Ce n’était pas un regard moqueur ou condescendant que je croisais dans les yeux d’Aurélie, mais plutôt une sympathie qui me fit comprendre tout de suite la situation dans laquelle, à cause de mon insistance à venir passer le confinement chez ma belle-mère, je nous avais plongés. Aurélie savait ce qui m’était arrivé pour l’avoir éprouvé avant moi. Si j’en étais à ma première fessée, son compteur affichait un chiffre bien plus grand. Je comprenais maintenant sa réticence à parler des relations qu’elle avait avec sa mère. J’étais maintenant dans la même situation qu’elle.
« Assieds-toi
là ! »
Je
pris place. Je n’avais aucune envie de faire valoir mon droit à décider
moi-même. Je connaissais le prix de toute protestation. Mes fesses dont
l’assise de la chaise sur laquelle j’étais assis augmentait l’inconfort,
s’échauffèrent au premier contact. Je pensais à me relever pour en faire
diminuer la cuisson, mais un regard à ma belle-mère m’en dissuada.
« Je
réchauffe le chocolat et je te le sers. »
Mon
avis n’était pas demandé. Je me gardais bien de l’émettre. Le chocolat pour
déjeuner, ce n’était pas ce que je préférais, mais la fessée était encore trop
récente et mes fesses trop brûlantes pour que j’exprime quoi que ce soit qui
aurait pu passer pour une contestation de l’autorité de ma belle-mère. Une fois
m’avait suffi. Je n’étais pas prêt à recommencer tout de suite.
Une
bouffée d’angoisse. Recommencer. Oui, elle m’avait promis deux autres fessées.
Comment était-ce possible ? Comment était-ce surtout possible que
j’envisage de les recevoir sans me révolter contre ce traitement qui n’était
vraiment pas de mon âge ? Et la culotte baissée. Comment avait-elle
osé ? J’étais son gendre, pas son fils ! Certes, j’étais le compagnon
de sa fille depuis six ans maintenant, mais je ne la connaissais presque pas.
Je n’arrivais pourtant pas à me convaincre que la tenue qu’elle m’avait imposée
et la correction qu’elle m’avait infligée, avaient la plus petite once d’une
connotation sexuelle. C’était une punition qu’elle m’avait administrée parce
que je l’avais méritée.
Comment
pouvais-je penser cela ? Un adulte peut-il avoir besoin d’une fessée quand
il désobéit ? Il n’y avait pas de doute que ma belle-mère le pensait et
elle prenait son rôle de Maman très au sérieux. Cela signifiait qu’il fallait
corriger son enfant quand il l’avait mérité. Et j’étais maintenant l’un des
deux enfants qu’elle avait sous sa responsabilité.
Cela
ne se pouvait pas ! Il fallait que ça cesse. Hors de question que je la
laisse m’administrer les deux fessées qu’elle avait programmées ! Fort de
cette résolution, je relevais la tête… et je croisais le regard de ma
belle-mère.
« Ne
crois-tu pas, Philippe, qu’il est temps de boire ton chocolat ? Qu’es-tu
en train de faire ? Ce ne serait pas une bouderie suite à la fessée que je
t’ai donnée ? Ou un caprice ? Je sais comment m’occuper de l’une ou
de l’autre. Si tu ne sais pas comment, je peux te montrer. »
La
cuisson sur mes fesses me sembla immédiatement plus forte. La menace était bien
réelle. Je baissais les yeux et je portais mon bol à mes lèvres, espérant que
cette marque de soumission éloignerait le spectre de la punition.
Un
torrent d’émotion me submergeait. Cela allait du soulagement à la révolte. J’étais
satisfait de constater que ma belle-mère n’envisageait pas de recourir tout de
suite à la fessée. J’avais gagné un peu de répit. J’avais, par contre, raté une
occasion de mettre les choses au point, d’affirmer qu’il n’était plus question
que je reçoive une nouvelle correction. Je me rassurais en me disant que je le
ferai la prochaine fois. Une petite voix en moi émettait des doutes. Agacé
contre moi-même, je la chassais de mes pensées.
