LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
LA FESSEE DOUBLE EFFET.
Quant à Gilbert, le mari coupable, il restait encore sous le feu
purificateur des fessées de son épouse.
Régine qui, pour des raisons d'emploi du temps n'avait pu se joindre à
ses amies, était loin de lui avoir pardonné son écart de comportement. Elle
comptait bien, dans un proche avenir, lui faire goûter à lui aussi, aux joies
d'un martinet fabriqué à la mesure de son gros fessier. En attendant, ceux de Douglas et Edouard allaient en expérimenter la nouveauté
et l'efficacité.
L'arrivée
de Clarisse et son mari, ne fait qu'alourdir un peu plus une atmosphère déjà
bien chargée. Robin se fait discret. Ça sent la fessée à pleine main et, pour
vivre régulièrement ces moments de haute tension, il sait que, selon l'humeur
de sa mère, tout peut dégénérer rapidement et se retourner contre lui au
moindre faux pas. Déjà en délicatesse avec son histoire de lanières de martinet
coupées, il a préféré se mettre un peu à l'écart, sur une chaise près de la
porte de la cuisine. De là il peut, tout à loisir, profiter du spectacle sans
trop se faire remarquer. Douglas et Edouard, plantés au garde à vous au milieu
du salon, ont parfaitement compris que ce n'est pas le moment de faire les
malins et attendent docilement les consignes de leur épouse.
Clarisse
s'est débarrassé de sa veste de tailleur pour se mettre à l'aise.
– « On
a bien fait de décider de les emmener ensemble... On va déjà leur préparer les
fesses ici avant de partir !
– C'est
bien ce qui est prévu, ne perdons pas de temps ! …
Répond
Gladys. En
approchant la
chaise à fessée. Clarisse commence à retrousser la manche de son chemisier pour
bien dégager la main qui va fesser. Elle interpelle immédiatement son mari d'un
ton sec.
– « Toi
! Baisse ton pantalon... tout de suite ! »
Gladys enchaîne.
– « Edouard
tu te déculottes... toi aussi ! »
Les
deux hommes obtempèrent prestement sans broncher... Edouard, a déjà dégrafé sa
ceinture. Gladys lui fait porter des pantalons si moulant pour bien mettre ses
grosses fesses en valeur, qu’il est obligé de se tortiller comme un
beau diable pour le faire descendre. Douglas confronté aux mêmes difficultés
s'exécute de la même façon. Pas assez vite au goût des deux épouses, qui,
prétextant qu'ils mettent de la mauvaise volonté à se déculotter décident de
prendre les choses en main. Assise l'une à côté de l'autre elles les font mettre, Edouard, à genoux fesses en
l'air entre les cuisses de sa femme, Douglas
à plat ventre sur les genoux de la sienne.
– « C'est tout de même malheureux, si on veut
être bien servie, il faut tout faire soi-même ! »
Soupire Gladys, faussement dépitée, en passant
ses doigts sous l'élastique du slip de son mari. Les élastiques des slips à
fessée sont extrêmement souples pour rendre les déculottages plus agréables et
en faciliter l'exécution. Ce qu'elle fait en un habile tour de main. Le slip
claque sèchement juste en dessous de ses fesses qui, soudain libérées de l'étreinte du nylon, semblent
s'épanouir et prendre encore du volume. Elles sont visiblement prêtes pour la
fessée.
Clarisse
procède de la même façon, et accompagne une vigoureuse descente de slip d'un
commentaire enjoué, simulant l'annonce d'une bonne nouvelle.
– Nos
petits chéris ont déjà mérité une récompense. Ils auront droit à une fessée supplémentaire pour avoir
manifesté aussi peu d'enthousiasme à préparer leur fesse !
Ils en
ont de la chance, d'avoir des épouses aussi généreuses et
attentionnées ! »
Gladys ajoute sur le même ton du sarcasme.
