LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
DES FESSEES COMME DES CHAUSSURES... SUR MESURE !
Pris au dépourvus, le pantalon à moitié baissé, en slip sur
le trottoir avec leur carton à chaussures sous le bras, Douglas et Aristide réalisèrent, tout de suite, qu'ils ne
pourraient pas se soustraire à la curiosité insistante de Bettina. Difficile
d'être crédible en inventant un bobard quelconque, dans l'état pitoyable où ils
étaient. Douglas décida de prendre les devants pour couper court aux questions,
et se résigna à lui raconter l’histoire de ce qui était devenu, '' l'affaire''
des souliers sur mesure.
Conclut Bettina dont le ton trahissait la jubilation qu’elle
éprouvait à cette perspective, loin de la chagriner, bien au contraire. Ça
l'amusait beaucoup de retrouver son ex
''futur'' amant dans cette situation plutôt
mortifiante...qu'il vivait, quant à lui, comme une terrible humiliation.
« Eh bien Messieurs, qu’est-ce que vous allez ramasser …vous l’avez bien cherché …je vais encore vous entendre chialer
comme des gamins ! »
Dans la position où ils étaient, les deux hommes ne pouvait
se dérober au regard inquisiteur de Bettina. Douglas, à demi-retourné avait
reculé d’un pas. Rouge de honte, il ne pouvait faire autrement que d' exhibait
son fessier rutilant, cambré, au point de ne rien en dissimuler. Bettina ne se gênait pas
pour reluquer sans vergogne les belles rondeurs qu'il exposait à si peu de
distance de son regard envieux. Il y avait quelque chose de féminin dans leur
anatomie postérieure. Probablement la fréquence des fessées qui en
développaient les volumes et raffermissaient le charnu.
Rodolphe, caché par le grillage, enfoui dans la végétation
des liserons et d’autres plantes grimpantes plus ou moins sauvages, ne
distinguait que des fragments de la scène. Mais il connaissait assez les
réactions de son beau-père pour imaginer ce qu'il ne pouvait voir . Il entendit Aristide
répliquer
à Bettina ;
– « Ben …oui .... Pour çà c’est certain …On va prendre une sacrée fessée au martinet tous les deux...c’est sûr, mais bon... On aura au moins gardé nos
chaussures... »
Bettina pouffa de rire.
– « Ah ben, vous alors ! Il vous en faut des fessées , c’est
sûr ! »
Douglas agacé.
– « Oui ben celles-là, on s'en passerait bien ! Et c'est toi Aristide qui m'en a fait acheter
alors que je n’en ai pas besoin. Mais
toi, avec tout ce que tu as, tu pourrais monter ton propre magasin !
– C'était une occasion unique mon vieux... On ne pouvait
pas la rater, du sur mesure, au prix de la confection... »
On aurait dit deux gamins en train de se disputer devant
une voisine hilare, sans se rendre compte de leur aspect ridicule, à moitié
déculottés sur le trottoir, tenant d'une main leur pantalon baissé, un carton à
chaussures sous le bras. Bettina secoua la tête d'un air navré, et rentra chez
elle en riant.
Douglas renonça à discuter.
« Bon, il faut y aller ! Si elles nous voient par
la fenêtre en train de bavarder, cela ne va pas arranger nos
affaires ! »
Rodolphe les vit se diriger vers sa maison. Ils
continuaient à s'engueuler en marchant. La pente douce de la rue, qui montait
légèrement, accentuait leur déhanchement et le balancement des deux plantureux
derrières cramoisis.
Arrivé devant la porte, Douglas voulut entrer mais constata qu'elle était
fermée à clé. Il dut donc sonner plusieurs fois et attendre, pour s'apercevoir
assez vite que Clarisse ne se pressait pas d’aller leur ouvrir . Elle avait dû
décider avec Régine de les obliger de patienter sur le seuil dans la tenue
qu’elles leur avaient imposée.
Douglas sonna encore, à plusieurs reprises en précisant.
– « C’est nous ! »
Comme si un doute pouvait exister. Aristide se raclant la
gorge, ajouta bêtement, d'une petite voix étranglée, toute timide.