« Et
toi, Aurélie, depuis combien de temps es-tu devant ton bol sans l’avoir
touché ?
–
Mais, Maman, c’est le chocolat.
–
Le chocolat ? Qu’est-ce qu’il a le chocolat ?
–
Je n’aime pas le chocolat. Je voudrais du café, comme d’habitude.
–
Ce n’est pas parce que tu as pris de mauvaises habitudes depuis que tu es
partie de chez moi, qu’elles doivent continuer. Un bon bol de chocolat au
petit-déjeuner, c’est parfait pour les enfants. Pas le café. Tant que tu seras
ici, je n’admettrai pas les manies que tu as prises chez toi. Est-ce compris ?
–
Oui, Maman ! »
Aurélie
baissa la tête sur son bol. Elle faisait la moue. Je ne connaissais pas cette
Aurélie-là. Celle avec qui j’habitais à Paris aurait envoyer promener toute
personne qui se serait opposée à sa volonté. Elle n’aurait demandé son avis à
personne avant de jeter dans l’évier le chocolat et aller se servir en café.
J’avais devant moi une petite fille boudeuse, une petite fille de trente-deux
ans, mais qui se comportait comme une gamine. Sa mère revint à la charge moins
d’une minute plus tard.
« Aurélie,
tu finis ton bol ! C’est la dernière fois que je te le dis ! »
Aurélie
regarda le liquide qu’elle devait avaler avec un air dégoutté.
« Mais
c’est froid !
–
Si c’est froid, c’est parce que tu as mis trop de temps pour le boire. »
Sa
mère se leva et elle prit le bol qu’elle enfourna dans le microondes.
« Pendant
qu’il chauffe, je vais m’occuper de te faire passer l’envie de faire des
caprices !
–
Non, Maman, non ! »
La
prenant par la main, sa mère l’avait obligée à se mettre debout. D’un geste
ferme, elle courba Aurélie sous son bras, la maintenant fermement contre son
flanc.
« Non,
Maman, pas la fessée ! »
Aurélie
savait ce qui l’attendait. Ce n’était visiblement pas la première fois qu’elle
se trouvait dans cette position. Elle ne fit cependant pas un geste pour
arrêter le cours des événements, pas même quand sa mère releva la chemise de
nuit dans son dos, dévoilant les fesses qui se crispaient.
Aurélie
avait passé son bras gauche derrière le dos de sa mère et de sa main droite,
elle avait pris le bas de la robe maternelle qu’elle froissait dans son poing.
Ma belle-mère serra sa fille contre elle. Chacune savait son rôle par cœur et
s’y tenait au plus près.
« Non,
Maman, je ne le ferai plus, je vais le boire !
–
Bien entendu que tu vas le boire, mais ce sera après ceci. »
La
main tomba sur les fesses nues. Aurélie gigotait, se trémoussait, mais sans
gêner l’administration de la punition. Ses inutiles supplications laissèrent
rapidement place à des cris inarticulés, entrecoupés de vagues promesses,
interrompues à chaque claque qui déclenchait immanquablement une nouvelle
clameur aigue. Tout cela finit en une longue plainte qui ne laissait place à
aucune incertitude sur l’effectivité de la punition. Malgré cela, Aurélie
laissait sa mère aller au bout de son ouvrage, sans faire aucune ébauche de
geste susceptible de la sortir de ce mauvais pas.
« C’est
ce que ma belle-mère attend de moi, se dit Philippe. »
La
situation qui l’avait brièvement interloqué au début, lui semblait maintenant
parfaitement normale. L’opposition entre l’âge d’Aurélie et la fessée
déculottée qu’elle recevait, ne lui paraissait plus aussi évident.
« Elle
l’a bien cherché, se dit-il ! »
Il
ressentait peu de compassion pour sa compagne. Il était même plutôt satisfait
de pouvoir constater qu’ils étaient traités de la même façon. La justice
maternelle s’appliquait avec la même rigueur pour tous les deux. C’était
rassurant. La fessée déculottée sanctionnait pareillement leurs comportements
coupables. C’était équitable, il n’y avait rien à dire.
