Il faut dire que le confinement n’a pas arrangé les choses. Depuis le onze Mai dernier, date à laquelle le déconfinement a été acté sur le territoire, les prisonnières de la maison de détention de NICE se plaignent que le régime d’éloignement social soit toujours actif pour elles. Aucun visiteur n’est accepté au parloir, même pas la famille proche.
Zhu W.L.
devrait savoir que le désordre est sévèrement réprimé. Elle a déjà assisté à
des flagellations intégrales suivies de mises au pilori pour les détenues qui
ne respectent pas les règles de bonne conduite. Celle qui partage sa cellule,
Lahna H., en a fait les frais il n’y a pas si longtemps que ça. Elle était à
peine incarcérée qu’elle se mettait déjà à faire de l’esclandre avec le médecin
Pierre B. et elle en était presque venue aux mains avec une autre détenue, Lamenca
M. De ce fait, Lahna H. a reçu soixante coups de fouet, est restée entièrement
nue durant un mois, et a été exposée au pilori une fois par jour. Après ça,
Lahna H. s’est tenue tranquille. Elle est, à présent, parmi les détenues
modèles du centre.
Zhu W.L.
se croit plus résistante que tout le monde et elle en fait voir de toutes les
couleurs aux gardiennes de son bloc, qui multiplient les avertissements et les
rapports d’incidents à la directrice du centre, Isabelle M.
Lors de
ses entrevues avec Isabelle M., Zhu W.L. lui dit qu’elle n’a peur de rien et
surtout pas des châtiments corporels, qui ne la soumettront surement pas
vis-à-vis d’elle. Elle l’avertit que son copain ne permettra pas qu’on s’en
prenne à elle. Il saura remettre à sa place quiconque la touchera. Cette menace
a le don d’exaspérer Isabelle M. qui ne veut pas s’en laisser compter et ce
n’est pas une détenue qui va faire la loi dans le centre.
Isabelle
M. condamne Zhu W.L. à être mise au pilori, entièrement nue, trois heures par
jour durant sept jours. Isabelle M. juge que ce sera suffisant au vue des faits
reprochés. L’humiliation devant les autres détenues devrait la calmer et la faire
changer d’attitude.
Zhu W.L.
est emmenée à l’infirmerie pour la validation du Dr. Pierre B. Celui-ci
l’examine et tente de faire revenir la directrice sur la punition, car dit-il,
elle pourrait être choquée par son humiliation ! En fait, la requête en
grâce du médecin s’explique par le fait que Zhu W.L. se donne à lui lorsqu’il
le souhaite. Zhu W.L. profite de la situation pour avoir une monnaie d’échange,
voire de pression vis-à-vis du docteur. L’un des rares hommes du centre de
détention, Dr. Pierre B. profite allégrement de sa situation pour avoir les
faveurs des détenues en récompense de petits services qu’il leur rend. Zhu W.L.
est une « bonne patiente » et le docteur le sait bien, Zhu W.L. se
plie à la plupart des volontés du praticien, ce qui n’est pas forcément le cas
des autres détenues qui accordent le minimum, d’où sa demande de clémence à la
directrice.
Isabelle
M. se montre ferme et refuse le recours en grâce. Elle confirme que Zhu W.L.
sera exposée nue devant les autres prisonnières, à moins qu’elle présente une
pathologie ! Le médecin est obligé de répondre que non, Zhu W.L. est en
parfaite santé et il est contraint de valider et de signer le formulaire de punition.
Zhu W.L.
fait une scène au praticien lorsqu’il lui dit qu’il n’a pas réussi à obtenir l’indulgence
de la directrice et il a été obligé de signer la punition. Zhu W.L. lui dit
qu’elle se vengera de lui en ne lui accordant plus tout ce qu’il veut. Elle
fera comme les autres, quasiment rien, car rien ne l’y oblige.
Peu de
temps après l’entretien de Zhu W.L. et du médecin, deux gardiennes viennent la
chercher dans sa cellule pour l’emmener au centre de la cour où elle sera
dénudée et attachée en public.
Les gardiennes,
Helga A. et Athina D., emmènent Zhu W.L. et en passant devant les cellules. Les
autres détenues se moquent d’elle, en disant qu’elle va servir de
« perchoir à oiseaux » et qu’elles vont bien s’amuser en regardant
son intimité. Elle, qui se montre si pudique, même durant la douche commune.
Là, au moins, elle aura tout à l’air. Zhu W.L. les insulte en chinois.
