Sylvie fronça les sourcils.
- à ce que je vois, cette demoiselle n'a pas suivi mes recommandations
d'être sage. Vous avez dû sévir ?
Madame Costa acquiesça.
- oh, vous savez avec ces jeunes femmes, ce n'est pas d'emblée
que l'on obtient l'obéissance, il faut souvent remettre la fessée sur le métier
comme on dit. Regardez Monique est devenue une jeune fille parfaite depuis qu'Elodie
et moi lui inculquons les principes d'une bonne éducation. Une de mes anciennes
institutrice disait que les fesses entendaient beaucoup mieux que les oreilles.
Monique n'a reçu aujourd'hui que la fessée matinale. Elodie vous n'aurez pas beaucoup
de travail ce soir, juste une petite fessée.
Elodie souriait, satisfaite des compliments.
- rien n'est moins sûr, vous savez que madame à quand même
besoin de plusieurs déculottages par jour, mais c'est vrai que ses fesses perdent
de temps en temps leur belle couleur rouge.
Florence Costa tapa dans ses mains.
- bien mesdemoiselles, venez ici, Caroline tu gardes les mains
sur la tête.
Les deux punies se présentèrent devant leur institutrice,
exposant aux deux maîtresses leur fessier, rosissant pour Monique mais carrément
écarlate pour Caroline. La sévère institutrice prit les deux carnets et nota scrupuleusement
les fessées reçues, une seule pour Monique, mais trois pour Caroline, celle de l'arrivée,
puis une autre car surprise en train de rêvasser au lieu de faire sa copie et enfin
la dernière juste avant l'arrivée de Sylvie pour écriture bâclée. Elle tendit les
carnets au deux dames, comme Caroline avait toujours les mains sur la tête, c'est
Sylvie qui s'en saisit.
- c'est inadmissible, mademoiselle !!
Sa main claqua plusieurs fois rapidement le fessier déculotté.
- nous allons régler ce problème rapidement, ne vous inquiétez
Florence. Tu peux te reculotter, mais je t'assure que ça ne va pas être pour longtemps.
Elodie de son côté avait elle-même remonté la petite culotte
sur les fesses de Monique et remis la jupe en place, d'une petite tape sur les fesses
à nouveau culottées elle lui donna le signal du départ.
Madame Costa s'adressa directement à Sylvie.
- je sais que je peux compter sur vous pour corriger cette
donzelle, mais je pense que si sa mère s'en occupait ce serait mieux.
- ne vous inquiétez pas, c'est mon intention de la mettre
au courant de la conduite de sa fille et des mesures à prendre.
En entendant ces mots le sang de Caroline se glaça dans ses
veines, quand elle avait commencé ces conversations avec Sylvie sur le thème de
la fessée, elle était bien loin de penser qu'elle en arriverait là. Elle était fesses
nues devant deux dames, les mains sur la tête comme une mauvaise élève, elle avait
reçu trois fessée dans la matinée et maintenant il était question de faire rentrer
sa mère dans ce cercle infernal, inconsciemment elle sentait que pendant une longue
période ses fesses allaient rester déculottées et certainement très rouges.
Sylvie la conduisit à sa voiture, Caroline assise à côté d'elle
les fesses encore sensibles, n'en menait pas large, mais elle osa quand même une
protestation.
- vous n'allez quand même pas raconter tout ça à ma mère,
ni lui donner mon carnet de punition ?
- bien sûr que si !
- oh non, vous n'avez pas le droit.
- pardon, j'ai mal entendu ?
Ce rendant compte de sa bourde, Caroline essaya de s'excuser
mais c'était trop tard. Sylvie s'engagea sur une petite route puis bifurqua sur
un chemin qui longeait l'autoroute. Elle stoppa la voiture et fit sortir Caroline.
- alors comme ça, je n'ai pas le droit, et bien moi je vais
te montrer comment je punis les petites coléreuses, une bonne fessée déculottée
en public.
Elle s'assit sur un rocher et attira Caroline contre ses genoux,
rapidement la jeune femme se retrouva dans la position classique pour une bonne
fessée. Sylvie s'était placée de telle façon que le postérieur de Caroline soit
bien visible par les automobilistes. Elle retroussa la jupe, la culotte blanche
trop petite rentrait dans la raie fessière, découvrant déjà largement le fessier
encore rouge. Caroline affolée par la situation se mit à crier.
- non, non, pardon, s'il vous plaît pas la fessée, pas ici,
non pas la culotte, pardon...
Mais ses plaintes étaient sans effet et la culotte était descendue
inexorablement jusqu'à mi-cuisse, découvrant la belle croupe de la jeune femme.
Les occupants des véhicules ne pouvaient pas s'arrêter mais
ils avaient une vue parfaite sur les fesses déculottées. La fessée commença sous
les pleurs et les battements de jambes de Caroline.
