LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
L'INSUPPORTABLE ATTENTE DE LA FESSEE.
Il était aux environs de midi et demi lorsque Robin rentra chez lui. A
sa grande surprise il trouva Bettina, en grande conversation avec Edouard. La
pétulante voisine, n'était pas du genre à s'embarrasser de principe ni
mouronner dans le remord mais, il fallait lui reconnaître un sens de la
légitimité. Elle avait commis une faute,
et mérité une sévère punition qu'elle avait acceptée sans faire de manières.
Walter, son mari, s'en était chargé, sans enthousiasme, mais consciencieusement
et avec la rigueur nécessaire. Elle aussi, fessées matin et soir pendant toute
la semaine... pour elle, l'affaire était classée. Seul changement notable dans
son comportement, sous la fréquence des corrections, et malgré la persistance
d'une cuisson douloureuse, elle avait fini par éprouver d'excitantes sensation
à entendre et sentir claquer ses grosses fesses. Tant et si bien que son engouement
pour la fessée, jusqu'alors à administrer, avait fini par déclencher le plaisir
et le désir d'en recevoir à son tour.
Walter, à l'inverse, régulièrement corrigé, était assez peu expérimenté
en la matière. Il fessait rarement, et davantage par nécessité que pour la
satisfaction de claquer un derrière. Mais, suite à cette semaine de déculottées
en série, il allait devoir maintenant s'employer à satisfaire les besoins de
fessées du plantureux fessier de sa femme qui s'annonçait gourmand en la
matière. Car pour madame, jusqu'alors plus habituée à donner que recevoir, la
découverte des sensations sous l'effet d'une bonne déculottée, ouvraient de
nouvelles perspectives à l'activité de son opulent derrière. Enrichie de ces
aspirations, elle reprenait le cours normal de sa vie et renouait tout
naturellement contact avec ses amies.
Pour Bettina au tempérament résolument optimiste, la vie était un jeu ! Et elle voulait sans cesse
jouer. Elle pétillait d’une joie exubérante et même quand elle faisant semblant
d’être triste, ou fâchée ou inquiète, c’était en fait pour s’amuser des
réactions des autres ! Toujours dans la provocation, elle prenait un malin
plaisir à agacer tout le monde et en premier lieu son mari, qui avait souvent
du mal à suivre. Peu encline aux états d'âme,
cela ne la perturbait pas outre mesure de passer parfois pour une garce aux
yeux de son entourage. D'ailleurs, estimant avoir payé sa dette après cette
brève aventure extra conjugale, elle n’éprouvait aucun scrupule à se vanter
d'être à l'origine du régime de punitions de ces messieurs. Après tout ils
l'avaient bien cherché et n'avaient qu'à s'en prendre à eux même de s'être mêlé
de ses affaires. Bien fait pour eux ! Ils s'étaient montrés bien
inconséquents d'essayer de tirer profit de la situation. Elle était encore trop
bonne de passer prendre des nouvelles de leurs fesses !
Elle avait commencé par une petite visite de courtoisie en fin de
journée, chez Clarisse, la plus proche de chez elle, pour papoter un peu et
constater, sans surprise, que le gros derrière de Douglas était en bonnes
mains. Elle était arrivée au moment où madame venait de l'envoyer au coin,
déculotté, cuver sa fessée du soir. Ses fesses écarlates et cuisantes,
témoignait de la qualité de sa correction.
Elle rendait visite à Gladys dans un esprit de réconciliation et pour
les remercier au passage de leur mansuétude.
La solidarité féminine n’était pas un vain mot, ces Dames, conscientes,
que ce genre de petit accroc à l'harmonie du couple pouvait arriver à n'importe
qui, lui avaient rapidement pardonné son écart. Ce qu'elles étaient loin
d'avoir accordé aux époux, misérables profiteurs dans l'affaire. Chaque
occasion de renforcer la discipline conjugale était bonne à saisir. Clarisse
comme Gladys, avaient même apprécié de
bénéficier d'un excellent prétexte pour les soumettre à un régime accéléré de
fessées matin et soir pendant toute la semaine.
