QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LA STRICTE DISCIPLINE DE MADAME DEFRAISSES .
L’arrière-train de Sébastien avait claqué trois fois. Envoyé dans sa chambre par sa mère, pour refaire le contrôle qui lui avait valu zéro, il fut rapidement rejoint par sa sœur, chargée de vérifier son travail. A vingt et un ans, son comportement de gamin irresponsable, incapable de faire des efforts et de s'organiser, requerrait souvent la présence d'une tutrice. Géraldine, sur les consignes de sa mère, assumait le rôle de la grande sœur, attentive à la poursuite des études de son frère. Le problème c'est qu'il avait déjà du mal à simplement les suivre. Les deux femmes avaient décidé, unilatéralement, que l'emploi systématique de la fessée était l'argument le plus persuasif pour le faire travailler.
A
peine arrivée, dans sa chambre, elle avait commencé par lui en flanquer une,
pour l'avoir vu se réjouir pendant que sa mère la corrigeait.
« Alors,
ça t'amuse de me voir recevoir une fessée ! On prend sa petite revanche
par maman interposée... minable, faux jeton ! .
–
Aïe ! Ouille ! Mais non, pas du tout ! C'est maman... Elle m'a
obligé à regarder.
–
Maman ou pas c'est pareil ! J'ai bien vu ta tête, ça te plaisait
hein, de me mater le derrière en train de rougir !
Après
un bon tour de chauffe à travers son slip, elle l'avait déculotté, et lui en
avait mis une deuxième pour le remettre au travail. Trois autres fessées,
furent nécessaires pour lui faire faire une révision complète de son contrôle
raté. Le tirant par
l'oreille, elle le ramena alors dans la salle à manger, et le conduisit
directement jusqu'à Margaret qui
savourait un deuxième Whisky en attendant le résultat.
« Alors, tu me le ramènes avec des
fesses bien rouges j'espère ? Il n'y a que comme ça qu'il travaille
correctement, le petit chameau !
– C'est bon, maman, il a tout refait … sans fautes ! »
Dit-elle en lui tendant sa copie, revue et
corrigée. Margaret,
sourit, sans vraiment vérifier la qualité du travail. Ce qui lui importe, c'est
le nombre de fessées qu'il a fallu pour parvenir à ce résultat.
« C'est
bien ma chérie, il ne faut rien lui laisser passer. Parce que, je connais l'oiseau. Tu as été obligée de sévir
plusieurs fois. J'ai entendu claquer ses fesses d'ici.
– Oui, je l'ai re-fessé trois fois ! C'est vrai ça a
claqué fort, il faut dire aussi que tu lui avais déjà bien préparé le derrière,
elle jette un regard vers son frère. Montre à maman comme je t'ai
bien rougi les fesses! »
Il se frotte les yeux en pleurnichant, d'un geste de petit
garçon qui vient de se faire punir.
« Mais Géraldine,
elle a déjà vu, maman... c'est pas la peine....
–
Je t'ai dit de lui montrer tes fesses ! Tu veux une autre fessée pour te
faire obéir... c'est ça ?
Elle le fait pivoter sur lui-même, le reprend sous son bras, et le
re-déculotte d'une seule main. Il ne pèse pas bien lourd entre les mains de ces
femmes qui le manipulent à leur guise lorsqu'il faut le corriger . Elle le
soulève du sol pour lui mettre le derrière en l'air, qu'elle exhibe comme un
trophée au regard de sa mère .
« Voilà comment
monsieur a fini par rendre une copie convenable ! » .
Ses fesses écarlates témoignent de la rigueur des fessées
qu'elle lui a administrées pour obtenir ce résultat.
« Bonne
intervention ma chérie, c'est comme ça que j'aime voir ses fesses ! Dit Margaret en se levant du canapé. Tu
peux le reposer par terre, elle l'interpelle . Sébastien, tu vas mettre le
couvert, on sera quatre à dîner avec Andrew, votre père rentrera tard, il est
en réunion... Du moins, c'est ce qu'il m'a dit. »
Sébastien
esquisse le geste de se reculotter. Géraldine intervient aussitôt.
«
Non, non ! Pas question ! Tu vas rester assis déculotté sur ta
chaise, pendant tout le repas. »
C'est un siège en osier tressé, sur lequel le puni
doit s'asseoir, déculotté, pour
prolonger l'effet de cuisson de sa fessée. Les
mains sur son pantalon, il jette un regard interrogateur à sa mère, avant de le
remonter, comme si c'était elle qui devait décider . Elle confirme.
