LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
PEIN FEU SUR LES FESSES DE DOUGLAS ET ARISTIDE.
Quand Rodolphe rentra chez
lui pour le déjeuner, il fut agréablement surpris d'apprendre que la fameuse punition
de Douglas et Aristide, initiée par la femme de ce dernier, allait finalement
se dérouler dans son salon. Il ne
chercha pas à savoir pourquoi et fut ravi de l'occasion qui se présentait à
lui, d'assister à une double correction qui s'annonçait assez croustillante.
Cette histoire de fessées au gingembre en intriguait plus d'un et avait déjà créé la
polémique. Thérez Bellebourge, aux méthodes plutôt traditionnelles en matière
de punition n'en voyait pas l’intérêt, trouvant qu’une déculottée à la main et au martinet bien
menée, était déjà parfaitement
efficace. Cela arrangeait plutôt Gérôme, dont les fesses avaient déjà fort
à faire avec les cuisantes déculottées de Patricia pendant ses cours
d'anglais. D'autres, au contraire,
voyaient dans l'utilisation du gingembre, un excellent moyen supplémentaire d’humiliation. Rodolphe faisait partie de ceux
qui pouvait trouver ça très amusant,
tant qu'il n'en était pas victime. Sa mère ne manquant pas de saisir
la moindre occasion d'augmenter la sévérité des fessées …Rien n'était moins
sûr.
Lorsqu'il entra à la maison,
il constata que sa mère était montée dans sa
chambre pour se préparer, tandis que son beau-père, dont la punition avait déjà commencé, était en train de mettre le couvert pour
cinq personnes. Il vit que, quoiqu’il s’efforçât de faire bonne figure, il était
anxieux et pas fière du tout en songeant à ce qui l’attendait ...Toutefois,
conformément au rituel de soumission imposé avant chaque correction, il prenait bien soin de mettre en
valeur son provocant derrière, contraint
de montrer ainsi à son épouse qu’il était à sa disposition, prêt pour sa
fessée. Ses mouvements faisaient souvent
augmenter la tension de son pantalon trop serrée qui lui rentrait dans la raie
des fesses. Il le rajustait de temps en temps, d'un geste réflexe, en tirant
sur le fond et en le lissant de la paume, semblant anticiper, mentalement, la
douleur cuisante qui se substituerait tout à l’heure au contact de sa propre main.
Quelques minutes à peine
après que midi ait sonné, Régine et son mari débarquèrent de leur voiture. Ils
n’avaient pas perdu de temps en route et arrivaient à l'heure. Aristide comme
Douglas, portait un pantalon qui moulait son opulent postérieur de façon
totalement indécente et vu la finesse du tissu, en accentuait encore la rondeur provocante. Il
avait beau prendre un air presque détaché, on pouvait aussi lire, par moment,
des éclats de crainte inquiète dans son regard.
Clarisse et Régine
s'embrassèrent tandis que les deux hommes se
saluèrent discrètement. Ils n'en menaient pas large et auraient bien voulu se
faire oublier sur le moment. Serrés dans
leur pantalon, qu'ils étaient obligés de porter très ajustés, pour mettre en
évidence leurs fessiers bien pleins et rebondis, ils n'étaient pas loin du
ridicule. On aurait dit deux petits
garçons qui attendaient docilement la punition annoncée par leur maman.
Rodolphe entendit son beau-père souffler à
Aristide.
– « La fessée qu’on va prendre ... »
Comme un gamin pris en faute, Aristide secoua la main
en disant.
– « Je ne te le fais
pas dire... J'ai à peine récupéré de celle d'hier... Et elles ne sont pas du genre à nous faire de cadeau ! »
Il se tourna pour regarder
son derrière proéminent comme pour indiquer qu’il savait que c’était cette
partie de son corps qui allait faire les frais de sa mauvaise conduite.
