Il mange correctement son
petit déjeuner même son fruit. Pendant la douche il se laisse faire et anticipe
parfaitement les consignes de madame Lepand. Brossage des dents, puis dans la
chambre pour être habillé. Comme promis
et redouté chemise, pull, slip et donc culotte courte. Madame Lepand a opté pour une en velours. Elle termine de l’habiller avec une blouse comme hier.
Jérôme est déjà couvert de
honte avant de partir. Cette tenue en plus ses bagues aux dents, font de lui un parfait petit garçon. Il
angoisse à l’idée de retrouver ses camarades de classes et ses
professeurs. Tante Martine lui enfile
ses chaussure et son blouson.
« Allez en route, je
t’accompagne décrète t’elle »
C’est tenu fermement par la
main qu’il arrive à l’école. Déjà il remarque les premiers ricanements des
autres élèves. Comme à petit garçon, tante Martine l’embrasse et lui donne ses
recommandations
« Tu as intérêt à filer
droit et à travailler assidûment. Je ne
veux jamais te ton attitude inqualifiable d’hier ! Je me suis bien fait
comprendre ? L’interroge-t-elle.
– Oui ma tante répond poliment
Jérôme en rougissant. »
Sur le chemin de la salle de
classe, Jérôme essuie quelques moqueries des autres élèves. Ils rigolent de ses cuisses à l’aire et des
marques qui démontrent sans aucune autre suspicion possible les châtiments qui
en ont découlé.
Jérôme est rouge pivoine. Il
ressent une terrible humiliation. Il sait qu’il que ce n’est pas terminé.
Qu’est-ce que ce que cela va être quand ils vont le voir en blouse. . Il veut
disparaître, il veut fuir, mais très vite il se ravise. Cela entraînera une
trop grosse colère de tante Martine et de madame Mercier.
Arrivée dans la classe oublie
la promesse faite à sa tutrice. Lorsque le professeur lui demande de retirer
son blouson, il refuse. Il ne veut pas qu’on puisse le voir avec sa
blouse. L’enseignant n’a pas de temps à
perdre avec ses enfantillages et l’envoi directement chez la directrice
accompagné de la déléguée.
« Pourquoi tu refuses de
retirer ta veste ? Demande la jeune fille sur le chemin »
Jérôme tête basse ne répond
pas, il ne peut pas retenir les larmes qui lui montent déjà aux yeux. Il rentre tremblant dans le bureau de madame
Mercier qui remercie la jeune fille et la renvoi e en classe.
« Je vous écoute mon
garçon, qu’est-ce encore que ce cinéma ? Questionne la directrice »
Jérôme se contente encore de
regarder le bout de ses chaussures, des larmes coulent le long de ses joues.
« Retirez-moi
immédiatement votre manteau, exige
t’elle »
Jérôme s’exécute et laisse
donc apparaître sa jolie blouse d’écolier.
« Ah je comprends mieux.
C’était donc cela. Jérôme si votre tutrice exige que vous portiez une blouse à
l’école vous devez porter une blouse et si votre professeur exige que vous
retiriez votre veste, vous retirez votre veste. Mais non ! Monsieur une
fois de plus se croit supérieur, Monsieur se permet de n’en faire qu’à sa tête.
Pourtant vu l’état de vos cuisses je pense que Madame Lepand a encore dû sévir
avec vous ! Visiblement malgré cela vous continuez à être désobéissant et
têtu. Vous serez dressé, croyez-moi. »
Elle s’approche du jeune homme
et lui baisse son short et sa culotte puis le prend par l’oreille et le traîne
ainsi jusqu’à la salle de classe.
« Je vais vous apprendre
à obéir aux injonctions de vos professeurs moi croyez-moi ! Aller avancez ! »
Ils font leur entrée
fracassante dans la classe. Madame Mercier s’excuse auprès de l’enseignant et
place son élève courbé sur le bureau du professeur. Les fesses faces à la
classe. Bien qu’il le ne les voit pas, Jérôme imagine facilement le sourire de
ses condisciples. Elle attrape une longue règle en plastique et fesse
copieusement devant un public ravi ce vilain garnement.
