Dans
notre ville, se trouve le groupe de filles des compagnonnes scoutes Ste Thérèse,
mouvement très actif dans la région, lorsqu’il s’agit d’aider les jeunes à
s’épanouir et à aider les gens, à l’exception de quelques brebis égarées, les
scoutes appliquent rigoureusement les principes pour lesquels elles se sont
engagées.
Avec
à leur tête, la cheffe Carole C., trente-cinq ans, les filles du groupe sont
toujours disponibles et nous pouvons les voir dans la ville ou dans les
environs, lorsque des structures les sollicitent pour telles ou telles missions,
religieuses ou d’utilité publique. Reconnaissables avec leur chemise verte,
leur short beige et leur foulard orange bordé d’un galon noir, les scoutes font
parties de la vie de notre ville. La majorité sont élèves à Ste CROIX et les
filles sont les relais des deux religieuses, Mère Jolanta O. et Sœur Weronika
S., au sein de l’établissement. Elles ont aussi une mission de conseillères
auprès des élèves.
Les
scoutes forment la chorale de l’église St ROCH de notre ville. A ce titre, Carole
C. réunit ses filles de temps en temps à l’église pour les répétitions vocales.
Elle possède également les codes des cadenas pour les meubles de la sacristie,
car elle assiste quelques fois le curé Christian F. pour ses offices. Dans
la sacristie se trouve du matériel audio pour la chorale.
Deux
scoutes, qui sont parmi les plus âgées du groupe, Cassandra dix-neuf ans et Flavie
dix-huit ans, briguent depuis un moment les places de cheffes d’équipe au sein
du groupe des compagnonnes Ste Thérèse commandé par Carole C., car celui-ci
s’étoffe de plus en plus. Carole C. sait s’imposer et faire rayonner son groupe
dans la vie publique de notre secteur.
Je
connais bien Cassandra et Flavie, car les deux filles sont dans une section de
BTS en parallèle de la nôtre. Elles viennent remonter le moral lorsqu’un élève vient
de recevoir une correction humiliante et a besoin d’un peu de réconfort. Elles
nous incitent à prier avec elles pour obtenir le pardon et pour nous apaiser
moralement, lorsque Mère Jolanta O. et Sœur Weronika S. ne peuvent pas le faire
elles-mêmes.
Quelques
exemples de la compassion de la part de Cassandra et de Flavie envers leurs
prochains :
·
Lorsque
les films de nos corrections en Angleterre ont été projetés à l’ensemble des
élèves, en sortant de l’amphi, les deux filles sont venues nous dire un petit
mot réconfortant pour nous féliciter de notre courage, car nous avions été très
sévèrement punies. Elles ont ajouté que notre pardon n’en a été que plus grand
et que nous pouvons être fières d’avoir supporté tout ça et de ne pas nous être
écroulées.
· Juste
après une punition, elles viennent, prennent l’élève puni dans leurs bras pour le
consoler, le bercer, dédramatiser la situation et l’encourager à se reprendre
et à mûrir ce qui vient de subir pour être meilleur et progresser dans sa vie
d’adulte.
Un
Samedi, lors d’une répétition, Cassandra prend Flavie à part et lui dit
qu’elles vont faire une blague au père Christian F, le curé de St ROCH. Cassandra
a repéré le code du cadenas d’une des armoires de la sacristie sur le petit carnet
de la cheffe Carole C. et elles décident de le changer pour rigoler un peu. Ce
n’est pas souvent qu’elles ont l’occasion de faire des plaisanteries. Flavie
est tout à fait partante pour cette action qui devrait être des plus drôles en
découvrant la tête du père Christian F. se rendant compte qu’il ne peut plus
ouvrir une de ses armoires de la sacristie.
Après
la répétition de la chorale, Cassandra et Flavie prétextent une envie pressante
et se rendent au presbytère pour faire leurs besoins mais elles vont
directement à la sacristie qui n’est pas encore fermée afin de réaliser leur
méfait.
Flavie
fait le guet à la porte tandis que Cassandra se dépêche de changer le code
d’une grande armoire où se trouvent les habits sacerdotaux du père Christian F.
Elles en rient déjà du tour qu’elles viennent de faire.
Les
voyant rire à leur retour, Carole C. leur demande la raison de cette hilarité.
Prise de court, elles inventent une histoire de porte de toilette coincée qui a
failli les laisser là pour la journée... Carole C. ne trouve pas ça
particulièrement drôle, mais si les deux filles rient avec ça, et bien, tant
mieux pour elles ! Cassandra et Flavie en rajoutent un peu pour que ça ait
l’air crédible.
