Lorsque l’on voit Nathaniel T. dans les couloirs du bâtiment où nous travaillons, une de nous trois l’appelle pour lui faire nettoyer un truc qui nous semble sale, même si ce n’est pas le cas.
« Ah
zut, la plante verte perd ses feuilles ! » fait
remarquer Iourievna
« EH,
NATHANIEL, tu peux ramasser les feuilles, s’il te plait ? »
demande Olga
« Oui, Mademoiselle, j’arrive tout de suite » répond Nathaniel, n’osant rien nous refuser.
« Merci
pour le ménage, Nathaniel. Apporte-nous un café et après viens ici, je vais te
remercier avec des caresses ! »
« T’es
chiée Olia, tu vas le faire punir si Agathe ou Amélie le voit avec sa
saucisse dressée ! » reprochais-je à Olga
« Bah !
il aime ça, mes caresses ! Ça vaut bien quelques coups de sangle sur
les fesses ! hein Nathaniel ? » demande
langoureusement Olga
« Ô
Oui, Mademoiselle ! Vous êtes douce »
« Et
bien Nathaniel, viens pas t’plaindre si tu t’prends une fessée et que t’as
l’cul en feu ! »
Plusieurs jours plus tard, lors
de notre retour de pause déjeuner, dans la cour des services techniques, nous
assistons à une course de tondeuses autoportées. Nous sommes effondrées de rire
en les voyant passer devant nous.
Nathaniel T. et Anthony E. sont
sur les tondeuses.
« Mais
c’est Nathaniel sur la première tondeuse ? »
dis-je à mes amies
« Oui,
c’est lui... Mais quel abruti, c’type ! Il va encore s’faire punir » me
répond Iourievna
« Et
ben, c’est son problème ! J’aimerais bien le voir s’faire corriger
devant moi... » souhaite Olga
Les deux pilotes de tondeuses
font encore quelques tours de cour lorsqu’une fenêtre s’ouvre et Sandrine R.,
la femme du Maire, invective les deux hommes :
« Mais,
vous êtes complètement dingues ! Ça ne se passera pas comme ça. Vous allez
voir ce que vous allez prendre ! »
Aussitôt, voyant qu’ils ont
fait une grosse bêtise, les deux pilotes vont ranger les tondeuses dans la remise,
sous les rires de leurs collègues.
Nous voyons Agathe S., sortir
en trombe et se diriger vers les deux fauteurs de troubles, en hurlant.
Sans demander notre reste, nous
rentrons dans notre bâtiment : courage, fuyons !
Loïc L. nous attend et nous dit :
« Encore
une bêtise ! Quand je vous disais qu’ils n’ont rien dans le
ciboulot ! Ça va encore chauffer pour leur matricule à ces deux
abrutis ! »
« Oui,
en effet, ils ne réfléchissent pas aux conséquences de leurs
actes ! » dit Iourievna
Dans la matinée, Loïc L. nous
annonce :
« Ah,
voilà les deux débiles qui se dirigent vers le bureau d’Agathe ! »
En effet, Nathaniel T. et
Anthony E. entrent dans le bureau de leur supérieure hiérarchique où rapidement
un sermon est passé aux deux hommes. Agathe S. est très remontée contre eux et
elle fait de grands gestes pour accompagner ses remontrances. Nous comprenons
que ça se passe mal pour les deux employés.
« Mais
Madame, ce n’est pas grave, nous voulions simplement nous amuser ! » dit Anthony
E. pour sa défense.
« Mais
vous êtes fou, vous auriez pu blesser un de vos collègues avec vos pitreries.
Et vous Nathaniel, n’avez-vous pas déjà été assez puni ? »
« Si
Madame, je vous demande pardon, je suis désolé ! » dit
humblement Nathaniel, tête basse
Soudain, nous voyons Jean-Bernard
V. entrer dans le bureau et il se met à parler avec sa puissante voix. Les deux
fautifs sont de nouveau accablés de reproches.
Lorsque les réprimandes ont
été donnés, Jean-Bernard V. condamne les deux hommes à rester cul nu durant un
mois et à recevoir trente coup de ceinture devant tous leurs collègues.
« Non,
Monsieur, j’ai déjà un mois à faire les fesses à l’air et j’ai encore les
fesses qui me piquent des coups de fouet que j’ai reçu à la gendarmerie » se
lamente Nathaniel T.