La correction fut de courte durée mais l'humiliation de ce
châtiment enfantin reçu en public fut intense. Caroline les joues aussi rouges que
ses fesses, les yeux rougis par les larmes put enfin se rasseoir à sa place.
- j'espère que tu as compris la leçon, c'est encore une chose
que je vais raconter à ta mère.
Elles arrivèrent rapidement à destination, Sylvie se présenta
à Julie la mère, celle-ci un peu surprise la fit entrer, Caroline n'en menait pas
large, sa nouvelle maîtresse mit rapidement au courant Julie de la nouvelle situation
de Caroline.
Julie restait silencieuse, ses yeux ronds marquaient sa surprise,
surtout que Sylvie fit pivoter Caroline et lui retroussa la jupe. La croupe débordait
largement de la culotte et on voyait distinctement les traces de la dernière fessée,
elle saisit l'élastique de la culotte et la descendit sous les fesses.
- vous pouvez constater que cette demoiselle a reçu le prix
de sa désobéissance, une bonne fessée déculottée...
Le sang de Julie ne fit qu'un tour, elle prit la main de sa
fille et l'attira vers elle.
- ah, c'est donc ça, à mademoiselle s'intéresse à la fessée
et en plus, mademoiselle désobéi, et bien moi je vais m'intéresser à tes fesses
ma chérie.
Julie fit basculer sa fille en travers de ses cuisses, elle
descendit plus complètement la culotte pour bien dégager les fesses et se mit en
devoir de corriger cette croupe appétissante. Les fesses étaient encore bien colorées
et sensibles, aussi Caroline se mit immédiatement à crier puis à pleurer pour implorer
la clémence, mais tout à sa colère Julie n'en avait cure et elle administra ce jour-là
à sa fille sa plus sévère correction. Les battements de jambes de la punie, ses
fesses qui s'écartaient découvrant son intimité ne laissait pas de doute sur l'efficacité
de la punition. Dès que la fessée fut terminée, Caroline fut conduite au coin.
Calmée par l'administration de cette magistrale correction,
Julie se tourna vers Sylvie et lui proposa un café, pendant que les deux dames papotaient,
Caroline exposait ses fesses écarlates, elle regrettait amèrement d'avoir commencé
ces conversations avec Sylvie, maintenant elle était ramenée au rang de gamine que
l'on peut trousser et déculotter à sa guise.
Sylvie présenta à Julie le carnet de punition et lui en expliqua
le fonctionnement, une fessée notée sur le carnet valait une fessée à la maison.
Julie le parcouru attentivement
- 3 fessées ma chérie, et bien tes fesses vont rester chaudes
tout l'après-midi.
Sylvie lui fit remarquer que Caroline venait déjà d'en recevoir
une et qu'il n'en restait plus que 2.
- pas du tout ma chère, la fessée que vient de recevoir Caroline
c'était pour m'avoir menti en ne me disant pas pourquoi elle ne rentrait pas hier
soir.
Puis jetant un regard coquin vers Sylvie, elle ajouta.
- d'ailleurs vous êtes complice, en toute justice, vous devriez
également recevoir une fessée, quand pensez-vous ?
Sylvie rougit, elle était fesseuse mais depuis son séjour
à l'institut, elle était également passée du côté des punies et son amie Isabelle
ne se gênait plus pour la traiter comme une gamine, il lui arrivait assez régulièrement
de se retrouver fesses à l'air allongée sur les genoux de sa correctrice, pleurant
sous la cuisson d'une bonne fessée. Elle bredouilla comme une élève prise en faute.
Julie en souriant tapota ses genoux.
- il est temps de payer votre faute ma chère.
C'était intéressant de voir comment un passage entre les mains
redoutables de madame Rose pouvait modifier le caractère, si on avait dit à Sylvie
quelques semaines auparavant qu'elle accepterait sans beaucoup de résistance de
recevoir à son âge ce châtiment enfantin, elle aurait ri. Pourtant sans protester
elle se leva et se laissa basculer en position disciplinaire. Julie n'avait pas
une grande expérience en matière de fessée, elle se contentait de corriger sa fille
quand elle dépassait les bornes, une rapide déculottée et le problème était réglé.
Mais depuis sa discussion avec Sylvie et la correction administrée à sa fille, elle
se rendait compte qu'on pouvait prendre du plaisir à déculotter une dame et à lui
rougir les fesses.
Elle positionna Sylvie de façon à ce que sa croupe fut bien
à portée de sa main, puis elle retroussa la jupe et mit à jour une jolie culotte
rose, bordée de dentelle au niveau des cuisses et qui moulait parfaitement ce fessier
encore bien rond et musclé malgré la soixantaine passée de la dame.
