LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
Patricia, comme son frère, avait reçu
une éducation stricte, mais juste,
basée, entre autres principes, sur la notion de l'engagement et du
respect de la parole donnée. Les règles d'obéissance et la notion de l'effort
faisaient partie du bagage éducatif que Gladys avait su leur imposer par une
discipline de fer et , notamment, l'emploi systématique de la fessée. Edouard le beau-père y était encore soumis
comme le reste de la famille.
Patricia, porteuse de ces valeurs, était
déterminée à remplir son contrat auprès de Madame Bellebouge. Celle-ci,
Inquiète du peu d'intérêt de son fils pour les études, avait confié à la jeune femme
la responsabilité de remettre à niveau un Gérôme, aussi à l'aise dans la
pratique de l' Anglais qu'un joueur de tennis avec une poêle à frire !
Elevée
à la fessée, Patricia en avait acquis toutes les techniques et la solide paire
de fesses de l'incorrigible paresseux allait lui permettre de montrer, une
nouvelle fois, l'efficacité de sa
méthode d'apprentissage. Le plantureux derrière bien entraîné du jeune homme,
offrait une surface de correction prometteuse, capable de supporter les
cuisantes séances de fessées nécessaire à sa ''remontada'' linguistique.
Patricia s'y employait déjà avec
énergie. Elle avait décidé de bien lui chauffer les fesses , dès la première leçon pour affirmer
d'emblée son autorité, et faisait durer
cette première fessée bien plus longtemps que nécessaire. Selon la méthode
employée par sa mère et ses amies fesseuses expérimentées, la vraie fessée
commençait toujours sur un derrière monté à l'écarlate. C'est ainsi qu'elle avait l'intention de
procéder à chaque leçon.
Gérôme endure sa fessée en pleurant à
chaudes larmes, sans se soucier de qui peut entendre le bruit de ses sanglots
et de ses cris. Il garde la bouche
grande ouverte et s’égosille en perdant souvent sa respiration, à demi étouffé
par ses pleurs. Il a renoncé à supplier ou à promettre de prendre son travail
au sérieux, car cela ne servirait à rien. Il n'a rien d’autre à faire qu’à bien
garder son derrière dans la meilleure position et à pleurer pendant que
Patricia continue de le sermonner en lui claquant les fesses de plus en plus
fort .
– « Tu vas voir comment je vais te
mettre au travail moi, fainéant ! Et aussi t’apprendre ce que ça
coûte de se ficher de moi... Je vais te faire passer l’envie de faire le
zouave... Non mais franchement, tu croyais protéger tes fesses avec ton
pantalon sous ton Kilt ! Pas très malin sur ce coup-là mon pauvre
ami ! ''
Parfois elle l'oblige à répondre entre
deux sanglots.
– « Alors, tu les sens bien
chauffer tes grosses fesses ? Et ma main... Tu la sens ma mains comme elle se
régale et comme elle te les fais bien claquer ? Hein ? Qu'est-ce que
tu en dis ?
–
Ouiii ...Ma... Madame... Ooooh Oui …Je la sens bien ! ça... ça chauffe dur !!! »
– J'espère bien ! Une paire de
fesses comme les tiennes a besoin de cuisantes fessées... Et je suis là exprès
pour ça. Bien venu sur mes genoux, tu n'as pas idée de la rapidité des progrès
que tu vas faire ! »
Ça fait dix minutes que Thérez entend,
d'en bas, le claquement retentissant du derrière de son fils. Quelques secondes
de suspension de séance, la voix ferme de Patricia qui interroge, celle plus
faible de Gérôme qui répond en pleurnichant ...mauvais accent...La fessée
reprend de plus belle. Toujours plus retentissante, elle emplit toute la maison
de son claquement régulier, amplifié des braillements ininterrompus du puni.