« Eh
bien, ça vous fera deux mois en tout ! et taisez-vous, j’en ai marre
de vos bêtises à longueur de temps. Pour les coups de lanières, vous ne méritez
que ça ! » hurle le directeur.
« Anthony,
enlevez pantalon et slip, votre mise à nu commence maintenant »
ordonne Agathe S.
Résigné, Anthony E. retire craintivement
ses vêtements et se masque le pénis, vexé de montrer son intimité à une femme.
« Retirez
vos mains !... Vous épilerez cette forêt vierge et retroussez votre
prépuce, comme Nathaniel. Vous vous conduisez comme des petits garçons, vous
allez leur ressembler » lui ordonne Agathe S.
Les deux hommes sortent du
bureau, la tête basse et ils rejoignent leurs collègues, très amusés de leur
situation.
Un peu plus tard dans la
journée, Loïc L. nous informe que les punitions auront lieu le lendemain. Nous
piaffons d’impatience de les voir être corrigés.
Le lendemain matin, les deux
hommes arrivent à leur vestiaire, retirent tous leurs vêtements et ne mettent
que leur veste de travail, laissant le bas totalement nu.
Anthony E. a la peau toute
rouge, car le feu de la récente épilation lui a laissé des irritations.
« Eh
Anthony ! Entre tes irritations et la lanière, tu vas morfler,
aujourd’hui ! » lui dit un de ses collègues.
« Ouais,
après, t’auras qu’à aller te tremper l’cul dans le grand bac d’eau dehors, ça
te rafraichira ! » raille un autre.
« Oh,
ça va, lâchez-moi ! C’est d’jà assez humiliant comme ça ! J’vais
d’voir rester comme ça pendant un mois complet »
rétorque Anthony E., super stressé par ce qui l’attend.
« Ça
plaira à Gabrielle d’vous voir à poil... »
« Oh,
lâche-moi avec ça ! » répond Anthony R., vexé.
Anthony E. et Nathaniel T.
vont tous les deux se présenter chez Agathe pour qu’elle contrôle les
épilations.
« Ah
vous voilà, vous deux. Montrez-moi tout ça... Anthony, c’est quand même mieux
lorsque sans toison ? Gland nu, j’ai dit ! » dit
Agathe de façon rhétorique, en lui décalottant le gland, l’humiliant davantage.
Les deux hommes, cul nu devant
leur supérieure ne peuvent s’empêcher d’avoir une bonne érection. Anthony E.,
un pénis plus court et plus gros qui contraste avec celui de Nathaniel T., qui
est long et fin. Agathe S. se régale d’observer les membres des garçons.
« Emmenez-les
à l’atelier et rassemblez les gens de la Mairie. Ils seront heureux d’assister au
spectacle »
Loïc L., prévenu du début des
punitions, nous dit :
« Les
filles, nous sommes attendus pour la fessée des deux fauteurs de
troubles »
« Ah
chouette, on va se régaler ! » dis-je, ravie de cette
invitation.
En chemin, nous croisons les
autres membres des bureaux de la Mairie et même Sandrine R., la femme du Maire,
amatrice de ce genre de divertissement.
« J’espère
que vous allez les faire gigoter et brailler ces deux manants ? Je
raffole d’entendre leurs hurlements de gorets » dit Sandrine
R.
« Ne
vous inquiétez pas, Madame R., nous allons leur rougir les fesses comme vous
aimez... Il se pourrait même que vous les voyiez leur semence gicler » lui
dit Agathe S.
« Ce
serait parfait ! »
Les deux employés sont mis en
place par leurs collègues, attachés solidement, cuisses écartées et penchés en
avant. De dos, nous voyons leurs testicules pendants entre leurs cuisses. Cette
vision me comble, j’en glousse !
Le directeur prend la parole
pour présenter les fautifs :
« Messieurs
Anthony E. et Nathaniel T. vont être fesser devant vous pour ne pas avoir
respecté les règles de sécurité. Ils vont recevoir trente cinglées données par
Agathe et Amélie. Messieurs, qu’avez-vous dire ? »
Anthony E. et Nathaniel T.
présentent leurs excuses, espérant avoir un traitement de faveur en faisant
profil bas.
