Les mains attachées au-dessus de la tête et les cuisses bien écartées, chevilles liées aux anneaux du chevalet, nous avons une belle vue sur sa fente et sur son anus bien exhibés.
« La punition a même pas commencé que cette
godiche appelle déjà sa mère... Quel manque de courage ! » commente un spectateur.
« Eh les mecs ! Matez son cordon qui pendouille de sa fente, comment qu’elle a l’air ridicule, la greluche ! » remarque un autre
Alyson se
secoue de peur et promet tout ce qui pourrait lui être demandé. Elle dit
qu’elle est sincèrement désolée et qu’elle ne refera plus jamais de telles
bêtises, qu’elle se comportera comme une gentille fille, qu’elle sera docile...
« Taisez-vous, Mademoiselle K., gardez votre
souffle, vous en aurez besoin pour ce qui va suivre ! » lui dit la Capitaine médecin.
Sourde
aux demandes de la Capitaine médecin, Alyson remue et crie toujours autant.
« J’aimerais pas être à sa place, comment
qu’elle panique, regardez-la se dandiner » dis-je à mes amies
« Remarque, on y a déjà été à sa place, si
tu te rappelles ! » me
répond Iourievna.
« Ouais, je me rappelle très bien et
c’était atroce. Comment que ça brulait lorsque ces foutues lanières nous cinglaient
la chair ! »
« C’est pas pour rien qu’ils utilisent des
martinets de chez DELANIAIRES ! Ça en calme plus d’un » nous rappelle Olga
« Vos parents accrochent toujours dans la
cuisine les martinets DELANIAIRES qu’ils ont acheté ? » demandais-je à mes amies
« Oui, pour nous rappeler à l’ordre
lorsqu’il le faut ! Maman sait bien nous l’agiter sous le nez pour la
menace et elle n’hésite pas à s’en servir, lorsque la menace ne suffit plus » me répond Ekaterina
Pendant notre
discussion, Mdl Marina de S. et Mdl Fiona V. se sont munies des solides martinets
et se sont positionnées de part et d’autre d’Alyson, prêtes à lui cingler le
bas du corps.
« Maréchal des logis ! Allez-y pour
trente fouettées sur les fesses et sur les cuisses. N’hésitez pas à la faire
hurler, ça doit être dissuasif ! Et puis, ce n’est plus une petite
fille » dit la Lieutenante Helga K.
Il n’en
faut pas plus aux deux fesseuses pour appliquer avec sévérité la punition. A
chaque cinglée, nous entendons les lanières claquer sèchement sur la chair
d’Alyson et nous la voyons se raidir et hurler en se débattant. De belles
traces rouge zèbrent le bas de son corps.
Les
fesseuses visent les parties sensibles de son corps, ce qui lui arrachent des
hurlements stridents. Même l’intérieur des cuisses, là où la chair est la plus
tendre, est la cible des grosses lanières. Il est clair qu’avec ce qu’elle
prend, elle ne pourra marcher avec les cuisses serrées, au moins quelques jours.
Mdl
Marina de S. et Mdl Fiona V. se régalent de soumettre Alyson, qui ne sait plus
dans quelle position se mettre pour supporter le traitement. Séverine K. est en
larmes dans les bras de son mari, de voir sa fille souffrir à ce point, ce qui
tranche avec les encouragements des spectateurs qui souhaitent la voir souffrir
et beugler davantage.
« Ça lui apprendra qu’on ne badine pas
avec les consignes COVID. Il y a des gens qui meurent tous les jours de ça et
les jeunes devraient se montrer plus disciplinés avec leurs fêtes sans
protection. Au moins, une de plus qui s’en rappellera » lâche une spectatrice, ravie de voir Alyson se faire enflammer les
fesses.
A présent,
Alyson pousse des hurlements en continu tant le bas de son corps est bouillant.
Elle est luisante de sueur, tant elle se démène dans tous les sens. Ses cheveux
longs sont ébouriffés et elle a des mèches collées à son visage par la
transpiration.
Mes amies
et moi qui sommes dans les premiers rangs, nous voyons bien les longues
lanières des martinets s’enrouler autour du bassin d’Alyson et compte tenu de
ses contorsions et de ses hurlements stridents, on se doute que le bout des
lanières vient lui cingler le bas ventre et le pubis. Avec ses cuisses
largement écartées, elle n’a aucun moyen de protection de son intimité. Mdl
Marina de S. et Mdl Fiona V. s’arrangent pour faire claquer le bout de leurs
lanières sur ses parties ultra sensibles.
« Ah, les pétasses ! regarde, elles
sont en train de lui fouetter la moule et elles le font exprès, je
parie ! » dit Olga à Théo.