« Ta sœur a
raison, et tu as intérêt à te tenir correctement à table sans te tortiller sur
ta chaise, ou c'est moi qui te remettrai une fessée !
– Et Andrew , maman, tu l’as oublié ! »
S'exclame soudain
Géraldine, revancharde, comme pour compenser la déculottée qu'elle a reçue à
cause de lui. Margaret tranche avec
autorité en se dirigeant tranquillement vers la salle à manger.
« Ça suffit,
maintenant, Géraldine ! Tu ne crois pas que tu en as assez fait pour
aujourd'hui ! Et encore un fois,
ici, c'est moi qui décide des fessées à administrer. Andrew ne perd rien pour
attendre. J'ai dit que je m'occuperai de ses fesses demain, elles seront en
meilleur forme et ma main aussi !... Nous allons passer à table.»
Géraldine fait sa capricieuse et une mauvaise grimace
pour manifester son mécontentement. Margaret d'humeur taquine, s'en amuse .
« Voyez-vous ça,
Mademoiselle ne va pas se mettre à bouder tout de même. Tiens, puisque
tu parles d'Andrew, va lui dire de descendre, on dîne dans cinq minutes...
Sébastien tu as fini de mettre la table ? »
Le repas se déroula sans encombre pour Sébastien qui, au
prix de pénibles efforts et malgré la cuisson persistante, réussit à maintenir
son derrière à peu près stable sur sa
chaise en osier. Il eut simplement droit, avant d'aller se coucher, à
une nouvelle fessée, par sa mère, qui estima disgracieux d'aller se mettre au
lit avec le postérieur quadrillé de marques de cannelures. Elle lui en colla
une bien sévère pour égaliser tout ça, et l'envoya se coucher, le fessier en
feu, après avoir fait disparaître toutes les traces sous un magnifique rouge
éclatant, uniformément réparti sur toute la surface.
«
Tes fesses sont tout de même, beaucoup mieux comme ça ! »
Lance-t-elle,
goguenarde en le regardant tortiller
douloureusement son derrière cramoisi pour monter l'escalier.
Le lendemain matin, Rodolphe et Gérôme, attendaient
l’arrivée de Sébastien, à l'arrêt du bus qui les conduisait à l'Institut. Ils
habitaient tous à proximité de la même station et avaient l'habitude faire le
trajet ensemble. Enfin ,il arriva en courant… essuyant ses larmes, tenant son porte
document d'une main, son pantalon de l'autre, son gros postérieur écarlate
moulé dans son slip à fessée. Il n'avait manifestement pas eu le temps de se
reculotter entièrement. Quand Margaret, ou sa sœur lui flanquaient une fessée
dès le matin, sous le fallacieux prétexte de lui faire bien commencer la
journée, elles la lui mettaient toujours
au dernier moment pour l'obliger à partir en catastrophe. Les fesses rouges en
évidence, à moitié reculottées, il devait cavaler comme un malade pour ne pas
rater son Bus et se prendre une autre fessée à l'institut pour être arrivé en
retard. Il réussit à remonter son
pantalon dans l'allée du bus et s’assit, avec précaution, entre Gérôme et Rodolphe, en essayant de prendre un air
crâne, malgré la cuisson de ses fesses.
– « Ah, la
vache ! Souffla-t-il,
juste avant de partir, ma mère m’a obligé à réviser mon contrôle raté… et à coups de martinet, je l’ai refait !
– Ton contrôle ? S'étonne Rodolphe avec un sourire en
coin. Le devoir d'économie tu veux dire...
– D'économie...
comment ça ?
– Ben oui ! dit Gérôme. Celui qu'on devait faire à
la maison et qu’on doit rendre ce matin ! »
Le ciel lui tomba sur la tête et il comprit en même temps
ce qu’on appelle avoir une sueur froide.
– « Oh merde !!! j’ai complètement
oublié ! »
Rodolphe s'amusant à lui mettre la pression.
– « T'as quoi ? T'as oublié ? T’es fou !! Ben
mon vieux, qu’est-ce que tu vas ramasser !
