« Tu sais, on peut se tutoyer?
-Oui
-Tu sais,
reprit-elle, Mme de Rochecourt est très gentille et c’est grâce à elle
que j'en suis arrivée là . Il y a quelques années, elle s'est occupée de moi quand je me suis
effondrée sur moi-même, plus motivée, me laissant aller. Un jour je suis allée
chez elle sur les recommandations d'une voisine de mes parents. On a longuement
discuté pour identifier les axes d’amélioration.
On a établi un programme , pas
si éloigné du tiens et c'est là qu'elle m'a dit que comme j'agissais comme une
jeune fille puérile je devais recevoir la punition des jeunes filles, c'est à dire que je devais recevoir une
fessée déculottée. Tu te rends
compte? Je n'en avais jamais reçue
avant. J'étais si terrifiée que j'étais à deux doigts de faire pipi culotte. Puis
elle me l'a donnée , longuement en m' expliquant que ça allait me faire du bien
et que cela me fera progresser vers la réussite. J'ai eu honte et mal. Tout en
me claquant les fesses, elle m'expliquait que la douleur et la gêne de se faire
déculotter était essentiel dans l'administration de ce châtiment corporel. Le
mélange de ces deux sensations garantissait l'effet marquant et qu'à l'avenir,
le simple souvenir de l'embarras de sentir sa culotte être baissée suffirait à
contrecarrer la plupart des relâchements. -Tu n'a pas idée de ce que j'ai pu
vivre intérieurement, je suis super pudique, alors imagine l'horreur de savoir
que mon intimité était à ce point exposée ! Rien ne devait lui échapper !
Toison, vulve et pire encore, mon anus ! Après ça j'ai commencé à reprendre ma
vie en main et ai travaillé dur, et à chaque fois que je sentais ma motivation
faiblir, j'allais la voir et elle m'administrait une toute aussi impudique
fessée déculottée. Peu à peu, je n'ai
plus eu besoin d'aller la voir, je la
tenais au courant de l'évolution de ma carrière, elle est si fière de moi. Alors tu vois
Amélie, je pense qu'elle va vraiment
t'aider, vraiment. -On y va ? »
Elles passèrent chez Amélie, où elle put se
changer pour être plus présentable. Elle revêtit une longue jupe en lin blanc
et un joli chemisier fuchsia, ajusta sa coiffure et son maquillage et
repartirent.
Le trajet fut silencieux ou presque, Amélie
avait une boule d'angoisse au creux de son ventre mais aussi était pleine
d'espoir.
Mme de Rochecourt habitait dans un joli
pavillon, au fond d'un grand jardin, en
proche banlieue. Décoré avec goût, et des fleurs partout. Elles furent
accueillies avec chaleur et elles s'installèrent dans un grand salon. Mme de
Rochecourt, sans attendre prit la parole .
« Bien, Amélie, nous sommes ici
aujourd'hui pour vous apporter une aide et vous permettre de reprendre le
dessus dans l'éducation de votre fille. -Roxanne, ma chérie, a-t-elle signée le programme ?
-Oui Madame.
-Bien, mais avant de commencer je vais vous
poser quelques questions sur vous et votre fille. Je ne suis pas ici pour vous
juger mais pour vous aider, vous comprenez ?
Je ne commenterai pas vos réponses, mais je
vais prendre des notes .
-Entendu Madame
-Voulez-vous un café? Un verre d'eau?
-Volontiers
-Roxanne,
tu veux bien t'en occuper?
-Amélie donc, comment expliquez-vous les
difficultés que vous avez avec votre fille,
qui s'appelle?
-Juliette, elle a 18 ans. Je ne sais pas trop
quoi faire. J'ai l'impression que je contrôle plus rien. Je lui parle, mais en
vain, comme si je parle à un mur.
-Sa scolarité se passe bien ? A-t-elle de
bonnes notes ?
-Ça peut aller, elle ne fait que le strict
nécessaire.
-A-t-elle un petit copain?
-Oui je crois
-Comment le savez-vous?
-Elle me l'a dit .
-Se protège-t-elle? Prend-elle la pilule?
-Pas toujours, et non elle ne la veut pas, pas
pour l'instant.
