Je ne pus retenir ma main droite qui alla protéger mes fesses. Sans marquer une pause, la main de Maman Marianne se déplaça sur le haut de mes cuisses. Je la suivis, mais j’avais toujours un temps de retard, laissant à ma belle-mère le choix de l’endroit où elle appliquerait sa main. Ce jeu, qui n’en était pas vraiment un pour moi, dura quelques dizaines de secondes. Je perdais à tous les coups. J’avais l’impression que protéger mes fesses ne servait à rien. La main trouvait toujours un endroit dégagé où claquer la peau de mes fesses. Maman Marianne m’ayant fait la démonstration de l’inutilité de mes tentatives pour me protéger, décida de passer à du plus sérieux.
« C’est
la dernière fois, que tu couvres tes fesses de ta main pour gêner l’administration
d’une fessée. La prochaine fois, je finirai ta correction avec la règle.
Maintenant, tu enlèves ta main et tu me laisses terminer. »
J’ignorais
ce premier avertissement. Cela eut le don d’agacer ma belle-mère.
« Philippe,
ça suffit ! Dernier avertissement ! Je vais aller chercher la
règle ! »
Je
n’avais, évidemment, jamais reçu de fessée avec une règle. Je ne savais pas
combien il s’agit d’un instrument redoutable quand il est utilisé pour de
donner une fessée. Mais le seul fait que Maman Marianne envisageât de s’en
servir pour châtier ma désobéissance, me suffit à prendre la menace au sérieux,
ce qui ne me convainquit pas de me rendre à ses arguments. Ma main ne bougea
pas de là où elle était.
« Comme
tu veux ! Je t’aurais averti de ce qui allait t’arriver ! »
Ma
belle-mère me fit glisser de sur ses cuisses et je tombais à genoux à ses
pieds.
« Tu
ne bouges pas de là. Tu m’attends ! »
Je
n’étais plus capable de prendre la moindre initiative tant mes fesses et mes cuisses
me cuisaient. Je ne me rendais plus compte du spectacle que je donnais : à
genoux au milieu de la cuisine, le pantalon et la culotte baissés, frottant mes
fesses des deux mains. Il ne me venait pas à l’esprit ni que je pourrais
m’enfuir, ni que je pourrais couvrir mes fesses. Mon répit fut de courte durée.
Maman
Marianne revint. Elle tenait à la main une règle plate en bois. Elle reprit sa
place et l’un de ses bras me ceinturant le buste et l’autre passé entre mes
jambes, elle me replaça à plat ventre sur ses genoux, parfaitement disposé pour
la suite de ma correction. Je la laissais faire, uniquement préoccupé de la
fournaise qui embrasait mes fesses.
J’avais
laissé ma main en protection, doigts écartés, couvrant le maximum de la
surface. Malgré cela, la règle trouva son chemin, juste sous le bout de mes
doigts, sur le haut de ma cuisse, là où elles rejoignent le fessier. Je
hurlais. Avec la règle, c’était une autre histoire que simplement avec la main.
J’avais cru, précédemment, atteindre l’insupportable. J’étais loin du compte.
En
déplaçant ma main pour couvrir la surface dont la règle venait de s’occuper,
j’en découvris une autre partie qui fut aussitôt l’objet de l’attention de
Maman Marianne. La règle y claqua trois fois, m’obligeant à protéger cet
endroit, ce qui en laissa un autre sans protection. La règle s’y abattit. Ma
main gauche était inutile. Plaqué contre le ventre de ma belle-mère, je
n’arrivais pas à ramener mon bras en arrière. J’avais pourtant désespérément
besoin de ma deuxième main pour espérer mettre la totalité de mon épiderme
fessier à l’abri des morsures de la règle.
Maman
Marianne continua ce petit jeu pendant un bon moment. Elle arrivait à chaque
fois à trouver un espace découvert et elle y appliquait la règle, renforçant la
cuisson de mes fesses. Puis, elle changea de tactique. La règle s’abattit sur
mes doigts. Je laissais ma main en place quand elle recommença, mais je dus
l’enlever suite la troisième fois. Cela faisait trop mal.
L’avalanche
de coups de règles sur mes fesses me fit hurler. Je craquais. Entre deux
sanglots, j’émettais un salmigondis de supplications et de demande de pardon
ainsi que de promesses que j’étais bien incapable de tenir. Quand je remis la main, les coups sur les doigts reprirent. Trois ou quatre fois, je recommençais
le même manège auquel Maman Marianne répondait en frappant alternativement sur
mes fesses ou sur mes doigts. Je n’en pouvais plus.