Le
Dimanche matin, lorsque père tente de se procurer ses habits pour l’office, le
cadenas refuse de s’ouvrir. Pourtant le code est le bon, mais le cadenas refuse
de déverrouiller la serrure. Carole C., arrivée avant tout le monde tente de
son côté, revérifie les codes sur son carnet et confirme que le code est le bon
mais que quelque chose le bloque.
Pris
de panique de ne pouvoir assurer l’office devant tous les fidèles, le père Christian
F. téléphone d’urgence à un serrurier pour forcer le code, car trente minutes
plus tard, la messe dominicale doit commencer.
Cassandra
et Flavie rient sous cape, heureuses du tour qu’elles ont joué la veille, mais
au moment où elles vont avouer leur crime, elles voient le serrurier sortir de
la sacristie et le père vêtu de ses habits sacerdotaux. Ne comprenant pas
totalement ce qui s’est passé, elles ont le fin mot de l’histoire lorsque le serrurier
avec le cadenas déverrouillé. Le serrurier a réussi à trouver le code en
manipulant les chiffres tout en sentant les variations de pression qu’il a
exercé sur l’anse du cadenas. Sa dextérité ont fait le reste.
Le
verdict est sans appel, le code a été changé par un tiers, car ce n’était pas
celui que père Christian F. avait mis.
L’office
religieux a lieu avec du retard et du stress car le curé n’a pas eu tout le
temps de préparation qu’il aurait dû avoir pour une totale sérénité de
recueillement avant l’office.
Pour
Cassandra et Flavie, l’effet comique n’est pas celui escompté, car elles
s’imaginaient que père Christian F. ait beaucoup plus de retard. Les deux scoutes
en sont même à regretter leur plaisanterie complètement ratée.
Durant
l’office, on sent tout de même la crispation du père, car il se demande
constamment comment ce fichu cadenas a pu se bloquer ? Mais professionnel,
il ne laisse paraitre que le minimum de son désarroi.
Après
l’office, père Christian F. et Carole C. s’entretiennent et la discussion est
animée, car le curé lui demande des explications à propos de ce code, car seuls,
elle et lui l’avaient.
A
force de réfléchir au problème, Carole C. se souvient que Cassandra et Flavie
étaient hilares en revenant des toilettes et elle se demande si les deux filles
ne seraient pas impliquées dans ce changement de code ?
En
les interrogeant, Carole C. n’obtient pas d’aveux de leur part, mais
lorsqu’elle exige qu’elles jurent qu’elles n’y sont pour rien, là, Cassandra et
Flavie se décomposent et sont obligées d’avouer leur méfait et Flavie dénonce Cassandra
comme instigatrice de la bêtise, ce que ne peut pas nier son amie.
Carole
C. est déçues par l’attitude des deux scoutes et elle se doutait que cette
histoire de porte de toilette soi-disant coincée était plus qu’étrange !
Dans
le local des scoutes, Carole C. rassemble toutes les filles du groupe Ste
Thérèse et annonce à toutes que c’est Cassandra et Flavie qui ont changé le
code du cadenas. L’office a failli être gravement perturbé et c’est
inacceptable. En bonne cheffe, Carole C. déclare vouloir punir ses deux
subordonnées. Le règlement autorise les punitions corporelles en cas de fautes
graves, ce qui est le cas. Carole C. ne pensait pas y avoir recours un jour,
mais devant de tels faits, elle n’a pas le choix. Elle déclare que Cassandra et
Flavie vont être fessées avec des verges et elle envoie des scoutes chercher
des branches de bouleaux pour confectionner deux instruments de correction.
Cassandra
et Flavie commencent à paniquer, car ce qui devait être qu’une simple
plaisanterie va leur couter cher. Carole C. demande aux deux filles de retirer
leur chemise verte des compagnonnes qu’elles ont souillées par leur attitude en
totale contradiction avec leurs promesses scoutes. Cassandra et Flavie retirent
leur foulard et leur chemise et se retrouvent en soutien-gorge.
Pour
la fessée, Carole C. leur ordonne de retirer tout le reste, y compris leurs
sous-vêtements. Cassandra et Flavie, toutes rouges de se dévêtir devant leurs
copines vêtues, se dévêtissent et se cachent la poitrine et le pubis. Carole C.
leur dit de ne pas faire tant de manière, car elles sont habituées à se baigner
ou se doucher nues avec les autres scoutes lorsqu’elles sont en camp. Mais en
fait, lors des toilettes, toutes les filles sont nues mais dans le cas présent,
seules elles y sont et dans une fâcheuse situation. Sentant qu’elles vont
passer un sale quart d’heure, Cassandra et Flavie demandent pardon à leur cheffe
et se justifient par dire que ce n’était qu’une simple blague, elles n’avaient
pas du tout l’intention de perturber l’office. Carole C. leur dit que pour les
remords, c’est un peu tard, à présent, il fallait y penser avant.
