Après la messe, Tatie s’attarde à discuter avec
des connaissances, ses trois petits garçons à côté d’elle.
Benoit remarque des jeunes gens, de 12 ans à
son âge, en pantalon, qui le regardent
avec insistance, l’un d’eux faisant mine de retrousser une jambe de son
pantalon. Certains connaissent les cousins qui sont toujours en culottes courtes,
mais ils se demandent qui est ce grand garçon avec eux et quel âge il peut
avoir. S’ils savaient…. Et peut-être le sauront-ils bientôt.
Tatie est fière de présenter ses
« enfants » à des connaissances
«- Et ce jeune homme, est-ce votre neveu ?
Je croyais qu’il s’agissait d’un jeune homme passant le bac ? Oh c’est lui ?
Quel âge a-t-il ? 18 ans ? Comme il est mignon en culotte courte, ça lui va
très bien. »
Ils croisent également la jeune vendeuse due la
veille qui vient saluer Tatie et ne peut s’empêcher de prendre Benoit à part.
« -Tu as mis ta tenue du dimanche ? Un
vrai petit garçon sage. Encore mal aux fesses ? »
Elle éclate de rire…et elle n’est même pas au
courant de la fessée au martinet de la veille…
De retour à la maison, séance pipi pour tout le
monde.
« - Tatie, je n’ai pas besoin
-
Benoit, tu viens avec moi. Ne discute pas
- Mais Tatie, ça peut attendre
- Dépêche-toi » phrase accompagnée d’une
claque sur les fesses.
Une fois aux WC, toujours la même humiliation
de devoir se laisser faire, de voir Tatie le déboutonner, tenir sa verge, la
maintenir pendant qu’il fait pipi, l’essayer, le reboutonner.
Et en sortant des WC, Tatie l’oblige à se
courber et lui inflige une bonne dizaine de claques sur les cuisses.
« ça t’apprendra à prétendre que tu n’as
pas envie alors que tu viens de faire un gros pipi. Si je n’avais pas insisté,
tu aurais pu faire dans ta culotte. »
Elle le
prend par l’oreille et l’emmène au coin.
« Mains sur la tête et ne bouges
plus »
Les deux cousins partent en silence dans la
salle de jeux et Benoit reste au coin jusqu’à l’heure du déjeuner.
A midi Tatie appelle les enfants et leur lave
les mains à la cuisine, puis ils s’installent à table.
Serviette autour du coup bien sûr et toujours
ces couverts pour enfants.
Et à la fin du repas…
« - Allez jouer et soyez sages. Nous irons
en promenade tout à l’heure »
Les enfants vont dans la salle de jeux et
Benoit se surprend à jouer avec plaisir aux petits chevaux avec ses cousins.
Quand il réalise qu’il arrive à s’amuser de ces jeux d’enfant, il rougit tout
seul. Moins de 48 heures ici et il réagit déjà comme un gamin !
« - Les enfants, nous allons sortir. Venez
aux toilettes. »
Cette fois, vu ce qui s’est passé plus tôt avec
Benoit, personne ne proteste et chacun à son tour suit maman/Tatie aux WC.
Dans l’entrée, comme à chaque fois qu’ils
quittent la maison, c’est Maman qui chausse les enfants et noue les lacets.
Benoit se laisse faire. Il n’a pas envie de prendre une nouvelle paire de
claques.
La petite famille sort donc en promenade,
d’abord en centre-ville, puis un peu plus loin jusqu’à une aire de jeux pour
enfants: Toboggan, balançoires, et autres activités pour petits jusqu’à disons
12 ans…
« - Allez jouer, mes chéris »
Les cousins ont l’habitude et passent du
toboggan aux balançoires, sous le regard étonné de certaines personnes
présentes. Ils sont déjà grands, non ?
Benoit reste à côté de sa tante, mais celle-ci
lui donne une tape sur les fesses et l’envoie rejoindre les cousins.
« Tatie, je suis trop grand, je ne veux
pas jouer avec eux
- Benoit, tu rejoins tes cousins immédiatement
ou c’est la fessée devant tout le monde, compris ?