A
part ma main qui naviguait au gré de l’endroit où Maman Marianne appliquait la
règle, je ne faisais plus rien pour m’opposer à la fessée. Je restais en
position, sans chercher à fuir les genoux où pourtant ma situation n’avait rien
d’enviable. C’est sans doute ce qui décida ma belle-mère à suspendre la
correction qu’elle me donnait. Il fallait passer à la phase suivante.
« Philippe,
je veux que tu retires ta main et que tu me laisses te fesser. Si je le fais,
c’est pour ton bien. Pour que tu comprennes que les punitions que je te donne
te seront profitables. Tu dois l’accepter. Ce n’est que le premier jour, où tu habites
chez moi, mais tu y seras soumis tant que tu seras là. Nous avons pu constater
tous les deux que tu en as besoin, n’est-ce pas mon garçon ? »
Si
on m’avait dit, la veille, que j’écouterai attentivement ma belle-mère
m’expliquer qu’elle devait me donner la fessée, allongé en travers de ses
genoux, mon pantalon de pyjama entourant mes chevilles, j’aurais cru à une
plaisanterie de mauvais goût.
« Oui. »
Une
claque sur les fesses me fit prendre conscience de ma désinvolture.
« Oui,
qui ?
–Oui,
Maman Marianne. »
Si
on avait rajouté que j’abonderais alors dans son sens, j’aurais pris mon
interlocuteur pour un demi-demeuré. Je ne réagis pas quand elle posa sa main
sur mes fesses nues et qu’elle commença une légère caresse. L’heure n’était
plus à la pudeur. Il était entendu qu’elle avait accès à mes fesses. Qu’elles
soient dénudées n’importait plus à personne, et en particulier plus à moi.
« Plus
jamais, quelles que soient les circonstances, et qui que ce soit qui te donnera
la fessée, je ne veux plus que tu mettes ta main en protection. »
J’étais
tellement obnubilé par la fessée qui était en cours, que je ne notais pas
l’allusion aux autres personnes qui seraient amenées à me punir.
« Voilà
ce que nous allons faire. Tu vas enlever ta main et je ne veux plus la voir là,
même quand tu auras une très sévère fessée. Plus jamais ! Dis-toi bien que
ce sera que tu l’as méritée et que tu en as besoin. »
Je
ne trouvais rien à dire pour contrecarrer l’argument qui m’était exposé.
« Enlève
ta main maintenant ! »
J’obéis
avec regret, mais sans hésiter.
« Je
vais reprendre la fessée avec la règle, assez longtemps pour que je sois
certaine que ta main ne reviendra pas. En fait, je vais reprendre la fessée à
zéro. Ce que tu as reçu jusqu’à maintenant ne compte pas. »
Je
fis une grimace que Maman Marianne ne remarqua pas. J’avais encore de
difficiles moments à passer.
« Ton
ardoise s’est allongée. Je t’avais promis une autre fessée, en plus de
celle-là, bien sûr. A cause de ce que tu viens de faire, tu en auras une de
plus. Mais si je revois ta main, j’irai cueillir une badine et tu feras
connaissance avec elle. Je te conseille de bien réfléchir avant de faire
connaissance avec elle. On s’en souvient plusieurs jours, n’est-ce pas
Aurélie ?
–
Oui Maman, répondit ma compagne sans quitter la position qu’elle tenait.
–
Allons-y ! »
Je
n’eus pas le temps de serrer les dents. Ce nouveau coup de règle sur mes fesses
avait ravivé toute la douleur qui s’était un peu assoupie durant le discours de
ma belle-mère. Un seul coup avait suffi. Le cri que je poussais fut interrompu
par la deuxième fois où la règle marquait mon postérieur. Ma main partit en
arrière, mais je réussis à la retenir. La règle, une nouvelle fois. Je tenais
maintenant le pied de la chaise sur laquelle siégeait ma belle-mère. Je m’y
accrochais plus fortement, mais il n’y eut plus de mouvement de mon bras.
« C’est
bien, mon garçon ! Nous allons pouvoir tranquillement finir cette
fessée ! »
Je
ne sais pas si tranquillement était un mot qui me convenait. Je n’avais pas
cette impression. Mes pleurs avaient repris et je battais des pieds dans le
vide et ma tête remuait de droite à gauche et inversement. Maman Marianne
devait considérer que tout était normal, car elle ne me fit pas une remarque
sur la façon dont je me comportais.