Jérôme ne peut pas retenir ses
cris et à la douleur se rajoute encore une fois l’humiliation d’être corrigé en
public. En plus là il s’agit de ceux qu’il côtoie tous les jours. Les marques
de la règle qui se superposent aux marques de la veille, la culotte courte et
le slip blanc petit bateau au bas des pieds, et affublé en plus d’un bonnet
d’âne, Jérôme est placé au piquet. Les mains dans le dos il doit rester ainsi
toute la matinée selon les ordres de Madame Mercier.
Le cours se poursuit. Dans son
coin, le nez parfaitement collé au mur, Jérôme imagine le regard amusé des
autres. Il redoute le moment du repas, ou ses amis vont bien rigoler du spectacle
qu’il leur offre à son insu. Le professeur quant à lui, ne prête guerre
d’intention à lui. Il poursuit son cour comme si de rien n’était. Il ne lui
accorde que quelques secondes d’intention à la fin de la classe pour lui
ordonner de se reculotter et d’aller déjeuner.
Dans la salle de repos, Jérôme
mange seul. Bien sûr les quelques élèves qui prennent leur repas dans cette
salle ont le sourire quand il regarde Jérôme mais pour tous il n’est qu’un
gamin même s’il est plus âgé qu’eux. De toute façon au vu de son accoutrement,
de son appareil et de son allure il parait à peine 13 ou 14 ans.
L’après-midi se déroule sans
encombre. Cependant Jérôme s’épouvante du commentaire négatif que madame
Mercier va noter sur sa fiche de suivi. Il sait déjà que ce soir ça va encore
être sa fête à la maison.
Quand il arrive dans le bureau
de Madame Mercier, il est surpris d’y retrouver madame Lepand. Il y’ a une
autre dame. Elle lui est présentée comme étant la Directrice du collège, madame
Duvoid. C’est madame Mercier qui prend la parole.
« Jérôme, il est évident que vous n’êtes pas fait pour
être technico-commercial. Je crois que nous devons éviter une nouvelle fois le
fiasco d’une mauvaise orientation. En effet vous les cumulaient. Par conséquent
votre tutrice à acceptait notre proposition pour que vous intégriez tant qu’il
est encore temps la classe « orientation ». Vous y recevrez une
remise à niveau et au bout de 1 ou 2 ans vous serez orienté vers la filière qui
vous correspond le mieux. Cette structure est rattachée au collège chez nous
d’où la présence de madame Duvoid ce soir. Je lui laisse la parole.
– Merci madame Mercier. Comme viens de te le dire madame
Mercier, ta nouvelle classe dépend du collège. Elle y est soumise au même
règlement. Ta tante te le montrera ce soir. Demain à ton arrivée tu devras le
connaitre. Aucune excuse donc. Si tu ne respectes pas les règles c’est la
punition directe. J’ai remis à ta tante également l’uniforme du collège. Tu la
porteras tous les jours et ce sans exception.
J’ajoute que si ce n’est pas la même entité, l’école supérieure et le
collège font parties du même établissement. Par conséquent pour votre
comportement de ce matin vous aurez en prime 4 heures de retenue samedi matin
de huit heures à midi.
– Et tu seras bien sûr puni à la maison ajoute tante
Martine. »
Jérôme est abasourdi. Il ne sait plus quoi penser. De toute
façon il n’a rien à penser. On ne lui demande pas son avis. Son avenir est
scellé. Il ne sait pas quoi répondre non plus. Ça tombe bien on ne lui demande
rien.
Retour à la maison. Jérôme s’attend à se retrouver une fois
encore la culotte courte et le slip aux bas des pieds mais sa tutrice lui
annonce qu’elle le corrigera ce soir après le repas. D’abord elle lui donne sa
douche du soir, le met en pyjama puis elle lui fait lire le règlement du
collège à haute voix. Une fois lu Jérôme se risque à contester un petit peu
« Mais enfin ma tante, je ne peux pas à mon âge avoir
ce genre de règlement. Je ne peux pas
encore perdre de temps dans ce genre de classe.