Il
devait admettre qu’Aurélie se comportait, durant sa punition, bien mieux que
lui ne l’avait fait durant la sienne. Si, comme lui, elle laissait ses plaintes
s’extérioriser sans frein, elle ne cherchait en rien à se libérer pour mettre
fin prématurément à la correction. Elle prenait une fessée comme juste
rétribution de son comportement. Philippe se demandait s’il en serait capable
un jour.
Il
resta ébahi de son propre cheminement de pensée. Il n’en était plus à l’indignation
suscitée par un traitement inadapté à sa condition d’adulte, mais à savoir
comment il pourrait faire pour subir un juste châtiment sans mériter une
nouvelle correction. L’impérieuse nécessité de se révolter à la prochaine
fessée que sa belle-mère aurait décidé de lui administrer, était loin dans ses
pensées. Il sentit fléchir sa détermination à se rebeller.
Le
signal sonore du micro-ondes qui annonçait que le bol avait atteint la
température voulue, mit également fin à la fessée. Deux bonnes claques, une sur
chaque fesse et ce fut fini. Relâchée par sa mère, Aurélie se redressa.
Des
sanglots soulevaient encore sa poitrine. Elle se frottait les yeux pour en
évacuer les larmes qui ne cessaient de couler. Sa chemise de nuit n’était
qu’imparfaitement retombée, laissant ses fesses et son pubis à moitié découverts,
mais Aurélie ne fit rien pour retrouver une tenue plus décente. Non, ce n’était
pas cela, sa tenue n’avait rien d’indécent. L’exposition de ses fesses était en
décalage avec la toison pubienne qui était exposée, mais tout le reste était
parfaitement cohérent. C’étaient les conséquences d’une légitime fessée
qu’Aurélie avait reçue. Ni elle, mi moi et encore moins ma belle-mère n’avions
rien à y redire.
Le
bol de chocolat retrouva sa place devant Aurélie.
« Tu
finis ton bol ! »
Aurélie
regarda sa mère d’un air interrogateur. Celle-ci lui vint en aide.
« Tu
restes debout. Tu en as pour une minute et après tu vas au coin en attendant
que nous ayons fini de manger. Tu ne te rappelles plus que les caprices ne sont
pas de mise ici ? »
Cette
fois-ci Aurélie ne fit aucune difficulté pour avaler rapidement le contenu de
son bol. Elle le reposa sur la table et regarda sa mère.
« Mets
ce que tu as utilisé dans le lave-vaisselle, puis va au coin ! »
Aurélie
n’eut pas besoin d’autre indication. Elle plaça son nez dans l’angle vide de la
pièce. Elle avait tout juste la place de s’y glisser, comme s’il avait été exactement
prévu pour cet usage. Elle croisa ses bras dans son dos, remontant au passage
son vêtement de nuit, dégageant parfaitement les fesses encore bien rouges.
Elle s’immobilisa, nous laissant la vue sur son postérieur dénudé. J’eus, une
nouvelle fois, la sensation d’assister à une scène qui s’était produite des
dizaines de fois auparavant. Rien n’était nouveau pour Aurélie, pas plus que
pour sa mère. J’étais le seul à découvrir ce que signifiait qu’habiter sous le
même toit que ma belle-mère.
Elle
avait suivi sa fille des yeux, probablement pour vérifier qu’aucune des
obligations liées à la mise en pénitence, n’avait été oubliée. Elle hocha la
tête, visiblement satisfaite, puis elle se retourna vers moi.
« Regarde
bien comment il faudra te tenir quand je t’enverrai au coin. Tu feras comme
Aurélie ! C’est bien compris ?
–
Oui, Madame.
–
Tu vas y aller tout à l’heure, après que je t’aurai donné l’une des deux
fessées que je t’ai promises. Observe bien comment s’y comporte Aurélie.
J’attends de toi que tu t’y tiennes aussi parfaitement qu’elle. J’espère que je
n’aurai pas à te le redire, sinon…
–
Oui Madame.
