« Teva,
j’ai terminé le tri du rangement. Je vais voir avec la voisine si je peux régler
la fessée qu’elle doit donner à Marguerite. »
Marguerite
se crispa. Elle avait oublié cette punition en suspens. Malheureusement,
Hélène, elle, s’en souvenait.
« Arrive-ici,
ma vilaine petite fille ! »
Tenant
Marguerite par le bras, Hélène se dirigea vers la sortie.
« Ma
culotte, demanda Marguerite ?
–
Ah, tu veux la remonter ?
–
Oui… s'il te plait.
–
Si tu y tiens. Mais je ne crois pas que ce soit vraiment utile, elle va être
baissée dans quelques minutes. »
Marguerite
remonta cependant sa culotte. Elle préférait ne pas circuler dans les escaliers
et les couloirs de son immeuble, les espaces où elle pouvait être vue par de
nombreuses personnes, dans cette tenue qui laissait voir sa culotte poindre
en-dessous de sa jupe. Bien sûr son sous-vêtement retrouverait sa place en bas
de ses cuisses pour la fessée, elle ne se faisait pas d’illusion. Hélène était
là pour y veiller. Mais au moins cela se passerait-il au domicile de la dame
avec laquelle elle avait été impolie et non au vu et au su de tout le monde.
La
première étape consistait à retourner voir la voisine du dessous, celle qui
avait si facilement accepté de fesser Marguerite quelques jours auparavant.
Comme elle s’y était engagée, elle avait abordé la question avec la dame avec
qui Marguerite avait été insolente.
« Je
ne sais pas si elle est disposée à donner une fessée à Marguerite. Je crois
qu’elle est un peu méfiante. Elle trouve cette proposition surprenante. Elle a
besoin que vous la rassuriez. Elle m’a assuré qu’elle accepterait d’aborder le sujet
avec vous. »
Marguerite
ne savait pas si elle devait se réjouir ou s’inquiéter de cette nouvelle.
« Venez,
je vais vous conduire ! »
La
dame en question habitait l’étage en dessous. La présence de sa voisine la
rassura, mais on voyait bien qu’elle se méfiait.
« Qui
êtes-vous exactement ? »
C’était
Hélène qu’elle interpellait ainsi.
« Je
suis à mi-chemin entre une tutrice et une mère adoptive, pour Marguerite. »
Marguerite,
malgré la situation difficile dans laquelle elle se trouvait et celle encore plus
éprouvante qui s’annonçait, reçut cette déclaration comme un soulagement. Elle
la prit comme un engagement d’Hélène qui la prenait sous son aile.
« J’ai
toute autorité pour régir la discipline à laquelle Marguerite est soumise et
pour décider des punitions à lui administrer. Elle a été insolente et impolie
envers vous jeudi dernier. Il est donc normal qu’elle reçoive une bonne fessée.
Nous avons pensé que la leçon serait bien plus claire si c’est vous qui la lui
administrez.
–
Une fessée ? Quel âge a-t-elle ?
–
Un peu plus de trente-et-un an.
–
Et à cet âge-là, elle reçoit encore la fessée ?
–
Comme vous pouvez le constater.
–
Et elle est d’accord ?
–
Je ne sais pas si elle est d’accord. Je ne lui demande pas son avis. C’est une
des conditions non négociables si elle veut habiter chez moi. C’est le choix
qu’elle a fait.
–
Ah, elle déménage.
–
C’est cela. Avant de partir, il faut qu’elle soit punie de son comportement
vis-à-vis de vous. Nous n’en aurons plus l’occasion de vous le proposer
après. »
La
voisine prit le temps de réfléchir quelques instants.
« Vous
pensez que c’est moi qui doit la punir.
–
C’est préférable. C’est auprès de vous qu’elle s’est montrée impolie. Les
punitions sont d’autant plus efficaces qu’elles sont administrées au plus
proche de la situation qui les a provoquées. Quand c’est la personne envers qui
elle s’est montrée désobligeante qui punit Marguerite, je pense qu’il n’y a pas
de confusion possible.
–
Vous croyez ?
–
Je pourrai vous en exposer autant d’exemples que vous le souhaitez. Cependant,
je comprendrai si vous ne souhaitez pas sévir vous-même. Je trouverai alors une
autre solution.