Quand
la fessée s’arrêta, je retombais inerte sur les genoux de ma belle-mère. Je ne
cessais pas de pleurer pour autant. Elle posa sa main sur le sommet de mes
fesses. Je sentis un frisson remonter le long de ma colonne vertébrale. C’était
à la fois douloureux et apaisant, surtout quand sa main se mit à fait des
cercles concentriques, effleurant à peine ma peau.
« Là,
là, c’est fini. Tu as été un vilain grand garçon et tu en as été puni. Je suis
certaine que tu seras sage, maintenant. »
Elle
continua son long massage quelques instants, tout en me rappelant qu’elle
attendait de moi une obéissance sans faille.
« Je
sais bien que ce n’est pas simple, pour un grand garçon qui a pris de mauvaises
habitudes, comme toi, mais tu vas de venir bien obéissant. »
Son
ton était calme. Elle parlait tout doucement. Mes sanglots s’étaient calmés,
mais les larmes continuaient à couler de mes joues.
« Oh,
je sais que ce ne sera pas du premier coup. Il faudra d’autres fessées, à
commencer par celles d’aujourd’hui. J’espère pour toi qu’elles ne seront pas
aussi nombreuses tous les jours. Mais s’il le faut… »
Nous
étions à mi-chemin entre la consolation et la promesse de futures corrections.
Je n’avais pas envie de bouger de là. Elle me traitait comme un enfant, son
enfant et je savourais la douceur du moment, malgré mes fesses brûlantes.
« Allez,
debout ! Il faut que comme Aurélie, tu ailles réfléchir au coin,
maintenant. »
Ce
n’était qu’un tapotement sur les fesses, mais il suffit pour raviver la
douleur.
« Ah,
oui, je sais ! Ça fait mal ! Mais c’est bien l’effet recherché quand
on donne une fessée, non ? »
Elle
m’aida à me relever et je ne pris pas garde à ce que mes attributs sexuels
soient exposés à quelques dizaines de centimètres de ses yeux. Cela n’avait
plus d’importance, comme si, en moins d’une heure, elle avait acquis le droit
de contempler mon intimité ou que j’avais perdu celui de la dissimuler à sa
vue.
« Tu
as vu comment Aurélie se tient quand je la mets au coin ? Je veux que tu
fasses pareil, tiens, là-bas, à l’angle du mur et de ce placard. »
Je
démarrais un peu vite, oubliant mon pantalon qui entourait mes chevilles. Je
rattrapais mon équilibre de justesse. C’est alors que je pris conscience de ma
tenue et de son caractère déplacé en présence de ma belle-mère. Je posais mes
mains devant mon sexe.
« Pas
de ça, mon garçon ! D’abord, en te déculottant j’ai pu voir tout ce que tu
veux me dissimuler et ensuite, je compte sur la honte que tu ressentiras quand
tu seras déculotté, pour que tu te souviennes bien de la punition et de la
bêtise qui l’a motivée, surtout quand ce sera en présence d'autres personnes. Tu ne te comportes pas comme un adulte responsable, ta pudeur n'est donc plus de mise ! »
Elle
appuya ses dires d’une claque sur le haut de ma cuisse. Je retirais mes mains.
« Sois
certain que ce n’est que la première fois où il sera nécessaire de te
déculotter pour te punir. Il y aura d’autres occasions. Tant que tu agiras
comme un vilain garçon désobéissant, il n’y a aucune raison que tu ne sois pas
traité comme le garnement que tu es. Il n’y a donc pas de souci à ce que tu
montres tes fesses. Tout le monde saura ainsi que tu as été puni comme le
méchant vaurien que tu es. »
Une
autre claque me fit démarrer vers le coin. Je m’y plaçais exactement comme
Aurélie l’avait fait dans le sien.
« Parfait !
Sois sage ! pas de mouvement, pas de bruit, quel que soit ce qui se passe
dans la maison. Tu ne bouges pas de là avant que je t’en donne
l’autorisation. »
Cela
faisait bien dix minutes qu’Aurélie se tenait en pénitence. Allais-je y rester
aussi longtemps ? Maman Marianne sortit de la pièce.
Les
seuls bruits que j’entendais, venaient de la maison. Ils étaient lointains,
dans une autre pièce. Sans doute Maman Marianne qui s’y livrait à une
mystérieuse occupation et il n’était pas question que j’aille voir. Dans la
cuisine le silence régnait. Je n’entendais pas Aurélie, pas même sa
respiration, y compris quand j’arrêtais la mienne pour avoir un silence encore
plus complet.
Les
élancements qui provenaient de mes fesses suffirent à m’occuper pendant les
premières minutes au coin. Je ne savais pas qu’une fessée pouvait faire aussi
mal.