-Comment savez-vous qu'elle ne se protège pas
toujours durant les rapport sexuels? C'est elle qui vous l'a dit ?
-Non je l'ai vu en faisant la lessive
-Ah ? Vous inspectez ses culottes?
-Oui et non. Je suis tombée par hasard sur
l'une d'entre elles, c'est là que j’ai vu des traces de .enfin, vous savez de
quoi.
-Je vois, lui en avez-vous parlé?
-Oui
-Et?
-Elle n'a pas écouté.
Mme de Rochecourt fit une petite pause pour
écrire sur son carnet.
-Reprenons voulez-vous ? Sa chambre est-elle
bien rangée ?
-Ça peut aller.
-Vous aide-t-elle aux travaux ménagers?
-Non pas trop
A nouveau, Madame de Rochecourt griffonna sur
son carnet. Roxanne revint avec un plateau de café et petits biscuits. En
servant une tasse à Roxanne et Amélie, Madame de Rochecourt reprit ses
questions.
-Avez-vous déjà été fessée plus jeune ?
-Oui par ma Maman et ma grand-mère
-Une affaire exclusivement féminine?
-Oui sans que je puisse l'expliquer.
-Racontez moi la plus embarrassante fessée de
votre mère et mamie.
-Et bien, pour ma mère c'était quand j'avais
10 ans , elle a su que j'avais séché un cours de musique. Quand elle avait reçu
l’appel du conservatoire, elle était très en colère et elle m’a donnée une fessée
déculottée devant mamie .
-En quoi c'était embarrassant?
-Parce qu'elle m'a baissés la culotte devant
une autre personne, c'était mortifiant de montrer son anatomie même à sa grand-mère
-Et pour votre Mamie ?
-C'est parce que j'avais jeté ma pomme en
douce lors d'un pique-nique, je croyais qu'elle ne m'avait pas vu. Ayant vécu
des périodes difficiles dans sa vie, il lui était plus qu'insupportable de
gâcher de la nourriture. Elle m'a prise par l'oreille et couchée sur ses genoux
, relevé ma jupe et fessée, on aurait pu voir et entendre, d'ailleurs je suis
sûre que la famille qui était installée à quelques dizaines de mètres a tout
entendu .
-Juste troussée?
-Je croyais que j'allais pouvoir m'en tirer
comme ça mais après quelques claques elle a baissé ma culotte en disant que
quand mamie donne la fessée c'est toujours fessée déculottée.
-Vous aviez quel âge?
-C'était pendant mon adolescence. J'ai eu si
peur que quelqu'un voit ma nudité
-Je comprends.
-Quel est votre orientation sexuelle?
-Euh.
-Vous pouvez tout me dire, n'ayez
crainte, parlez en toute confiance .
-Je suis hétérosexuelle, mais je ressens de
plus en plus de choses envers les femmes.
-Je vous remercie de votre franchise.
-Êtes-vous épilée?
-Disons entretenue !
-Quand avez-vous eu vos dernière règles?
-Il y a presque 3 semaines
Les regards d'Amélie et de Roxane se
croisèrent. Roxane sourit.
-Avez-vous des jouets sexuels
Rougissante, Amélie se souvenu qu'elle avait
toujours chez elle le plug anal dont Roxane s'était servie la dernière fois
qu'elle l'avait fessée.
-Oui
-Lequel ?
-Un plug anal.
-Très bien
Mme de Rochecourt, relut ses notes et réfléchi
quelques instants.
-Amélie, voici ce que je pense de votre
situation. Vous êtes une femme et mère qui ne s'assume pas assez. On dirait que
vous allez vous affirmer. Mais non, vous ne pouvez ou n'osez pas franchir les
étapes de l'accomplissement. Votre fille fait ce qu'elle veut sans faire les
efforts nécessaires pour progresser dans ses études ou sa vie affective. Et
pire, en ne faisant rien, vous l'y encouragez. Vous avez eu raison de venir me
voir, je vais vous aider. Êtes-vous d'accord avec mon analyse ?
Reconnaissante, Amélie acquiesça de la tête.