Thérez se félicite d'avoir eu l'idée de confier ces cours de soutien à Patricia
dont la manière de procéder s'annonce d'une belle efficacité. Elle avait
diagnostiqué que la marge de progression de Gérôme s’annonçait proportionnelle
à la fréquence et la sévérité des fessées qu’elle allait lui administrer. Il
suffisait de trouver le bon rythme. Là-dessus on pouvait lui faire confiance.
Le paresseux chronique n'avait aucune illusion à se faire. Il allait
devoir apprendre ses leçons par cœur et préparer ses fesses à chaque séquence.
On avait pas fini de les entendre claquer dans toute la maison.
Involontairement , c’est Bettina qui lui
apporte un peu de répit. Elle a bien sûr entendu la fessée dont les sonorités
sont éclatantes et se répandent jusque dans le jardin et même sans doute plus
loin. Elle arrive et, toujours avec ces commentaires incitant à la sévérité,
elle prend part à la correction en se penchant à la fenêtre de la chambre,
après être entrée sans plus de façons dans leur jardin.
– « Hé bien Patricia, bravo …
quelle magnifique fessée ! A voir la couleur de ses fesses, il doit commencer à
bien la sentir ! C'est vous qui lui donnez des cours maintenant. Il
n'y a pas à dire, c'est vraiment la meilleure méthode pour mettre ce fainéant
au travail !»
Pour répondre, Patricia cesse de fesser.
Mais elle garde la main posée sur le derrière de son élève, le repositionnant
plus confortablement sur ses genoux de façon à ce qu'il sente qu'elle maintient
ses fesses à portée de claques.
Allongé sur ses cuisses, en appuie sur
les mains, les fesses en l'air, déculottées,
bien tendues, il doit apprendre et réciter sa leçon par cœur, son livre
d'anglais ouvert par terre devant lui. Les fessées claquent à la moindre erreur.
Vu la couleur de ses fesses, il a déjà dû en faire pas mal, alors que son heure
de cours ne fait que commencer. Patricia a la main ferme et ne laisse rien
passer. Ça tombe même à la moindre faute d'accent ou de prononciation.
Il continue d'ailleurs à pleurer car la
chaleur de son derrière est intense et ne s’atténue pas du fait de cette pause.
Cela lui vaut deux retentissants allers-retours sur chaque fesse.
– « Ça suffit Gérôme ! Arrête
de pleurer comme un gamin ! Garde tes larmes pour la prochaine fessée.
Pour le moment ,je ne veux plus t’entendre, ou je double la suivante. Continue
de réviser ta leçon, tu n'en sais même pas la moitié ; ! ''
La menace d'un fessée supplémentaire est
toujours suivie d'obéissance, du moins pendant un moment. Il se retient, mais
reste secoué de sanglots sans pouvoir s’empêcher de laisser couler ses larmes,
mais en pleurnichant le plus silencieusement possible. Elles tombent en petites
gouttes qui mouillent les pages de son livre ouvert, ce qui ne lui facilite pas
la lecture ;
Bettina
toujours nonchalamment accoudée à la fenêtre se régale et reprend, affirmative.
– « Hier après-midi, votre mère en
a flanqué une bonne à votre beau-père, avec son copain Douglas qui s'en est
pris aussi une sévère par sa femme. Ça claquait fort sur les deux belles paires
de fesses ! J’étais dans mon jardin à les regarder… Mais cela a donné des
idées à mon époux, depuis ma punition à cause de mon histoire avec le mari de
Régine, l’autre nuit il y a repris goût ! J’ai reçu une sacrée
déculottée, à la main et au martinet... mais au bout du compte ça ne me déplaît
pas... j'aime bien entendre claquer mes fesses ! ”
Patricia n'a pas trop le temps de se
demander ce qu'il lui prend. Elle ignore la remarque et tient à préciser,
tout en maintenant Gérôme allongé tête en bas sur ses cuisses, ânonnant sa
leçon. Ses fesses rouges bien déployées, prêtes à claquer de nouveau.