Par jeu, elle décida de retarder le déculottage et elle commença
la fessée sur la culotte. Ce n'était pas une fessée pour rire et les claques bien
qu'amorties par la lingerie surprirent Sylvie qui commença à trémousser ses fesses
au rythme de la correction.
- voilà ce qui arrive aux menteuses, madame une bonne fessée,
mais ne croyez pas que vous allez vous en tirer avec une simple fessée sur la culotte,
à votre âge et avec une bonne paire de fesses comme les vôtres c'est une fessée
cul nu qu'il vous faut.
Et joignant le geste à la parole, elle déculotta largement
Sylvie, descendant la culotte jusqu'aux genoux.
- bien, maintenant passons aux choses sérieuses.
La fessée fut mémorable, Julie apprenait vite et la correction
n'avait rien à envier à celle que Sylvie avait reçu à l'institut, quand elle put
se relever sa croupe écarlate n'était plus qu'un brasier, elle failli se frotter
les fesses pour atténuer la cuisson mais juste à temps, elle se rappela que ça valait
à Gérard une fessée supplémentaire, cela risquait de lui arriver.
Julie souriait, satisfaite du résultat, elle saisit l'oreille
de Sylvie.
- ça chauffe n'est-ce pas ? Un petit séjour au coin les fera
refroidir.
Elle conduisit cette dame d'une soixantaine d'année redevenue
une gamine dans l'autre coin de la pièce.
,- tenez votre jupe relevée que je puisse surveiller vos fesses.
Puis S'adressant à sa fille.
- ma chérie, tu vas venir sur les genoux de maman, ma main
va avoir une conversation avec tes fesses.
La conversation fut animée, les deux joues postérieures de
Caroline exécutèrent une splendide chorégraphie, elle pleurait à chaudes larmes
quand elle rejoignit à nouveau son coin. La croupe écarlate que Sylvie lui montrait
bien malgré elle fut cependant une petite consolation. Elle n'était pas la seule
à présenter ses fesses à la main sévère de sa mère.
Julie mit fin à la pénitence de Sylvie jugeant qu'elle avait
été assez punie. Elle put se reculotter et reprendre une tenue plus conforme à son
âge.
- bien ma chère, ce petit problème étant réglé, si nous parlions
de l'institut de madame Rose.
Sylvie lui expliqua rapidement le fonctionnement de cette
"maison de la fessée". Elle lui indiqua qu'elle pourrait lui avoir rapidement
un rendez-vous pour Caroline si elle jugeait que celle-ci avait besoin d'une punition
supplémentaire. Elle pensait notamment au forfait "vilaine fille" qui
serait particulièrement adapté au comportement de Caroline. Julie, ravie acquiesça.
- je pense effectivement que Caroline a besoin d'une bonne
reprise en main. Enfin pour cet après-midi c'est la main de maman qui va s'occuper
d'elle.
Sylvie approuva et prit congé, ses fesses étaient encore douloureuses
de la correction reçue, son mari allait sans nul doute devoir lui aussi présenter
ses fesses.
Caroline dut rester en exposition avec ses fesses écarlates
pendant une bonne heure. Elle avait rapidement calculé, aujourd'hui elle avait déjà
reçu 5 fessées et il lui en restait encore 2 en attente. Quand Julie l'appela ses
fesses étaient encore légèrement sensibles mais la grosse cuisson avait disparu.
Elle tenait toujours sa jupe retroussée avec ses mains croisées dans le dos. Sa
mère la fit se retourner et elle lui coinça la jupe dans la ceinture.
- comme tu le sais ma chérie, tu dois recevoir encore 2 fessées
d'ici ce soir, je t'en ai déjà donné 2 et je commence à avoir mal à la main, c'est
vrai que je préfère la fessée manuelle mais je vais suivre le conseil de Sylvie.
Tu vas aller me chercher ma brosse à cheveux qui est sur la commode dans ma chambre.
Caroline gémis à cette demande.
- oh non, maman pas la brosse à cheveux, ça fait trop mal...
Julie se mit à rire
- mais ma chérie, c'est fait pour ça la fessée, tu dois avoir
très mal pour ne pas recommencer. Et puis tu sais, une si belle paire de fesses,
il lui en faut des bonnes fessées. Bon assez discuté, tu files me chercher cette
brosse avant que je ne décide de doubler la punition.
Caroline ne se le fit pas dire deux fois, elle se dirigea
vers la chambre de sa mère, exposant ses fesses dénudées. Quand elle revint, Julie
avait disposé une chaise au milieu de la pièce, ça sentait la fessée mémorable,
Caroline frissonna. Julie lui prit l'instrument punitif des mains et le posa à côté
d'elle, puis elle tira sa fille par la main pour la faire basculer en travers de
ses cuisses.