– « On a eu beau chercher, on a trouvé rien de mieux qu’une bonne fessée déculottée pour bien leur
chauffer les fesses avant d'aller passer commande du martinet chez le
cordonnier ! De toutes manières, la fessée, la vraie, c'est toujours
déculotté... pantalon aux chevilles, le slip aux cuisses, et en avant la
musique ! »
-
Robin
avait compris depuis longtemps les raisons des exigences de ces femmes sur la
manière d'infliger les corrections. Être fessé “déculotté” le slip en travers
des cuisses, était en quelque sorte plus vexant que d’être simplement
'' cul nu''. Après tout on pouvait
avoir les fesses à l'air pour de nombreuses raisons et cela n’impliquait pas
forcément de présenter son derrière pour subir une punition. En revanche le
fait d’être “déculotté” en vue de recevoir une fessée, en rendait l'exécution
plus humiliante, plus punitive.
Edouard,
sans rien dire, se dirigea à nouveau machinalement vers la “chaise à fessée “
Il n’y avait évidemment que la place pour un puni et non pour deux. Douglas, ne
sachant pas où s’installer, demanda docilement à sa femme, qui avait entamé
une discussion avec Gladys sur le trajet à prendre pour aller chez le
cordonnier.
– « Ça
y est chérie... je suis déculotté …je dois me mettre où, pour que mes
fesses soient bien en vue ? »
On
aurait dit un enfant s'adressant à sa mère avant de recevoir sa punition.
Gladys trancha d'autorité.
– « Allez tous les deux vous mettre à genoux sur
le canapé, et se tournant vers son fils.
Robin, rends toi utile et vas nous ouvrir en grand la porte fenêtre qui
donne sur le jardin …que
les fessées s’entendent bien et que les voisins en profitent. »
Et Clarisse ajouta avec un petit rire moqueur.
– « De toutes façons, dans peu de temps, ils
ne seront pas mécontents qu’un peu d’air leur rafraîchisse les fesses ! »
Robin
ne se fit pas prier, et suivit Douglas et son beau-père, qui se dirigeaient, les fesses à l'air
en se dandinant comme des pingouins, vers le canapé près de la porte-fenêtre.
Cela lui convenait d’autant plus que comme cela, Il avait
du coup, une bonne raison de bien se placer dans cette pièce et donc d’être aux
premières loges pour assister à la fessée de ces Messieurs.
Soumis,
sans condition, à l'autorité de leur épouse, ils s’installèrent, tous les deux agenouillés, les coudes posés sur le dossier du
canapé, le fessier indécemment exposé du mieux qu’ils pouvaient. Robin,
savourant sans vergogne une provisoire impunité, prit tout son temps pour
admirer le spectacle des deux postérieurs plantureux, parfaitement sphériques,
massifs, proéminents, bien rebondis. Les deux époux présentaient de belles
fesses bien lisses, assouplies par les corrections à répétition de la semaine.
D'un rouge un peu plus vif pour celles de Douglas qui avait dû recevoir sa
fessée matinale plus récemment, ou de manière plus claquante, que celle d’Edouard dont le fessier paraissait un tout petit peu
moins cuit. De plus, de petites marques
rouges plus foncées parsemaient le bas et les côtés des fesses de Douglas. Robin en déduit que Clarisse n’avait pas eu
le même geste impulsif que sa mère pour se débarrasser du martinet à remplacer.
A moins que ces marques résultent de l’utilisation d’une ceinture. Il se souvint avoir entendu Douglas s’en
plaindre une fois, au cours d'une conversation avec Edouard.
En tout cas le spectacle des deux magnifiques
derrières lui paraissait bien provocant et justifiait, dans sa tête, une fessée
aussi magistrale que possible. Il ne pouvait, à son avis, en être autrement sûr de telles grosses fesses si bien
exhibées, si agréables à contempler et, sans doute, à claquer ! Même si l'idée que les siennes pourrait très
bien se trouver à leur place lui venait à l'esprit de temps en temps, pour le moment, il était un spectateur
comblé et comptait bien en profiter !!
Edouard
et Douglas n’en menaient pas large ni l’un ni l’autre, et offraient
involontairement au jeune homme, un spectacle qui l’amusait beaucoup. Les voir
tous les deux, perdre toute assurance et toute fierté, dans la crainte qu’ils
étaient sur le point d’en recevoir ''une bonne'', le réjouissait bien ! Petite
revanche, notamment sur son beau-père qui ne manquait jamais l'occasion de le
tourner en ridicule lorsque sa mère le déculottait pour lui passer les fesses
au Dolic
avant de lui flanquer sa fessée.