Lorsqu’elles
sont dans la cour, Helga A. et Athina D. déshabillent entièrement Zhu W.L. qui
résiste tant elle peut, mais ne fait pas le poids face aux gardiennes plus
costauds qu’elle et ce ne sont pas ses jérémiades ni ses contorsions qui y
changent grand-chose. Zhu W.L. se retrouve nue assez rapidement, sous les huées
des autres détenues, présentes dans la cour.
Pour le
pilori, Helga A. et Athina D. lui écartent les cuisses, lui attachent les
chevilles au sol et lui place une barre de fer dans laquelle se trouve des anneaux
pour y attacher le cou et les poignets. Ainsi harnachée, elle ne peut ni cacher
son intimité ni se défendre des détenues qui ne se gênent pas pour lui caresser
l’entrecuisse, les seins, lui flanquer quelques bonnes claques sur l’arrière-train
ou lui mettre un doigt dans le vagin. Zhu W.L. a beau leur dire qu’elles n’ont
pas le droit de la tripoter, les gardiennes présentes lors les laissent faire. Les
prisonnières lui disent qu’avec ses seins maigrichons, il n’y a aucune raison
d’en faire tout un plat et puis elles sentent qu’à force de la caresser, Zhu
W.L. mouille comme une jeune vierge et elles en concluent qu’elle doit aimer ça.
Ces attouchements très intimes font également partie de la punition pour jeter
l’opprobre sur la détenue et ainsi lui faire comprendre qu’elle doit rentrer
dans le droit chemin. L’humiliation est très souvent une assurance pour
soumettre les récalcitrantes pour un bon moment.
Zhu W.L.
doit uriner sur place car on ne lui permet pas de la ramener en cellule pour
faire ses besoins. Les autres détenues présentes rigolent de voir l’urine
gicler et une flaque se former à ses pieds, on dirait une petite fille qui a un
« accident », ne pouvant se retenir, ce qui vexe profondément Zhu
W.L. qui se prend un surnom de plus « la pisseuse jaune ». Qu’une
punie ne puisse pas se retenir durant une correction, passe encore, ça arrive
très souvent avec la peur et la douleur engendrées, mais là, elle n’a même pas
reçu une seule cinglée au martinet. Qu’est-ce que ça aurait été si elle s’était
faite fouettée ?
Au terme
des trois heures d’exhibition, Zhu W.L. est détachée et les gardiennes la
ramène, nue et menottée, mains dans le dos, à sa cellule avec interdiction de
se rhabiller pour la semaine à venir, ce qui veut dire que son humiliation va
durer.
N’en
menant pas large, Zhu W.L. se tient à carreaux durant la semaine, mais trois
semaines plus tard, lorsque son fiancé Sun Y.S. se voit interdire une nouvelle
fois l’accès au parloir, Zhu W.L. s’en prend verbalement à une gardienne,
l’insultant de tous les noms. Dans sa colère, elle dit qu’elle s’en fou, car
elle a la possibilité de le joindre par un autre moyen. Réalisant trop tard ce
qu’elle vient de dire, elle tente de noyer le poisson. Mais les faits sont
rapportés à la directrice qui ordonne une fouille complète de sa cellule.
Celle-ci est fructueuse, puisqu’on y trouve un téléphone portable avec toujours
le même numéro appelé, celui de Sun Y.S.
Zhu W.L.
passe à nouveau en conseil de discipline et ne peut expliquer la présence du
téléphone dans sa cellule. Sa codétenue, Lahna H., jure qu’elle n’était pas au
courant de la présence du portable, mais le doute plane à présent sur les deux
femmes.
Devant une
telle découverte, Isabelle M. décide de les punir toutes les deux, Zhu W.L.
pour avoir introduit en fraude un téléphone et Lahna H., car la directrice
imagine mal qu’elle ne soit pas au courant de sa présence malgré les contestations
de la détenue.
Pour les fautes commises
:
·
Lahna H. est condamnée à
trente coups de canne sur les fesses nues et quinze jours de nudité complète
durant lesquels elle sera mise au pilori durant une heure.
·
Zhu W.L. est condamnée à
soixante coups de fouet sur tout le corps, un mois de nudité complet durant
lequel elle sera mise au pilori durant trois heures par jour et un an de
prolongation de détention.
Avec ça,
Isabelle M. espère que Lahna H. et Zhu W.L. réfléchiront et se tiendront
tranquilles. De plus, ces deux exemples donneront matière à réfléchir pour les
autres détenues.
Lahna H.
et Zhu W.L. passent leur visite de contrôle chez le docteur Pierre B., tout
heureux de les avoir en son pouvoir, car quoi qu’il fasse, elles n’oseront pas
se rebeller, sous peine de voir un nouveau rapport atterrir sur le bureau de la
directrice et qui ne serait pas en leur faveur.