« Allez-y,
claquez-leur les fesses et nous voulons les entendre beugler »
Une fois l’un, une fois
l’autre et alternativement sur chaque fesse et sur chaque cuisse, Agathe S. et
Amélie B. mettent de l’intensité à cingler les deux employés. Elles les fouettent
pour les rendre dociles. Le fait que tous les employés soient réunis fait que
l’exemple doit servir aux autres membres des services techniques qui auraient
la tentation de s’écarter du droit chemin.
Nous les voyons tressaillir,
se contracter, trépigner pour enfin se lâcher à pousser de véritables
hurlements désespérés. Ils se démènent, tirent sur leurs liens, mais doivent
s’avouer vaincus, car ceux-ci sont trop bien noués pour qu’ils puissent se
détacher seuls.
Les claquements s’enchainent
et les chairs se zèbrent de belles et larges marques rouges. Les deux hommes
ont le brasier aux fesses et pensent ne plus pouvoir supporter les coups à
venir, tant celui qu’ils viennent de recevoir leur semble à la limite du
supportable. Ils regrettent amèrement leur conduite.
« Regardez,
ils sont au garde à vous, tous les deux ! A mon avis, on va les voir
gicler... Ça va pas tarder... » murmurais-je à mes amies.
Accompagnés de hurlements
stridents dus aux cinglées et aux râles dus à la jouissance, les deux punis
éjaculent presqu’en même temps, à la plus grande joie des femmes présentes qui
gloussent de voir les jets de sperme.
A la vue des réactions des
deux hommes, je sens ma cyprine couler dans ma culotte et j’ai une furieuse
envie de me masturber. C’est assez frustrant de ne pas pouvoir le faire. Les
joues de mes deux amies sont aussi rouges que les miennes et je me doute
qu’elles ont les mêmes désirs que moi.
Sandrine R. dit à ses
voisines et confidentes :
« L’une
des preuves qu’un homme a été bien corrigé, c’est lorsqu’il répand sa semence
comme le font ces deux idiots... Amélie et Agathe savent s’y prendre pour
corriger leurs employés, elles ont toute ma confiance pour mater ces incapables
et elles y prennent gout. Regardez-les, leurs gestes sont amples et précis et
les deux punis passent un mauvais quart d’heure. Leurs arrière-train les
brulera durant plusieurs jours »
« Tu
as raison, Sandrine et on se délecte toujours autant de ses spectacles des
plus excitants »
Amélie B. annonce :
« Les
deux punis ont reçu leur punition ! ! »
Le public applaudit la
prestation des fesseuses et les contorsions burlesques et impudiques des deux
hommes, qui sanglotent sans retenue. Ils se plaignent du fait que leur arrière-train
est embrasé.
Lorsqu’ils sont détachés, Anthony
E. et Nathaniel T. tombent à genoux et leurs collègues doivent les aider à se
relever pour les emmener à la douche, car ils sont trempés de sueur et leur
visage, inondé de larmes.
« Qu’on
emmène ces deux crétins » ordonne Amélie B.
« Lorsqu’ils
seront douchés, envoyez-les tondre les pelouses de la Mairie, à la tondeuse
manuelle, ce qui devrait leur prendre le reste de la journée. Ça leur apprendra
» annonce
Agathe S.
Trente minutes plus tard, nous
voyons Anthony E. et Nathaniel T. revenir, l’air hébété, pour prendre leur matériel
et aller travailler dehors.
« Vous
croyez que ça va les calmer ? Nathaniel a quand même pris cher avec
ses multiples fessées et le fait de devoir rester cul nu durant deux mois »
demandais-je à Loïc L.
« Pensez-vous !
Ils se tiendront tranquille quelques semaines et ça repartira de plus belle.
Ils sont incorrigibles » me répond-il.
« Elle
va la mettre en application, sa menace, Amélie, d’envoyer Nathaniel le cul à
l’air pour aller travailler en ville ? »
demande Olga
« Surement
pas. Nous avons des administrés qui protesteraient contre ces méthodes d’une
autre époque. Mais rien que d’être les fesses à l’air en présence de tout le
personnel de la Mairie devrait le rendre raisonnable, au moins un temps » nous
explique Loïc L.
« Dommage !
J’aurai bien aimé le voir comme ça, déambuler dans la ville »
Le bruit des tondeuses me fait
lever la tête.