–
Mais je ne sais pas si je saurais…
–
Ne vous inquiétiez pas pour cela, intervint l’autre voisine. Je n’en avais pas
donné depuis très longtemps, mais cela m’est revenu immédiatement quand j’ai
puni Marguerite mercredi soir.
–
Vous l’avez également fessée ?
–
Oui, il m’a semblé qu’en la corrigeant, je faisais mon devoir. J’ai pensé que
je lui rendais service.
–
Vu comme cela, je veux bien essayer. »
Elle
reporta son attention sur Marguerite qu’elle avait jusqu’alors ignorée. Elle la
fixa droit dans les yeux, mais Marguerite n’arriva pas à soutenir son regard.
Elle baissa la tête. Cela fut pris pour une acceptation de ce qui allait
inévitablement arriver, renforçant la voisine dans sa détermination qui était,
jusqu’à maintenant, plutôt fragile.
« Tu
t’appelles Marguerite, n’est-ce pas ?
–
Oui Madame.
–
Viens-ici, Marguerite ! »
Il
n’y avait pas plus de trois pas à faire, mais ils parurent longs à tous, sauf à
Marguerite qui aurait aimé avoir une plus longue distance à parcourir. La
voisine prit Marguerite par le bras pour la placer devant elle. Comme celle-ci
baissait toujours la tête, elle le lui releva, d’une main placée sous le
menton.
« Regarde-moi
quand je te parle. Tu as décidément beaucoup de choses à apprendre en ce qui
concerne la politesse. Regarder dans les yeux les personnes qui s’adressent à
toi, en fait partie. »
Marguerite
obéit aussitôt à cet acte d’autorité, bien que le rougissement qui lui montait
au front, montrât combien cela lui coûtait. Hélène en fut étonnée. Elle ne
s’attendait à une telle prise en main de la situation par cette femme qui avait
tant tergiversé avant d’accepter de corriger Marguerite.
« C’est
dommage que tu t’en ailles, car je peux te promettre que la prochaine fois que
tu aurais été insolente, je n’aurais pas attendu une quelconque autorisation
pour te punir. Tu aurais eu la fessée déculottée sur le champ. Tant pis pour
toi s’il y aurait eu d’autres personnes à passer pendant que je t’aurais
fessée. »
La
dame ceintura Marguerite et, pesant sur son dos, elle l’obligea à se courber
sous son bras. Elle releva l’arrière de la jupe. Les cuisses de Marguerite qui
apparaissaient à la vue de tous sous sa culotte, étaient couvertes de chair de
poule. La voisine glissa un pouce sous l’élastique de la culotte.
« Oh
non, Madame, s'il vous plait, pas ici !
–
Et pourquoi ne faudrait-il pas que je te déculotte ici ?
–
Chez vous, Madame, je vous en prie !
–
Crois-tu que je te demande ton avis ? »
Elle
baissa la culotte. Marguerite serra les fesses et les cuisses, mais cela
n’empêcha en rien la voisine de dénuder son postérieur.
« Là
où tu as raison, c’est que je devrais prendre le temps de te descendre dans lehall d’entrée, pour te donner ta fessée. Si je m’en souviens bien, tu n’as pas
hésité à être insolente dans un lieu public. Il est donc normal que tu sois
puni dans un endroit qui s’en rapproche. C’est ce palier qui y ressemble le
plus. Il est donc tout indiqué pour te donner la fessée. »
La
transformation était spectaculaire. Il n’y avait plus aucune trace d’hésitation
ni dans la voix ni dans les gestes de la voisine. Elle replaça Marguerite sous son bras,
l’obligeant à se courber un peu plus et en la plaquant contre sa hanche. Plus
personne n’avait de doute sur l’efficacité de la fessée qui se préparait.
Les
premières claques confirmèrent cette impression. . Elles résonnèrent dans la
cage d’escalier et les fesses se colorèrent aussitôt d’un rouge, discret au
début, là où la main avait porté. Les cris de Marguerite se répercutèrent sur
les murs. Nul ne pouvait plus ignorer qu’il se passait quelque chose
d’inhabituel au quatrième étage.
La
voisine devait avoir l’habitude de donner la fessée ou elle l’avait eu dans le
passé. Sa technique était irréprochable. Elle ne pouvait pas l’avoir découverte
et assimilée en aussi peu de temps. Sa main prenait exactement la forme de
l’endroit où elle tombait. Elle y insistait alors jusqu’à y obtenir une belle
couleur cramoisie. Alors, elle changeait de côté et elle recommençait de
l’autre.