– Ah oui ? Vraiment ? Par ce que tu crois que les
règles que je t’impose sont différentes ? Tu crois que tu vas dénoter par
rapport à tes camardes de classes ? Tu crois que tu es adulte ? »
Jérôme est encore dépité. Il
sait bien que madame Lepand a raison. Il ne peut répondre que par un simple et
poli « non ma tante »
« Voilà
qui est parfait ! A table ! »
Le repas terminé, Jérôme
s’acquitte de ses corvées habituelles, il balaye et range la vaisselle dans la
machine avec application. Il sent déjà monter en lui la peur de la magistrale
correction qui l’attend. Madame Lepand a été très claire tout à l’heure en
sortant de l’école.
« Ce soir je vais encore
devoir t’apprendre à te soumettre aux ordres des adultes qui t’encadre.
Crois-moi mon garçon tu finiras par comprendre. Quoi qu’il t’en coûte. Tu peux
me faire confiance, ce soir encore tu vas pleurer et tu dormiras encore
certainement sur le ventre. » Ces mots résonnent encore dans la tête du
jeune garçon. »
Le brossage des dents se
déroule comme le veut la routine imposé par madame Lepand. La suite devient
aussi un peu une routine que Jérôme aimerait voir disparaître. Munie de la ceinture, elle force son pupille
à se courber en appuie sur le lavabo.
« Je
t’avais prévenu mon grand ! Dit-elle en lui descendant la culotte de
pyjama. »
Jérôme ressert déjà son
fessier. Il sait qu’il va encore passer
un mauvais moment. Il sait aussi que cette correction est méritée. C’est la
règle. Une fessée reçue par un tiers est égale à une autre de la part sa
bienfaitrice. Il aurait dû obéir, il s’en
veut
« Quand
tu es à l’école, tu dois obéir à tes professeurs et à tes encadrant. Tu le
sais. Pourtant une fois n’est pas coutume tu n’en fait qu’à tête. Je ne cèderai pas. Tu le sais. Tu en payeras
chaque fois le prix. »
Madame Lepand détache bien
chaque syllabe qu’elle ponctue par un coup de ceinture. Bientôt tout l’arrière-train
est encore coloré et marqué par les traces de la ceinture. Il pleure et supplie mais rien n’y fait.
Comme toujours Martine Lepand met un point d’honneur à bien sanctionner son
protégé. La souffrance est encore
intense.
Cette correction n’est pas
très longue mais elle est acérée. Jérôme
l’a bien sentie passé. Directement après il envoyé au lit. Demain ce sera son
premier jour au collège. Il ne s’agit pas qu’il soit fatigué. Avant d’éteindre
la lumière elle lui explique pourquoi elle a décrété ce changement dans
l’orientation de son neveu adoptif et dans sa vie.
« Demain
tu redeviendras collégien. Alors certes
sur le papier tu as peut-être vingt-quatre ans mais dans ta tête, dans ta façon
d’être et de penser tu es encore un petit garçon. En plus vu l’éducation que je
te donne ce sera beaucoup. Je pense que tu peux faire mieux qu’un BTS et cette
remise à niveau sera bénéfique. En revanche comme tu le sais déjà, les règles
du collège sont beaucoup plus drastiques que celle de l’école supérieure. J’en
suis ravie, et tu peux t’en réjouir car c’est ce dont tu as besoin. Bien entendu
les règles fixées ne changent pas. Si tu es puni à l’école tu le seras
évidemment aussi à la maison. Sur ce, bonne nuit mon garçon. »
Martine Lepand quitte la pièce
laissant son pupille avec des larmes qui coulent encore le long des joues. Il a
les fesses en feu et s’inquiète de sa future nouvelle vie de collégien. Cela
viendra vite ?
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Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
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