Caroline était déjà troussée et déculottée, la fessée pouvait
commencer, la main de Julie claqua le fessier rebondi une cinquantaine de fois.
- voilà, on va passer à la vraie fessée, je suis gentille
j'ai commencé par un petit échauffement.
Caroline trouvait que ce soi-disant, petit échauffement, était
déjà une vraie fessée, elle avait commencé à gémir sous la brûlure mais elle se
doutait bien que la douleur provoquée par la brosse serait bien pire, elle avait
raison.
Le claquement provoqué par la brosse frappant sa croupe nue
fut une surprise pour la jeune femme, elle poussa un cri, mais déjà le deuxième
coup avait atteint l'autre fesse, et la fessée pétaradante éclata dans toute sa
plénitude.
Caroline suppliait sous la brûlure, elle tortillait ses fesses
sans aucun souci de décence, Julie s'appliquait à ne laisser aucune partie des fesses
à l'abri de la brosse. De la racine des cuisses, jusqu'au creux des reins et débordant
sur les flancs une rougeur intense envahissait le splendide derrière. Caroline pleurait
maintenant à chaudes larmes, ses pieds battaient l'air désespérément.
Julie cessa la correction, elle posa sa main sur l'épiderme
écarlate.
- voilà ce que j'appelle une bonne fessée, ma petite chérie
je pense que tu vas t'en souvenir longtemps de cette fessée de maman, tes fesses
fument...
Caroline affalée sur les genoux maternel pleurait et ne bougeait
plus, seule ses fesses se contractaient pour essayer d'atténuer la cuisson.
Julie la fit se relever et lui indiqua du doigt le coin de
la pièce.
- tu files te mettre le nez contre le mur et tu mets tes mains
sur la tête, vite !
Une vigoureuse claque sur le derrière cuisant avait accompagné
ses paroles. Caroline tout à sa douleur ne protesta pas, depuis qu'elle était arrivée
à la maison, elle n'avait quitté le coin de cette pièce que pour se retrouver allongée
en travers des genoux maternels. Elle y resta 1h.
Pendant sa pénitence le téléphone de sa mère sonna, c’était
Sylvie qui lui annonçait qu’elle avait pu avoir un rendez-vous pour Caroline, elle
était attendue lundi matin à 8 h à l’institut pour un forfait "vilaine fille".
Julie la remercia et annonça à sa fille la nouvelle.
- et bien ma chérie tu vas voir ce qu'il en coûte de mal se
conduire, lundi matin tu étais en RTT et bien je t'ai trouvé une occupation, tu
iras faire la connaissance de madame Rose et de ses assistantes, je crois que tes
fesses vont beaucoup apprendre à leurs contact. Tu peux quitter ton coin et te reculotter,
je te donnerai ta dernière fessée avant le coucher.
Caroline était ravie d'enfin pouvoir cacher son derrière rougi
et douloureux mais le spectre d'un séjour à l'institut ne l'enchantait pas, au cours
de ses conversations avec Sylvie, celle-ci lui avait expliqué les techniques de
madame Rose et elle en avait conclu qu'il valait mieux éviter son contact.
La soirée fut plus
sereine pour sa croupe et quand Julie lui indiqua qu'il était l'heure d'aller au
lit, elle se demanda si sa mère avait oublié la fessée promise. Son interrogation
fut de courte durée car dès qu'elle fut dans sa chambre après un passage à la salle
de bain sa mère la rejoignit. Caroline était en pyjama, sa mère s'assit sur le lit
et lui fit signe de s'approcher. La suite était inévitable, la mise en place de
la punie, la culotte descendue sur les mollets et la main qui claque et reclaque
les rotondités jumelles sans se soucier des cris et des pleurs de la jeune femme.
Caroline était à nouveau punie comme une gamine, ses fesses
écarlates en témoignaient. Julie remonta elle-même la culotte du pyjama sur la croupe
brûlante.
- voilà ma chérie, c'est fini j'espère que tu as compris et
que maman ne sera pas obligée de recommencer.. Tu es prévenue si c'est nécessaire
c'est immédiatement cul nu sur mes genoux.
Pendant toute cette tirade elle avait laissé Caroline en position
disciplinaire pour bien lui faire passer le message.
Une fois relevée, les joues aussi rouges que ses fesses, Caroline
eut droit à un bisou.
Elle fit une très bonne nuit, tout le monde sait que l'on
dort mieux avec une paire de fesses bien chaudes.
Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invitésEt celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 15
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... la semaine prochaine, c'est assez probable.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
Très beau récit merci beaucoup
RépondreSupprimerMais tout le plaisir est pour moi ma chère Caroline.
RépondreSupprimerSylvie