Lahna H.
passe la première à la visite et comme il le pressentait, Lahna H. accepte sans
broncher, tous les attouchements et subit les assauts du praticien qui lui dit
que de faire l’amour avant de se faire fesser la détendra pour mieux subir sa
punition. Lahna H. espère, de son côté, que de s’être offerte sans résister lui
procurera une clémence relative. Bien évidemment, elle se trompe lourdement,
car le médecin n’intervient pas auprès des fesseuses pour qu’elles ne la
fassent pas trop souffrir.
Son
examen de routine terminé, Lahna H., entièrement nue, est menottée, mains dans
le dos et emmenée au centre de la cour pour y recevoir sa punition. Attachée
par les surveillantes, c’est Sœur Marie-Zénaïde qui va procéder à la fessée.
Sœur
Marie-Zénaïde confesse Lahna H. et lui demande de se repentir devant elle. Bien
que de croyance différente, elle accepte de se confesser, mais jure à la sœur
de ne pas être au courant pour le téléphone et lui dit qu’elle va être punie
pour rien. Devant ses déclarations touchantes, qui paraissent sincères et sa
culpabilité non formellement prouvée, Sœur Marie-Zénaïde prend pitié d’elle et
lui dit qu’elle va être indulgente de ne pas la faire trop souffrir, pour cette
fois.
Munie d’une
canne souple de punition, Sœur Marie-Zénaïde cingle les fesses et les cuisses
de Lahna H. tout en mesurant l’intensité, ce qui n’empêche pas la punie de se
cambrer, de faire des bonds et de crier. De belles marques zèbrent sa chair.
Lahna H. tente de résister, mais la douleur rayonne
dans tout son bassin et provoque une réaction de mouillure incontrôlée. Les
gouttes de cyprine coulent à la plus grande joie des spectateurs présents qui
encouragent la sœur à les fesser lus fort. Tous les dix coups de cannes, Pierre
B. fait un petit examen des fesses et des cuisses brulantes de la punie. Il dit
à la sœur qu’avec cette faible intensité dans les coups portés, la punie n’aura
déjà plus de marques demain matin... Elle pourrait la fesser davantage, car ce
n’est plus une petite fille, mais Sœur Marie-Zénaïde n’en tient pas compte.
Les
trente cinglées appliquées, les gardiennes détachent Lahna H. et la fixent,
sans ménagement, au pilori pour qu’elle serve d’exemple aux autres détenues. En
pleurs et les fesses brulantes, Lahna H. remercie la sœur de sa clémence, car
elle est consciente que ça aurait pu être bien pire. Sœur Marie-Zénaïde,
perplexe sur la réelle culpabilité de Lahna H. lui dit que si elle apprend
qu’elle lui a menti pour avoir sa mansuétude, elle saura lui faire passer le
gout du mensonge.
Une plus
tard, Lahna H. est détachée du pilori où elle a été tripotée par les autres
prisonnières et amenée à l’infirmerie pour sa visite médicale de fin de
punition. En l’examinant, Dr. Pierre B. dit qu’elle a dû à peine sentir sa
fessée, car les marques sont juste rouges et il la renvoie en cellule sans même
lui appliquer une lotion ou une crème.
Dans
l’après-midi, Zhu W.L. est présentée au médecin pour sa visite. Elle est
beaucoup plus virulente que sa codétenue et cette fois, ne se laisse pas
abuser, ce qui ne plait pas du tout au Dr. Pierre B. qui décide de se venger et
après son examen, autorise l’utilisation du long fouet de correction ( Fouet
qui est utilisé pour les « fortes têtes » ). Zhu W.L. devrait passer
un sale moment et revenir à la raison.
Dr.
Pierre B. a la visite de Sœur Marie-Zénaïde à qui il autorise des mouvements de
grandes amplitude, donc plus douloureux, en ce qui concerne la correction de Zhu
W.L.
Désireuse
d’en savoir plus, Sœur Marie-Zénaïde lui demande ce qui motive ces consignes,
car d’habitude, elles sont plutôt dans le sens inverse et le docteur lui répond
que Zhu W.L. est en parfaite santé et la faute étant importante, elle doit être
corrigée à la hauteur du délit. Défiante, Zhu W.L. leur dit qu’elle saura
résister à la punition et qu’ils n’auront pas le plaisir de l’entendre crier,
ni même pleurer.
Les
gardiennes menottent et emmènent Zhu W.L. vers la cour et la présentent aux
autres détenues. Courageuse, Zhu W.L. se laissent mettre nue et ne bronche pas
lorsque les gardiennes l’attachent solidement aux poteaux de punition, bras et
jambes écartés, afin d’offrir son corps au fouet.