– « “ Bien sûr, et ils les
méritent, les bonnes fessées déculottées… évidemment... et souvent même… Ils en
ont besoin pour obéir… et pourtant, ça ne les empêche pas de faire n'importe
quoi. Il n'y a qu'à voir votre histoire avec le mari de Régine. Alors du
martinet , bien sûr, il leur en faut souvent… très souvent… de bonnes fessées à
la main ...et après au martinet… bien sûr ! »
–
Sûr ... Il faut les deux… A chaque fois
– C'est ce qu'on fait à la maison maman
et moi avec Edouard et Robin... Même chose chez Clarisse... Edwige avec son
mari et Béatrice avec son fils…
– Surtout quand je regarde le nouveau
martinet que votre mère a acheté hier...
ça va faire mal !!!
– Ah ça Bettina... Avec ce martinet ils
vont bien les sentir leurs fessées… Ils ont intérêt à filer droit ! »
.Bettina est ravie de la tournure que
prend la conversation.
– « Oui, mais pour le moment c’est
notre ami Gérôme qui est en train de s'en prendre des sévères, Vous avez raison
Patricia, c''est la meilleure méthode pour faire travailler ce grand paresseux.
Il n'a pas l'air très enthousiaste... Il faut dire aussi que vous n'y allez pas
de main morte. Et vous avez raison. ,
– Oh mais c'est loin d'être fini, il a
encore trois pages à apprendre... Des fainéants pareils, ça se dresse à la
fessée ! Et vous me connaissez, j'adore ça ! Alors vous pensez, avec
une paire de fesses comme celle-là, j'ai de quoi faire !
– C'est vrai j'ai remarqué ça... Ces
garçons ont tous de sacrés fessiers, Pour ça on ne peut pas dire les slips sont
bien remplis . De vrais culs à fessées !
– Normal Bettina, à force de leur mettre
des raclées presque tous le jours... ça leur développe le derrière !
– Je vois ça, celui-là à l'air de bien
encaisser... Et au fait... ce sont des cours de quoi que vous lui
donnez avec les fessées? »
Contre toute attente, c'est Gérôme qui
répond d'une petite voix plaintive, un peu étouffée qui remonte du plancher de
sa chambre.
– « Ce sont des cours d'anglais
Madame... Parce que j'en ai besoin… mais ça fait mal... »
Nouvelle claque sur ses fesses, il
sursaute en poussant un petit cri de douleur.
– « J’ai dit que je ne voulais plus
t'entendre ! S'écrie Patricia. On dirait que tu as besoin d'un petit
supplément.
– « Ça oui ! se réjouit
Bettina qui n'attend que ça. Prendre la parole sans qu'on lui donne...
c'est au moins une fessée supplémentaire ! En plus il aurait pu répondre
en anglais... Avec moi ça serait deux fessées, supplémentaires...
– Tends bien tes fesses pour que ça
claque ! »
Ordonne
Patricia qui n'écoute pas trop ce que raconte Bettina, Le malheureux
s'exécute en serrant les dents. En appui sur les mains posées devant son livre
d'anglais, il déploie docilement son derrière, tendu vers la main de sa
fesseuse qui le lui fait rageusement retentir d'un formidable aller et retour
sur chaque fesse. Il étouffe le gémissement qu’il allait pousser .
– « La seule chose que je veux
entendre, c'est le claquement de tes fesses !! Bettina aussi
d'ailleurs ; Alors tu ouvres la page quatre et tu vas lui montrer comment
tu apprends tes leçon avec la déculottée aux fesses ! Et quand j'annonce une fessée tu me les présente
bien tendues... à ma main... »
Ce disant, elle démarre une nouvelle
fessée devant Bettina. En pâmoison à la fenêtre, elle en mouille sa petite culotte de
bonheur.