« Ah ouais, t’as raison, vu comment elle
se secoue, elle doit en chier ! »
Lui répond Théo
« Je sais ce que ça fait de s’en prendre
sur l’abricot ! On morfle vachement ! » complétais-je, car j’ai d’horribles souvenirs qui me reviennent
sur ce type de situation.
« Non mais, regardez la mouiller, cette
petite vicieuse. On dirait qu’elle aime ça, se faire chauffer les
fesses ! » remarque un spectateur à
côté de nous.
« Comment vous réagiriez si on vous
fouettait la saucisse ? pov’ type » lançais-je à ce voisin qui se régale de la voir en baver, ce qui lui fait arrêter de déverser ses
quolibets sur notre amie.
Lorsque
la dernière cinglée a été appliquée, Mdl Marina de S. et Mdl Fiona V. posent
leur instrument de punition et nous entendons des spectateurs, encore tout
excités, demander un supplément tant ils ont apprécié la prestation. Les cris
des spectateurs couvrent les longs sanglots d’Alyson, qui se laissent aller.
La
Lieutenante Helga K. prend la parole :
« Messieurs Dames ! Devant vous, Mademoiselle
Alyson K. a reçu l’intégralité de sa punition. Le moins que l’on puisse dire,
c’est qu’elle n’aura pas été très courageuse... »
« Encore... Encore... Encore... ! » scandent les plus virulents des spectateurs.
« A la demande du Maire et pour terminer
de la punir, notre médecin va lui étaler du Dolpic sur les fesses et lui en
injecter une bonne dose dans l’anus. Mademoiselle K. devrait garder un souvenir
impérissable de cette attention. Dommage qu’elle soit en période de règles, car
une dose lui aurait été mise dans le vagin »
« Mais, ça va pas, non ? Vous ne
pouvez pas faire ça à ma fille, tout de même. Elle a assez souffert, regardez
quand quel état elle est... et puis, celles et ceux qui ont été punis
avant elle, pour les mêmes raisons, n’en ont pas eu du Dolpic ! » se révolte Séverine K., la mère d’Alyson.
« Madame K., votre fille a eu un long sursis
entre sa faute et la punition. Il faut bien compenser, à présent » lui répond la Lieutenante.
« Ma...man ! pitié, les lai...sse pas
faire... pas... le Dol...pic je le suppor...te...rais pas, ça cuit...trop ! » se lamente Alyson, à court de souffle, en larmes, le bas du
corps toujours en feu, par l’épreuve subie.
La
Capitaine médecin Cindy B. prend un gros tube de Dolpic et met deux bonnes doses
sur les fesses marquées de la punie, puis elle lui étale bien la crème sur
toute la surface des fesses des cuisses et dans l’entrecuisse, ce qui fait
hurler Alyson dont la chair rendue hypersensible par la fessée est de nouveau
malmenée par les massages sans douceur de la femme gendarme.
Le temps
que ça fasse totalement effet, la doctoresse enduit le clitoris d’Alyson, puis prend
une poire, introduit de force l’embout dans l’anus d’Alyson qui tente
désespérément de résister, mais doit s’avouer vaincue lorsqu’elle sent l’embout
pénétrer en elle. Ne pouvant plus rien faire, elle sent le produit se répandre
dans son anus.
Quelques
secondes après que la doctoresse ait retiré l’embout de la poire de l’anus
d’Alyson, celle-ci s’anime à nouveau en violentes contorsions, car le Dolpic
produit son effet de cuisson intense. On entend Alyson hurler en se débattant de
nouveau comme une furie. Elle a l’impression qu’un volcan s’éveille sur son
épiderme et dans ses parties intimes. Toujours solidement entravée, Alyson ne
peut pas se débarrasser de la crème et ne peut qu’endurer le feu qui embrase le
bas de son corps et son anus. Ses hurlements sont déchirants.
« Ils n’étaient pas obligés de faire
ça ! Le Dolpic en plus... Elle a assez payé comme ça ! Elle
pourra plus serrer les cuisses durant des jours » dis-je à mes amies.
« T’as raison, après ça, elle va être
totalement docile... J’espère qu’elle ne nous en voudra pas de l’avoir entrainé
dans cette galère ! » me
répond Iourievna.
« Ben, nous aussi, on a été sévèrement
fessée : y’a qu’toi, Ioura, qui t’en est sortie sur ce coup-là » dit Olga.
« J’ai eu un vrai bol d’échapper aux
gendarmes, c’est tout » se
défend Iourievna.
Alyson
braille toujours en se débattant et tentant de se détacher par elle-même, ce
qu’elle n’arrive pas à faire.