Régine de son côté, n'avait pas
non plus lésiné sur la sévérité des corrections. Elle fit preuve d'une
implacable sévérité à sanctionner sévèrement la conduite inqualifiable de
Gilbert. Il dû lui présenter ses fesses à claquer à la même fréquence
quotidienne que les deux autres protagonistes.
Gladys était en ville ce samedi matin et devait rentrer incessamment.
Dans le cadre très stricte de sa participation aux tâches ménagères, Edouard
avait pour consigne de préparer le déjeuner et mettre la table en
l'attendant. Bettina interrompit leur
conversation lorsqu'elle vit arriver Robin. Elle le gratifia d'un large sourire,
qu'il lui rendit distraitement, aussitôt perturbé par son décolleté ravageur
qui avait du mal à contenir sa volumineuse poitrine débordante. Elle se tenait
debout au milieu du salon, cambrée sur ses talons aiguille, dans une de ces
tenues provocantes qu'elle affectionnait pour exhiber ces formes avantageuses.
Elle aimait attirer le regard des hommes.
Impressionné par la sulfureuse créature, Robin ne put s'empêcher de
penser en avalant sa salive – Qu’à moins d'être frappé de cécité, ou d'avoir
une libido en arrêt de maladie, pas étonnant que Gilbert Duplessy avait fini
par succomber à la tentation –
Elle dû se rendre compte de l'effet dévastateur qu'elle faisait sur le
jeune homme. Sans doute à cause de la proximité de son beau-père, elle tira
machinalement sur sa courte jupe pour essayer vainement de la faire redescendre
par-dessus ses jarretelles, aussi apparentes que les poutres au plafond d'une
maison de campagne.
Douglas paraissait embarrassé. De toute évidence Bettina, pas gênée le moins
du monde d'en être un peu responsable, avait dû engager la conversation sur son
sujet favori, en l'occurrence son régime de fessées quotidien. Le ton inquiet
du beau-père laissait deviner qu'il s'agissait de ce qu'on pouvait entendre
pendant les correction administrées la fenêtre ouverte.
– « Ah bon, Bettina ? On entend tout ce que je dis
quand je reçois une fessée ?
– Mais bien sûr Edouard, quand on reçoit la fessée, c’est
normal que les voisins le sachent et l’entendent.
– Oui… évidemment… mais....
– Le mieux pour qu’une fessée fasse bien effet c’est même
qu’elle soit donnée en public... ou en famille... ou devant des amis ...”
– Je sais …oui,
c’est certain…mais on entend tout ? Ooohhh, j’ai honte...
– Voyons Edouard, c’est fait pour cela …la honte de
recevoir la fessée, ça fait partie de la fessée...c’est comme ça mon ami !
Surtout quand c’est bien mérité comme pour vous : les fesses bien déculottées
et bien exposées à la fessée : c’est normal !
– Oui, mais...mais ...ais ais... quand même, Bettina … vous
vous rendez compte !
– Allez, allez … on
n’entend pas toujours tout …sauf le bruit des claques et les pleurs …mais ce
que vous pouvez dire ...la plupart du temps, on peut pas comprendre... on
’entend des mots par ci ...par là …
– Ben oui ...Je sais
bien c’est les fessées, hein ? ...ça en fait partie … je les mérite en plus...alors il faut bien
que j’en reçoive de bonnes ... »
Edouard, semblait résigné. Il avait renoncé à une part de
sa dignité et, sans doute animé du besoin de se confier un peu, se laissait
aller en se lamentant, malgré l'écoute peu complaisante de Bettina dont il
connaît les penchants pour l'extrême sévérité.
– « Oh et puis aujourd’hui …la fessée ce matin bien
sûr ...et puis d’habitude, c’est la fessée le soir ...à cause de ce que j’ai
fait par rapport à vous... Vous le savez bien.
Peu émue, Bettina sourit d'un air moqueur et répond avec
cynisme.
– « Mais vous n'étiez pas obligé mon cher... je ne
vous ai rien demandé...Ces fessées vous les méritez entièrement. D'ailleurs,
j'ai pris les miennes aussi. Ça ne tiendrait qu'à moi, je renouvellerais le traitement
pour une autre semaine ! »
Edouard effondré sait qu'il ne trouvera aucun soutien, bien
au contraire. Ces femmes sont impitoyables. Il se plaint encore, malgré tout,
pour essayer...