« Il
est probable que mon postérieur sera couvert de bleus demain, me
disais-je. »
J’envisageais
avec appréhension les deux autres fessées que je devais recevoir dans la
journée.
« Mon
épiderme sera-t-il en état d’en supporter autant ? »
Je
ne voyais pas comment expliquer à Maman Marianne qu’elle risquait de m’abîmer
durablement la peau. Elle semblait si résolue à me les administrer. Cette
réflexion plomba mon moral. Que de changement en moins d’une
demi-matinée ! Je ne me posais plus la question de savoir si ma belle-mère
avait le droit de me punir et de me déculotter pour me fesser. Tout cela était
maintenant une évidence pour elle, comme pour moi. Il était question de savoir
si mon comportement durant la correction me vaudrait une autre punition et
combien je pouvais en recevoir dans une journée.
Apparemment,
pour Aurélie, recevoir la fessée de la main de sa mère était acquis avant
qu’elle n’arrivât chez elle hier soir, pour moi, cela n’avait pris qu’une bonne
heure. Je ne voyais plus comment revenir en arrière. Il me faudrait supporter
les deux fessées prévues et certainement beaucoup d’autres.
Je
me surprenais à ne trouver aucune indignation en moi, aucune rébellion contre
le droit que ma belle-mère s’était arrogé. Je ressentais plutôt de la
résignation et du fatalisme. Puisqu’elle avait jugé que j’avais besoin d’une
fessée, c’était surement vrai. Je n’avais nullement l’intention, plus
maintenant, de discuter de sa légitimité à exercer une autorité sur moi, ni des
moyens qu’elle avait décidé d’employer pour y arriver.
Arriver
à cette conclusion me désespéra et me tranquillisa tout en même temps. J’étais
entraîné dans un engrenage et je ne savais plus comment m’en défaire mais je
pouvais aussi sentir toute l’attention que ma belle-mère m’accordait et ça, à
part avec Aurélie, mais ce n’était pas de même nature, cela faisait longtemps
que ça ne m’était plus arrivé.
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon, voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 2
Et le précédent : le chapitre 2
Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?
Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 4
Allez, un commentaire !
Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.
Bravo pour ce récit, maintenant les choses sont bien établis. Tout deux savent a quoi s'attendre s'ils sortent du droit chemin.
RépondreSupprimerOH QUE OUI ! CAROLINE , JE CROIS QU'À L'AVENIR , CETTE " CORRECTION " FERA RÉFLÉCHIR !
SupprimerUne fessée déculottée de maman rien de mieux pour remettre les choses en place ma chère Caroline.
SupprimerSylvie
Absolument ma chère Sylvie.
SupprimerEH BIEN MOI PERSONNELLEMENT , CE NEST PAS MA " BELLE- MÈRE " QUI M'A DONNÉ UNE MAGISTRALE FESSÉE DÉCULOTTÉE ,( DISONS PLUTÔT ENTIÈREMENT DÉNUDÉ ) DEVANT SES 4 ENFANTS , DONT MA COMPAGNE , ET SON PETIT GARÇON ÂGÉ DE 7 ANS ET QUI EN RECEVAIT DE LA MAIN MÊME DE SA MÈRE ! J'AVOUE N'AVOIR PAS ÉTÉ TRÈS FIER , CE JOUR LÀ ( QUI N'EST PAS SI LOINTAIN ) , JAMAIS JE N'AURAIS PU PENSER , UN SEUL INSTANT , QUE CETTE PRESQUE QUASI CENTENAIRE EUE SUFFISAMMENT D'ÉNERGIE , POUR ME ROUGIR LES FESSES , COMME UN PETIT GARÇON DÉSOBÉISSANT ! ELLE ME PROUVA LE CONTRAIRE .
RépondreSupprimerLA SUITE SERA CROYEZ MOI TRÈS CROUSTILLANTE .
Moi j'ai 22 ans et ma femme a 30 ans et très autoritaire elle applique la discipline comme sa mère si je fais un faux pas c'est une fessée cul nu assurée même si il y a du monde à la maison car elle dit qu'une fessée sa n'attends pas hier soir c'était devant ses parents et sa mère la félicitée puis elle ma mis au coin pour méditer pendant 10 minutes puis elle ma pris sur ses genoux pour me consoler car je pleurais toujours et ma belle mère me disait que c'était pour mon bien et que son mari en recevait de temps en temps, puis ma femme a été chercher une couche culotte qu'elle ma mis devant mes beaux-parents avant le repas du soir
RépondreSupprimerRien de tel qu'une fessée déculottée surtout en public.
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