Les
jeunes scoutes ont confectionné les verges. Cassandra et Flavie sont effrayées
à leur vue, car les branches ont l’air féroces. Carole C. demande à Justine et
Maeva, deux grandes et solides filles malgré leurs seize ans de prendre les
verges, car ce seront elles qui vont fesser Cassandra et Flavie. Justine et
Maeva, ravies, ont un sourire entendu, car elles vont mater les deux
responsables. Celles-ci la ramèneront moins après ça. L’humiliation est totale
pour les deux filles, non seulement elles sont nues devant leurs amies, mais en
plus elles vont se faire fesser comme des sales gamines par des plus jeunes
qu’elles... Carole C. leur dit que si elles veulent devenir cheffes d’équipe,
elles doivent assumer totalement leurs actes. C’est l’un des principes de base scout
et elles le savent bien. Cassandra et Flavie ne peuvent rien opposer à ces
arguments irréfutables. Elles se résignent à se faire corriger. Carole C. leur
dit que la principale responsable, Cassandra, recevra cinquante cinglées tandis
que Flavie n’en recevra que quarante, pour sa complicité.
Carole
C. demande à quelques filles de filmer la scène. Ça fera des souvenirs pour les
deux punies et la cheffe pourra repasser le film pour les avertir d’autres
scoutes de ce qu’elles risquent en faisant des bêtises.
Flavie
s’avance et se courbe, exhibant et offrant son arrière-train aux verges de Justine
et Maeva. Des scoutes viennent fermement maintenir pour ne pas qu’elle puisse
fuir et alternativement, Justine et Maeva lui donnent la fessée. Les claquées
provoquent un son mat mais les traces apparaissent immédiatement. Contrairement
aux martinets ou badines, les verges griffent la chair et les brulures sont
intenses. Flavie pleure et crie dès la première fouettée. Les scoutes la voient
se débattre, gesticuler, taper des pieds, se contorsionner pour tenter de
s’extraire de là, mais en vain, les filles qui la maintiennent renforcent leur prise
et Justine et Maeva s’en donnent à cœur joie pour lui faire regretter ses actes.
Flavie hurle et pleure à chaudes larmes. Les quarante cinglées ont mis les
fesses et les cuisses de Flavie en piteuse état. La peau est toute griffée et
les traces rouges sont bien boursoufflées. Ce n’est que très superficiel, mais
elle ne pourra plus s’assoir durant plusieurs jours, ce qui est l’effet
recherché.
En
ayant vu son amie se faire corriger, Cassandra prend peur d’être punie à son
tour et cherche tous les prétextes pour échapper à sa punition. Les scoutes s’y
mettent à plusieurs pour la mettre en position, tant Cassandra se débat, donne
des coups de pied et se roule par terre pour se défaire des prises. Huit
scoutes ne sont pas de trop pour la relever et l’installer sur la table.
Solidement maintenue, Justine et Maeva la punissent sévèrement. Cassandra hurle
de suite, tant les deux fesseuses appuient leurs coups, pour bien lui faire
sentir que ça ne sert à rien de tenter de fuir, au contraire. Les brulures
incandescentes ne tardent pas lui chauffer affreusement l’arrière-train. Les
douleurs sont telles qu’elle en transpire et a l’impression que les verges lui
arrachent la peau. Bien sûr, il n’en est rien, mais le ressenti est comparable,
car les branches avec leurs nombreuses aspérités saillantes lui labourent la
chair et c’est cette impression qui amplifie la douleur éprouvée. Bien qu’elle
se débatte comme une damnée, elle doit endurée sa punition jusqu’à la dernière
cinglée. Elle a l’impression que les cinquante fouettées durent une éternité,
lorsque soudain, Justine et Maeva cessent de la tourmenter et elle sent que les
autres filles la lâchent. Epuisée, elle glisse de la table pour terminer sur le
sol, recroquevillée sur elle-même, en train de trembler et de pleurer toutes
les larmes de son corps.
Flavie,
calmée et ayant retrouvé son souffle, trouve les ressources pour venir au
chevet de son amie et de l’aider à se relever. Cassandra et Flavie ont
maintenant l’air de deux petites filles apeurées qui ne ressemblent vraiment
plus à rien, car elles n’ont plus une once de dignité.