« Je pense qu'il est temps que nous
passions à l'étape suivante : jeune fille, lève-toi! »
Surprise par cette soudaine infantilisation et
ce tutoiement, Amélie obéi et se leva
-Approche.
-Jeune fille , pour te faire comprendre que tu
as des lacunes dans l'éducation de ta fille, tu vas être traitée comme le sont
les petites filles. Par une bonne fessée déculottée. Allonge toi sur mes genoux
, Roxane toi tu vas compter dans ta têtes les claques et me dira quand nous
nous en serons à 50
- Oui Madame
-Amélie, dis-nous pourquoi tu es sur mes
genoux aujourd'hui?
Amélie qui se souvenait des termes du contrat
qu'elle avait signé dit:
-Je mérite d'être punie pour prendre
conscience de mes lacunes et pour progresser
-C'est bien, continue petite fille.
-Comme je suis négligente je mérite de
recevoir une fessée déculottée.
Mme de Rochecourt saisie les bords de la jupe
et la retroussa complètement. Amélie n’avait plus comme seul rempart à sa
pudeur que sa culotte de coton blanc. La fessée commença , la conseillère
prenait bien soin de claquer les fesses d'Amélie à force égale et sur toute la
surface des fesses offertes à elle.
Clac, clac, clac !
-Amélie comprend bien que tu vas progresser.
J'ai confiance en toi.
Clac, clac, clac !
-50 ! dit Roxane ...
-Amelie pour cette punition soit efficace je
vais te baisser la culotte, je sais que tu as 45 ans, que tu es mère de famille
et qu'il est difficile d'exposer son intimité mais cela est nécessaire.
Elle prit l'élastique de la culotte d'Amélie
et la fit glisser jusqu'aux chevilles. Les fesses nues, Amélie savait au fond d'elle même que ce
traitement la ferait progresser.
-Roxane tu me diras quand nous en serons à 40
Clac, clac, clac !
Les fesses déjà rouges devinrent écarlates. Amélie
, serrait les dents , encaissant le plus dignement sa punition. Ses fesses lui
brûlaient,
Clac, clac, clac !
- 40 !
-Bien pour les dix dernières, je vais te claquer vraiment fort , pour
éviter tout accident je vais te demander d'aller faire pipi .
-Viens je vais te montrer le chemin, retire
complètement ta jupe et ta culotte .
Surprise et assez embarrassée Amélie prit sur
elle et la suivit jusqu’à une grande salle de bain. A sa grande surprise Mme de
Rochecourt entra avec elle.
-Allez jeune fille, fait pipi .
-Mais
-Il n'y a pas de mais, obéi !
Amélie s'assit sur la cuvette et après
quelques secondes vida sa vessie. Mme de Rochecourt, pendant ce temps enroula quelques feuilles de
papier toilette autour de sa main et attendit la fin de sa miction.
-Euh je peux le faire toute seule vous savez.
-Obéi jeune fille, lèves toi et écarte tes jambes que je puisse
t'essuyer correctement.
Mme de Rochecourt s'accroupit devant Amélie et
passa le papier toilette sur la vulve d'Amélie écartant légèrement les grandes
lèvres.
-Bien retournons au salon.
Amélie tira la chasse d'eau, se lava
rapidement les mains et suivi la conseillère.
-Pour les dix dernières claques je vais te
demander de t'allonger sur le dos sur ce siège,
Roxane tu vas lui relever les jambes bien haut et bien écartées.
-Voilà jeune fille, comment ressens-tu cette pose?
Amélie, retenant un sanglot, murmura : c'est
très humiliant mais je l'accepte pour progresser.
-Effectivement, c'est très humiliant d'écarter
ses jambes devant une inconnue, tu offres le spectacle de ton sexe ouvert ou
l'on distingue bien ton vagin et ton clitoris .
Même ton anus s'ouvre un peu. Tu vois aussi Roxane ? .
Roxane tira les jambes d'Amélie vers elle, la
faisant presque décoller du canapé.
-Oui, je le vois bien. Il s'ouvre, c'est très gênant pour elle, la honte.
-Cela fait partie de la punition.
-Bien, Amélie tu vas compter à voix haute
jusqu'à 10. C'est quand tu veux.