Les claques, sèches et serrées tombent de
nouveau sur le gros fessier écarlate que Gérôme s'efforce de garder en bonne
position malgré ses mouvements qu'il ne peut contrôler … Il recommence à battre
des pieds en l’air et éclate en pleurs bruyants. Imperturbable, Patricia ne
perd pas de vue son objectif. Le buste bien droit pour donner à son bras le
maximum d'élan, la main ferme, enveloppante, elle continue de lui claquer sa
fessée, tout en lui faisant la leçon.
– « Tu apprendras mieux en lisant
ton texte à haute voix, Et articule bien... au lieu de pleurer comme un
gamin ! »
Bettina, bras croisés sur le rebord de
la fenêtre, le menton posé sur les mains ne peut se retenir de participer.
L'air innocent, feignant l'ignorance, elle interpelle le puni d'une voix
suave.
– « Finalement, je me demande bien
pourquoi tu te prends autant de fessées pour une simple leçon d'anglais.»
Gérôme, est tellement secoué sous les
claquées qu'il éprouve les pires difficultés à lire à travers ses larmes la
page entière qu'il doit retenir.
– « Paaarce que… je… aîeeeeee ! les
mérite… aîeee ! méri... aîeeee ! te… bien...
– Idiot ! S'exclame Patricia . Ce
n’est pas cela qu'elle te demande ! »
Il se tortille tellement sur ses cuisses
qu'elle est obligée de réajuster sa position.
– « Attention Gérôme, tu te
relâches... Plus tendues tes fesses … Aller... mieux que ça !!Et
réponds à Bettina. Elle sait bien que tu les mérites tes fessées, ce qu'elle
veut savoir, c'est pourquoi, tu les
mérites !
– Pourquoi ! paaarce que.... je ne
’sais paaas.... aieeee ! mes... aieee ! leçooons …
-- Et oui... Monsieur ne fiche rien et
sa mère est obligée de lui faire donner des cours particulier. Et bien c'est
moi qui m'en occupe... surtout de ses fesses ! Hein ! Tu la sens bien
ta fessée ? Ça te réchauffe bien le derrière… déculotté, comme un sale gamin,
que tu es !
– Ouiiii madame Patricia...Ça ...ça
chauffe ! Ça cuit ! aieeee !....c’est ....aieeee !aieeee! parce que ....hou la
! hou la ! j’ai pas ....aieeee ! aieee! a... appris !
– Exact, fainéant ! Et maintenant tu la
prends bien ta fessée ! Hein ? Tu n’as pas honte ? A ton âge, déculotté sur mes genoux !
– Si madame... Si, j'ai honte... ouiiii
! aieeee ! Je la prends bien ! aieee! la fessée ! aieeeee! la bonne fessée !”
– Parce que tu ne comprends que ça !
La fé.... ssée ...dé...cu ...lo ...ttée !»
Emportée par son élan la jeune femme
ponctue chaque syllabe de grandes claques bien appuyées d'une fesse sur l'autre
comme si elle voulait les lui imprimer dessus.
– « Je recommence pour que tu
comprenne bien. La... fe... ssée... dé... cu... lo... ttée”. Et continue à lire
je t'interroge dans deux minutes. »
Probablement à cause du volume sonore de
la correction, des cris et des pleurs du puni mêlés aux éclats de voix de sa
préceptrice, personne n'a entendu la porte s'ouvrir.
– « Et bien dites moi, ça
fait plaisir... on travaille dur ici ! ...Dit la voix mélodieuse de Ma'am
Thérez,
A force d'entendre claquer les fesses de
son fils toutes les cinq minutes, elle n'a pas pu résister à l'envie de monter.
Elle n'est pas déçue du voyage. Gérôme, en larmes, plié en deux sur les cuisses
de sa préceptrice, le visage penché au
dessus de son livre d'anglais posé par terre, pleure tout ce qui lui reste de
larmes de son corps. La page six est trempée. Mort de honte, sous l'oeil
goguenard de Bettina il n'ose pas regarder sa mère., Avec un petit sourire
satisfait, elle enveloppe d'un regard gourmand, la magnifique paire de fesses
écarlates en train de cuire sur les cuisses de Patricia. Eclatant témoignage de
l'efficacité de sa méthode, de la qualité des fessées et du travail qui en
résulte.