– « Mais
aujourd’hui, cet après-midi Gladys va m’emmener choisir un nouveau martinet
chez le cordonnier, à l’autre bout de la ville ...et...
Bettina le coupe sans ménagement.
– « Elle a raison mon cher ! Un bon martinet bien
cinglant, c'est ce qu'il faut pour corriger des grosses fesses comme les vôtres
!
– Oui... mais c’est sûr... Elle va me flanquer une autre
fessée juste avant d’y aller, pour que j’y arrive bien puni aux yeux de tout le
monde …alors ! Ouille ! Et si, en plus, il m’en redonne une autre ce soir
…oh la la !
Bettina a du mal à bouder son plaisir et lui en remet une
couche sans vergogne.
– « Mais bien sûr Edouard... C’est normal que vous
arriviez les fesses bien rouges dans le magasin pour acheter un nouveau
martinet. Il faut présenter un fessier bien gonflé par les claques pour choisir
un martinet aux bonnes dimensions !
– Ben oui …je sais …évidemment …c’est forcé ...mais ce soir
elle va vouloir l’essayer alors qu'elle l'aura déjà testé dans le magasin…c’est
forcé aussi …oh la la !
– C'est bon Edouard, arrêtez de vous plaindre... Tout ça
vous l'avez mérité... Une bonne séance de fessées cela vous remet à votre
place... »
Tout en donnant raison à Bettina et en reconnaissant le bien-fondé de
ses arguments, Robin observait son beau-père qui lui paraissait assez anxieux.
Ce n’était certes pas la première fois qu’il lui donnait cette impression ces
jours derniers quand la perspective d’une fessée s’approchait …mais sans doute
que l’addition des fessées reçues depuis que Gladys l’avait puni commençait à
faire sérieusement son plein effet sur lui. Il n’était plus du tout fière le
cher beau-père …plus du tout rassuré. Il ressentait tout simplement la crainte
de la fessée comme un incorrigible mari qui savait pertinemment, ce qui
attendait ses fesses en cas de mauvaise conduite. La différence de comportement
était spectaculaire entre le cadre en entreprise, sûr de lui et de sa position
dominante au bureau, et le mari à la maison, dressé à la fessée, entièrement
soumis à l'autorité de sa femme.
Forte de son emprise sur lui, Gladys ne lui laissait rien passer et, de
plus, se plaisait à bien corriger la solide paire de fesses dont il était doté.
Il savait qu’il ne pouvait en aucun cas se soustraire à la stricte discipline
qu'elle lui imposait et, ce matin-là, il avait tout simplement peur de la
fessée prévue. Il fallait qu'il soit vraiment désemparé pour chercher naïvement
à ce que Bettina le rassure et lui témoigne un peu de compréhension. La
fervente adepte de la fessée sévère, n'était certainement pas la bonne personne
à qui s'adresser. D’un ton embarrassé,
toute dignité perdue, il l’interrogea, comme un petit garçon inquiet et apeuré,
qui a oublié les consignes pour préparer ses fesses, que sa maman lui a données
avant de sortir.
– « “ Oh là là ! je me souviens plus de ce qu’elle m’a dit de
faire ? Est ce qu’elle veut me trouver déculotté quand elle va arriver...
ou me déculotter elle-même ? Elle me l’a dit, ce matin, j’en suis certain mais
je ne me le rappelle plus. Elle venait à peine d’arrêter de me fesser, je ne
savais plus où j’en étais …j’avais les oreilles qui bourdonnaient, j’avais le
fessier qui chauffait tellement que j’étais incapable d’enregistrer quoi que ce
soit …qu’est ce vous croyez, vous, Bettina? Comment je dois l’attendre ? A
genoux, évidemment ! »
Les bras croisés sous sa forte poitrine, en pleine expansion, les yeux
au plafond elle soupira d'un air navré, se fichant éperdument des jérémiades du
malheureux en pleine crise d'angoisse.
Elle jugeait même son attitude, pitoyable d'indignité. Elle porta son
regard vers Robin.