Les
deux épouses prenaient tout leur temps. Elles avaient entrepris une
discussion sur la manière dont la femme du cordonnier procédait pour la prise
de mesure des postérieurs destinés aux martinets que son mari fabriquait. Tout
en papotant à voix bien haute pour faire entendre le sujet de leur conversation, elles jetaient des petits coups d’œil attentifs à leurs maris et à leur
derrière, qui attendaient fébrilement le début de leur fessée,
A
l'inverse, les deux hommes se faisaient part entre eux, à voix basse, de leur
crainte grandissante de l'inévitable correction. Mais au lieu de tenter de se
rassurer mutuellement, ils avaient plutôt tendance à s’effrayer l’un et l’autre encore un peu plus, se lamentant comme
deux gamins redoutant la sévérité de leur mère respective.
–
« Oh là là ! pleurniche Edouard, en se
dandinant sur le dossier du fauteuil, elles sont furieuses ! Quelle fessée
on va encore recevoir ! Ça va drôlement claquer sur nos fesses !
Douglas,
de plus en plus angoissé, se tortille aussi pétri d'appréhension.
– «
Sûr... Ce n'est pas le moment de les contrarier... il vaut mieux faire ce
qu'elles nous demandent sans discuter... Dis-moi ? Mon derrière, il est bien exposé ?
Bien en vue ?
– Ah pour ça oui ! Qu’est-ce que tu vas prendre ! Mais tu la mérites
ta fessée, reconnais-le... C'est quand même bien toi qui as poussé Gilbert à fricoter avec Bettina,
pour le faire chanter.
– Ouais
mais bon, t'en a bien profité tout de même !... Et... et moi ? On les voit bien mes fesses aussi ? Elles sont en
bonne position ?
– Et
comment ! On le voit bien ton gros cul ...et tu vas dérouiller aussi,
parce que tu en mérites autant que moi, non ?
-- Sans
compter les fessées qu'on va ramasser avec les nouveaux martinets... chez le
cordonnier... et à la maison ! Parce que sûr qu'elles vont vouloir les
essayer tout de suite en rentrant !
– Rabah...
Les
fessasses !!!
…Qu’est-ce qu’on va recevoir ! ”
-
Enfin,
ces Dames ayant mis un terme à leur conversation, le moment fatidique
arriva
Après
s’être rapidement concertées, elles étaient convenues qu’elles seraient plus à
l’aise pour administrer à leurs époux la grosse fessée bien sévère prévue, en
étant assises sur de bonnes chaises placées l’une en face de l’autre. Elles risquaient de manquer de place et de se gêner dans
leur mouvement en fessant côte à côte dans le canapé. Changement de position
donc. Elles avaient chacune pris une chaise qu’elles avaient judicieusement
placée juste devant la porte-fenêtre grande ouverte. Edouard et Douglas saisis tous les deux par une oreille, furent donc positionnés, à plat ventre sur les genoux de leur
épouse, de façon que leurs jambes et leur fesses déculottées soient
tournées vers l'extérieur, alors que le haut de leur corps était à l’intérieur.
La
manière dont étaient orientées les chaises faisait, de plus, que le visage de
Douglas était à proximité du postérieur d'Edouard et le fessier de celui-ci à quelques centimètres également de celui
de son complice. Elles appellent ça la fessée double effet ! Chacun
sentant sa propre fessée claquer sur ses fesses et simultanément recevant en
plein visage, le souffle brûlant des claques tombant sur les fesses de
son voisin.
Malgré le choix
des positions déjà bien contraignantes, les deux épouses, jouent les
prolongations sur les préparatifs en multipliant les consignes.
Gladys,
d'un ton péremptoire pose de nouvelles exigences avant de commencer.
– « Maintenant ; chacun va garder les yeux fixés sur le fessier
de l’autre, pendant toute la durée de la fessée, sans jamais détourner le
regard sous aucun prétexte ! »
Et
Clarisse, comme pour compliquer les règles d'une touche d'humiliation
supplémentaire.
– « Avec
obligation à chacun, de commenter en détail l’effet de la fessée sur le
derrière de son partenaire ! Amusant non ? »
Edouard comme Douglas en gémissent de honte.