- Mais Tatie «
Une claque sur chaque cuisse et craignant
d’être déculotté en public, Benoit va « s’amuser » avec le toboggan
et les balançoires, en boudant évidemment. A 18 ans…
Et les personnes présentes s’amusent cette fois
de voir ce grand garçon qui a déjà deux marques sur les cuisses.
« - Les enfants, venez ici » crie
Tatie
Et ils obéissent
tous les trois sans hésiter, les cousins pour éviter d’être punis et Benoit
soulagé de sortir de ce parc pour enfants.
Tatie époussette les genoux des trois garçons
et interpelle Benoit :
« Viens ici »
Et elle passe la main à l’entrejambe de la
culotte courte.
« Pas besoin de pipi, Benoit ? Michel,
Bertrand ? »
Les garçons disent non de la tête et Benoit
devient tout rouge. Vérifier s’il n’a pas fait dans sa culotte, à son âge, en
public ?
Il a envie de pleurer.
« Ce soir, vous n’aurez pas Bonne nuit
les petits. C’est le premier jour d’école demain. Vous vous couchez plus tôt.
- Maman, non, pas encore plus tôt » se
plaint Bertrand
- Allez, on rentre à la maison, ne discutez
pas »
A la maison, c’est comme toujours passage aux
toilettes avec Tatie. Et les enfants peuvent aller jouer.
A 18h15, avant l’heure habituelle, Tatie les
appelle pour le bain.
Rituel immuable et maintenant compris par
Benoit.
C’est d’ailleurs lui qui est déshabillé en
premier; il se laisse faire évidemment et est emmené s’asseoir sur la cuvette
des WC;
Pendant ce temps-là, Tatie déshabille les deux
garçons. Benoit doit se laisser essuyer et est emmené dans la salle de bains et
mis dans la baignoire.
Ses cousins le rejoignent rapidement et de
nouveau Tatie savonne ses trois enfants.
« Ne bougez pas… restez tranquilles…
Debout que je vous lave les fesses… Mains sur la tête… Assis maintenant que je
vous lave les jambes… »
Et puis Tatie semble se parler à elle-même tout
en lavant les garçons
« -Il faudra faire quelque chose pour
Benoit, et aussi pour Bertrand bientôt »
Benoit a entendu, mais n’a rien compris et ne
veut pas être réprimandé en posant des questions….
A la suite de quoi ils sont séchés et emmenés
dans la chambre pour enfiler leurs pyjamas. Benoit ne peut s’empêcher de rougir
un peu en se laissant mettre son pyjama de gosse. Puis les trois
« petits » filent à la cuisine où ils restent debout devant la table
en attendant Tatie.
« - Asseyez-vous, mes chéris » et
Tatie leur noue leur serviette. Benoit se reprend à rougir un peu en retrouvant
ses couverts de petit enfant.
Bien entendu Tatie est là pour leur couper les
aliments, le couteau en plastique ne servant pas à grand-chose.
« - Mangez avec la cuillère, ce sera plus
facile pour vous »
Et puis Michel reverse son verre d’eau. Il est
immédiatement levé de table, installé, déjà, pleurnichant, sur les genoux de
maman qui écarte sa culotte de pyjama et lui donne une bonne fessée.
Michel finit le repas au coin en pleurant.
A la fin du repas, Tatie annonce
« -Les garçons dans la chambre, c’est
l’heure d’aller au lit »
L’horloge de la cuisine indique 7h15
Bertrand objecte « maman, il est trop tôt
- Pas de discussion , il y a école demain. Vite
dans la chambre sinon une fessée »
Les enfants vont dans leur chambre. Même
cérémonial, humiliant: Installés tour à tour sur la cuvette des WC, essuyés,
couchés, bordés.
« - Tatie, moi je n’ai pas école demain et
je suis plus grand. C’est trop tôt.
- Benoit, ne discutes pas. Tu sais que je ne
veux pas faire de différence entre vous trois. Vous êtes des enfants et vous
obéissez. Encore un mot et c’est la fessée ».
Et voilà trois garçons de 12, 14 et 18 ans
couchés avant 19h30 et se retournant dans leur lit en cherchant le sommeil.
Le
lendemain matin, réveil, déshabillage pour Michel et Bertrand.
« - Benoit, tu restes en pyjama. Je ferai
ta toilette plus tard. Tu vas aux WC cependant
- Oui Tatie. Pourquoi Tatie?