– Oui, c'est bon ...je t’expliquerai …
– C’est avec madame Defraisses que tu vas devoir
t’expliquer, l'interrompt Gérôme. Et si tu t’en tires avec seulement une sacrée
fessée, t’auras de la chance »
Sébastien paniqué,
ne sait
ni quoi dire, ni quoi faire. Rodolphe, grand seigneur, tente de le rassurer.
– « T'inquiète, je vais t’aider à trouver quelque
chose....
– Oh , t’y arriveras pas ! – Tout comme Gérôme, il a
un souvenir cuisant des bonnes idées de Rodolphe à aider ses petits camarades –
je vais me prendre une fessée et puis c'est tout. Ça ne sera pas la
première !
Gérôme lui donne un coup de coude en rigolant.
« Ni la dernière ! »
La matinée débutait, comme par hasard, par le cours
d'économie. Un groupe d'étudiants d’une vingtaine
d’années y assistaient, comme Gérôme, Rodolphe, et Sébastien dont le derrière
lui cuisait toujours. Robin, sur une autre option n'avait pas cours à cette heure-là.
Ils étaient installés, sagement au premier rang devant le
bureau, comme trois élèves modèles
qu'ils n'étaient pas du tout, leurs solides fessiers bien rebondis, étroitement
moulés, sous le pantalon, dans les slips à fessée réglementaires. De quoi satisfaire les exigences
disciplinaires de la sévère Madame Defraisses, qui avait une main aussi
cuisante qu'un fer à repasser. Son physique imposant et son allure
autoritaire impressionnaient tous les
étudiants. Pour elle les choses étaient simples, de bon résultats ne pouvaient
être que le fruit du respect de règles clairement établies. Les corrections systématiques sanctionnaient
les insuffisances de travail ou les moindres manquements à la discipline .
Madame Defraisses
régnait en maîtresse absolue sur les vingt paires de fesses que comprenait son
effectif. Les séances de fessées étaient orchestrées et mise en scène sur une
estrade surélevée, administrées devant toute la classe, comme un humiliant
spectacle à valeur d'exemple .
Le port obligatoire du slip à fessée, facilitait le
déroulement des corrections. Les élastiques souples, offraient l'avantage de
pouvoir le baisser en un clin d’œil ou à l’inverse et aussi vite, le
rentrer entre les fesses pour les laisser nues, ce qui les rendait plus
attractives .
Ces fameux slips, moulant à l’extrême, gonflés à bloc sous
la pression des volumineux fessiers, étaient devenus, pour Gérôme, Rodolphe,
Robin et Sébastien, un motif de fierté et de provocation. Cela prouvait qu'ils
étaient prêts pour des fessées nombreuses et vigoureuses et qu’ils
n'avaient pas peur de provoquer les
Profs, même si, celles qu’ils recevaient à chaque fois, étaient des plus
sévères.
De toute évidence, ce n'était pas le jour de Sébastien. Il
est interrogé le premier au tableau, et, évidemment rate son exposé qu'il n'a
pas préparé.
– « Et bien jeune homme, dit madame Defraisses. Vous
commencez bien votre journée ! »
Les bras croisés sous son imposante poitrine, elle vient se
camper devant Sébastien qu'elle toise du haut de ses quinze centimètres de
talons aiguille. Il fait presque petit en face de la forte femme. Elle jubile déjà à l'idée de la fessée
qu'elle va lui mettre.
– « Vous resterez avec moi pendant la pause, pour que
je vous réexplique la leçon. Et je suis certaine que vous la comprendrez mieux,
déculotté sur mes genoux avec une cuisante fessée au derrière. . Retournez
à votre place ! On se retrouve tout à l'heure pour le devoir fait à la
maison que tout le monde doit rendre aujourd'hui. »
Sébastien blêmit et obéit sans discuter. Il sait qu'il ne
va pas y échapper, et transpire de trouille en se maudissant d'avoir oublié de
faire son devoir. Gérôme à côté
de
lui, n'en mène pas large.
Sûre de sa force et de son autorité, la terrible femme
balaye l'ensemble de la salle d'un regard dominateur, jubilant intérieurement
de savoir que vingt paires de fesses se
serrent nerveusement dans les slips. Elle s'arrête sur les trois loustics,
innocemment installés au premier rang, et dont la présence, apparemment
studieuse, à cette place, n'est effective que pour faire bonne figure. Dans le
milieu on appelle ça des ''Faux Jetons'' ou des ''Embrouilleurs''.