La
directrice du centre, Isabelle M. vient vers Zhu W.L. et la félicite pour son
courage, car d’habitude, les punies hurlent et résistent au maximum pour tenter
d’échapper à leur correction, mais elle lui dit que tous vont voir comment elle
va se comporter lorsque le fouet va lui cingler le corps. Isabelle M.
recommande à la Sœur de la faire hurler pour qu’elle prenne conscience de sa
faute.
Sœur
Marie-Zénaïde demande à Zhu W.L. de se repentir et de prier, ce que Zhu W.L.
refuse de faire. Sur un ton provocateur, elle envoie balader la Sœur avec ses
prières et sa repentance, elle se pense au-dessus de ça.
Sœur
Marie-Zénaïde se met en position, prend le long fouet de cuir et applique la
punition. La lanière siffle dans l’air et claque sèchement sur la chair de la
punie. Zhu W.L. esquisse une grimace et trésaille mais résiste bien aux
premières fouettées sur les fesses. Voyant que Zhu W.L. résiste, Sœur
Marie-Zénaïde s’applique à cingler ses parties les plus sensibles. Etant une
femme elle-même, elle connait parfaitement les zones où la morsure du fouet va
la pousser dans ses derniers retranchements. Même avec tout son courage, elle
ne pourra pas résister comme ça jusqu’au bout.
La
lanière claquant sur des zones déjà marquées, la douleur est d’autant plus grande
et ça se voit à la façon dont Zhu W.L. grimace, s’agrippe à ses liens, se
contorsionne et transpire.
Lorsque
les fesses et le dos ont été cinglés, toujours sans vraies réactions de
douleur, Sœur Marie-Zénaïde commence à douter de l’entendre hurler et ce serait
une première, car elle a toujours réussi à soumettre une punie.
Avec de
belles marques rouges et bouillantes sur l’arrière du corps, Dr. Pierre B.
autorise une pause, pour la laisser souffler et boire. Un bref examen de la
punie et Dr. Pierre B. lui dit que son courage impressionne tout le monde, lui
en premier. Zhu W.L. lui fait son regard le
plus noir.
Sœur
Marie-Zénaïde se demande comment elle va pouvoir faire plier la punie, d’une
haute résistance à la douleur. A présent, c’est le devant du corps qui va être
la cible de la lanière et Sœur Marie-Zénaïde ne va pas lui faire de cadeaux. Isabelle
M. demande à la religieuse de faire en sorte qu’elle hurle, car si ça se
finissait sans un cri, l’exemple ne serait pas significatif pour les autres
détenues, qui ne craindraient plus les punitions et remettraient en cause le
pouvoir du fouet sur les détenues.
Pour la
reprise et fin de la punition, Sœur Marie-Zénaïde débute par une dizaine de
fouettées sur le ventre, dont certaines atteignent le pubis de la punie qui,
étant cuisses écartées, ne peut rien pour se protéger. A bout de résistance, Zhu
W.L. s’agite de plus en plus et finit par s’abandonner et hurler de douleur. Elle
expulse toute sa rage et sa douleur jusque-là contenue. La directrice est
heureuse de l’entendre enfin hurler et se débattre, car elle voit l’assistance
changer d’attitude en voyant que même une femme courageuse peut plier sous une
punition et ce que risque les prisonnières si elles fautent et même avec du
courage, elles seront vaincues.
Pour
finir, Sœur Marie-Zénaïde enchaine par une dizaine de cinglées sur la poitrine
de la punie, qui réagit en hurlant de plus belle et de façon stridente.
Trempée
de sueur par cette résistance acharnée et la douleur résiduelle, les gardiennes
la détachent des poteaux de punition et la fixent au pilori pour l’exposition.
Sanglée de la même manière que Lahna H., Zhu W.L. reprend son souffle devant
les détenues qui viennent l’admirer de près. Certaines viennent même la
toucher, la faisant souffrir et crier à nouveau. Elle a l’impression que son
corps est en feu. Les trois heures d’exposition vont être assez pénibles...
Sur ordre
de la directrice, Dr. Pierre B. rajoute une humiliation supplémentaire, après
lui avoir lubrifié l’anus, il lui enfonce un plug muni de longs crins, faisant
sursauter et crier Zhu W.L. Ainsi équipée, on dirait vraiment qu’elle a une
queue.