« Regardez-les,
ils sont en train de tondre, juste en bas. Matez leur cul rouge et leur
saucisse toute rétrécie »
« T’as
raison, avec le froid qu’il fait, on voit plus leur bistouquette ! Leur
limace est rentrée... » me répond Iourievna
« Et
c’est qui la fille, là, qui est en train d’examiner les fesses
d’Anthony ? »
« Ah !
Elle, c’est Gwénola S., une bretonne, une sacrée bonne femme celle-là... Elle
gère les espaces verts de la ville. Tous les agents communaux sont amoureux
d’elle. Elle conteste l’autorité et à cause de ça, elle s’est déjà pris deux
bonnes fessées de la part d’Agathe, ça l’a à peine fait broncher. Après ses
corrections, elle a toisé Agathe et elle s’est reculottée, comme si de rien
n’était, mais on voyait bien qu’elle serrait les dents pour ne pas
hurler ! On a su, après coup, qu’elle n’a pas pu porter de culotte
durant quinze jours et qu’elle restait à poil, avec des linges humides sur
les fesses et les cuisses, lorsqu’elle était chez elle, tant ça la brulait ! Sans
parler que la position assise lui a été interdite durant près d’une semaine et
qu’elle faisait ses besoins à moitié debout ! »
« Ah
ouiiiiii ! Très courageuse, la fille ! C’est pas moi qui ferait
ça ! » dis-je, étant admirative.
« Je
vous envoie le film qui a été fait, vous allez voir comment elle sait se tenir,
Gwénola ! Mais par moment, on voit bien qu’elle est à la limite de
craquer... »
Dès que nous rentrons à la
maison, nous regardons avec intérêt les deux corrections de Gwénola S. et nous
sommes impressionnées par tant de courage.
Le début du film met l’accent
sur l’arrivée de Gwénola S. qui retire complètement son pantalon et sa culotte,
se retrouvant le pubis épilé, nu, devant tous ses collègues. Orgueilleuse, elle
ne cherche même pas à masquer son intimité, ce qui provoque quelques rires et
commentaires masculins.
« Qu’a
encore fait cette péronnelle, car ce n’est pas la première fois qu’on lui
claque les fesses ? » demande Sandrine R.
Le directeur en personne lui
répond :
« Mademoiselle
S. a outrepassé les ordres et a arrosé copieusement les parterres de la ville
malgré le fait que nous soyons en restriction d’eau, dû à la grosse chaleur.
C’est un mauvais message envoyé à nos administrés qui respectent les
consignes ! Elle va recevoir trente coups de sangle ! »
« Vous
avez raison de corriger cette chipie ! Enfreindre les ordres est grave. Ne
la ménagez pas, elle devra s’en rappeler ! »
commente Sandrine R.
Les collègues de Gwénola S.
l’amènent dos aux spectateurs et la mettent en position. Gwénola S. se laisse
faire sans protester, sans chercher à se soustraire à sa punition qu’elle sait
avoir mérité.
« Penchez-la
et attachez-la en lui écartant bien les cuisses ! »
ordonne Amélie B.
Sans ménagement, Gwénola S.
est attachée par les poignets à un poteau du bâtiment et aux chevilles à la
poutre du sol.
« On
va vous dresser et vous rendre docile, ma petite ! Après ça, vous
vous soumettrez aux ordres » claironne Agathe S.
Lorsque les cinglées, très
sonores, lui marquent la chair, Gwénola S. contracte les fesses, trésaille,
mais semble supporter la douleur, même lorsqu’Agathe S. prend de l’élan pour
avoir le maximum d’efficacité, la punie réagit peu. On entend même un
spectateur demander qu’on la mette nue pour lui fouetter le dos et l’obliger à
hurler, ce que refuse le directeur car la faute commise n’est pas sanctionnable
à ce niveau. Par contre, en cas de récidive ou de faute plus grave, Gwénola S.
est prévenue qu’elle serait fouettée, entièrement nue. Les cinglées bouillantes
s’enchainent mais la punie reste presque imperturbable.
« Espèce
de garce, je vais vous faire hurler ! » lui
crie Agathe S., en s’appliquant bien à faire claquer sa lanière sur les parties
les plus sensibles de son employée, comme l’intérieur des cuisses ou sur les
hanches, provoquant juste des gémissements voire des grognements de la part de
Gwénola S., qui se met à transpirer tant elle lutte pour ne pas hurler.