Les
punitions terminées, Carole C. vient auprès de ses deux aides de camp pour leur
dire qu’elles sont pardonnées et qu’il faudra qu’elles fassent attention la
prochaine fois, en choisissant avec tact les blagues à faire. Des scoutes les
emmaillotent dans des draps de bain pour les sécher, puis on les allonge à plat
ventre pour leur enduire de crème les fesses et les cuisses, ce qui fait gémir
et grimacer les deux punies.
Carole
C. rend les chemises vertes à Cassandra et Flavie en leur disant qu’elles
retrouvent leur place au sein du groupe des compagnonnes Ste Thérèse. Cassandra
et Flavie remercient leur cheffe du pardon qu’elle leur octroie.
Incapable
d’enfiler leur short, Cassandra et Flavie enfilent leur chemise et mettent leur
serviette autour de la taille pour ne pas avoir à rentrer chez elles les fesses
marquées à l’air. Les passants trouvent tout de même étrange l’accoutrement de
ces deux jeunes femmes scoutes ainsi que leur mine défaite, les yeux rougis par
les larmes.
Iourievna,
Olga et moi sommes dans la rue au moment où Cassandra et Flavie rentrent chez
elles. Leur état général nous fait pitié et nous allons à leur rencontre. C’est
là que timidement et honteusement et à force de les questionner, elles nous
racontent leur mésaventure. Au début, à les voir dans cet état, nous pensions
qu’elles s’étaient fait agresser, mais lorsqu’elles nous disent ce qui s’est
réellement passé, nous comprenons mieux leur apparence mortifiée. Cassandra
consent même à nous faire voir l’état de ses fesses. Flavie nous dit que les
siennes ne sont pas mieux. Nous les plaignons, car nous nous doutons qu’elles
ont passé un sale moment. Nous tentons de les rassurer en leur disant qu’après
quelques jours de repos et de soin, il n’y paraitra plus rien et elles pourront
reprendre leur vie d’avant, mais pour le moment, si elles souhaitent s’assoir,
la douleur les rappellera très vite à l’ordre.
Soudain,
nous entendons Olga s’écrier que demain, nous avons un cours de natation et que
leurs traces ne seront jamais parties en une seule nuit ! Nous voyons Cassandra
et Flavie blêmir, la bouche ouverte, interloquées, car elles ne se rappelaient
plus cette séance. Catastrophées, elles s’imaginent déjà déambuler sur le
bassin, les cuisses et une partie des fesses visibles par tous. Elles
pressentent que ça va être l’humiliation devant toute la classe et les garçons
ne vont pas les rater.
Dès
que Cassandra et Flavie rentrent chez elles, elles sont obligées d’avouer leur
bêtise et tentent d’amadouer leurs parents pour qu’elles puissent avoir un mot
d’excuse pour la séance de natation du lendemain. Les parents n’autorisent pas
leurs filles à une dispense de séance. Cassandra et Flavie ont l’impression que
le ciel leur tombe sur la tête avec ce que décident leurs parents. C’est en
quelque sorte, une seconde punition, à laquelle elles ne pourront pas échapper.
Leurs parents leur disent que leurs camarades verront à quel point il est
impératif de réfléchir avant d’agir.
Le
lendemain, à la piscine, le visage rouge de honte et en pleurs, elles se font
copieusement moquées dans le vestiaire des filles mais c’est sur le bord du
bassin, devant tout le monde que leur humiliation est à son comble, car les
garçons y vont également de leurs remarques salaces.
Les
deux coachs sportifs, Philippe M. et Jessica T. ont bien du mal à faire venir
le calme parmi les étudiants. Finalement, c’est la maitre-nageuse Paula S. qui
intervient énergiquement et menace d’une sévère fessée, entièrement nu, tout
étudiant qui perturberait le cours, ce qui suffit à calmer tout le monde, au
moins pour un temps, car les messes basses vont bon train entre étudiants ainsi
que les sourires narquois, qui en disent long lorsque les étudiants regardent
les traces encore très fraiches sur les croupes des deux étudiantes.
Après
la séance, dès qu’elles sont rhabillées et sorties, les moqueries reprennent de
plus belles, cinglant la fierté des deux ex-punies et même Fabienne D., notre
proviseure ne se prive pas de faire des réflexions très vexantes vis-à-vis de
l’attitude de Cassandra et Flavie. Carole C. s’est fait un malin plaisir
d’avertir et de diffuser le film des deux fessées à la directrice de Ste CROIX,
car Carole C. s’enorgueillit de tenir et d’éduquer ses scoutes comme le fait
notre proviseure vis-à-vis de ses élèves.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 35
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
Vous souhaitez réagir ?
Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai.
Bravo Elena, je suis très fan de vos récits..