Lorsque
la Lieutenante Helga K. je qu’Alyson a été assez punie, elle ordonne aux deux
fesseuses de la détacher. Alyson s’écroule, toute tremblante. Ses parents,
Monsieur et Madame K. vont l’aider à se relever. Ils doivent la soutenir pour
qu’elle avance, criant à chaque pas, car les brulures ne s’estompent pas.
Ekaterina,
Iourievna, Olga et moi allons voir notre amie qui ne prête pas attention à
nous, son esprit encore occupé par ce qu’elle vient de prendre.
Lorsqu’Alyson
est rentrée dans la gendarmerie, le Capitaine médecin vient voir Alyson et
l’ausculte très sommairement en disant que les marques ne sont pas graves et
qu’il y a plus de douleur que de mal et qu’elle se remettra avec du repos et
quelques soins.
Au moment
où la doctoresse tente de soigner Alyson, Madame K. dit :
« Non, Docteur, nous allons partir tout de
suite et nous soigneront notre fille à la maison »
« D’accord. Je vous signe son autorisation
de sortie et vous pourrez y aller » répond
la Capitaine Cindy B.
En
attendant l’autorisation, nous venons au chevet d’Alyson qui s’est un peu
calmée, mais gémit de temps en temps. La cuisson doit se réveiller de temps en
temps et devenir lancinante.
« On
peut vous accompagner ? » demande Olga à la mère d’Alyson.
« Oui, vous êtes ses amies et du renfort
ne sera pas de trop pour sa toilette et les soins. Allez-y et on vous rejoint
en voiture » nous répond-elle.
Nous
prenons la direction du domicile d’Alyson et en chemin, nous commentons ce
qu’on vient de voir.
« Bon, vous je sais pas, mais moi, j’ai la
culotte trempée ! » me
confiais-je à mes amies
« C’est vrai que vu comment qu’elle se
contorsionnait de façon impudique, c’était super excitant, on voyait tout. Les
mecs s’astiquaient, pour certain... »
« Et même Théo. Il a une belle tâche sur
le pantalon »
« Oui bon, c’est un mec ! » répond Olga qui trouve des excuses à son copain.
« Si tu vas le voir après notre visite à
Alyson, dans l’état d’excitation où il est, il va te déglinguer, et sévère
en plus ! » rie Ekaterina, en parlant de
sa petite sœur.
En
arrivant chez Alyson, nous la trouvons allongée, sur son lit, encore en pleurs.
Nous tentons d’aider sa mère aux soins, mais ce n’est pas facile, car à chaque
fois qu’on la touche, Alyson crie de nouveau. Nous enlevons le reste de Dolpic
qui s’est insinué partout et nous l’emmenons à la douche où il est compliqué de
la laver sans lui faire mal.
Déjà
humectée de cyprine, dû à la cuisson de sa correction et de l’humiliation
d’avoir été fouettée en public, lorsque je lui lave l’entrecuisse, je sens
qu’elle dégouline de cyprine à nouveau. Ses gémissements et ses réactions en
disent long sur ses sensations...
« Ah la la ! regardez, elle a le
clito tout rouge... Et c’est bien ce qu’on pensait, elle s’est pris des
cinglées sur les grandes lèvres et sur le pubis, regardez les grosses traces » dis-je en montrant les zébrures à mes amies.
Lorsqu’elle
est propre, nous la remettons au lit. Elle reprend un peu ses esprits et d’une petite
voix, elle nous remercie pour l’aide apportée. Nous restons un peu avec elle
pour la réconforter, car c’est le rôle d’amies que de faire ça.
« Vous resterez bien diner, les
filles ? Alyson appréciera votre compagnie » nous demande Séverine K.
« Oh, oui, Madame. C’est notre amie, on va
la réconforter »
C’est
comme ça que nous passons la soirée avec la famille, couchée sur le ventre, les
cuisses écartées et des serviettes humides sur les fesses et les cuisses pour
tenter d’apaiser le feu qui couve toujours. Ses grimaces en disent longs sur la
douleur qu’elle ressent encore. Alyson a l’impression d’avoir l’anus
complètement dilaté, le clitoris qui a doublé de volume et qui est devenu hyper
sensible.
« Elles ne t’ont pas ratée, ma chérie,
mais tu t’en remettras dans quelques jours » dit le père d’Alyson à sa fille.
« Nous, qui recevons de bonnes fessées de
temps en temps, on sait qu’elle aura mal durant plus d’une semaine, après, les
rougeurs s’estomperont, mais ça cuit un moment » dit Olga à Monsieur K.