- Tes cousins vont à l’école et je m’occuperai
de toi après. C’est du travail de s’occuper de trois enfants, tu sais «
Après la toilette, les deux petits sont
habillés. Tenues classiques: Polo, culottes courtes, socquettes.
Benoit reste debout sans rien dire.
Et puis petit déjeuner pour tout le monde,
serviette autour du cou évidemment.
Après le déjeuner, nouveau passage obligatoire
aux WC pour Michel et Bertrand, puis Tatie les fait asseoir dans l’entrée pour
leur mettre et leur lacer les chaussures.
Et ensuite, blouse d’écolier pour les deux
garçons.
« - Maman, je rentre en troisième, je veux
plus mettre de blouse s’il te plait.
- Ne discutes pas. Je ne veux pas te voir salir
tes vêtements. »
Ils prennent ensuite leurs cartables, où il n’y
a pour le moment que leur cahier de texte, et Tatie ouvre la porte.
Benoit entrevoit un moment de tranquillité sans
surveillance.
« - Benoit, tu viens
- Mais je ne veux pas vous accompagner en
pyjama !
- Mais non, gros bêta, la voisine va te garder
- Je n’ai pas besoin d’être gardé !
- Parce que tu crois que je vais laisser un
enfant tout seul à la maison ? Ce ne serait pas sérieux. Et tu discutes trop mes
décisions »
Une gifle accompagne ces derniers mots.
Benoit est donc emmené chez la voisine, une
dame d’environ 45 ans qui parait gentille.
« - Bonjour madame Voisin. Comme convenu,
je vous amène le petit à garder. Je vais peut-être voir les professeurs de
Michel et Bertrand, donc ça prendra peut-être 45mn
- Ne vous inquiétez pas.
Benoit, tu dis bonjour et surtout tu es sage en
mon absence. »
Et Tatie s’ éloigne avec Michel et
Bertrand.
Benoit n’est pas particulièrement content de se
montrer dans son pyjama de gosse, mais que faire ?
« - Entre mon grand. Assieds-toi
C’est vrai que tu as déjà ton bac, comme ta
tante m’a dit ? Tu parais bien jeune. Quel âge as-tu ?
- Oui madame, j’ai eu mon bac et j’ai 18 ans
- Tu es tout mignon. Tu sais, j’ai une fille de
ton âge et elle va entrer en fac la semaine prochaine. Pour le moment elle
profite des vacances pour dormir plus longtemps. Que vas-tu faire comme études
maintenant ?
- Nous n’avons pas encore décidé, madame. Nous
devons voir demain une personne qui me conseillera. »
Benoit prend un magazine sur la table; un
magazine féminin mais il n’y a rien d’autre.
30 mn plus tard, Tatie sonne et vient chercher
son neveu
« - Le petit a été sage ? Il n’a pas fait
de bêtises ? Il a été poli ?
- Oui, Benoit a été très sage. C’est un jeune
homme bien élevé.
- Ne l’appelez pas jeune homme, vous allez le
faire rougir. C’est encore un enfant, c’est un grand garçon.
Allez Benoit, dis au revoir. Va faire un bisou
« .
Benoit, déjà tout rouge d’être catalogué de
« petit », rougit davantage et ne voulant pas provoquer une punition,
va faire un bisou à la voisine.
« - Au revoir madame Voisin. Merci
madame Voisin»
Une fois rentré chez Tatie, elle lui donne
immédiatement deux claques sur chaque fesse;
« Mais pourquoi Tatie ? J’ai rien fait ?
- Tu lisais un magazine pour grandes personnes.
Tu n’as pas le droit sans permission. Tu auras une fessée après la toilette.
- Il n’y avait pas autre chose! C’est pas
juste »
Une gifle
« - La prochaine fois tu prendras un livre
ou une leçon à apprendre. Files à la salle de bain »
Une fois déshabillé, Benoit est lavé, séché et
dans la chambre, reçoit la fessée promise.
Il est en pleurs et se laisse habiller lui
aussi de façon très classique: polo, culotte courte, socquettes.
De retour à la cuisine, Benoit est mis au coin
mains sur la tête mais reste habillé cette fois.
Le temps lui parait terriblement long; il est
laissé au coin 1 heure.