Les deux femmes échangèrent quelques mots en les regardant avec un sourire
moqueur. Aristide tout penaud, s'approcha de Clarisse qui, comme prévu, devait
le corriger. Elles avaient décidé d'échanger les paires de fesses. Régine avait
dû lui faire la leçon.
– « Je suis désolé, Clarisse, .je vous
demande pardon … Euuh...l'idée des chaussures... Tout cela est de ma faute.
– Oh, mais pas plus que
Douglas mon ami... C'est un grand garçon qui doit être responsable de ses
actes... En principe ! »
Du même coup, Douglas,
prenant une attitude repentante, comme il savait faire semblant de l’être,
s’était planté devant Régine, la tête baissée, les mains derrière le dos, Il demande d’une petite voix craintive.
– « Vous allez me donner une bonne fessée ?
Je la mérite autant qu’Aristide, je sais
...Mais vous n'allez pas claquez trop fort mon gros derrière... s'il vous plaît. ? »
Régine, sourcils levés, à
moitié hilare, s'exclame en interrogeant Clarisse du regard.
– « Mais c'est quoi le
cinéma qu'ils nous font ces deux-là ?
Qu'est-ce qu'il
leur arrive tout d'un coup ? On dirait que c'est la première fois qu'ils
se prennent une fessée ! -- Puis, se tournant vers Douglas -- Qu’est-ce qu'il croit le petit Monsieur...
et depuis quand on décide
maintenant ? Il va recevoir la déculottée qu'il mérite. Et une sévère encore ! »
Douglas, tente de s'attirer
un illusoire soupçon de clémence. Faisant preuve d'une soudaine docilité,
plutôt propre à susciter l'agacement, il anticipe sur la demande pour montrer
sa soumission.
– « On doit se déculotter tout de suite
et aller au coin ? Ou on reste comme ça jusqu’à la fessée ? »
C’est Clarisse qui répond, après avoir échangé un clin d'œil amusé avec Régine.
– « On va d'abord se mettre à table et
vous administrer votre correction après. Un peu d'exercice après le repas, ça
facilite la digestion. ! »
Régine approuve, avec un
petit air gouailleur qui contraste avec sa distinction naturelle.
– « Ben oui, il faut qu’on prenne des forces pour vous flanquer la
cuisante fessée que vous avez méritée... Vous aussi d'ailleurs, vous devez
rester en pleine forme et garder un bon gros fessier, pour bien la recevoir
! »
Clarisse ajoute d'un ton
professoral.
– « Quand on est un mari irresponsable et désobéissant, il faut
avoir une solide paire de fesses bien développée pour que son épouse puisse lui
flanquer les bonnes raclées nécessaires à le mettre au pas ! »
Tout le monde se mit à
table ; Rodolphe à coté de sa
mère qui faisait face à Régine, assise à côté de son mari, en face de Douglas placé à portée
de main de Clarisse. Elle lui ordonna.
– « Vas chercher ton martinet et mets le
sur la table pour que tu l’aies bien en vue pendant qu’on mange...et n’oublie
pas de bien le regarder en préparant tes fesses ! »
Il obéit, tandis que Régine
réagit aussitôt.
– « Toi aussi Aristide,
tu mérites d’avoir ton martinet sous le nez et de bien le regarder pour te
préparer à la bonne fessée qui t’attend ! Va le chercher dans mon sac que j'ai posé dans
l'entrée. Ramène aussi le gingembre, qui est dans le papier ''alu''.
Il revint avec le martinet
qu’il posa devant son assiette et deux racines de gingembre qu’il avait dû lui-même éplucher et tailler à sa
convenance. Régine lui dit d'un ton autoritaire, sans réplique.
– « Ça aussi, il faut que tu l'aie sous
le nez... avant de l’avoir dans le derrière pendant les fessées …Tu vas voir comme ça chauffe ces trucs-là ! Et ça punit bien ! Et oui...voilà, il ne fallait pas mériter la fessée ! Maintenant : fessée au martinet et
gingembre dans le trou de balle ! – Elle marque un temps d'arrêt – J'adore cette expression ! C'est tout de
même plus élégant que de dire ...''dans le cul ! '' N'est-ce pas Clarisse ? » Elle a un petit
rire nerveux, comme embarrassée d'avoir dit un gros mot. ?