Marguerite
pleurait convulsivement. Elle avait du mal à respirer normalement. Son souffle
dépendait du rythme de ses cris et elle n’avait pas vraiment le temps de reprendre
sa respiration. Elle émettait un cri continu qui s’abîmait en un hoquet quand
elle était au bout de ce que ses poumons pouvaient expectorer. Elle restait
presque silencieuse, le temps d’avaler une goulée d’air ce qui ne se faisait
pas sans mal, la main claquant les fesses interrompait plusieurs fois
l’aspiration. Elle parvenait presque à ses fin avant de reprendre le long cri
qu’elle n’avait suspendu qu’un court instant.
Alors,
la fessée reprenait sur le premier côté, mais légèrement décalé. La voisine ne
semblait pas se fatiguer, même s’il fallait maîtriser les mouvements de Marguerite
qui se débattait sous l’avalanche de claques. Ses pieds battaient, le bas du
dos se tortillait autant qu’il le pouvait, mais rien n’y faisait. La fessée
continuait, inexorable.
C’est
la personne qui habitait sur le même palier qui s’inquiéta en premier de tout
ce raffut. Elle entrebâilla sa porte et reconnaissant ses voisines, elle
rejoignit le groupe.
« Mais
c’est la jeune femme du sixième, dit-elle ! Que se
passe-t-il ? »
Quand
on lui eut expliqué la raison de cette scène pour le moins inhabituelle, elle
eut un commentaire lapidaire.
« C’est
vrai que ce n’est pas la politesse qui l’étouffe ! J’espère que cette
fessée lui fera du bien. Continuez ! Soyez sûre qu’elle aura compris la leçon
avant d’y mettre fin ! »
Pendant
qu’elle se lançait dans le récit d’une anecdote prouvant ses allégations sur
l’impolitesse de Marguerite, l’autre porte du palier s’ouvrit. Une jeune femme
qui devait avoir à peu près le même âge que Marguerite, passa son nez par la
porte entrouverte. Derrière elle, apparut le visage d’un jeune homme qui
n’était guère plus âgé.
« Mais
que se passe-t-il ici, demanda la jeune femme ? Qui crie comme
cela ? »
Quand
les personnes qui lui cachaient le vue s’écartèrent, elle comprit tout de suite
de quoi il s’agissait.
« Oh,
c’est Marguerite ! Que lui arrive-t-il ? Enfin, je veux dire pourquoi
reçoit-elle la fessée ? »
En
quelques phrases la voisine qui venait d’arriver lui résuma la situation.
« Alors
c’est une punition. Vous croyez qu’à son âge ? »
Hélène
détailla quelque peu les explications lapidaires qui lui avaient été données
auparavant. La jeune voisine prit un air dubitatif.
« Oui,
bien sûr c’est un peu enfantin, comme comportement. Mais s’il fallait fesser
toutes les personnes qui, étant adulte, se comportent comme des gamins.
–
Ne croyez-vous pas que ce serait un service à leur rendre, argumenta
Hélène ? Leur faire passer leurs mauvaises habitudes ? »
La
voisine ne semblait pas convaincue.
« Personnellement,
je ne crois pas que toutes les personnes de cet âge-là doivent être punies de
cette façon. Elles ne sont pas toutes irresponsables.
–
Ce n’est pas une question d’âge, mais de maturité. »
Le
jeune homme qui avait passé sa tête derrière celle de la jeune voisine fit un
pas dehors.
« Qu’est-ce
qui se passe ? »
La
jeune femme prit un air sévère.
« As-tu
fini de réparer tes bêtises ? Faut-il que je le dise encore une nouvelle
fois ? Je suis fatiguée de ton irresponsabilité. Rentre à la maison et
finit de remettre à sa place tout ce que tu as laissé en désordre ! »
Le
jeune homme engagea une retraite des plus rapides et il disparut dans
l’appartement.
« C’est
votre compagnon, demanda Hélène ?
–
Officiellement oui, mais parfois je me demande si c’est n’est pas un petit
garçon qui loge chez moi. Il faut lui redire dix fois les choses avant qu’il ne
les fasse jusqu’au bout. C’est fatiguant !
–
Utilisez-vous la bonne méthode ? »
Hélène
tourna la tête vers Marguerite dont la fessée se poursuivait.