– « Alors... Patricia ça
avance ?.
Demande
t elle en haussant des sourcils interrogateurs. D'un coup de menton elle
désigne les grosses fesses reluisantes gonflées de claques, encore toute
frémissantes de la dernière déculottée.
– « Il apprend bien on
dirait...Si je m'en réfère à la couleur de ses fesses !»
Le nez dans son livre Gérôme, tout
en reniflant sa morve et ses larmes n’en finit plus de lire et relire la page
trois, en gémissant sourdement.
– « Comme vous voyez ! Répond
Patricia, avec un petit sourire en coin.
Il a de grosses difficultés avec son accent et il faut le stimuler en
permanence, Pour ça je ne lui lâche pas le derrière.
– Je vois ça oui. Vous avez trouvé la
bonne méthode... Très efficace.
– Oui, j'aime les interventions
rapides... le prêt à fesser. Je le garde sur mes genoux, les fesses en
position, déculottées bien tendues, prêtes à claquer immédiatement à la moindre
erreur quand je l'interroge. Pas de perte de temps, il a son livre ouvert par
terre devant lui et continue à réviser pendant ses fessées. C'est très
stimulant !
– Pour ça oui ! Intervient sans gêne,
Bettina toujours à la fenêtre. Pour un peu il apprendrait vite ! Sauf que
par moment les fessées sont tellement fortes qu'il n'arrive pas à lire... ni à
réciter … alors il s'en prend une autre … Moi, j'adore !
Patricia ne peut que confirmer.
– C'est vrai, et ça lui fait du bien …
Bettina continue sur sa lancée avec son
exubérance habituelle .
--« De solides postérieurs comme le
sien, ça a de gros besoin et ça encaisse bien. Je trouve qu'on ne leur met
jamais assez de fessées ! »
Les excès de langage de Bettina
n'étonnent plus personne. Thérez, satisfaite, se dirige vers la porte.
– « Bon, je vois que tout se passe
bien.... Et, c'est peut-être inutile,
mais je vous le dis quand même. Pas de pitié pour ce grand paresseux, continuez
comme ça, fessées à volonté... ! Je les entends d'en bas...
– Oui,
à raison d'une ou deux par
chapitre on avance bien... Il lui reste encore deux pages à apprendre d'ici la
fin de l'heure, avec au moins autant de fessées à la clé, on devrait boucler ce
premier cours assez rapidement.
Thérez Bellebourge sort, enchantée
d'avoir eu l'idée de s'attacher les cuisants services de Patricia pour recadrer
son fils, en coma linguistique pour cause d'allergie à la langue de Shakespeare. Seules les « hard Spanking'' de sa
préceptrice pouvait le sauver du naufrage. Quitte à lui incendier le derrière à
chaque séance elle compte bien parvenir à la remettre à niveau. C'est le prix à
payer pour lui donner les meilleurs chances de réussite dans la poursuite de
ses études, telles que les envisage sa mère.
–
« Aller on reprend ! »
Annonce Patricia en coinçant fermement le
buste de Gérôme entre ses jambes croisées pour l'obliger à tenir son derrière
bien en place pendant sa prochaine fessée.
–
« Leçon numéro quatre, les verbes irréguliers ! »
Il
venait à peine de commencer la lecture, la main de la jeune femme, levée au-dessus
de ses fesses, prête à claquer, lorsque
le signal sonore de son portable retentit sur le bureau. Elle jeta un œil sur
le numéro d'appel... C'était Gladys ;
–
« Humm tu as de la chance mon ami !... murmura-t-elle en
relâchant un peu la pression de ses cuisses sur sa taille ! La main droite posée sur ses fesses elle
saisit son téléphone de l'autre. Mais tu ne perds rien pour attendre... Profite
en pour relire encore ta page...Oui maman ? »
Tout
en discutant elle caresse distraitement le derrière en position sur ses genoux,
tapote chaque fesse l'une après l'autre, parcourt la raie brûlante d'un doigt
nonchalant. Le regard dans le vide, elle ajuste machinalement le slip plus bas
sur les cuisses pour bien dégager la surface à corriger.
