L'âge n'a rien à voir là-dedans ! Ce n'est pas, parce que, comme
ma fille, vous avez plus de trente ans, que je n'aurais plus à surveiller votre
éducation. Cette responsabilité que j'exerce depuis la naissance de ma
progéniture, n'a pas subitement disparu.
A chaque fois que l'un de vous quatre – eh oui, ma
bru, je vous inclus dans le lot, et ne prenez pas cet ait offusqué ou je vous
le fais passer dès que j’en ai fini avec ce qui m’occupe en ce moment –
commettra une bêtise, désobéira sciemment, se montrera insolent ou impoli, ou
se comportera inconsidérément, j’exercerai mon devoir maternel.
Car il fait partie de mes obligations de surveiller votre
éducation à tous et cette lourde tâche ne s’est pas arrêtée lorsque mes enfants
sont devenus majeurs, ni quand ils se sont mariés. Au contraire ! Cela
inclut plus de monde dans mon périmètre de vigilance, vous, par exemple,
mon gendre.
Je ne
sais si votre mère a été suffisamment ferme avec vous, mais en épousant ma
fille, vous êtes entré dans notre famille, avec toutes ses règles et sachez que
mes décisions ne s’y discutent pas. C’est valable pour tout le monde, et
surtout pour mes enfants, dont vous êtes maintenant. Vous serez donc soumis au même
régime qu’eux, y compris aux mêmes punitions.
J’ai
bien noté tous les accommodements que vous vous permettez, dérogeant aux
obligations qui incombent aux adultes responsables, tous les petits compromis contrevenant
aux règles élémentaires de comportement de bienséance ou d’hygiène qui
devraient faire partie des réflexes à votre âge. J’ai bien remarqué combien il
vous est difficile de vous astreindre à la discipline nécessaire pour assumer l’indépendance
que vous revendiquez.
Vous n’avez,
hélas, pas encore atteint ce degré de maturité. Ma file n’a hélas rien à vous
envier sur cette question. Et je doute que vous soyez à même d’y arriver sans
une aide extérieure. Bien que vous ne l’ayez pas sollicitée et que vous
considériez que vous n’en avez pas besoin, je me fais fort de vous l’apporter.
Cela fait partie de la fonction que je dois exercer pour le plus grand bien des
membres de ma famille.
Vous
venez de constater ce qu’il en a coûté à ma fille de se comporter comme une
gamine irresponsable et de me désobéir, je ne vois pas au nom de quel privilège,
vous ne seriez pas puni de la même façon : une bonne fessée déculottée vous
fera comprendre combien votre comportement laisse à désirer. La prochaine fois,
vous y réfléchirez à deux fois avant de vos opposer à mon autorité maternelle.
Oui,
oui, oui, je sais. Tout le monde a pu voir vos fesses nues et vos attributs
masculins. En quoi cela pose-t-il problème ? Il est bien naturel que tous
cela soit dénudé puisque je dois vous corriger. Cela peut-il se faire efficacement
sans vous déculotter ? Ne croyez pas que cela offusque qui que ce soit. Ce
que vous nous montrez n’a rien d’exceptionnel. Ce ne sont que les attributs d’un
grand garçon dont le corps a grandi plus vite que son discernement.
Tante
Louise en a vu d’autres, et ce n’est pas la comédie de la décence outragée que
joue votre belle-sœur qui va m’arrêter. Ses simagrées commencent d’ailleurs à
me fatiguer et je crois que je vais lui apprendre sous peu à bien se tenir.
Aucune
grande personne autour de cette table ne sera étonnée que j’aie dû vous baisser
la culotte pour vous punir. Puisque vous vous êtes comporté comme un garnement
malpoli, il est bien normal que vous soyez corrigé comme vous l’avez mérité. Il
faudra d’ailleurs vous y habituer.
Si c’est
la première fois, mon gendre, que je vous donne la fessée déculottée, ce ne
sera pas la dernière. Je compte y recourir, désormais, à chaque fois que vous
en aurez besoin. Si j’en juge par ce que j’ai pu observer depuis six ans que je
vous connais, vous allez vous retrouver très, très souvent à plat ventre en
travers de mes genoux.