« Monsieur Rodolphe...
–
Oui Madame ?
– Au tableau ! »
Ça
ressemble à une sentence qui tombe comme un pantalon sur les chevilles. Le
candidat à la fessée étant désigné, les dix-neuf paires de fesses restantes se
détendent d'un seul coup. Rodolphe, le
petit malin qui sait tout et se moque facilement des autres, rate aussi son
exercice de statistiques. Madame Defraisses, s'en réjouit presque.
– « Parfait, je n'en attendais pas tant ! Vous tiendrez compagnie à Sébastien pendant
la pause, même tarif. On va voir qui de
vous deux aura les fesses les plus rouges ! »
–
Mais madame... je... C'est
parce que...
– Quoi... madame ! Vous cherchez une excuse ?...
Deux fessées au lieu d'une ! »
Les autres sont
appelés un à un, et trois d'entre eux ratent aussi leur exercice. Ils sont mis
aussitôt dans le lot des punis. C'est alors que le signal sonore de la fin du
cours retentit. Pendant que Gérôme, pas encore dans le collimateur, se défile
en douce avant d'être pris dans la tourmente, Madame Defraisse fixe Sébastien
et Rodolphe en train de ramasser leurs affaires.
– « Vous m'attendez dans le couloir et vous préparez
vos fesses pendant que je m'occupe de celles de vos camarades. »
La pause durait une demi-heure, pendant laquelle ils entendent à
travers la porte l'impressionnant
claquement des fessées. Intraitable, Madame Defraisses s'en donne à cœur joie
sur les trois paires de fesses. Successivement les punis ressortent de la salle, en larmes, slip baissé en dessous des
fesses, postérieur écarlate et se rendent directement dans la salle
d’études tout en retenant leur pantalon pour l’empêcher de tomber.
La salle d’études était la plus grande de l'établissement.
Le fond était occupé par une estrade au centre de laquelle trônait le bureau du
prof qui surveillait l’étude. Les étudiants venant de recevoir une fessée
déculottée, devaient, prendre ce dont ils avaient besoin pour leur travail, et
rester sur cette estrade, pendant la durée de l’étude, à genoux déculottés, fessier
rouge bien en vue, face au mur, Les
trois punis, venaient donc de s’y aligner avec leur derrière flamboyant et
cuisant, en vue de tous les étudiants . A la couleur et l'état de cuisson
de leurs fesses, tout le monde reconnaissait la cuisante force de frappe de
madame Defraisses.
Sébastien dû rester dans le couloir, pendant que Madame ramenait Rodolphe dans la
salle de cours, en le tenant par le col de sa veste. Elle, le traîna de
force, jusqu'à l'estrade en le décollant à moitié du sol, et le plaça debout
devant elle. .
« Tournez-vous, baissez votre pantalon et montrez-moi vos fesses ! »
– Oui madame... »
Il s'exécute sans discuter, déboucle sa
ceinture, descend son pantalon et lui présente ses fesses, moulées dans leur
slip a fessée comme l'exige le règlement de l'Institut.
« Le slip aussi, déculottez-vous entièrement, je veux vérifier la bonne
forme de vos fesses pour évaluer le niveau de sévérité de votre
correction. »
Il obéit aussitôt, se plie en deux, la tête posée sur la
chaise à fessée, se déculotte et déploie son imposante paire de fesses encore
enluminée d'une récente correction.
« La bonne surprise ! Si j'en juge par sa
couleur, ce gros derrière m'a l'air de s'être déjà pris une belle fessée ce
matin ! »
S'exclame Madame Defraisses, en enveloppant le
rougeoyant postérieur d'un regard gourmand.
– « Non madame, c'est maman, hier soir... Elle m'en
met toujours une, avant de m'envoyer au lit... Elle... elle dit qu'on s'endort
mieux les fesses rouges après une bonne fessée.
– Elle a tout à fait raison. Ça fait plaisir de constater
que nos méthodes de discipline sont
parfaitement relayées à la maison. Et bien nous allons continuer. Remontez
votre slip, je tiens à vous déculotter moi-même, c'est plus agréable. »
Elle le saisit par le bras et le couche à plat ventre sur
ses cuisses. Son ventre ripa douloureusement sur ses jarretelles, lorsqu'elle
le fit basculer, la tête en avant, les mains posées à plat sur le sol. Elle le
re-déculotte alors, l'obligeant à soulever le derrière pour faciliter le
passage du slip, qu'elle descend dans un excitant bruissement d'élastique.