« Vous
voulez parler de… »
La
voisine regardait également dans la même direction.
« Je
ne sais pas. Combien de fois avez-vous dû lui dire de finir ce travail ? A
quelle fréquence journalière recommencez-vous cet exercice ? Croyez-vous
que votre méthode est efficace ? »
La
voisine resta muette. Elle était pensive.
« Peut-être
serait-il temps d’en changer ?
–
En changer ? Vous voulez dire… ça ? »
D’un
mouvement du menton elle désignait Marguerite dont les fesses étaient maintenant
particulièrement cramoisies.
« Ce
serait une idée, vous ne croyez pas ?
–
Mais ce n’est pas possible, c’est un garçon…
–
Ce n’est pas plus une question de sexe du puni que de son âge. Cela fait un
bien fou autant aux garçons qu’aux filles qui l’ont méritée.
–
Oui, sans doute, mais s’il n’est pas d’accord et qu’il ne me laisse pas
faire ?
–
C’est une question d’autorité. Bien évidemment, vous ne devez pas lui demander
son avis. C’est à vous de décider quand il a besoin d’une fessée. Ne lui donnez
pas le choix. Annoncez-lui que vous en avez assez de ses gamineries et que,
comme Marguerite, une fessée est nécessaire et que vous allez la lui donner sur
le champ. Ne pensez-vous pas que recevoir une bonne fessée quand il l’a
méritée, lui serait profitable ?
–
Si, bien sûr ! Pour tout vous dire, j’y ai pensé à plusieurs reprises
quand j’ai entendu dire qu’il y avait plusieurs adultes qui avaient été punis
de cette façon. J’ai entendu dire qu’au supermarché, c’est devenu une habitude
et que cela se passe devant tout le monde. Je ne sais pas si c’est vrai.
–
Je peux vous assurer que c’est la vérité. Vous pourrez demander à Maeva qui
finit le ménage à l’étage du dessus quand elle va arriver. Elle y travaille et
elle bénéficie régulièrement de la fessée que lui donne sa cheffe. A la maison,
sa sœur chez qui elle vit, lui donne la fessée à chaque fois qu’elle le juge
nécessaire, comme pour Marguerite. Je crois que tout le monde en est
parfaitement satisfait.
–
Même les deux personnes qui reçoivent la fessée ?
–
Je ne vous dis pas que quand Teva ou moi nous leur baissons la culotte et
qu’elles prennent conscience qu’elles vont être fessées, elles sont euphoriques
face à ce qui leur arrive. Mais je crois qu’elles ne changeraient de résidence
pour rien au monde. L’attention que nous leur portons leur est précieuse. Elles
ne s’en passeraient pour rien au monde. Essayez donc avec votre compagnon, vous
serez surprise des résultats.
–
J’essayerai bien. Mais s’il ne se laisse pas faire ?
–
Dites-lui que c’est la condition pour que votre vie commune continue, que vous
acceptez de vivre avec un adulte qui se comporte comme un enfant à la seule
condition que vous puissiez, quand vous le jugez bon, le punir comme un
enfant : d’une bonne fessée.
–
Et s’il n’accepte pas ?
–
Voilà ce que vous allez faire… »
Quand
la jeune voisine rentra dans son appartement, elle trouva son compagnon accoté
à la fenêtre. Il regardait les passants qui déambulaient sur le trottoir, un
verre de bière à la main.
« As-tu
fini de faire tout ce que je t’avais dit, Théo ?
–
Non, pas encore. Je fais une petite pause et je m’y remets.
–
Une petite pause ? Alors que cela fait plus de deux heures que je t’ai
ordonné de nettoyer le frigidaire après que tu y as renversé le bol de
sauce ? Tu te moques de moi ? Tu en avais pour quinze, peut-être
vingt minutes, mais pas plus ! Deux heures après ce n’est toujours pas
fait. Tu as dépassé les bornes ! »
Elle
attrapa son compagnon par le bras et il dut la suivre. Elle s’installa sur une
chaise.
« Je
crois qu’une bonne fessée va te faire du bien ! »
Elle
le plaça entre ses jambes qu’elle referma sur celle de son compagnon debout
devant elle. Ses mains commencèrent à déboucler la ceinture avant qu’il
réagisse.
« Non
attend ! Clémentine ! Qu’est-ce que tu fais ? »
Il
plaça ses mains sur celles de sa compagne, l’empêchant d’aller plus loin.