-
Toujours pas de réponse. Rodolphe se décida à sortir de sa
cachette et de se rapprocher de la maison pour savoir ce qu'Aristide et son beau-père fabriquaient puisqu'ils étaient
toujours dehors. Il les entendait parler entre eux sur le perron, devant
la porte fermée. Mais alors qu'il
faisait attention à ne pas se faire remarquer , deux inconnues d’une
quarantaine d’années, passèrent dans la rue. Il entendit l’une d’entre elles
dire à l’autre.
– « Non mais regarde-moi ces deux-là, à moitié déculottés, avec leur
pantalon sur les genoux et leur gros derrière tout rouge, en train d’attendre
qu’on leur ouvre ! »
L'autre répondit en riant.
– « Oh mais, je le connais celui-là …c’est Aristide, le mari de Madame
Duplessy, je la vois souvent au salon de
coiffure. Et bien ça ne m’étonne pas
...Il paraît que c’est un drôle. Dépensier... et coureur avec ça... Toujours en
train de faire des bêtises ! »
Ayant entendu le
bruit d’une conversation, Bettina ressortit de chez elle et se fit un plaisir
de compléter l’information.
– « Oui, et l'autre là, c'est Douglas... le mari de Clarisse, ma
voisine. Et je peux vous dire que pour ce qui est de faire du n'importe quoi,
ils s’y connaissent ! Je vous dis pas les fessées qu’ils reçoivent tous
les deux... Et encore tout à l’heure …et c’est pas fini ! Si vous restez
là il va y avoir de bonnes fessées au martinet à écouter dans pas longtemps
! »
L’une des deux répondit .
– « Ah oui ...sur de pareilles paires de fesses ça
doit bien claquer. C’est dommage de rater ça, mais on n'a pas le temps,
sinon on serait restées, avec plaisir.»
L'autre enchaîna en s'adressant aux deux punis avec un
petit rire moqueur.
– « Cela va vous apprendre à vivre : une bonne fessée
au martinet sur votre gros derrière déculotté ! »
Douglas et Aristide étaient restés bien sages devant la
porte, leur provocant postérieur bien rebondi, entièrement visible de la rue
puisqu’ils lui tournaient le dos. Résignés à leur sort, ils ne cherchaient même
plus à dissimuler leurs deux sphères bien rougies qui débordaient
outrageusement des élastiques de leur slip à fessée. Mais la dernière phrase
avait fait sortir Aristide de ses gonds.
– « Ben oui ! une bonne fessée ...et alors ? Vous ne
désobéissez jamais, vous ? Jamais la moindre bêtise ? Jamais de fessée ?
......Pourtant, ça vous ferait certainement du bien à vous aussi ! »
Les deux passantes
s’éloignèrent en haussant les épaules.
Rodolphe, bien décidé à ne pas perdre une miette de la
suite des opérations, sortit, avec précaution, de sa cachette et se glissa en
douce à l’intérieur de la maison par la porte fenêtre du séjour. Clarisse et
Régine prenaient tranquillement le thé, attablées dans la salle à manger.
Clarisse consentit enfin à aller ouvrir la porte aux deux hommes qui pleurnichaient
toujours
devant la porte.
Il était clair que les deux épouses s'étaient amusées à les faire “marronner” dehors, sachant qu’ils avaient, tous les deux, leurs gros
derrières à l’air et à la merci des regards qui pouvaient passer dans la rue. Elles
savaient parfaitement que la démarche du report des deux paires de chaussures
n'avait aucune chance d'aboutir et n’avait d’autre motif que de leur faire
honte ! Les maris s'en doutaient bien aussi ...mais ils avaient
obéi, avec comme contrepartie d’espacer un peu le temps
entre les fessées à la main subies et celle au martinet à venir ....
Aristide n’était pas fier. Il entra le premier avec un air
plutôt piteux, en baissant la tête, s’attendant ouvertement à une fessée
magistrale ! Mais le plus frappant fut l’expression de panique qui se répandit brusquement
sur le visage de Douglas, qui, quelques
instants seulement auparavant devant les passantes, paraissait si insouciant,
presque provocateur. En entrant, il avait vu, comme son voisin, leurs épouse,
qui, manifestement attendaient leurs fesses, tenant chacune leur martinet à la
main. Tous les deux, anticipaient déjà la cuisson des lanières sur leur
derrière déculotté, sans protection.
Clarisse interroge l'air goguenard .
– « Et bien.
Ces chaussures ? »
Régine complète en faisant onduler les lanières du martinet
le long de sa cuisse gainée de nylon.