« On creuse les reins et on arrondit ses fesses au
maximum, je les veux bien claquantes !
! Ordonna- t-elle, en levant la main très haut pour aller chercher un
maximum d'élan. Aller, mieux que ça !! Une belle fessée, doit toujours
claquer très fort ! »
Madame Defraisses s'y emploie avec ardeur et fesse d'une
main ferme. Avec elle, pas de préparation du derrière, les fessées sont sévères
immédiatement et démarrent toujours à
pleine puissance. Celle-là est si forte, qu'on l'entend claquer à travers la cloison,
jusque dans le couloir, sur un rythme régulier, sans jamais ralentir la
cadence. Fesse droite, fesse gauche, en
alternance, en s'appliquant à bien cuire chaque hémisphère pour obtenir un beau
rouge intense, uniformément réparti sur toute la surface .
Rodolphe pourtant habitué aux sévères fessées de sa mère en
bave de douleur, de morve et de larmes
mêlées, accompagnant les claquées de pathétiques râles de souffrance. Il ne
suppliait pas, ne demandait pas grâce ou n'implorait pas pitié. Tout le monde
connaissait l'intransigeance de Madame Defraisses et savait qu'il était
totalement illusoire d'en espérer une quelconque clémence.
Elle réapparut, triomphante, à la porte de la salle de
cours, au bout d'un quart d'heure d'une cadence infernale. Elle tenait Rodolphe
pantelant, courbé sous son bras, le slip tendu en travers des cuisses, les
fesses rebondies, écarlates et cuisantes, gonflées par les claques.
« Ah, ça fait du bien un peu d'exercice ! s'exclame-t-elle, en s'adressant à Sébastien, pas fier
du tout. Admirez la couleur éclatante du
derrière de votre ami à qui je viens de flanquer la magistrale fessée que vous
avez pu entendre claquer à travers la cloison. Elle a été plus longue que
celles des autres mais vu le format de ses fesses, il fallait bien ça, pour que
Monsieur finisse par comprendre sa leçon ! »
Elle le repose par terre et, le renvoie se positionner sur
l'estrade, debout, face au mur, les fesses flamboyantes bien exposées. Elle
n'en a pas, pour autant, fini avec lui et l'interpelle
« Mais
dites-moi jeune homme, je n'ai rien entendu ! Auriez-vous déjà oublié la formule de
remerciement que chacun doit prononcer après avoir reçu sa fessée.
–
Euuuuh...mer... merci... Euuh...
–
Euuh quoi ?... Faut-il je vous cuise encore un peu plus les fesses pour
vous rafraîchir la
mémoire ? »
Rodolphe, en larmes, a perdue toute sa superbe . Madame Defraisses à
la main lourde, une seule fessée a suffi pour le mâter. Mais quelle
fessée ! Le slip sur les cuisses,
oublieux de toute dignité, il trépigne comme un gamin en se frottant les fesses
à pleines mains, pour essayer d'en atténuer la cuisson.
«
Non, Madame, non... pitié, pas encore la fessée !!! Attendez...
Attendez ! ,son visage brillant de larmes s'illumine... Oui, ça y est, je me souviens.
–
Dommage !... Ma main ne demandait qu'à repartir pour une tournée
supplémentaire. Alors, je vous écoute. Qu'est-ce qu'on dit à la Dame, pour
après avoir reçu une bonne déculottée ?
– Merci madame Defraisses, de m'avoir bien
claqué les fesses ! ''– En
fait, c'était pas compliqué .
–
Je ne vous le fais pas dire... à dix secondes près, vous étiez bon pour un
deuxième service ! Mais ce n'est que partie remise»
La pause terminée, tout le monde est revenu en
classe et s'est remis à sa place en silence. Impériale, Madame Defraisses
déambule entre les tables en roulant des hanches, la jupe moulante, tendue à
craquer sur ses formes opulentes. Souriante, elle ondule du fessier qu'elle
exhibe sous leur nez comme une
provocation. Le menton levé, elle les harangue avec morgue .
« Tout
le monde regarde les fesses de Rodolphe, dit-elle en les désignant d'un doigt
autoritaire. Voilà ce qui attend les vôtres selon le barème que j'ai fait
afficher au mur ! Avec moi, les fessées c'est tous les jours et
plusieurs fois par jour !»