La caméra zoome sur
l’entrecuisse de la punie et nous voyons que sa fente est bien humide et des
filets de cyprine coulent, prouvant bien que malgré le fait qu’elle soit
stoïque, Gwénola S. souffre intensément.
A la trentième cinglée, Agathe
S. et Amélie B. sont obligées de cesser de la tourmenter.
« Détachez
cette donzelle... ! Gwénola, félicitations pour votre très grand courage, vous
avez impressionné tout le monde, mais ne vous réjouissez pas trop vite, car la
prochaine fois, nous vous soumettrons et vous chialerai vraiment » lui
promet Agathe S., visiblement vexée de ne pas avoir pu faire hurler son
employée.
Nous entendons les rumeurs des
spectateurs, visiblement très déçus de ne pas avoir entendu la punie brailler
ni l’avoir vu se contorsionner en prenant des poses impudiques. En assistant à
cette correction, bien des hommes espéraient la voir vaincue, en train de s’agiter.
Lorsque les collègues de
Gwénola S. la détachent, celle-ci s’effondre à genoux, pour reprendre son
souffle avant qu’on l’aide à se relever. Gwénola S., en sueur, tremblante,
éprouvée et le souffle court, regarde droit dans les yeux Agathe S. et son
regard en dit long sur ses sentiments vis-à-vis de sa supérieure.
« Baissez
les yeux, petite insolente » ordonne Agathe S.
« ON
VOUS DIT DE BAISSER LES YEUX, GWENOLA ! ! Préférez-vous qu’on vous
rattache pour quinze coups supplémentaires ? » s’énerve
Amélie B., levant sa sangle pour accentuer sa menace.
Et c’est seulement avec cet
ultimatum que Gwénola S. cesse de soutenir le regard de sa cheffe.
Ensuite, on voit Gwénola S. soutenue
par ses deux copines, Françoise L. et la jeune Félicie A., qui l’accompagnent
aux vestiaires pour la réconforter et l’aider pour sa douche.
Le film se termine sur la
douche de Gwénola S. où on la voit, qui se lave maladroitement en évitant de
toucher ses parties bouillantes, puis Françoise L. et Félicie A. l’essuient et
l’aident à se rhabiller avec mille précautions. Gwénola S. grimace affreusement
en enfilant son pantalon de travail, sans culotte. Lorsqu’elle part pour
reprendre son travail, on la voit se déplacer, la démarche mal assurée.
Avec l’excitation que m’a
procurée la vue de ce film, j’ai la main entre mes cuisses en train de me
soulager intensément. Lorsque je jouis, je constate que j’ai, une nouvelle
fois, souillé ma culotte...
Une série écrite par Elena
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Bravo Elena, encore un double épisode très émoustillant, nous n'avons plus de nouvelles d'Alyson, la strip teaseuse qui si je m'en souviens nous devait une correction, une fois sa mini tournée achevée, autant vous dire que je l'attends avec impatience.
RépondreSupprimerEncore merci pur l'ensemble de vos textes et l'approche de miieux divers et variés.
Très sympathiquement .
Serge
Bonjour Serge.
SupprimerJe vois que vous êtes un inconditionnel de mes aventures. Merci mille fois pour ça. Effectivement, la copine Alyson doit se faire fesser lors d'une pause de la tournée du CRAZY.
Ca va arriver. Il faut juste que la troupe soit libre de tout engagement et qu'Alyson revienne dans le département pour s'acquitter de sa dette.
Amitiés.
Elena.
On attend avec impatience que nos amies stagiaires fassent à leur tour une bêtise. Cela ne saurait manquer. merci pour ce récit
RépondreSupprimerBonjour inconnu(e),
SupprimerMerci pour votre bon commentaire. Etant donné que nos héroïnes ont une sacrée tendance à enfreindre les règles plutôt qu'à les respecter, il y aura des dérapages. Nathaniel devrait tenir sa vengeance, je pense...
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et des courses de tondeuse, les fesses à l'air... Bonjour.