Ils étaient parfaitement conscients, qu'à la douleur prévisible d’une fessée,
attendue comme claquante à souhait, s’ajoutait donc l’humiliation de savoir que
les réactions de leur fessier déculotté bien en vue de tous, seraient largement
commentées sans aucune complaisance.
Ils
n'eurent pas vraiment loisir de se lamenter davantage et furent rapidement mis
en demeure de plier les genoux et de lever les pieds du sol afin que l’arrondi
de leur postérieur soit encore plus provocant et réceptif à la fessée. Les ordres pour imposer une position idéale
ne manquèrent pas de fuser pour l’un et l’autre.
– « Aller Douglas... Tends ton gros derrière
mieux que cela ! Ordonne Clarisse d'un ton sans réplique. Ne serre pas les
fesses et garde-les-moi bien souples ! »
Gladys
n'est pas en reste et manœuvre son mari avec autorité.
– « Etale
moi ces belles grosses fesses que j’en ai bien toute la surface sous la main !”
Et creuse mieux les reins qu'elles soient mieux exposées !... Puis comme il ne
s'exécute pas assez vite. “ – « “ Ecarte les fesses ! Edouard ! Pieds en l’air !... Je te
l’ai déjà dit ! Tu veux une fessée supplémentaire tout de suite pour
commencer ? »
Les deux hommes, bombardés de
consignes, font ce qu'ils peuvent pour répondre aux exigences de leur épouse,
qui les regarde amusées de les voir se tortiller sur leur cuisse à la recherche
de la meilleure présentation de leurs fesses.
Le
premier réflexe de Douglas, mais surtout d’Edouard, avait été de jeter un regard circulaire anxieux vers la fenêtre ouverte. Il se doutait que
Bettina ne manquerait pas d’apparaître bientôt pour profiter, du merveilleux
spectacle de cette double fessée sur de beaux derrières volumineux,
soigneusement positionnés, pour rendre la correction la plus efficace possible.
Sûr qu'elle allait se régaler, sans scrupule, aux dépens des deux punis, peu
soucieux d’offrir ce plaisir à la voisine.
Cependant
dès que les fessées commencèrent à claquer, sachant que ce n’était vraiment pas
le moment de se faire accuser de désobéissance, chacun essaya de se concentrer sur le fessier rebondissant qu’ils avaient pratiquement sous le nez.
Dans
l'euphorie de son sentiment de réussite dans la gestion du martinet saboté, à
l'origine de cette double fessée avant le passage chez le cordonnier, Robin se
sentait soudain détenteur d'un pouvoir de sanction inhabituel. C'était la
conséquence de son idée. Non seulement, pour une fois, ce n'était pas lui qui
se faisait punir mais, belle revanche, il était l’instigateur de la correction que recevait Douglas et son beau-père.
A ce moment précis il était loin de penser à un éventuel retour de bâton
… ou plutôt de martinet.
D'où il était placé, près du canapé, la vue
sur la danse des fessiers en pleine montée vers l’écarlate, se trouvait en partie masquée par les
deux femmes en action. Il entreprit alors de manœuvrer
discrètement.
Sa
mère désireuse de surveiller son travail en attendant l'arrivée de Clarisse,
lui avait ordonné de s'installer sur la table de salle à manger plutôt que de
rester dans sa chambre. Il y avait laissé ses documents de recherche et, bien
évidemment, en tant qu’’'élève
consciencieux'‘, il
avait à cœur
de finir de rédiger l'exposé qu'il devait rendre pour le lundi matin à Saint
Joseph. L’ordre d’aller ouvrir, en grand, la porte –fenêtre lui avait sauvé la
mise. Il repéra qu’en changeant de coté de la table, grâce au reflet des vitres, il pouvait avoir une vue discrète mais
très satisfaisante du postérieur déculotté de ces Messieurs.
La
porte fenêtre, grande ouverte, laissait passer les rayons d’un soleil, ce jour-là éclatant, qui miraculeusement inondait
d’une luminosité, bien sûr insoutenable pour un élève studieux, l’endroit de la
table où étaient disposées ses affaires. Pas question, évidemment,
de refermer
la porte-fenêtre. Avec un air très
soucieux, les yeux mi-clos en raison de cette satanée luminosité qui
l’éblouissait, il se mit donc à déplacer discrètement ses documents afin de trouver la meilleure place pour
...”travailler”. Il pensa que Rodolphe le fourbe, dans le genre, n'aurait pas
été plus malin. Après plusieurs essais,
il trouva rapidement le meilleur endroit …avec vue “imprenable “ sur les deux
paires fesses en attente de la déculottée.