– « Tu vois mon petit Robin, dit-elle en soupirant à nouveau, ce
qui augmenta encore l'amplitude de sa poitrine. C'est bien parce que je
respecte les choix de ta mère et puis, bon... je ne suis pas chez moi. Elle
désigna Edouard d'un coup de menton. Mais je te l'aurais déjà calmé d'une
de ces fessées ! Au moins ça lui
aurait donné une bonne raison de pleurnicher et ça l'aurait mis en condition
pour la suivante. Mais bon... ce n'est pas d'actualité. »
Robin, bien conscient qu'il se
trouvait souvent à la place de son beau-père, observait la scène sans trouver
quoi répondre. Qu'aurait-il bien pu dire ?... Edouard, quant à lui, à peine
conscient du ridicule de sa situation, semblait ne pas avoir entendu, et
s'obstinait naïvement à solliciter l'avis de l’exubérante voisine qui s'en
fichait comme de son premier slip de nylon.
– « Vous feriez quoi, vous, à ma place ? Qu’est-ce que vous en
pensez ? ......et …est ce que vous croyez qu’elle va me laisser en punition
pendant plusieurs jours encore ? ...à votre avis ?, »
Bettina, s'amusait visiblement de la panique qui s'était emparée du
malheureux, révélant ainsi toute la crainte que lui inspirait sa sévère épouse.
Elle minauda, tournant autour de lui en faisant claquer ses talons aiguille.
– « Moi, je n’en sais rien, mon cher Edouard... que voulez-vous que
je vous réponde ? Je ne suis pas dans la tête de votre femme. Depuis le temps
qu'elle vous flanque des fessées, vous devez quand même bien savoir ce qu’elle
veut ! Comment lui présenter vos fesses... Qu'est-ce que j'en sais moi ?
– Ben …quand elle m'a prévenu
qu'elle allait m'en mettre une, elle veut me trouver en position quand elle
arrive, mes fesses en évidence, prêtes à être bien claquées...
– Et bien voilà... Vous savez ce qu'il vous reste à faire mon
ami ! »
Brusquement, découvrant l’heure, Bettina, annonça son départ pour
rentrer chez elle. Elle lissa soigneusement sa jupe sur ses grosses fesses pour
bien les mettre en valeur et jeta un clin complice à Robin en enfilant ses
gants.
– « Amusant ton beau-père. Gladys l'a bien dressé... Il est fin
prêt pour sa fessée. On dirait qu'il sent déjà les claques sur ses fesses !
Tu transmettras toutes mes amitiés. À ta mère et mes encouragements à
fesser très fort... Elle n'en a pas besoin, mais ça l'amusera... »
Elle reprit son sac posé sur la
table basse et passa devant Edouard, à genoux tremblant sur sa chaise à fessée.
– « Allons mon ami, tendez vos fesses mieux que ça, si vous voulez
faire plaisir à votre épouse. Elle est comme moi, elle aime les fessées bien
claquantes ! »
Elle sorti dans un grand éclat de rire, en ondulant des hanches pour
mieux tortiller son majestueux fessier. Du pur Bettina !
Edouard, soudain conscient du ridicule de sa situation, tourna la tête par-dessus
son épaule en direction de Robin. Leur contentieux était toujours vivace.
– « On dirait que ça t'amuse de me voir comme ça... Mais tu feras
moins le malin quand ce sera ton tour et que ta mère aura décidé de s'occuper
de tes fesses ! Elle ne te fera pas de cadeaux non plus. Comme tu as
eu la bonne idée de couper les lanières du martinet, toi aussi tu vas en avoir
un neuf mon petit gars !
– En attendant, ce n'est pas moi qui suis en
position de m'en prendre une, répond Robin en jetant un œil par la fenêtre.
Vous feriez mieux de préparer vos fesses, maman ne devrait pas tarder à
rentrer... D'ailleurs la voilà !. »
Il venait juste de l'apercevoir au bout de la rue.