–
Cesse donc de m’appeler Madame. C’est bien trop apprêté pour quelqu’un à qui je
donne la fessée quand il l’a méritée. Par mon prénom, ce serait trop familier.
Voyons un peu… « Maman Marianne », ça devrait convenir. Après tout,
maintenant que j’ai pris en charge ton éducation et les punitions qui vont
avec, je suis encore un peu plus qu’avant ta deuxième Maman et avec mon prénom
au bout, cela me différentie de ta mère biologique. C’est décidé, tu
m’appelleras comme cela : Maman Marianne.
–
Oui Madame… euh… Maman Marianne. »
Elle
me regarda avec des yeux noirs.
« Fais
attention à ne plus te tromper, me dit ma belle-mère en fronçant les sourcils.
Il pourrait t’en cuire les fesses ! »
Je
fourrais mon nez dans mon bol et je fus très occupé, dans les minutes qui
suivirent, à boire mon chocolat. Je pestais intérieurement contre moi. J’avais
fait un pas de plus vers le renoncement à faire valoir mon âge en acceptant d’envisager
d’aller au coin. Je n’étais pas sur le bon chemin, mais je m’y trouvais
entraîné sans pouvoir revenir en arrière. Ma prochaine fessée semblait
inéluctable. Il était temps que je me reprenne.
La
fin du petit-déjeuner arrivait et je n’avais pas trouvé de solution à mon
problème. Aurélie était au coin depuis plus de cinq minutes et les sanglots
silencieux qui soulevaient sa poitrine s’étaient calmés. Ses fesses avaient
encore une couleur rose foncé. Je la contemplais furtivement, sachant que je me
dirigeais tout droit vers la même situation qu’elle si je ne trouvais pas
comment me sortir de ce mauvais pas.
Recevoir
une autre fessée déculottée, ce n’était pas possible. Je ne savais plus si
c’était d’avoir la culotte baissée par ma belle-mère lui exposant mon intimité
ou bien la rigueur de la fessée ou encore la longue station au coin à montrer
mes fesses qui m’effrayaient le plus.
Je
ne savais plus quel comportement adopter et plus l’heure de ma prochaine fessée
annoncée approchait, moins j’arrivais à réfléchir. M’opposer par la
force ? Je n’étais pas convaincu d’arriver à me défendre si je
contraignais ma belle-mère à me déculotter de force. Y arriverait-elle ?
Elle était un peu plus petite que moi et nous devions peser approximativement
le même poids, mais sa détermination était bien plus grande que la mienne.
Et
c’était la mère d’Aurélie. En venant ici, j’avais accepté ses règles. Sans
savoir en quoi elles consistaient, mais je les avais acceptées. Et je
n’arrivais pas à m’ôter de la tête que si ma compagne recevait la fessée pour
un petit caprice, il n’y avait aucune raison que je ne sois pas puni de la même
façon, compte tenu de mon comportement au cours de ma première fessée. Ce ne
serait pas juste.
Je
ne voyais pas lutter contre ma belle-mère. Je n’imaginais pas les conséquences
d’un tel acte. Je ne me sentais pas le droit de le faire alors qu’en me donnant
une fessée, puis en corrigeant Aurélie, elle avait acquis un statut d’autorité
que je ne saurai contester. Elle avait vingt-cinq ans de plus que moi, elle
était chez elle, peut-être était-ce légitime qu’elle m’administrât la fessée
quand je la méritais ?
Il
n’y avait qu’une solution acceptable : c’était qu’elle renonce d’elle-même
à me punir de cette façon. Sans doute y avait-il d’autres moyens de me faire
comprendre que mon attitude était inqualifiable ? Oui, décidément, la
fessée n’était pas adaptée à mon âge. La vue d’Aurélie, née la même année que
moi, dans son coin, venait contredire ce dernier argument.
Il
fallait que je discute, que j’argumente, que je la convainque… C’est cela,
c’est ce que j’allais faire.
« As-tu
fini de déjeuner, Philippe ? »
Même
en cherchant au fond du bol, il ne restait plus une goute à boire et j’avais
fini de manger la dernière miette de pain qui traînait à ma portée.