Six années,
six longues années à me retenir d’administrer, à ma fille, les fessées qu’elle
avait méritées. Six années à estimer qu’elles vous seraient nécessaires à vous
aussi. J’ai été bien inconséquente de ne pas passer à l’acte plus tôt, mais ne
regrettez rien. Nous allons rattraper le temps perdu.
Afin que
sachiez bien ce qui vous attend à compter d’aujourd’hui, vous allez faire
connaissance avec le piquet dès que j’en aurai terminé avec vous. Vous allez
aller vous placer à côté de votre femme, le nez contre le mur, pour bien
montrer à tout le monde ce qu’il en coûte de me désobéir. Cela permettra à vos
fesses de refroidir. Je crois qu’elles en auront besoin.
Vous y
restez parfaitement immobile tant que je ne vous aurai pas autorisé à bouger.
Je crois que nous allons finir le repas sans vous. Enfin, plus exactement sans
vous à table avec nous. J’espère bien que vous allez être très présent dans l’esprit
de certains ici présents. D’ailleurs, je crois que je n’ai pas fini. Une autre
tâche urgente m’attend !
Merci à Peter Pan qui est l'auteur de ces dessins.
Faute de trouver suffisamment de dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog, nous avons décidé, Peter Pan et moi, de les produire nous-mêmes. Il se charge des illustrations sur une esquisse de scénario que je lui fournis et je rédige le texte qui l'accompagne.
Si vous souhaitez me proposer un dessin à commenter qui n'a pas déjà été publié sur ce blog et qui corresponde à l'esprit du blog, n'hésitez pas ! Envoyez-le moi par courriel.
Faute de trouver suffisamment de dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog, nous avons décidé, Peter Pan et moi, de les produire nous-mêmes. Il se charge des illustrations sur une esquisse de scénario que je lui fournis et je rédige le texte qui l'accompagne.
Si vous souhaitez me proposer un dessin à commenter qui n'a pas déjà été publié sur ce blog et qui corresponde à l'esprit du blog, n'hésitez pas ! Envoyez-le moi par courriel.
Il y a un début à cette histoire familiale
![Repas de famille mouvementé une inattendue fessée déculottée en famille](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif3lDLar5bdT04UCnyk2SgYN2yCJwcSZUbV0_JGzJTTIQzKXnzVL6xiTe0UGPYr0GqJ-T04HgqqbNJrN7mC8r85mWaAiGbqjdqRYmaOPV_jWkYYLl1ZuGoqXUR4o9I3pvyBhBmbuMoSNM/s200/Mater+Familias...+123abc.jpg)
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Amis de ma poésie et de la fessée à table ... Bonjour!
RépondreSupprimerAh les repas, règlement de compte, en famille ! Menu salé pour grandes personnes indisciplinées. Belle maman fait preuve d'une belle autorité et cuisine avec brio les fesses de son gendre, à défaut de celles sa fille trop longtemps restées au frigo. Dans la foulée le derrière de la belle soeur pourraient bien aussi passer à la casserole... eu feu continu ! Cuisine à l'huile de coude .
Le coup de main succède aux coups de fourchette. Menu gastronomique culotte baissée! Fessée d'échauffement à la main en hors d'oeuvre suivi d'une bonne déculottée à la brosse en plat de résistance, cuisson à point pour tout le monde. Fesses fouettées en dessert montée en fraisier à l'écarlate...
L'illustration de Peter est édifiante avec la main de la fesseuse aussi large qu'une planche à découper!
C'est Belle maman qui régale, prête à remettre le couvert si nécessaire. Qui a dit qu'on s'ennuyait dans les repas de famille ?
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina et vous tous...
RépondreSupprimerBien dit. Qui disait que les repas de famille du Dimanche étaient ennuyeux. Entre la poire et l'apéritif, on tire à boulets rouges. Entre Mamie qui somnole et Tonton qui fredonne "Yesterday" en patois, ç'est pas triste. "Belle-Maman, la même chose ? Alors tournée de fessées générale. C'est vous qui régale !!!! " Rires. A taaaaaable !
Amicalement. Peter.