– Tout à fait... Et tous les
cas ils ne l'auront pas volé ! Dans le … Comme tu dis ! »
Le déjeuner ne fut pas très
long et plutôt réjouissant pour Rodolphe, ravi de pouvoir assister au
spectacle, alors que, pour une fois, son derrière n'était pas concerné par la
séance de fessée qui s'annonçait.
Aristide, installé à sa gauche avait posé devant lui son martinet et un
gingembre.
Régine lui avait fait habilement préparer les racines,
épluchées, sauf l’extrémité la plus grosse. L’autre extrémité, taillée en cône
comme une carotte, mais avec des irrégularités dues à sa forme bizarre
présentait des petites bosses et un renflement près du bout non épluché.
Rodolphe regardait cet engin
avec une appréhension respectueuse, en essayant de s’imaginer ce qu’on devait
ressentir avec un tel thermomètre dans le derrière. Qui, en plus, et d’après ce
qu'il avait entendu, se mettait à chauffer terriblement au bout de quelques
minutes, pendant qu’une main vigoureuse vous fessait ou qu’un martinet aux
multiples lanières vous cinglait le derrière ! D’après le visage de Douglas qui
déglutissait difficilement quelques bouchées, l’air anxieux, il devinait la
crainte qu’il était en train d’éprouver. Aristide, quant à lui, s’efforçait de
paraître décontracté, bien que sa voix s’étrangle parfois. De temps en temps, il se passait la main sur
la partie de ses fesses
Qu’il pouvait
toucher tout en étant assis, comme si elle voulait s’assurer de la capacité de
son postérieur à encaisser la punition qui l’attendait...
Clarisse l’air plutôt
guilleret, s’adressa à la ronde.
– « Dommage qu'on n'ait
pas invité Bettina, c'est tout de même elle qui a eu la fameuse idée du
gingembre. Elle se serait régalée à voir nos deux incorrigibles maris se
prendre une bonne déculottée. »
Régine rétorqua, l'air
informé.
– « Mais, tu n'es pas au courant. Je crois
qu'elle ne peut pas sortir en ce moment, elle s'est fait un claquage aux genoux ; »
Clarisse, que la perspective
de la séance de punition rendait décidément d'humeur joyeuse, se trémoussa de
façon comique sur sa chaise en remuant la tête. Elle lança comme une boutade.
– « Pfffff ! Un claquage du genou ! Moi je
ne sais pas ce que ça veut dire : un claquage du fessier, oui, ça je connais... Mais un claquage du
genou ? C’est quoi ça... hein ? Un bon claquage des fesses d’accord ! Toi aussi
Régine tu sais ce que ça veut dire ...Mais le genou... ? »
Les deux femmes éclatèrent
de rire et, encouragé par leur réaction, Rodolphe, de plus en plus à l'aise,
fit de même de bon cœur. Douglas
avait esquissé un sourire en entendant la plaisanterie, mais ce sourire
s’effaça bien vite. Voyant le jeune
homme ne plus pouvoir s'empêcher de rire, il lui lança sur un ton
désapprobateur.
– « Ah toi, ça te fait rire ! »
Rodolphe fait l'innocent et
essaye une diversion.
– « C’est vrai ça
...pourquoi on dit un “claquage” du genou ? »
Tandis que Régine s'amuse
ouvertement du petit côté absurde de la conversation, Clarisse le reprend en
haussant les épaules.
– « Pourquoi ? Pourquoi ...
C’est toujours pourquoi ! Pourquoi ci ? Pourquoi ça ? Ce que tu peux être
agaçant ! On dirait un gamin ; il
faudrait que tu grandisses un peu !
C’est une expression ...et voilà !