« Oui,
Mad… euh Maman Marianne.
–
Va ranger ton bol, tes couverts dans le lave-vaisselle et viens me voir. »
Je
savais pourquoi il fallait que je vienne la voir. Elle me désignait le sol à sa
droite et elle avait écarté sa chaise de la table pour me laisser de la place.
C’était le moment de commencer à négocier. Je devais avant tout être
irréprochable. Je rangeais la vaisselle comme elle me l’avait ordonné.
« Maman
Marianne, je voulais d’abord…
–
Je t’ai dit de venir ici, non ? Alors qu’attends-tu ? Est-ce une
nouvelle désobéissance ?
–
Non, non, j’arrive. »
Je
me précipitais, attentif à montrer mon empressement à lui obéir. Il me restait
un pas à faire pour arriver à sa portée.
« Voilà,
je voulais que nous discutions…
–
Nous discuterons tout à l’heure, après que tu auras passé un moment au coin.
Ici, j’ai dit ! »
Le
ton m’électrisa et je fis un pas vers elle, sans avoir vraiment décidé de le
faire. Elle me saisit la main et m’obligea à approcher, presque à toucher sa
cuisse.
« L’heure
n’est pas aux palabres. Tu as tenté, tout à l’heure, de m’empêcher de te
déculotter pour te fesser. Je t’avais promis une punition. C’est le
moment ! »
J’esquissait
un pas en arrière. Maman Marianne me ramena à ma place.
« As-tu
l’intention de désobéir encore ? Je pense que j’arriverai à te déculotter
et à t’allonger sur mes genoux, même si tu as décidé du contraire. Mais si
c’est nécessaire, je suis persuadé qu’Antoine serait ravi de me donner un coup
de main. Faut-il que je l’appelle ? Mais alors tu sais que je serai
obligée de sévir une fois de plus. »
Je
n’avais pas envisagé qu’elle recourût à l’aide d’une tierce personne. Et il y
avait le risque d’une fessée supplémentaire. La brève hésitation que je
marquais me fut fatale. Ma belle-mère saisit ma culotte de pyjama de ses deux
mains et elle la tira vers le bas.
« Non,
criais-je ! »
Je
me baissais pour remonter mon pantalon, mais ma belle-mère profita de ma
précipitation et du léger déséquilibre qu’il provoquait pour me faire basculer
en travers de ses genoux. J’y atterrit presque en douceur et aussitôt je sentis
Maman Marianne m’immobiliser sur place. Il fallait que je me relève.
La
première claque tomba sur ma fesse gauche. Je poussais un cri. La deuxième suivit
aussitôt.
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon, le voici : le chapitre 1
Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?
Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 3
Allez, un commentaire !
Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.
Je pense que notre petit couple va sortir de ce confinement dans de bien meilleures dispositions qu'en rentrant. Quelle bonne idée de venir se ressourcer chez maman ! Merci pour cette jolie série
RépondreSupprimerCaroline,
SupprimerJe vois que vous partagez l'ambition de Marianne : profiter du confinement pour rectifier toutes les petites et les grandes habitudes qu'Aurélie et Philippe ont prises durant leur vie sans une supervision attentive. Ils seront alors dans de meilleures dispositions.
Gageons qu'elle va y réussir !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
BjrJLG,
RépondreSupprimerToujours de bons scénarios , vous êtes le maître...
En plus des recoupements le village déjà lieu de de récits , supérette , on va peut être retrouver des personnages connus ?
Vivement Jeudi même avant j’espère
Cher lecteur anonyme,
RépondreSupprimerVous avez parfaitement compris le principe de ce blog, principe qui s'est construit chemin faisant. Les récits se répondent l'un l'autre et les personnages se croisent. Cela peut donner des scénarios intéressants.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
Supprimerdes petits détails manquants sur les ages et physiques des acteurs , très vexant si témoins plus jeunes et de sexe opposé
Vivement Demain
OUI! TOUS LES LECTEURS , JE PENSE N'ONT QU'UNE HÂTE , C'EST DE CONNAÎTRE LA SUITE .
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