Etant
entravée, la punie tente vainement par des contractions des fesses et de l’anus
d’expulser l’objet, mais sa forme conique empêche tout rejet. Dr. Pierre B. trouve que l’idée est bonne d’équiper les punies
de plug pour qu’elles se sentent suffisamment mortifiées, en plus de leur
nudité.
Durant
l’exposition, certaines filles viennent se moquer d’elle en commentant sa
queue, sa toute petite poitrine, ses tétons dressés, sa vulve trempée de
cyprine et son corps zébré. Zhu W.L. pleure à chaudes
larmes, résignée et docile.
Au bout
de trois heures, lorsque les gardiennes la libèrent, Zhu W.L. est amenée à
l’infirmerie pour son examen de contrôle. Allongée sur la table d’examen, Zhu
W.L. n’ose pas protester lorsque le médecin la palpe de façon très intime.
Conscient
de sa soumission, Dr. Pierre B. en profite pour abuser d’elle et affirme sa
domination vis-à-vis de sa patiente. Zhu W.L. ne cherche pas à se défendre,
acceptant les assauts du docteur. Après tout ce qu’elle vient d’endurer, faire
l’amour est bien agréable.
En fin de
soirée, lorsqu’elle est soignée, requinquée et douchée, Zhu W.L. réintègre sa
cellule et demande pardon à sa codétenue pour l’avoir entrainée dans cette
punition. Lahna H. lui en veut, mais préfère ne pas envenimer la situation qui
ne leur apporterai que des ennuis.
Durant
les autres périodes d’exposition, Zhu W.L. et Lahna H. sont attachées ensemble
et restent à la vue de tout le monde et ça par tous les temps. Même s’il pleut
lorsqu’elles sont dans le cour, les deux seules détenues dehors sont Zhu W.L.
et Lahna H., trempées. Il en va de même lors de leur période de règles, Zhu
W.L. et Lahna H. sont contraintes à être exposées, le plus souvent avec le
cordon de leur tampon apparent, ce qui les ridiculise d’autant plus. Entre ça
et le plug anal, les deux femmes se promettent de ne plus être prises en
défaut, car la sanction est bien pénible.
Lorsqu’elles
ne sont pas dehors, les deux femmes sont affectées à des tâches d’intérêt
général, comme le service à la cuisine, où, nues, elles distribuent les repas
aux autres détenues de leur bloc.
Quinze
jours plus tard pour Lahna H. et un mois plus tard pour Zhu W.L., la directrice
leur signifie la fin de leur punition et espère que ça les a fait réfléchir. Lahna
H. et Zhu W.L. lui jurent de bien se comporter à l’avenir.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 36
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerDans "Les Rebelles", plus on fait la forte tête et plus on s'expose à en subir les conséquences. Ces prisonnières en savent quelque chose qui vont garder un souvenir extrêmement cuisant et humiliant de ce qui leur est arrivé et du comportement de leurs codétenues à leur égard. On ne les ménage pas. Ah non alors! Le médecin non plus. Qui profite tant et plus de la situation. Quant à Lahna H. je suis convaincu qu'elle était parfaitement au courant de l'existence de ce portable et qu'elle l'a même, à l'occasion, utilisé. J'espère bien que son mensonge finira par être découvert.
Amivalement.
François.
Bonjour François,
SupprimerCette nouvelle incursion en prison fait découvrir une facette supplémentaire de la vie carcérale où du matériel prohibé a été introduit. Suite à une bévue, le portable a été découvert et nos deux détenues en ont eu pour leur frais. Zhu en premier, et de fort belle manière, car ce portable lui appartient, mais Lahna en second, car il était peu probable qu'elle qu'en connaisse pas l'existence. La Soeur a eu tout de même un doute, d'où la relative clémence de sa part. En effet, en droit pénal, tout doute profite à l'accusé. Dans notre cas, la directrice s'est montrée assez à cheval sur le règlement, car n'ayant pas de preuve formelle, Lahna a tout de même été condamnée à la fessée. Je pense qu'elle a voulu faire un exemple pour les autres détenues.
Et que dire de l'attitude du médecin. Heureux homme ! qui use et abuse de sa position vis-à-vis des détenues. SOus prétexte de rendre quelques menus services, il obtient tout ce qu'il veut des prisonnières. Peut-on leur en vouloir ? Je ne pense pas, avoir quelques moments de plaisir lorsqu'on est en détention leur procurer la force de tenir dans cet univers si particulier.
Amitiés.
Elena.
Encore un joli récit, merci Elena
RépondreSupprimerЗдравствуйте и спасибо большое, Каролин !
SupprimerBonjour et merci beaucoup, Caroline !
Encore un gentil mot de votre part. Ca me fait plaisir que ça vous plaise.
Amitié
Elena