Il retourne ensuite à la cuisine et Tatie lui
donne une leçon (fable de La Fontaine) à apprendre. En silence.
En fin de matinée, Tatie, sans lui demander son
avis, le fait asseoir aux toilettes pour faire son pipi avant de sortir.
Elle lui met ensuite et lui lace ses
chaussures.
« - Benoit, nous allons faire une course
et chercher tes cousins. Je te conseille de bien te tenir et de rester à côté
de moi.
- Oui Tatie. »
Benoit a maintenant la conviction que s’il doit
avoir gifles ou claques dans la rue, sa tante n’hésitera pas.
Quelques visites de commerçants du quartier, à
qui Tatie présente son neveu. Certains demandent son âge…. Et sourient. Il a
l’air d’un garçon très timide… et limite ridicule avec sa tenue de petit
garçon.
Puis direction le lycée (A l’époque, le lycée
commençait en sixième, on ne parlait pas de collège) et retrouvailles avec les
deux cousins.
Bertrand boude et n’a pas l’air content. Pas de
problème avec Michel. Ils
rentrent à la maison en donnant la main à Tatie, bien sûr.
« Bertrand, Michel, venez faire pipi tout
de suite. »
Et puis ils se retrouvent à la cuisine.
Bertrand en a trop sur le cœur et commence à
s’épancher, alors qu’un enfant ne doit pas parler sans permission dans cette
maison.
« - Maman, je suis en troisième, je veux
plus mettre de blouse »
Comme il le craignait, sa tenue de petit garçon
l’humilie. Il y a malgré tout un autre élève dans sa classe avec une blouse… et
il est en pantalon! Et il y a quatre autres garçons en culottes courtes. Dans
la classe de Michel, les trois quarts de la classe est en culottes courtes, et
une dizaine d’élèves avec une blouse.
« - Bertrand, je ne vais pas discuter de
cela matin et soir. Je ne veux plus en entendre parler. La prochaine fois, tu
auras le martinet. Et tu auras une fessée après le déjeuner pour avoir parlé
sans permission. Maintenant à table et en silence. »
A la fin du repas, Bertrand a effectivement sa
fessée sur les genoux de maman. Pas beaucoup de temps pour le coin, puisqu’il
faut emmener les enfants à l’école.
« - Bertrand, Michel, venez faire pipi.
Benoit as-tu besoin ?
- Non,Tatie
- Gare à toi s’il y a une tâche dans le slip ,
compris ?
-Oui Tatie »
Et tout le monde repart en direction du lycée.
Bertrand n’est pas très heureux que ses camarades le voient accompagné par
maman. Mais comme c’est le cas tous les jours, il est un peu habitué. Il
espérait que cela change à l’entrée en troisième, mais ce n’est pas le cas.
Et le fait que Benoit, à 18 ans, subisse le
même traitement lui laisse peu d’espoir pour le futur proche.
A suivre...
Voyons, voyons...
Si nous n'en sommes plus au premier chapitre, c'est qu'il y en a eu un autre avant. Mais où est-il ? Ah oui, le voilà : chapitre 1
La suite ? Eh bien elle est annoncée
Il y aura un prochain épisode.
Alors ? Vos impressions ?
Si je vous dis que Bruno les attend avec impatience, ça vous étonnera vraiment ? Vous pouvez également lui en faire part directement : Bruno
Très bon récit encore ! Cela me rappelle mon enfance pourtant je suis né en 1978.
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimerBravo moi aussi j'ai connu cela la honte de la culotte courte et blouse à l'école et aussi après l'école ,une vieille blouse pour jouer dans le quartier
La fessée à la main ,a la règle ,au martinet à la moindre faute
Depuis quand je le peux j'enfile une culotte courte et une blouse nylon ,pour retourner dans mon adolescence ,j'ai une amie à une époque qui acceptait de faire la Maitresse d'école avec mois
Bravo Bruno cela sent le vécu comme moi j'ai connu et continu comme cela
Bonjour Jojobonno,
SupprimerPas sûr que vous ayez connu cela à 18 ans pourtant ?
Bruno
Oui exact mais j'ai continué à porter culotte courte et blouse en secrets et bien sur avec internet essayer de rencontrer des fesseuses sévère
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