Les jambes relevées, impudique, ses orifices intimes ainsi
exposés, elle dit timidement.Une énorme claque vint s'abattre sur ses fesses et
immédiatement suivi par une autre sur sa vulve. Amélie poussa un cri de
douleur, elle comprenait maintenant
pourquoi Julie lui avait fait faire pipi avant. Son sexe était irradié de
douleur.
-Allez Amélie ...on continue.
-2
Shlack ! Clac !
Une autre cris strident sorti de sa gorge ,
elle ne retient plus ses larmes qui ruisselaient le long de ses joues.
-, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Haletante, essoufflée Amélie se rassit, ses
fesses brûlantes, jamais elle n'avait eu
aussi mal de sa vie à part bien sur les douleurs de l'accouchement .
-Reprenez vos esprit et buvez un verre d'eau
et allez au bureau là-bas , vous y copierez 25 fois “ j'ai mérité la fessée
déculottée car je suis une mère qui ne prends pas ses responsabilités.”
S'asseoir sur cette chaise, les fesses
douloureuses, fut très difficile, mais elle se força et copia
consciencieusement les 25 lignes. Elle finit et tendit la feuille à Madame de
Rochecourt qui l’étudia avec attention. .
-C'est bien, pour finir allez-vous mettre dans
ce coin , le nez collé au mur et attendrez la fin de la séance.
Au bout d'un quart d'heure, Amélie pu se
rhabiller et vint rejoindre Roxane et Madame de Rochecourt sur le canapé, s'asseyant avec difficultés.
- Amélie,
je suis fière de vous , vous avez été courageuse et avez encaissé la
fessée déculottée comme une grande. Je suis sûre que vous allez tirer profit de
cette leçon et remettre Juliette dans le droit chemin. Venez faire un câlin,
Marie Charlotte de Rochecourt prit Amélie dans
ses bras et la serra très fort contre sa poitrine
-Quand vous sentirez que vous aurez besoin de
vous remotiver vous prendrez rendez-vous et je vous aiderai de la même manière.
Allez, rentrez chez vous Madame au revoir
Amélie redevenue femme , mère de famille de 45
ans, prît congé.
Elle se sentait forte, fière d'avoir surmonté
cette épreuve. Elle souriait car cette séance avait provoqué en elle des
sensations bien plus douces et plus secrètes que celles d'avoir un fessier
rougi. Marie Charlotte s'en était sûrement aperçue. Seulement elle avait omis
de lui dire que cela aussi faisait partie de la punition.
Avant de quitter la propriété, elle ôta sa
culotte et la rangea dans son sac. Savourant la fraîcheur de l'air sur son
entrecuisse moite, elle rentra chez elle.
Fin
Une nouvelle production de Wendy
Voici la première : Christelle, punie pour avoir triché
Gageons qu'il y en aura d'autres.
Et maintenant ?
Pas mal, non ? Une suite à ce récit ? Wendy devrait peut-être se décider à l'écrire ? Qu'en pensez-vous ?
Faites-le-lui savoir, les commentaires c'est fait pour ça.
Si vous voulez la joindre directement, adressez moi le courriel, je transmettrai.
Bonjour Wendy,
RépondreSupprimerSuperbe texte. J'adore votre écriture.
Amitiés.
Elena.
Merci pour ce beau compliment surtout venant d'une aussi talentueuse auteure que vous êtes...ça me touche beaucoup
RépondreSupprimerMerci pour le compliment Wendy. Je sens le rouge me monter aux joues...
SupprimerQu'ils y aient des filles qui écrivent est bien pour la parité. Il n'y a pas de raison que nous les filles, ne prenions pas part à l'enrichissement de ce Blog.
давай девчонки ( allez les filles ! )
Amitiés.
Elena.
Tant que c'est aux joues...lol.et oui tout à fait d'accord avec vous, girls power !
SupprimerBravo Wendy, ce texte est très original et bien écrit, je suis ravie de vous lire, on sent du vécu dans votre écriture.
RépondreSupprimerSylvie
Merci beaucoup Sylvie vos compliments m'encourage à continuer à écrire.
RépondreSupprimer