« Heureusement
que ses représentations au CRAZY sont terminées, car elle n’aurait pas pu
reprendre dans cet état-là ! » dit Iourievna.
« En effet, Alyson est en chômage durant
au moins le restant du mois, après, la directrice verra pour repartir en tournée » nous répond Séverine K.
Chaque
jour, en revenant de notre stage à la Mairie, nous passons voir Alyson, qui se
remet petit à petit de sa pénible épreuve. Elle marche les cuisses écartées,
mais elle reprend du poil de la bête et finalement est soulagée que tout ça
soit derrière elle. Une page est tournée et elle va pouvoir reprendre le cours
de sa vie.
« T’as l’air mieux, aujourd’hui !
T’as meilleure mine que l’autre jour »
dit Olga à Alyson
« Ouais, mais par moment, ça pique encore.
Je ne peux m’assoir qu’avec mille précaution et encore, sur des
coussins et j’en fais encore des cauchemars »
« T’inquiète, ma belle, d’ici une semaine,
tout sera fini. Pour les cauchemars aussi, c’est vrai quelques jours et après
on passe à autre chose, petit à petit. On est aussi passées par là et on sait
que quoi on parle » lui répondis-je.
En toute fin
de semaine, vêtue d’une robe longue, sans sous-vêtements, nous emmenons Alyson
se promener. Assez anxieuse que quelqu’un, qui a assisté à sa correction, ne la
reconnaisse, Alyson baisse les yeux lorsque nous croisons des passants.
Réaction normale lorsqu’on a été corrigée en public. Là encore, cette sensation
particulièrement humiliante, passe avec beaucoup de temps. Le « qu’en
dura-t-on » est assez tenace dans notre société et les juges nous mettent
à l’épreuve en invitant du monde et en mettant à disposition les films et
photos des punitions, ce qui doit être dissuasif pour ceux et celles qui
auraient tendance à transgresser les règles de notre région.
Une série écrite par Elena
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Amis de la poésie et de la fessée au Dolpic...
RépondreSupprimerBonjour Eléna... de plus en plus déchaînée dans un épisode qui ne manque pas de piquant!
Pas de quartier, pour Alyson, à qui on n'épargne rien, avec piqûre de rappel aux lecteurs, sur la condition cyclique féminine. Cordon s'il vous plaît, ça dépasse ! Et tampix pour la victime qui doit supporter une fessée recto verso, ( à se demander si le recto n'est pas plus douloureux que le verso )sous les sarcasmes des spectateurs qui s'en régalent comme d'habitude. Quelle manie ont les messieurs, sans retenue, de tacher leur pantalon !
Martinets Delaniaires t'en prends plein le pont arrière! Alyson ne dira pas le contraire et si le duo de choc, Marina et Fiona n'y va pas avec le dos de la cuillère sur la fessée, l'amie Cindy, l'ami sincère, y va carrément à la poire à lavement au Dolpic dans le derrière !! Et ça pique et pique et kilogramme, pas loin de la dose que la charmante doctoresse lui introduit dans le fondement. Tout ça à la demande du Maire pas moins vicelard que les conseillères municipales, mais, qui a le mérite d'institutionnaliser la formule!
Le spectacle est gratuit, et la mesure disciplinaire peut être plus efficace que 135 € d'amende pour non respect des gestes barrières, au bénéfice du geste lanières! !
Fini les problèmes de vaccins contre la Covid. Après la bonne fessée, qui pique, le suppositoire au Dolpic, tombe à pic!! En voilà une idée qu'elle est bonne !
Amicalement
Ramina
Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerAlyson tient à elle toute seule la vedette. Pour une artiste, ce devrait être un moment de gloire. Ce l'est d'une certaine façon, mais sans doute pas comme elle l'aurait souhaité. Quant aux deux "dames" de la mairie, elles n'ont pas assez de tous leurs yeux pour regarder. Elles ne sont pas les seules. C'est un peu une revanche pour l'une d'entre elles et pour toutes celles et tous ceux qui sont cette fois spectateurs et qui ont eu à connaître des corrections en public.
Amicalement.
François
Quand j'ai lu ces lignes, qu'Alyson aurait une introduction de Dolpic dans l'anus vu qu'elle était en période de règles, autrement ce serait dans le vagin,j'imagine que dans cet endroit-là, elle aurait eu le vagin brûlant pendant quelques jours. Déjà, ce dont j'ai connu pour le bizutage des filles ,elles avaient toute la chatte passée au dentifrice et introduction d'un peu de dentifrice dans le vagin ,ça brûlait déjà un peu, alors j'imagine avec le Dolpic.
RépondreSupprimerMilky