–
« Oui maman... Oui, ça se passe très bien...Oui... je lui en ai mis une
sévère dès en arrivant... Oui...,déculottée... bien sûr... Ah pour ça oui... ça
l'a calmé tout de suite … Et comment !
Maintenant je n’ai même plus besoin de lui demander... Oui... il se
précipite pour me présenter ses fesses !... là ? On en est à sa
quatrième fessée... Oui... très efficace... Non... on a presque fini...
je rentre tout de suite après... Moi aussi maman... Biz ! »
– « Bon ! Tends bien tes fesses,
cette fois ci on reprend ! »
Trois nouvelles fessées plus tard qui
s'étaient ajoutées aux précédentes, et deux pages de verbes irréguliers, c'est
un Gérôme dompté, que Patricia, l'air triomphant, sortait, sans ménagement de
sa chambre en le tenant par l'oreille. Ma'am Thérèz, la mine réjouie, les attendait en bas de l'escalier.
– « Alors, cette première leçon, ça
s'est bien passé ? Rondement menée d'après ce que j'ai vu ! Gérôme
s'est bien comporté ?
– Il a été parfait ! S'exclame
Patricia visiblement satisfaite . Un peu réticent au début, mais très vite
docile après sa première fessée... ça l'a mis tout de suite au travail. Après,
c'est allé tout seul. Il a vite appris à venir mettre ses fesses en position
sur mes genoux pour réciter ses leçons... D'ailleurs... Vous voulez les voir ? Aller Gérôme, montre tes fesses à maman pour qu'elle voit comme tu as bien
travaillé ! »
Elle le fait pivoter sur lui-même et, le
tirant par les oreilles l'oblige à se courber en deux pour présenter son
postérieur bien tendu à sa mère. Elle lui retrousse son kilt et le déculotte en
gardant les index passés sous l'élastique de son slip pour le maintenir baissé.
Les deux fesses encore en pleine cuisson, apparaissent, magnifiques, en haut de
l'escalier, enluminées d'un splendide rouge cramoisi parfaitement réparti
sur toute leur surface.
– « Et voilà le travail ! Annonce Patricia d'un air triomphant en
exhibant comme un trophée le postérieur flamboyant de son élève. Cinq pages,
cinq fessées ! »
Ma'am Thérez est ravie ;
--« Magnifique ! Bravo ma
chère, belle performance ! Il n'en a jamais autant pris et appris en si
peu de temps ! Vous pouvez revenir la semaine prochaine... et les
suivantes !
– Avec plaisir... La prochaine fois je
lui flanquerai une fessée immédiatement en arrivant pour le mettre en condition.
Il se mettra encore plus vite au travail ! Tu peux te reculotter
maintenant Gérôme ! »
Il s'exécute en pleurant, et remonte son
slip avec mille précautions, pendant qu'elle descend tranquillement l'escalier
en faisant claquer ses talons aiguille sur les marches.
Elle embrasse Thérez et sort, toute
pimpante comme elle est venue, sa courte jupe battant le haut de ses cuisses.
Elle se retourne pour faire un petit signe de la main, encore agréablement
chaude d'avoir tant claqué sur les fesses de Gérôme.
– « La semaine prochaine, on
passera à six leçons et autant de fessées ! » dit-elle dans un grand
éclat de rire.
Pendant ce temps-là, à la maison, Gladys
prépare les fesses de son fils pour l'achat de son nouveau martinet. Jugeant
suffisante, la cuisante fessée à la main qu'elle lui administre depuis un bon
quart d'heure, elle le fait se relever de ses genoux. Elle lui ordonne d’aller
au coin, l’avertissant qu’elle va maintenant lui frictionner le derrière au
Dolpic afin que l’effet de sa fessée se prolonge pour aller chez le cordonnier.