RépondreSupprimerBonjour Elena...littéralement déchaînée dans cette burlesque, et néanmoins implacable, chevauchée fantastique d'agent d'entretien en chaleur. Les jardiniers de l'apocalypse, sur tondeuse auto portée, , dans les jardins de la mairie, pantalon aux chevilles , le slip en travers des cuisses , les fesses rouges de leur dernière déculottée!
Ah non, c'est vrai, les punis sont nus, des pieds jusqu'aux pieds, en passant par les merguez à po-paul, ballerines au vent ! C'est la coutume dans le coin où se multiplient les rhumes de fesses à cause des chaud et froid dans les courants d'air.
Les fessées sont sévères et stimulantes comme d'hab'! Ce qui a le don d'émouvoir l'entre cuisses des demoiselles, sensibles aux raideurs éclaboussantes de Nathaniel T. comme "tondeuse infernale" et Anthony E. comme, "échevelé livide au milieu des tempêtes".
Agathe, "the blues", et Amélie "bidineuse", n'y vont pas de main molle et avec enthousiasme. Joli numéro de claquettes sur les fesses des municipaux, et giclettes viriles sous les applaudissements des spectatrices, dont ces Dames de la Mairie, friandes de claquants divertissements, bien arrosés.
Pour finir en beauté, et par souci d'égalité homme femme devant la fessée, Elena jamais sans ressource, nous offre une vidéo surprise. En vedette, Gwenola l'indomptable, dans les mystères de l'Ouest, les fesses en feu, sans culotte... La récitante à bout de nerfs, finissant en pâmoison, une fontaine de jouissance dans la sienne. Les voix du Seigneur sont décidément liquides.
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerEncore un bon commentaire haut perché dans les cieux de la drôlerie. La synthèse est faite comme toujours. Mes personnages n'y vont pas de mains mortes, les uns pour leurs manifestations lorsqu'ils reçoivent leur correction et les autres pour soumettre et exercer leur pouvoir de domination. Assez excitant comme emprise, d'ailleurs. On se sent au dessus de tout le monde et c'est ce qui fait que les punitions sont souvent assez sévères.
Pour le reste, les spectateurs ne veulent pas en perdre une miette et encouragent les fesseuses et se moquent des puni(e)s.
Dans cet épisode où nos héroïnes font leur stage d'intégration professionnel, elles tombent sur des ouvriers qui n'ont rien dans le cerveau. Plus occupés à s'amuser qu'à être réellement dignes du poste qu'ils occupent. Même Gwénola, une courageuse jeune femme, têtue, aime défier l'autorité et je pense qu'elle ne sera pas guérie par cette fessée.
Les différentes périodes de stage sont longues, ce qui devrait donner le temps d'avoir de nouvelles bêtises à faire.
Amitiés.
Elena.
Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
SupprimerQue voilà un épisode plein de jubilation. Nos jeunes amies sont ravies du spectacle qui leur est offert. Et bien décidées à en profiter tant et plus. Et elles sont gâtées. D'abord les deux compétiteurs qui ont cru bon d'organiser une course de tondeuses et qui se voient présenter la facture. Puis Gwenola, la gérante des espaces verts de la ville qui se trouve, elle aussi, corrigée d'importance. La parité hommes-femmes en quelque sorte. J'ai toujours, pour ma part, une double lecture de vos textes. L'une directe. Je le prends tel qu'il est. Et l'autre dans la perspective de ce qu'il va pouvoir m'inspirer. et je me régale par avance du plaisir d'écriture qu'il va m'apporter.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerJe tente de toujours trouver des situations différentes pour la mise en scène de mes rebelles. En fait, tous les prétextes sont bons pour faire évoluer mes personnages dans cet environnement où la discipline règne en maitre absolu pour que l'anarchie ne prenne pas le pas sur les autres règles du savoir vivre ensemble.
Dans cet épisode, nos trois étudiantes changent de registre avec leur stage professionnel aux services techniques de la Mairie, lieu propice à tous les excès des employés.
Pour Gwénola, j'ai une affection toute particulière pour elle, car elle subit sa correction de façon très courageuse, enfermée dans sa fierté. Elle sait que sa décision était la bonne et le désaveu de sa hiérarchie la laisse de marbre. Elle va jusqu'au bout de ce qu'elle pense être juste, même s'il lui en coute. Elle est professionnelle jusqu'au bout...
Amitiés.
Elena.