Edouard ne put s'empêcher de pousser un petit
gémissement plaintif. Les coudes reposant sur le dossier bas de la chaise, son
postérieur déculotté était plus haut que sa tête. Il avait creusé les reins,
exhibant le plus possible son plantureux fessier de façon provocante,
l’arrondissant en le faisant ressortir au maximum. Il apparaissait totalement
épanoui dans toute sa ronde ampleur, disposé à recevoir la fessée la plus
sévère que Gladys déciderait de lui administrer. Le petit échange d'amabilités avec Robin
n'était plus d'actualité. Maintenant il semblait quasiment trouver que sa
présence était négligeable. La tête relevée et tournée vers la porte d’entrée,
il la fixait d’un regard soumis et suppliant, tout en présentant sa croupe bien
tendue... C'était ça la soumission à la fessée.
Gladys entra en coup de vent, les bras chargés de sacs aux
marques des boutiques qu'elle avait faites.
Elle fit claquer la porte en la fermant d'un coup de talon aiguille et
annonça tout de suite la couleur.
– « Robin, bouge tes grosses fesses et viens
m'aider ! Dépêche-toi, si tu ne veux pas que je m'en occupe dès que j’aurai
les mains libres ! »
Dès qu'elle haussait le ton dans la maison, tout le monde
serrait les fesses ! Il se précipita vers elle pour la délester de ses
sacs et la saluer d'un bruyant :
– « Bonjour maman ! » Et l'embrassa.
Tout en ôtant ses
gants un à un, elle le fixa avec un petit sourire ironique.
– « Dis-moi mon ami, il paraît que tu t'es encore fait
remarquer avec Gérôme et son Cousin ce matin à l’Olympic ? »
Avant que Robin, le regard interrogatif, ait eu le temps de
répondre elle poursuivit ravi de son petit effet de surprise.
– « Vous vous êtes engueulés devant tout le
monde... En plus, pour une histoire de petite culotte ! Bravo, de mieux en mieux ...C'est du
propre !
– Mais... mais maman... Ce n’est pas vraiment comme ça que
…
– Te fatigue pas à me raconter des blagues... je l'ai
appris, c'est tout ! Et ne cherche pas à savoir par qui. Vous n'êtes pas
les seuls que je connaisse à fréquenter l'Olympic
– Oui... maman, mais laisse-moi t'expliquer...
– Rien du tout ! On va régler ça plus tard mon
chéri... J'aurai une petite conversation avec tes fesses ! En attendant
cet après-midi ; opération martinet ! Elle se tourna vers Edouard
transis de trouille sur sa chaise. Tes fesses sont prêtes mon ami ? »
Edouard accentuant
sa position inconfortable, lui adressa pour toute réponse un timide. :
– « Bon...
bonjour, ma Chérie ! “
Elle le regarda, paraissant juger la position et apprécier
le volume du fessier à sa disposition, mais elle ne lui répondit pas.
Elle s'assit à table et demanda à Robin de lui servir un
verre de vin blanc qu'elle commença à siroter à petite gorgée. Elle aimait se
sentir maîtresse des situations en rendant sa présence redoutée par la crainte
de la fessée. Elle recula sa chaise de
la table pour croiser haut les jambes, faisant crisser à plaisir ses bas nylon
sur ses fortes cuisses.
– « Ta sœur n'est pas là ? Demanda-t-elle en croquant distraitement dans
un petit salé à apéritif que Robin avait placé devant elle. La voix
légèrement tremblante, il répondit en restant debout devant elle. Il n'avait
pas reçu l'autorisation de s’asseoir.
– Non maman, elle est partie pour le week-end chez une
copine.
– Dommage pour elle, elle va rater une belle séance de
fessées ! »
Elle afficha un grand sourire, lourd de sous-entendu. Elle
hocha la tête sans rien dire de plus. Tout en buvant son verre tranquillement,
à petits coups, elle jetait de temps en temps un œil sur son puni qui
s'appliquait à garder sagement sa position sans rien dire, son fessier
présenté, développé au maximum. Il attendait sa fessée avec anxiété. Elle
l'interpella d'une voix enjouée comme s'il s'agissait de la perspective d’un
moment agréable
« Je vois que tu sais ce qui attend tes fesses
mon ami !
– Oui, ma chérie... je sais …
– Alors dis le moi que j'ai plaisir à l'entendre.
– Tu vas me flanquer une fessée ...Une bonne fessée...