– « On vous avait dit de les rendre et de vous faire
rembourser...Alors ? »
-
Rodolphe, à l'écoute derrière le rideau, se régale à
écouter Douglas et Aristide répondre de concert. Le beau-père, en s’embrouillant, lui fait penser aux
“ preuves'' tordues ” qu’il avance lui-même pour tenter de se disculper quand il
fait une bêtise. Aristide, à côté, rame pour rectifier, tous les deux se
coupent la parole, se contredisent en racontant dans la confusion la plus
totale devant leurs épouses qui s'en amusent ouvertement.
Ils finissent par reconnaître leur embarras à avouer,
devant Madame Delaniaires, qu’ils
avaient reçu la fessée et qu’ils devaient restituer leur achat sous peine de
s'en prendre une autre au martinet. La propriétaire du magasin, ironique, avait
fait semblant de ne pas les croire et, avait exigé qu’ils se déculottent en
plein milieu de la boutique pour le prouver en lui montrant leur fesses.
Douglas avait essayé en vain d’éviter cette humiliation en argumentant que leur
slip trop serré rendait les déculottages très douloureux. Cela n’avait fait que
réjouir la maîtresse femme, et lui avait donné l’idée de les faire attendre
dans cette tenue, l'arrivée de Géraldine, sa nièce, afin qu’elles décident
ensemble.
La jeune femme, goguenarde, s’était extasiée complaisamment
sur la beauté de leurs provocantes paires de fesses écarlates et sur la
sévérité des fessées reçues. Certaines de recueillir l'assentiment de
leurs épouses, elles les déculottèrent aussitôt de concert pour leur flanquer
une nouvelle fessée, histoire de les faire repartir avec la marque de la maison
imprimée sur le derrière. Ils apporteraient ainsi la preuve visible, qu'ils y
étaient bien passés.
– « Et encore une bonne fessée ! Ça leur
apprendra à faire n'importe quoi ! »
Avait conclu Géraldine, ravie de l'aubaine, en reculottant
les fesses cramoisies de Douglas effondré entre ses cuisses.
Tout ça pour finalement s’entendre dire que se faire
rembourser n’était pas possible... Ils avaient juste gagné une fessée
supplémentaire !
Intraitable, Clarisse conclut, en vérifiant du
regard l’accord de Régine, qu’il n’y avait plus qu’à doubler la fessée au
martinet, méritée et déjà prévue, avec le gingembre remis dans le derrière !
Douglas protesta timidement ;
– « Oh non chérie, s'il te plaît......plus
le gingembre …ça brûle encore ...hein ,
Aristide? …On se disait en rentrant
qu’on était bien punis , fessés bien comme
il faut …on ne recommencera pas,
c’est promis ! hein Aristide ? »
Celui-ci approuvait en hochant
désespérément la tête. Tous les deux s’étaient mis à genoux devant leur femme ,
en prenant soin quand même de bien arrondir leur postérieur cramoisi pour
montrer comme ils étaient déjà bien corrigés.
Aristide suppliait à son tour.
– « Pardon Régine, pardon ! Je ne le
ferai plus, je serai toujours obéissant … Je ne me suis pas rendu compte que ça
coûtait aussi cher, ces chaussures... Je te demande pardon ! »
Et ensemble, avec Douglas.
– « S'il vous plaît... “ plus le gingembre …ça y est ...c’est fait … Et ça nous chauffe
encore dans le derrière...La... La fessée au martinet... mais pas avec le
gingembre ! »
Mais leurs épouses ont décidé d’être
intraitables. Elles s'amusent du désarroi des deux punis.
– « Comment ça, pas le
gingembre ? »
Dit Clarisse en échangeant un clin d'œil complice avec Régine.
– « Ce sont eux qui voudraient décider de
leur punition maintenant ! Tu as déjà vu ça où , mon ami ? »
Régine
renchérit pour faire bonne mesure.
– « Et il ne faut pas que le
gingembre... Il y a aussi le Dolpic! La bonne friction
au Dolpic pour garder de belles fesses, pour être bien fessés tous les jours,
si c'est nécessaire ! Parce que
c’est la fessée tous les jours que méritent souvent ces Messieurs ! »
Ah comme ils étaient loin, les deux cadres
supérieurs suffisants, à ce moment, méconnaissables, implorant, à genoux, la
clémence de leur femmes avant de se faire corriger.