– Ben oui …j’aurais dû m’en douter ...une “expression” bien
sûr... »
Tout d'un coup refroidi par
le ton de sa mère, Rodolphe se retient de ricaner et réalise. Parler de
claquage de fesses, devant elle... il valait mieux ne pas insister.
A ce moment Régine,
soucieuse d'éviter la dispersion, revint au sujet du jour.
– « Figure toi
qu'Aristide devait savoir qu'il avait fait une grosse bêtise... Il avait caché
sa boite de chaussures au fond du placard de notre chambre... Je te dis pas la
fessée que je lui ai mise ! »
Aristide tout rouge de honte.
– « Ben oui, je voulais te demander la permission avant de
les mettre …
– Mais bien sûr... je vais
te croire mon ami... C'est avant de les
acheter que tu aurais dû me demander la permission.
– Fallait se décider tout de
suite. Madame Delignières nous
faisait un prix parce qu’on prenait deux paires avec Douglas... »
– Et bien nous aussi on va
vous faire un prix ! Les fessées, c'est comme les chaussures, ça va par
paires... Vous allez même en prendre deux... chacun ! »
-
On n'entendit plus les deux
hommes jusqu'à la fin du repas. Privés
de dessert, ils attendirent sagement que chacun et chacune ait fini sa part de
tarte avant de se prendre les leurs, de tartes... mais sur les fesses. Pendant
qu'ils débarrassaient la table pour servir le café, Clarisse et Régine discutaient
tranquillement, devant eux, du déroulement de leur correction.
– « Alors ...la fessée
? – Demande Clarisse – On les déculotte maintenant, on les met à plat ventre sur nos
genoux tout de suite, et on les fesse l'un après l'autre ou tous les deux en
même temps ? »
Régine, un peu perverse,
décide de prendre son temps, et s'amuse à prolonger l'atroce attente de la
punition.
– « On pourrait demander l'avis de ces Messieurs. Ils
ont peut-être une
préférence. »
Douglas et Aristide se
regardent, manifestement embarrassés et très inquiets à l'idée de risquer une
fessée supplémentaire s’ils ne
répondent pas à la question qui leur est posée. Ils
n'ont pas le loisir de réfléchir longtemps. Régine coupe court.
– « On s’est mis d’accord avec Clarisse,
vous allez recevoir les fessées méritées,
croyez-nous et vous allez vous en souvenir ! Pour le moment, vous allez attendre au coin tous
les deux, pendant qu’on boit tranquillement
notre café. »
Clarisse intervient à son
tour.
– « Là-bas devant la porte fenêtre grande
ouverte, le pantalon baissé, les mains sur la tête et vos grosses fesses bien
tendues, bien en vue … Et quand on vous le dira : toi, Aristide sur mes genoux, et toi Douglas sur les genoux de
Régine... Et en bonne position tous les deux pour recevoir votre première
fessée. »
Et Régine de conclure.
--« Toi, Aristide, avant d’aller au coin, tu vas
chercher ta boite de chaussures dans la voiture … Parce, n’oubliez pas
Messieurs, qu’après les premières fessées, vous allez les reporter au magasin
où vous les avez achetées et vous faire rembourser ! Mais attends... Lève-toi, tourne-toi et baisse ton pantalon
! »
Aristide n'a pas le choix.
Il sait ce qu'il doit faire et comment il doit le faire. Il obéit et se déculotte docilement en
gonflant son derrière qu’il fait onduler pendant qu’il se penche en avant pour
descendre son pantalon. Son postérieur
provocant apparaît, solidement culotté dans un slip à
fessée ultra serré, les deux généreux globes fessiers, séparés par la raie
profonde bien dessinée, débordant largement des élastiques. Elle rit et lui
balance alors une paire de claque qui retentit sur les fesses bien charnues.