– Une fessée comment, tu dis ?... Je n'ai pas bien entendu.
– Heu... Une très bonne fessée, chérie … Une fessée bien
sévère sur mon gros derrière d’époux désobéissant ...une fessée bien méritée,
chérie ...Euh mais pas trop fort quand même s'il te plaît.
– Ça mon cher c'est à moi de décider... »
La tête baissée mais les yeux levés vers elle, le regard
soumis, les mains agrippées au dossier de sa chaise, l’air repentant et docile,
Edouard est prêt à reconnaître n'importe quoi pour abonder dans le sens de son
épouse et retarder l'échéance de sa fessée.
« La fessée de ce matin t’a mis un peu de plomb dans
la tête ?
L'autre servile.
-- Oui, ma chérie, tu as bien fait de me la donner... Je
les mérite bien les fessées…les bonnes fessées sur mes fesses déculottées...
– Et comme chacune de tes fessées est justifiée, tu sais pourquoi
je vais te mettre celle-là ?
– Oui... Gladys... oui..., c'est... c'est pour
préparer mes fesses au nouveau martinet sur mesure.
– Voilà ! C'est bien... tu as tout compris mon ami !
Histoire de prolonger l'angoisse de l'attente de sa fessée
elle décida cette fois de la lui flanquer après le déjeuner.
- « Nous allons passer à table, mais soit
tranquille... et je m'occuperai de tes fesses juste après ! »
Gladys et Edouard se faisant face. Robin, assis en bout de
table, remarqua vite qu’alors que sa mère et lui mangeaient de bon appétit, il
n’en allait pas de même d'Edouard qui picorait lentement quelques bouchées. Il
sautait aux yeux qu’il n’avait plus aucune assurance et avait visiblement
renoncé à faire bonne figure, comme il l’avait fait pour répondre à son épouse.
Maintenant, il s’abandonnait à la crainte qui l’avait envahie de l'imminence de
sa fessée. Robin le voyait, fixer son regard sur la main de sa mère qui
n'allait pas tarder à claquer sur ses fesses et sur le martinet placé sur la
table à côté d'elle. Il se tortillait sur sa chaise comme s'il sentait déjà la
cuisson sur ses fesses…Il tripotait un peu de mie de pain
machinalement...respirait plus vite qu’à l’accoutumée sans pouvoir s’empêcher
de renifler.
Robin se demanda s'il n’allait pas se mettre à pleurer tout
de suite, à table, avant même que sa fessée commence …Il n’était plus qu’un
puni peureux de se faire corriger sévèrement sur le derrière, comme il
savait que cela était inévitable...
Le repas se passa rapidement, quasiment en silence. Certes
Robin et sa mère discutaient un peu, comme si de rien était, mais Edouard, un
peu sonnée par la perspective de la fessée qui l'attendait, et pire, de cette
virée chez le cordonnier pour l'achat de son martinet sur mesure, restait
pratiquement pensif et silencieux …De temps en temps, sans doute
inconsciemment, il se trémoussait sur sa chaise anticipant les vigoureuses
claquées qui attendaient son généreux postérieur.
Ils avaient à peine fini de manger, Edouard
préparait ses fesses pour sa déculottée, quand Robin aperçu Clarisse et son
mari Douglas qui arrivaient. Ils n'avaient pas entendu leur voiture, car en
raison de travaux de voirie, Clarisse avait dû se garer un peu plus loin de la maison.
Elle avançait d’un pas rapide et décidé, tenant fermement Douglas par
l'oreille, qui peinait à suivre son allure, en trottinant, le slip en travers
des cuisses, tenant à deux mains son pantalon baissé. Elle aimait faire savoir
qu'elle corrigeait son mari, dressé à la fessée, et ne se gênait pas pour
l'exhiber en public, les fesses à l'air, écarlates et cuisantes après une
sévère déculottée.
C’est Robin qui leur ouvrit la porte, un peu
vexé que Clarisse ne réponde que distraitement à son bonjour et que Douglas
semble à peine s’apercevoir de sa présence, plus préoccupé par l'état de ses
fesses rouges de sa récente fessée.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 21
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
une magistrale déculottée dans une superbe position!
RépondreSupprimerserge.