Les deux, ne sachant plus trop quelle bonne
réponse faire, approuvent en pleurant.
– « Ouiiiiiii , la fessée tous les jours,
on le mérite... »
Se lamente Douglas. Clarisse s'en délecte et
insiste.
– « Sûrement, tous les jours... Et
comment ?
– Déculotté ! Oui ,chérie …devant tout le monde …à la main et au martinet …des fessées bien sévères sur mon gros derrière
de mari pas sage !
– Et avec ?
– Avec le Dolpic...... et …et le gingembre dans le derrière, chérie...Pour
que ça chauffe bien …que je sois corrigé comme tu veux ! »
Plus
soumis, ou feignant de l'être, ce n'était pas possible. Régine a du mal à garder son
sérieux et se retient d'éclater de rire. Elle regarde Clarisse d'un navré.
– « Quand je te dis qu’ils sont
parfois à moitié cinglés. Capables de dire n’importe quoi et de faire n’importe
quoi si on les laisse faire ! »
Clarisse avec à propos et sur un ton
sarcastique.
– « En parlant de cingler ...si on
réglait ça pour de bon ! Tiens passe lui les fesses au Dolpic pendant que
je mets le gingembre à Aristide! Ou on fait l’inverse si tu
préfères. Tu mets le gingembre dans le derrière du tien pendant que je frotte
bien les fesses de Douglas avec la pommade. Il faut bien faire pénétrer, parce
que sinon ça va poisser les lanières des martinets .
Douglas et Aristide avaient compris ce qui les
attendait... Une sévère fessée au martinet et, du fait de l’échec de la
restitution des chaussures achetées sans permission, double ration, avec les
fesses une nouvelle fois enduite de Dolpic et une belle racine de gingembre
enfoncée dans le rectum. … Ayant épuisé leurs tentatives d'obtenir un tant soit
peu de clémence, ils se montraient plus résignés, acceptant la punition
annoncée sans la contester et en faisant preuve d’obéissance.
Une fois déculotté en position bien humiliante, la tête
coincée entre les cuisses de leur épouse respective, ils durent aller
s’agenouiller côte à côte sur le grand canapé du séjour, le derrière en l’air,
épanoui. La largeur du siège était juste suffisante pour que genoux et visages
soient au même niveau sur les coussins, mais cela au prix d’une attitude fort
peu confortable qui les obligeait à tourner la tête de côté et, surtout, à se cambrer au maximum
afin que leur croupe soit la plus haute possible.
D’où il était, Rodolphe , toujours en observation ne voyait, en fait, que deux sphères charnues, bien fendues en leur milieu, et encore d’un
beau rouge uniforme. Il y avait évidemment assez de racines de gingembre. C'est
Douglas qui avait dû les préparer,
soigneusement épluchées et taillées, mais il n’y avait qu’un seul tube
de Dolpic.
Il eut droit à sa friction le premier. Clarisse lui passa
le bras gauche autour de la taille faisant saillir encore plus son derrière et,
de sa main droite largement enduite du terrible révulsif, lui frotta les fesses
vigoureusement comme si elle voulait les astiquer. Quasi immédiatement, il se
remit à pleurer bruyamment en criant.
– « Ouaah Clarisse, pas autant, pas si fort ! Ça brûle ! Nooon
!ça brûle !! »
Rodolphe ne put s'empêcher de penser que Bettina devait
se régaler en entendant ces sanglots désespérés. Les deux racines de gingembre
qui restaient sur la table lui avaient paru plus grosses et biscornues que
celles utilisées pendant les fessées à la main.
Régine pris l’une d’entre elles, obligeant son mari à
écarter le plus largement possible ses fesses. Alors qu'à côté de lui, Douglas
s'était remis à pleurer, il commença dans le même temps à pousser des cris et
des gémissements en continu.
– « Ho houlaaaaa !! Ça... ça chauffe déjà , ça va
trop cuire ! Ça va me bruler ! oh non, pitié ! Ça y est ça cuit
...ahrrrr ! »
Quelques instants après, les rôles étaient inversés.
C’était Douglas, contraint d’écarter au maximum ses fesses brillantes de crème,
redevenues écarlates qui poussait un gémissement continu durant l’introduction
de la grosse racine noueuse dans son anus. Pendant ce temps Aristide
sanglotait de nouveau, à fendre l’âme, en se faisant frictionner généreusement
le derrière au Dolpic. La scène épique ne dura que quelques minutes, mais bien
employées. .