- « Allez ! File ! à la voiture, chercher tes
chaussures ! »
Il obéit sans broncher et le
pantalon sur les chevilles, se précipite comme il peut, jusqu’à leur voiture garée un peu plus
loin dans la rue, son imposante paire de fesses bien rebondies se balançant à
la vue de tout le monde.
Douglas regarde la scène en
soupirant. Il a compris, comme Rodolphe, qui lui, s'en réjouit, que les deux
épouses vont vouloir se montrer chacune plus sévère que l’autre. Clarisse
s'étant vantée il y a peu, qu'elle savait mieux corriger son mari que Régine.
En échangeant les paires de fesses, c'est aux époux que reviendra la tâche
douloureuse et humiliante de désigner celle qui flanque les plus cuisantes
fessées. Ces dames ont convenu, sans cette fois demander l'avis de leur mari,
que la gagnante flanquera un fessée déculottée supplémentaire à chacun, l'un
après l'autre, pour confirmer qu'ils ont fait le bon choix. On est sévère ou on ne l'est pas !
Aristide revient en se
dandinant comme un pingouin, sa boîte de chaussures à la main, et la pose sur
la table autour de laquelle tout le monde est encore assis. Sauf Douglas, en
train de débarrer le service à café.
Contraint par son épouse et obéissant, il est toujours attentif à
exposer son volumineux postérieur étroitement moulé dans son pantalon serré. Il
revient de la cuisine en marmonnant entre ses dents pour ne pas trop se faire
remarquer.
« Tu parles, ils ne voudront jamais les reprendre les
chaussures ! »
Clarisse avec un sourire
complice en direction de Régine.
– « Hé bien c'est très simple, si vous revenez avec, vous aurez
double ration de martinet Aristide, du bout des lèvres.
– « De toute façon, on va le
recevoir le martinet ...alors ... »
Régine, que la manière de
répondre des deux hommes comme des gamins mal élevés, commence à agacer.
– « Oui mais je peux te garantir qu’il
vous cuira encore mieux les fesses … Vous direz à Astride que vos femmes viennent de vous donner
une bonne fessée et qu'elles vont vous en flanquer une autre encore plus
sévère, si on ne vous reprend pas les chaussures. »
Douglas hausse les épaules.
– « Tu parles comme elles s’en fichent …cela la fera bien rigoler,
au contraire ...je la vois d’ici madame Delignières, qui flanque des raclées à son
mari, elle aussi, à longueur de temps ! »
Aristide, sur la lancée, s'enhardit et
enchaîne.
– « Oui, et leur vendeuse là... Géraldine, la
nièce... je l'entends la petite vicieuse... Ah, une autre fessée, plus
sévère... Bienfait ! Avec le gingembre enfoncé dans le derrière, que ça
vous chauffe bien ! Excellent pour les fesses !... Fallait
réfléchir avant d'acheter ... ! »
Les deux femmes se lèvent pratiquement en même,
sourcils froncés, le regard noir. Elles
n'ont pas du tout apprécié les velléités de contestation de leur mari.
Régine explose.
– « Aristide, ça suffit ! Tu te
mets à discuter maintenant... ! Allez, au coin ! A genoux ! Tu vas prendre cher mon ami !
Douglas
se retrouve mis dans le même sac, bien qu’il esquisse déjà, en
direction de son épouse, l'air navré de celui qui se rend compte, trop tard, avoir franchi la ligne rouge. En signe de soumission et de repentir, il a
beau commencer à baisser son pantalon avant même qu'elle le lui demande. Pour
toute réponse, elle lui faire sauter les fesses d’une vigoureuse paire de
claques.