RépondreSupprimerMerci beaucoup Caroline. Ca me touche beaucoup, ce compliment. Ce Blog regorge d'univers différents et tout le monde peut y trouver un intérêt.
SupprimerAmitiés.
Elena.
Amis de la poésie, des chants scouts, du coucou hibou, et des coups de verge sur les fesses qu'on entend dans la forêt lointaine... (oui, c'est vrai, ça fait un peu long!)... Bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Elena.
Pour rester en immersion dans l'eau bénite du charme discret des traditions et coutumes expiatoires de l'univers religieux, manquaient plus que les scoutes! (On appelait ça des jeannettes, pour les filles, au sens Baden Powelien du terme) Ah le bon vieux temps du patronage des mercredis après midi dans la nature accueillante... avec initiation para militaire en camp scout!
Cassandra et Flavie, les pécheresses, n'ont rien trouvé de mieux que de s'amuser à trafiquer le cadenas de la porte du vestiaire du curé. Honte à lui, le malheureux, risque de devoir dire la messe tout nu , sans son déguisement de cérémonie. Mais Dieu est partout et voit tout! ... Grace à la miraculeuse intervention d'un serrurier au doigté béni du même Dieu...( encore lui!), les portes du paradis ré-ouvertes, le brave prêtre va pouvoir revêtir son habit de lumière pour célébrer l'office.
Les foudres du seigneur vont s'abattre sur le derrière des insolentes. Comme d'hab' chez notre auteure, habile à associer la flagellation et le goupillon, le châtiment en public,( comme le pilori au moyen âge) filmé pour l'exemple, est impitoyable.
Elena toujours à la pointe de la spiritualité punitive et rédemptrice, nous propose sa version de la solidarité scoute. Notamment celle qui consiste à maintenir en place une punie, pendant qu'elle se fait étriller les fesses à coup de branche d'arbre par deux Walkyries en short. On souffre avec elle ...
Dieu est amour, il aime bien, et châtie au maximum. Les pénitentes sont condamnées à finir d'expier leur faute, dans la honte, en exhibant les traces de leur châtiment à la piscine, où, heureusement quand même, le port du maillot de bain est obligatoire... Une humiliation supplémentaire inattendue, mais l'enfer est pavé de marques sur les fesses ...
Les voix du seigneur sont impénétrables, l'inspiration d'Elena inépuisable! Personne ne s'en plaint.
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina.
SupprimerComme d'habitude, mes textes sont passés sous votre microscope et rien ne vous échappe. Synthèse et contexte retracé et dédramatisés.
Les nouveaux personnages de cet épisode viennent enrichir l'environnement assez hétéroclite des situations que je peins. Vous aurez remarqué que chaque épisode prend un nouveau contexte pour y faire s'ébattre les rebelles que je prends plaisir à discipliner.
Là, le domaine religieux et les punitions en public donne plus d'intensité et de piquant aux scènes. Après ça, les jeunes scoutes n'auront plus qu'à bien se tenir.
Expier ses péchés par la souffrance est le meilleur moyen d'arriver au pardon. Et ces demoiselles en ont bien besoin, de pardon.
Et la cerise sur les fesses est la séance de natation avec les copines de Ste CROIX. Tout un chemin, pour elles...
Amitiés.
Elena.
Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerUn petit voyage du côté de la sacristie. Elles pensaient pouvoir rigoler à bon compte, ces jeunes filles. Eh bien, c'est raté. Ce sont les autres qui vont se réjouir à leurs dépens. La honte rédemptrice qu'elles en éprouvent sera d'autant plus durable que leurs fouetteuses ont été des gamines sue lesquelles elles seront sans doute amenées à exercer un jour leur autorité, que la séance sera filmée et qu'il leur faudra aller exhiber à la piscine bien malgré elles les zébrures qui tapissent leurs cuisses.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerOui, en effet, mauvaise idée que d'avoir changé le code du cadenas du curé. Un concourt de circonstance à fait qu'une "blagounette" qui se voulait innocente s'est transformée en situation dramatique, avec correction à la clé. Ca leur apprendra à mesurer leur actes et à évider ce genre de blague potache à l'église.
Pour les cadettes, oui, nos deux jeunes compagnonnes seront amenées à les encadrer, car elles sont destinées à devenir chef de groupe, vu leur expérience et leur âge. Le fait de s'être fait corriger par des plus jeunes n'en a que plus de poids et a augmenté la vexation, d'ailleurs et que dire des suites à la séance de natation du lendemain... Leurs camarades à Ste CROIX peuvent admirer le résultat de leurs frasques. Assez humiliant, tout de même !
Amitiés.
Elena.