Les deux épouses s’étaient emparées chacune du martinet
qu'elles avaient acheté. Placées de chaque côté des deux belles paires de fesses
déculottées et rebondies que leurs maris exhibaient de façon si propice et
provocante, elles commencèrent à les cingler en cadence.
Les deux fessiers rapprochés présentaient pratiquement une
cible unique. Les lanières étaient assez longues pour couvrir la totalité d’un
derrière et la moitié de l’autre, si bien que les deux punis recevaient, en
permanence, une cinquantaine de lanières sur leurs fesses bondissantes puisque
celles d’un martinet s’abattaient, pendant que celles de l’autre se levaient.
Les deux hommes s’étaient remis à pleurer comme lors de la fessée à la main
qu’ils avaient reçue avant de sortir. C’était une belle fessée, traditionnelle,
au martinet. Mais avec des martinets ''Delaniaires'', sur mesure, beaucoup
moins traditionnels que ceux disponibles dans les bazars.
Ils pleuraient bruyamment, aussi fort l’un que l’autre,
sans savoir combien de temps cette nouvelle fessée durerait mais sans espoir de
la sentir se terminer avant que leurs sévères épouses l’aient jugé suffisante.
Les lanières de cuir, luisantes de Dolpic, dessinaient des sillons en creux, aussitôt disparus, sur la
peau cramoisie des volumineuses rondeurs fessières. Positionnées comme elles
l’étaient, elles ne pouvaient se
soustraire aux coups incessants des martinets maniés constamment ,sans retenue.
D’ailleurs ni l’un ni l’autre des deux maris châtiés ne
prononçaient quelle protestation que ce soit. Ils se contentaient de pleurer,
toute honte bue, en veillant à bien garder leur postérieur dans la position où
ils avaient reçu l’ordre de le maintenir …endurant en serrant les dents leur
cuisante et claquante fessée !!!!!
![](file:///C:/Users/CHRIST~2/AppData/Local/Temp/msohtmlclip1/01/clip_image002.png)
Au bout de quelque temps, Régine et Clarisse se mirent à varier les positions. Soit
Aristide et Douglas se retrouvaient sous le bras de leur femme, soit courbés en
deux sur
la cuisse gauche levée à l'horizontal, le talon aiguille posé sur la chaise à
fessée, pour les laisser pédaler dans le
vide.
Mais la meilleure
position, la plus humiliante, les fesses en l'air entièrement déployées, c’était à genoux à l'envers sur la chaise à
fessée. Le buste plié en deux sur le dossier, la tête pendant de l'autre côté,
solidement coincée entre les cuisses de ces Dames qui leur faisaient courber l’échine sous leur plantureux fessiers. Les revers
bien rêches des bas nylon crissaient en cadence sur les joues presque aussi
rouges que leurs fesses.
Dans tous les cas ,
c’était un redoublement des pleurs et des cris. Les lanières des martinets,
appliquées sur les derrières toujours magnifiquement exposés mais sous “un
angle d’attaque différent”, cinglaient jusqu’à la moindre parcelle de
peau les belles fesses plantureuses. Claquaient sur la raie autour du gingembre,
jusqu’à la lisière élastique du slip tendu en travers des cuisses.
Rodolphe n’avait pu résister à la joie maligne de tourner
autour des deux punis pour épier les sursauts, contractions, et autres
mouvements désordonnés des postérieurs rubiconds qui semblaient avoir échappé à
tout contrôle de leurs propriétaires impuissants. Il éprouvait une satisfaction vengeresse à entendre les
pleurs et les sanglots pitoyables de son beau-père et son voisin. Il aurait eu du mal à la
dissimuler si quelqu’un l’avait observé mais personne ne se souciait de lui en ce
moment !
Il en recevait tant de fessées, qu'il se réjouissait
presque de voir, cette fois, les deux visages ,inondés de larmes qui coulaient
jusque par terre, mais aussi dans leur cou ,dans leur bouche grande ouverte par
les cris, les regards affolés de leurs yeux hagards, ruisselants de pleurs. Ah,
ça c’était une fessée ! Une vraie ! Proportionnée à leurs fautes, à leur âge,
au volume de leur insolent derrière. Pour tout dire, il était content et fut presque déçu quand les épouses décidèrent d’arrêter cette magnifique fessée, de
son point de vue, si méritée.