Cette
fois ça y est ! Il est bon pour le martinet sur mesure. Il obéit sans
protester… cela ne servirait à rien... et puis il se dit qu’au point où en sont
ses fesses après la sévère déculottée que vient de lui mettre sa mère, le
Dolpic ne fera pas augmenter la cuisson de beaucoup. Elle va durer plus
longtemps, c’est tout. Et il n'a surtout rien à dire. Il va au coin, le nez au
mur, en se massant les fesses et en pleurant à chaudes larmes…
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 25
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuelle leçon !!!! Concerto à deux voix en Ré majeur ! Maestro, musique s'il-vous-plait !!!!
Patricia a fait un sans-faute !!! Maitrise du geste, cadence adaptée, résultat escompté. Elle mérite à coup sûr les "Palmes académiques de la meilleure fesseuse". La prochaine leçon ne manquera pas de piquant.
Gérome ne s'attendait pas à une telle humiliation, C'est pire que le pilori !!! Tout le quartier va apprendre sa déconvenue !!! Et Robin ? Et Rodolphe ? Il est sur le point de défaillir !!! Mazette !
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerPour ça oui. Comme tu dis, Concerto, mais pour une main, allégro, stacato, illico presto, con la mano!
Je ne sais pas si Patricia mérite les palmes académiques mais en tout cas, elle a une pratique académique de la fessée, classique mais efficace.
Quant aux deux hurluberlus de Robin et Rodolphe il ne vont pas tarder à participer aux concerts et jouer leur partition sur les genoux de ces Dames.... Un dont on n'a plus de nouvelle tiens... C'est Maxime, le fils de la coiffeuse... Béatrice (voir saison 2). Bon... A suivre alors!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerJe note que qu'une des spectatrices a une tendance à apprécier particulièrement le spectacle auquel elle assiste... Et Bettina qui a profité de la situation pour mettre un peu de piment dans les préliminaires avec son époux...
Le hard spanking est une méthode qui s'est révélée très payante outre manche. Presque une religion. Bon nombre de générations y ont goûté et dupliqué sur leurs rejetons.
Le clou du spectacle est le DOLPIC. Là, c'est du grand art... Même moi je n'y avait pas pensé. Je retiens l'idée qui me parait très truculente.
Amitiés.
Elena
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerha oui, Maxime... qui s'est peu manifesté quand Maman Béatrice à reçut tout le gratin des fesseuses du lotissement. Max la menace ? A suivre...
Amicalement. Peter.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerEt oui! Et le "Dolpic" existe réellement, et depuis longtemps. C'est bien une pommade chauffante pour les muscles avant ou après un effort. Je dois reconnaître qu'il n'était pas prévu pour accentuer et prolonger l'effet d'une fessée. Ces dames( aux mains fermes)sont décidément diaboliques... et impitoyables!!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina.
SupprimerOui, en effet, ça existe. Je ne connaissais pas et je suis allée voir sur Internet et c'est là que j'ai vu ce dont il s'agissait. C'est un bon produit à recommander pour prolonger la cuisson d'une fessée pour de sales garnements. Je les imagine bien, se tortillant sur place ou faisant la danse de saint-guy, en poussant des cris et des supplications...
Très bonne idée, à retenir.
Amitiés.
Elena.
Bonjour à vous tous...
SupprimerLe Dolpic me fait penser à un acronyme Dol-pic ou : pic des douleurs ! Ce qui conviendrait mieux à sa fonction.
On peut aussi à l'inverse utiliser l'alcool camphré ou l'huile camphrée comme le faisait ma grand-mère maternelle. Autre temps...
Amicalement. Peter.
Merci Docteur Peter,
SupprimerAu plaisir e vous lire,
JLG.