C'est à
ce moment que d’un commun accord, avec une parfaite synchronisation, sa mère et
Clarisse firent tomber une première volée de claques retentissantes sur les
magnifiques fessiers déculottés que leurs époux leur tendaient avec soumission.
Les premiers cris de surprise et de douleur emplirent vite la pièce et se
répandirent dans la maison, jusque dehors, tandis que les deux derrières
corrigés entamaient une danse frénétique.
Dans un
premier temps, Edouard comme Douglas, s’évertuèrent à faire bonne figure, ou
plutôt bon derrière, en s’efforçant de rester aussi stoïques que possible sous la
dégelée de claques qui leur tombait sur les fesses. Mais rapidement, après les
plaintes et gémissements provoqués par les impacts sur leurs belles fesses
rebondies déjà bien sensibilisées, les deux postérieurs charnus à souhait
s’étaient mis à gigoter désespérément dans tous les sens, à se rétracter sous
les claques et à
se regonfler quand la main se relevait.
L'un et l'autre, fixant, les yeux écarquillés
d'angoisse, le fessier bondissant de son compagnon de fessée cherchait à ne pas
éclater en sanglots. Obéissant aux
humiliantes consignes de leur épouse respective, chacun veille à maintenir son
derrière dans la meilleure position, bien exhibé, bien arrondi, déployé au maximum.
Comme dit souvent Clarisse avec l’humour grinçant qui la caractérise ;
– « L'essentiel
étant de participer, il est important qu'ils prennent l'habitude de bien
présenter leurs fesses pour favoriser l'administration de leurs propres
fessées ! »
Douglas,
le visage dans la chaleur du cuisant fessier de son voisin, lui lance, entre
deux gémissements, sur un ton où perçait à la fois la commisération et l’ironie
maligne.
– « Ouai IIIe !! Ah là.... Tu la reçois bien ta bonne fessée, sur ton
gros cul déculotté, hein Edouard ? IIIe -- Ouche ! Ouche ! Tu la prends bien ta... ta fessée !... Harrar !!!” ! »
Edouard
piqué au vif réplique.
– « Et
toi Douglas ! – Aiea
– Tu crois que je ne les vois pas danser tes grosses fesses toutes rouges --- Aiea ! Aiea ! --- Tu la mérites bien va … ta bonne fessée
! --- Harrar--- Ta fessée déculotté ! – Aiea !
– Odoo, pour ça... Moins que toi ! -- ouille-- ou-- ouille !
Les
deux femmes amusées d'entendre leurs deux punis trouver le moyen de se disputer
pendant
leur fessée, continuent à leur claquer vigoureusement le derrière en échangeant un clin d'œil rigolard. Clarisse intervient la
première en s'appliquant à bien ajuster les claquées d'une fesse sur l'autre.
– « Alors comme ça Douglas, tu trouves que tu
mérites moins la fessée que ton copain ?
– Non
non ! je ne sais pas ! je ne sais pas ! …mais …moins fort ! Rabah... moins fort s'il te plaît !
– Ah bon, c’est toi qui décides maintenant ?
– Non non chérie …c’est toi, c’est toi ! --- Harrar ! aïe ! aïe !
Gladys
s'y met aussi rendant le dialogue carrément désopilant.
--« Tu
as entendu Edouard ? Ton ami dit qu’il faut que sa fessée soit moins forte
que la tienne ...alors, il a raison, pour toi... c’est plus fort ?
Non ? »
Sans
attendre, évidemment, de réponse, elle joint le geste à la parole et pousse une vigoureuse accélération en augmentant l'intensité
des claques. Edouard se met à trépigner en hurlant.
– «
Aiea
! aïe
! Ahhrrrrr ! aïeee ! noooonnn !
– Comment
ça non ??
– Siiiiiii !
– Siii quoi ?
– Siii... Ouiiii... tu as raison chérie... Plus fort
les fessées ...aaaaaaïeee !!! Sur nos grosses fesses déculottées Aïiiie -- de maris désobéissants...