– « Toi aussi Douglas ! A genoux ! au coin ! Et vous allez
voir tous les deux ! On va vous apprendre à contester ! »
Il obéit immédiatement, et tenant son pantalon
baissé au niveau des cuisses, se précipite pour aller s’agenouiller près
d'Aristide. Tous les deux bombant bien leur volumineux postérieur, penchés en avant, reins creusés, les mains sur la tête. Ils ont
perdu toute assurance. Rodolphe se
régale, d'autant plus que personne ne semble faire attention à lui,
Le moment est venu de
commencer les festivités. Clarisse et Régine se sont installées, l'une sur la
chaise à fessées, l'autre sur le tabouret investi de la même fonction, et
ordonnent à leur époux de venir
chercher leur fessée. Fortes de leur autorité, et de la maîtrise de la
situation, elles prennent tout leur temps pour positionner à leur guise les
plantureux fessiers étalés sur leur
genou, sans se soucier des réactions de leurs victimes qui se laissent
faire docilement.
Clarisse
interpelle Rodolphe qui sursaute, Il était, jusque, là persuadé qu'on
avait oublié sa présence.
– « Vas dans la salle
de bains et rapporte nous le tube de Dolic ! »
Elle demande à Régine.
– « Tu
veux un gant de crin aussi ? »
Sans attendre la réponse
elle continue en s’adressant
toujours à son fils.
– « Rapporte aussi le gant de crin et, en revenant, prends le
gingembre qu’Aristide a posé sur
la table. »
On entend les deux hommes
pousser un gémissement craintif. Rodolphe se hâte vers la salle de bains et, sans état d’âme, s’empare
du Dolic et du gant
de crin. Il est plus embarrassé devant les racines de gingembre. Il a tant
entendu sa mère, Bettina et madame
Delaniaires, se raconter qu’au bout de deux minutes, cette racine diabolique
déclenche une cuisson qui rapidement devient plus intense que des piqûres
d’orties et ne disparaît partiellement qu’une bonne demi-heure après le dernier contact, qu’il appréhende de les saisir. Il enfile l’attache
du gant sur son petit doigt et prend délicatement une des racines entre le
pouce et l’index de la même main. De l’autre main, il tient
la deuxième racine de la même façon et enserre le tube dans les trois doigts
restants. Clarisse a un petit rire ironique en le voyant arriver, portant si
précautionneusement son petit chargement. Elle lui demande d’avancer une
troisième chaise entre elles et Régine,
et de tout y poser. Ce qu'il fait avec soulagement et fierté,
conscient de son utilité !
Régine, pour se faire la
main, a déjà commencé par fesser vigoureusement le derrière de Douglas.
Alternant les allers et retours, à travers son slip et avec insistances, sur
les parties qui débordent des élastiques. Une bonne série de cuisantes claques
sonores bien appliquées et suffisamment fortes pour obtenir rapidement l'effet
recherché, des pleurs et des supplications et des premiers bondissements de ses
fesses
Clarisse, a débuté de la
même façon. Après une
bonne fessée préparatoire, elle a
continué par une friction sans ménagement du remuant postérieur
d'Aristide, qu'elle avait entièrement déculotté pour faciliter l'opération. Il s’est mis à gémir de douleur en la suppliant.
– « S’il vous plaît
Clarisse, pas si fort ! pas si fort ! J'ai déjà les fesses en
feu ! »
Régine au contraire encourageait Clarisse.
– « Ne t’occupe pas de ses
pleurnicheries !... Il a besoin d’être dressé ! Avec sa grosse paire
de fesses bien entraînée, il peut supporter, c’est ce qu’il lui faut ! Ne
l’écoute pas et mets-lui-en une bonne
couche, ça va lui faire du bien ! »
Clarisse ne se le fait pas
dire deux fois.
« En plus il y a une belle surface à
couvrir ! »
De sa main droite
abondamment enduite, elle applique soigneusement le Dolpic sur les fesses rebondies devenues toutes
rouges. De la même manière, Régine, après une cuisante fessée de préparation
qui avait également porté au rouge les volumineuses fesses rondes de Douglas,
les avait entièrement déculottées et les astiquait maintenant au Doplic avec vigueur. Le malheureux criait en se
trémoussant sur ses cuisses dont les jarretelles tendues lui irritaient le
ventre.