« Je
te déculotte pour te donner une bonne fessée. Désormais, ce sera de cette façon
que je te punirai quand tu en auras besoin. Ecarte tes mains de là !
–
Non, tu ne peux pas. Je ne veux pas !
–
Peu m’importe que tu le veuilles ou non ! Ce qui compte, c’est que tu en
as besoin. Enlève tes mains !
–
Non, non, non ! »
Ses mains restaient en place, s’opposant au débouclage de sa ceinture.
« Théo
si tu n’enlèves pas tes mains tout de suite, après être allé au coin, tu auras
une deuxième fessée, bien plus sévère que la première !
–
Non, non, je ne veux pas. »
Clémentine
essaya d’écarter les mains de force, mais Théo ne la laissa pas faire.
« Si
tu ne me laisses pas te déculotter, je vais chercher les voisines. Elles me
donneront un coup de main à te baisser le pantalon et la culotte et tu vas
prendre ta fessée devant elles. Si nous sommes trois ou quatre, nous devrions
bien réussir à te déculotter. Est-ce que c’est ce que tu veux ?
–
Non attends, Clémentine, non ! Pardon, je vais finir ce que tu m’as dit de
faire. Je le fais tout de suite ! »
Mais
les mains restaient à la même place.
« Non,
trop tard ! Maintenant, c’est d’abord la fessée ! Je compte jusque
trois. Si à trois tu n’as pas enlevé tes mains, je vais chercher les voisines.
Un… deux… et… »
Théo
regarda Clémentine droit dans les yeux. Il y vit une résolution sans faille. A
n’en pas douter, elle mettrait sa menace à exécution. La fessée que la jeune
femme avait reçue sur le palier l’avait édifié. Les mégères qui habitaient dans
les appartements à côté seraient ravies de rendre ce service. Quand à résister
à trois ou quatre d’entre elles, il n’y comptait pas. Il enleva ses mains.
« Clémentine,
s’il te plait ! Ce n’est pas nécessaire de
te fâcher… »
Les
boutons de la braguette défaits, le pantalon tomba sur les genoux et Clémentine
le fit descendre un peu plus bas.
« Clémentine,
non ! Je vais obéir, je vais faire ce que tu m’as dit. Non, ma culotte,
non ! »
Elle
avait saisi la culotte de chaque côté de la taille de son compagnon et elle la
fit glisser le long de ses cuisses. Le sexe semi-érigé qui en jaillit ne
l’impressionna pas. Non seulement elle l’avait déjà contemplé dans cet état,
mais elle savait, de plus, que ce ne serait pas la dernière fois qu’elle aurait
l’occasion de le mettre à l’air comme elle venait de le faire.
« Ne
bouge pas de là ! »
Elle
devait suivre jusqu’au bout les recommandations de cette dame qu’elle avait
rencontrée et qui semblait s’y connaître en matière de punition de jeunes
adultes. La fessée que sa protégée recevait en public sans se révolter le
démontrait. Elle lui avait donné de judicieux conseils. C’est exactement comme
elle l’avait prédit que les choses s’étaient passées.
Quand
elle revint, elle tenait une brosse en bois dont le dos plat convenait
parfaitement pour l’usage qu’elle prévoyait.
« Clémentine,
pourquoi cette brosse, demanda Théo la voix tremblante ?
–
Tu vas le découvrir bien assez tôt ! »
Elle
obligea Théo à se courber sur ses genoux, emprisonnant son buste sous son
coude. La fessée pouvait commencer.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 36
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, le chapitre 38.
Marguerite et Maeva doivent avoir les fesses qui refroidissent... Et la suite des claquantes relations entre Clémentine et Théo....J'espère qu'il y aura des suites sinon gare à la fessée !
RépondreSupprimerOui maintenant c’est la fessée déculottée pour ta paresse.
SupprimerC’est sûr cette fessée tu la mérites, cul nu, sur les genoux, une bonne claquée et aussi une poignée d’ orties sur les cuisses et sur les fesses. Ça t’apprendra, paresseux.
SupprimerMoi je la mérite vraiment la bonne fessée cul nu sur les genoux car je suis un garçon paresseux et insolent. Je sais que ça fait honte mais c’est la solution pour me faire filer droit et j’ai besoin d’autorité. Alors si tu veux bien me corriger et me fesser.
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