– « Et
Douglas, qu'est-ce
qu'il en dit ? S'exclame joyeusement Clarisse en accélérant à son tour, la
cadence de la fessée qui devient de plus en plus cuisante
Le
malheureux réagit aussitôt en braillant.
– «
Oarrrh non ! Pitié, nooooon, plus ! plus ! plus la
fessée. !
Gladys, hilare fait semblant de ne pas avoir compris
et attise encore le feu sur les fesses de son mari.
– « Edouard mon chéri, tu entends ce que dit
Douglas ? Il dit, plus fort la fessée !
Ouiiiiiii !!
Noooonnn , --- aïe ,aïe -- oh ouiiii …plus fort les fessées .... on les mérite
...
ahrrrrr
non !... Non... pas plus fort ! »
Le
derrière en surchauffe sous les volées de claques, les oreilles assourdies à quelques
centimètres des fesses retentissantes du voisin, les malheureux ne savaient plus ce qu’ils disent, ne contrôlent
plus ni leurs réponses ni les soubresauts de leurs fesses qui sont redevenues
plus écarlates que jamais. Leur position
sur les genoux de leur épouse, derrière en l’air, bombé, pieds battant le
rythme des claques, font que leurs volumineuses croupes toutes rondes, d’un
rouge vif flamboyant, s’encadrent dans la porte fenêtre comme s’il s’agissait
d’un tableau destiné à les mettre en évidence.
Cela
fait déjà un moment qu'ils ont cessé de résister. Edouard, le premier, a éclaté
en longs sanglots bruyants, immédiatement suivi par Douglas qui semblait attendre que son ami cède, pour laisser tomber à
son tour, tout semblant de fierté.
On
n'entend plus désormais que les pleurs sonores entrecoupés parfois de bribes de
mots hachés qu’un des deux laisse échapper, durement secoué par le rythme
infernal de sa fessée. ''pardon'...'‘ serai obéissant'''... ferai plus jamais... la
fessée...! »
Fasciné
par le spectacle, Robin n’a pas quitté la scène des yeux. Par curiosité, il
regarde à l’extérieur et, sans surprise, aperçoit Bettina, la mine réjouie, les
coudes carrément appuyés sur la clôture de son jardin. Comme d'habitude, très à
l'aise et décomplexée, elle ne cache pas son plaisir d’assister à la double
fessée. En revanche, il est étonné de voir Walter, son mari qu’on ne voit pratiquement jamais, surgir de
leur maison et se diriger vers elle avec, à la main, ce qui lui semble bien
être un martinet. Il en a confirmation, d’abord par ses gestes et le changement
d’attitude de Bettina, quand il se place derrière elle et, semble-t -il, lui relève sa jupe pour lui cingler les fesses.
Il n’a plus aucun doute quand il voit la plantureuse femme rentrer chez elle en
trébuchant sur ses talons aiguille, suivie par son mari le martinet à la main.
Elle tient à deux mains sa courte jupe retroussée par derrière jusqu’au-dessus de ses jarretelles, balançant sa croupe majestueuse sanglée dans
un slip de nylon presque entièrement rentré dans la raie des fesses. Il se dit
que sa punition ne devait probablement pas être terminée et que si, comme elle
s'en vantait, elle avait fini par prendre goût à la fessée, avec une telle paire de
fesses, elle allait être servie.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 22
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerC'est "Règlements de comptes à Spank City" !!!
Quelle déculottée !! Robin s'en tire à bon compte cette fois. Mais pour combien de temps ?
La visite chez le cordonnier : voilà un lieu de rencontre pour les mères-poules du quartier. Je les imagine bien inspectant les martinets et les essayant sous l'œil malicieux de Mam'e Mocassin, la cordonnière. (ça ferait une idée de saynète...)
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEt oui, Robin passe pour le moment à travers les gouttes... les lanières plutôt ! Et pourtant il est est loin d'être innocent le bougre! Mais quand ça va tomber...
La visite chez Mam'e Mocassin va certainement laisser des traces sur queleques derrières désobéissants! Et Patricia, occupée ailleurs ces derniers temps, devrait fait un retour remarqué sur le devant de la scène !
Ma pov'dame il s'en passe des choses à Spank City!
Amicalement
Ramina