– « Raaaaaiiie !!! C'est trop ! Ça chauffe !! Ça chauffe dur ! »
Aristide répondait sur le
même registre, trépidant
du derrière sous le cuisant passage de pommade.
Les deux fessiers devenus
écarlates, les épouses prirent chacune une racine de gingembre. Douglas, soumis
mais tout en suppliant, avait écarté ses fesses à deux mains, pendant que
Clarisse, sans hésitation avait exhibé l’anus d'Aristide, entre son pouce et
l’index. L'’introduction progressive mais rapide des deux racines punitives fut
simultanément accompagnée de divers gémissements douloureux vite suivis de
plaintes sonores. ;.
– « Oualaa... ça “ Sa pique …oh ça brûle …ahhhrrr …ça cuit … ! »
Les plaintes et
supplications venaient aussi bien de l’un que de l’autre des deux punis. Leur
volumineux derrière, tendu à l’extrême était maintenant garni d’un gros rondin solidement enfoncé qui les empêchait de serrer les
fesses et leur ferait subir une humiliation supplémentaire pendant la fessée.
Les fesses des deux punis
ayant été mises en condition par l’application du Dolpic, après, la friction préalable au gant de crin
et, une fessée d'échauffement bien claquante, leur derrière une fois de plus
mis dans la meilleure position et planté d’une belle racine de gingembre au
milieu ...les deux fessées commencèrent simultanément.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 35
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bravo M RAMINA
RépondreSupprimerLes épouses sévère qui pratique la discipline domestique avec leur mari j'adore
Je connais le martinet ,poire ou canule à lavement dans le petit trou mais jamais le gingembre J'ai connu une chipie qui elle avais connue la double pénétration au gingembre ,elle n'avais pas résisté plus d'une minute tellement c'était atroce .Ce forum est t'il visité par des personnes homme ou femme qui peuve témoigner sur le gingembre
Jojobonno
Bonjour Ramina, bonjour Jojobonno,
RépondreSupprimerLa fête des... Paires approche (Rires) !! Pour un premier cadeau, ça ne manque pas de piquant !!!! Ces Dames se surpassent en cuisine : Perdreaux farcis au gimgenbre sur lit de Dolpic ! Au menu du jour ! Avec les compliments de la cheffe en cuisine !
Toujours aussi faux-jeton, Rodolphe ! Mais, Maman Clarisse n'en a pas fini avec lui. Gérome est aussi transparent que du papier calque !!!
Mais Miss Pat et maman Térèze veillent au grain !!!
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
SupprimerOula la! jeux de mots en cascade ! Amusant comme tu tournes très souvent autour d'un vocabulaire culinaire... Fin gourmet ?
Effectivement Rodolphe se surpasse dans la fourberie ... mais gare aux retours de fessées ! Maman Clarisse à la main leste... Quand elle en aura terminé avec les fesses de Douglas:(rire)
Oui Gérôme, comme Robin, est pour le moment un peu en retrait... transparent comme tu dis,(re-rire) mais patience. Un fois réglé le sort de Douglas et Aristide, leur derrière ne va pas tarder à revenir sur devant de la scène ... Une sombre histoire de frites !!
Mais chuuuuut!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerLa cuisine est un des plaisirs les plus simples dans notre
existence. Parallèle entre deux passions... dévorantes.
Cependant, je ne suis malheureusement pas un fin gourmet, ni même... un gourmand ! Mais bon, il faut bien se sustenter.
"la cigale alla crier famine chez la fourmi sa voisine...".
Amicalement. Peter.
Bonjour Jojobonno,
RépondreSupprimerCette histoire de gingembre, me semblait plutôt anecdotique. Elle m'est à l'origine racontée par un correspondant à travers des souvenirs ... Apparemment l'étonnante utilisation de ce condiment,semble effective avec les effets que l'on devine... C'est comme le Dolpic... ça pique ! Dans la nature tout est possible n'est ce pas ? J'ignore si des personnes peuvent en témoigner.
Cordialement
Ramina