Douglas et Aristide,
sans demander leur reste, s'étaient précipités se mettre au coin sans
qu’on leur ordonne, agenouillés le nez au mur, les mains sur la tête. Ils
exhibaient leurs fessiers écarlates, encore plus ronds et volumineux qu’avant
cette cuisante fessée “double ration. La friction au Dolpic les avait rendus luisants et, de ce fait, rendait leur
couleur pourpre encore plus éclatante, contrastant avec le rondin brun de la
grosse racine de gingembre profondément enfoncée entre les deux fesses.
La mise au coin en pénitence ne dura que le temps d'un
Whisky, servi par Rodolphe à la demande de sa mère. Régine annonça brusquement
à son mari en reposant son verre vide sur la table basse.
– « Aristide, mon chéri... toi , tu rentres à pieds, sans ton
pantalon ! Cela t’apprendra ! Je veux que tout le monde puisse admirer ta
belle paire de grosses fesses solidement culottées dans ton joli slip à fessée
bien moulant. Tout le monde verra que tu viens de recevoir une bonne fessée et
si on te demande pourquoi, tu pourras l’expliquer n’est-ce pas ? Tu sais, pourquoi tu as reçu la
fessée, non ? Dis-le-nous un peu ! »
Aristide pleurnichant et retenant ses sanglots , murmure.
– « Oui chérie ! J’ai reçu la fessée …euh …une bonne fessée ...euh … Parce que .euh …j’ai acheté une paire de chaussures …sans te demander la permission ...et que
... euh ...je n’en avais pas du tout besoin.
Alors je mérite que tu me donnes de bonnes fessées parce que …euh je ne comprends que çà... Les
claques sur mes grosses fesses ! »
Régine, satisfaite, conclut .
“ Bon ! ça va ! Maintenant tu enlèves ton truc dans le
derrière, tu te reculottes et tu repars en slip... c’est compris ? Et tu n’as
pas intérêt à traîner, sinon tu sais ce qui t’attend une fois rentré ! Dis-le ce qui t'attend !
– La fessée chérie, une autre bonne fessée ! »
Il se releva aussi vite qu’il pouvait…enleva avec un soupir de soulagement la
racine de gingembre …Une
superbe paire de claques retentit sur son derrière de la main de sa femme avant
qu’il ait réussi à
remonter son slip sur le bombé de ses fesses. Il demanda la permission de
partir, dit un rapide au revoir et franchit la porte.
Clarisse avait fait lever Douglas, toujours déculotté, et
le tenant solidement par l'oreille, elle le fait pivoter sur lui-même pour apprécier l'efficacité de sa
correction. Elle soupesa d’un regard gourmand son postérieur flamboyant.
– « Mon chéri, tu as
décidément une trop bonne paire de fesses...
faites pour la fessée... Qu'est-ce que tu dirais d'un petit supplément
pour voir si je peux les rougir davantage ? »
Le malheureux n'a pas le temps de protester. Il n'émet
qu'un faible gémissement pendant qu’elle le courbe à nouveau sous son bras. Elle
redescend son slip plus bas sur les cuisses pour bien lui dégager le derrière
qu'elle lui fait retendre à la bonne hauteur, et lui flanque une fessée
supplémentaire d’une bonne vingtaine de claques retentissantes qui le font
crier et pleurer de plus belle.
– « Ah quel fessier ! ... On ne s'en lasse pas -- dit-elle, radieuse, en reculottant un derrière
cramoisi et fumant. Et il monte bien en couleur... encore plus rouge que tout à
l'heure ! ».
Régine
qui était restée pour assister à la dernière danse des fesses de Douglas, acquiesça en enfilant ses gants.
-
« Comme quoi, tu vois, on peut toujours faire mieux ! »
La
main sur la poignée de la porte, elle s'adressa à Rodolphe, qui ne savait plus trop quel comportement il devait adopter.
– « Ecoute moi bien mon garçon. Au lieu de continuer à
te rincer l'œil
en douce... Tu vas te rendre utile... »
Lui dit-elle en enfilant ses gants. Rodolphe fronça
les sourcils, l'air interrogateur.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 37
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
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