Elle éclate d'un rire sonore qui fait frémir
l'assistance.
« Maintenant, je veux tous les devoir
faits à la maison sur les tables, je vais passer les ramasser ! Je
n'accepterai aucun excuse. Si jamais on n'est pas à jour, c'est la fessée à
l'estrade ! Je viens de me faire la main sur celles de Rodolphe,
alors autant vous dire que ça risque de claquer sec ! »
Elle s'approche de
Sébastien qui n'en même pas large. S'il avait été en cours d'Espagnol on aurait
entendu ses fesses jouer des castagnettes! Elle le fixe droit dans les yeux, se
doutant, à son regard inquiet, qu'il doit faire partie de ceux qui ont quelque
chose à se reprocher.
Amis de la poésie et de la fessée éducative, Bonjour,
RépondreSupprimerEt ça commence par une fessée de vengeance, car Sébastien l'a vu avec délectation se faire trousser, comme une gamine, c'est ce qui s'appelle un juste retour des choses, voire une fessée en retour de flamme, tout autant que Margaret, chaude, avec son second whisky, qui reluque le résultat de la fessée éducative.
Et que dire du tableau de Sébastien, cul nu sur le fauteuil en osier. On se croirait dans une scène d'Emmanuelle ( pas la soeur, l'autre ), nue, sur son fauteuil. Ca y est, la Elena a des visions érotiques... Le confinement, surement !
Madame DEFRAISSES est dans la bonne lignées de CDAMF. Ca fesse à tour de bras, à la première incartade... De quoi s'en faire une tendinite ! Maladie professionnelle lorsqu'on enseigne à l'institut !
Et on affiche les barèmes de fessées, comme un commerçant qui met le pris de ses articles. Y'a même pas de solde, je parie, dans cet institut ! Tout est au prix fort claquant !
Amitiés.
Elena.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou ! Quel leçon d'économie ! En tout cas, il n'ya pas de petit profit ! Que des grandes dépenses ! Voilà une femme de caractère! Elégante, provocante, terrifiante... les trois Mousquetaires face à Milady De Winter, espionne attitrée de "l'Homme en rouge" (Richelieu).
"Ach, die schöne Lehrerin ! Mein Gott !".
J'aime bien l'illustration avec le barème des punitions. Et la Licence IV... de la Fessée ? Renouvellée ? "Licence to spank" pour paraphraser un célèbre titre de James Bond. "... ses fesses jouer des castagnettes." Olé, amigo !
Amicalement. Peter.
Une histoire qui suscite beaucoup d'intérêt et fait bien travailler l'imaginaire érotique. je vous en remercie.
RépondreSupprimerMerci Jerry,
RépondreSupprimerje suis heureux que ces récits alimentent l'imaginaire érotique des lecteurs dont vous faites partie. C'est une motivation à continuer d'écrire et de faire partager cet univers fantasmatiques, autour du thème de la fessée qui constitue la raison de ce blog.
Chaque commentaire est un retour stimulant.
Cordialement
Ramina
Bonsoir Eléna,
RépondreSupprimerVos commentaires s'affinent, s'aiguisent de mots d'esprit et gagnent en pertinence, comme un exercice de style renouvelé à chaque chapitre.
Mention spéciale à la "tendinite" par la multiplication d'efforts physique à administrer les fessées et la drôle d'idée des périodes de soldes au tarif des corrections. L'auto dérision des visions érotiques d'Elena n'est pas non plus dénuée de fauteuil en osier!
On s'amuse franchement pendant que nos héros et héroïnes s'en prennent plein les fesses !
Amicalement nôtre.
Ramina
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerAch mein freund,, grooosses plaisanttterieuuuux !! C'est pas possible tu dois fumer de la ciboulette! Tes commentaires sont de plus en plus délirants et désopilants dans l'absurde. Mélange psychédélique de références cinématographiques, de personnages de bandes dessinée et de littérature romanesque. Entre autres fantaisies burlesque, une idée qu'elle est fulgurante décalage avec madame Defraisses dans le bustier de la sulfureuse Milady du Cardinal... des trois Mousquefesses !
Ah, ah, bien vu la licence IV de la fessée! Stimulant, stimulant, on n'arrête pas le délire !
Amicalement.
Ramina