QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LES FESSES D'ANDREW A L'HONNEUR CHEZ BETTINA.
Bettina arriva chez elle d'excellent humeur. Elle se débarrassa de son sac qu'elle posa sur la commode et jeta un coup d'œil à la pendule du vestibule. Walter n'était pas encore rentré. Il lui restait encore cinq minutes pour faire le trajet de son bureau à la maison, avec interdiction formelle de passer par le pub. Son temps était compté à la minute près. Au moindre retard, c'était la fessée, déculotté, directement sur la banquette. Walter étant loin d'un modèle d'exactitude et souvent oublieux des consignes, ces séances punitives arrivaient très régulièrement et pas toujours pour la raison indiquée ou même justifiée.
Quand bien même Monsieur arrivait à l'heure, elle trouvait toujours
un malin prétexte pour lui flanquer une bonne déculottée. Claquer
vigoureusement les fesses de son mari, était pour Bettina son sport favori. Un
excellent exercice de remise en forme après un
harassant après-midi à courir les magasins. Walter était loin d'approuver la méthode mais
elle ne lui demandait pas son avis. A l'annonce de sa fessée, il venait
docilement lui présenter ses fesses à
déculotter et subir sa raclée, comme un gamin, puni par sa mère après avoir
trop traîné à rentrer de l'école.
La conversation avec Patricia et la
perspective de fesser Andrew l'avait tout émoustillée. A défaut, peut-être,
d'avoir la raison habituelle de corriger son mari pour son manque de
ponctualité, il lui venait soudain, la pressante envie de recevoir, elle-même, une fessée. Le besoin
irrépressible de sentir une main dure
claquer sur ses fesses, à travers sa jupe moulante. Pas la fessée déculottée.
Non, elle voulait simplement savourer l'échauffement de ses fesses, serrées sous le nylon de son
slip, qui les rendait encore plus fermes et claquantes.
Elle se planta devant la glace et se
retourna en penchant la tête par-dessus son
épaule pour apprécier l’arrondi de ses proéminentes courbes fessières. Elle les
caressa voluptueusement à deux mains en creusant les reins, cambrées sur ses
hauts talons, pour mieux les faire
ressortir. Son regard enveloppant lui apporta la confirmation qu'elles étaient
bien faites pour recevoir de longues et magistrales fessées. Elles les craignaient ces
fessées, mais néanmoins les sollicitait pour les sensations fortes que cela lui
procurait. Ce que ne semblait pas toujours comprendre Walter, pas aussi souvent
attentif qu'elle le souhaitait, à ses formidables avantages fessiers. C'était à
peine s'il lui rendait la moitié des fessées qu'elle lui administrait. Elle émit un petit soupir de
dépit, se tapota affectueusement le derrière et alla s'installer dans le
canapé du salon pour téléphoner.
Elle avait décidé de prévenir Géraldine du comportement
d' Andrew et de l'accord qu'elle avait passé avec lui, pour le corriger sans en
avertir Margaret. Elle invita la jeune femme à venir assister à la punition. Après tout, le garçon au pair, était sous la
responsabilité des Delaniaires, et il était, somme toute, normal qu'une
représentante de la famille soit présente pendant l'application de la sanction,
quitte même à y participer.
Géraldine ne se fit pas prier. Excitée par
la saveur un peu perverse d'une séance de fessée organisée à l'insu de sa mère,
elle décida d'accepter l'invitation sans lui en parler. Elle se rendrait chez
Bettina le samedi en question, tout à fait par hasard, peu après l'arrivée du
jeune homme.
La semaine passa très vite. Trop vite pour Andrew qui se présenta
chez Bettina le fameux samedi après-midi, à l'heure qu'elle lui
avait indiquée par SMS. Elle lui avait vivement conseillé de venir solidement
culotté, dans un de ces fameux slips à fessées, que les Delaniaires, mère et
fille, lui faisaient maintenant porter à chacune de ses corrections.
Pour une fois prudente, Bettina, soucieuse de discrétion, avait
respecté sa parole de ne pas souffler mot à Margaret du scandaleux comportement
en public de son étudiant au pair. En
échange de quoi, elle allait disposer de ses fesses comme bon lui semblerait.
Pas sûr qu'il gagne au change. La présence de Géraldine apporterait la caution
de la famille Delaniaires et pour lui un surcroît d'humiliation.
Patricia s'était également abstenue de parler de ce qui se tramait
à qui que ce soit, même pas à sa mère. Tout le monde se connaissait plus ou
moins dans le quartier, véritable petite communauté oblique, d'adeptes
inconditionnelles de la fessée. Les rumeurs y allaient bon train, souvent répandues par Bettina, elle-même, qui ne risquait donc pas
d'en subir les conséquences par cette voix. Elle tenait surtout à éviter que
Walter apprenne, par hasard ou pas, que son épouse s'apprêtait à passer une
partie de son samedi après-midi à claquer les fesses d'un
inconnu, à son propre domicile.
– Ah te voilà Andrew ! S'exclama - t-elle, toute souriante,
en le faisant entrer comme si elle accueillait un invité pour prendre le thé.
Tu viens chercher ta fessée. Enfin... tes fessées, parce que je n'ai pas
l'intention de me contenter d'une seule. Ton comportement au pub, avec tes
petits copains anglais, mérite une punition exemplaire... tu le sais?
Elle rit. Et tu vas
très vite te rendre compte à quel point j'adore corriger les jeunes gens mal
élevés, comme toi.
Ça commençait fort , mais il ne fallait pas en attendre autrement
de la pétulante jeune femme qui comptait bien profiter de l'occasion pour se
régaler d'une séance de fessées exemplaire.
Andrew, tête baissée, répondit en français, par un timide :
– Bonjour, Miss... Mad... euuh... Madame Bettina.
– C'est cela... Bonjour... elle commence par le sermonner. Ah, tu
fais moins le malin maintenant ! On n'est plus au pub, à boire des bières
et ficher la pagaille avec ses petits
copains anglais ! Dès qu'on est plus chez soi, on ne respecte plus rien !
– Oooh no, miss... madame Bettina, je... pas irppestec… irrestec... moi, irrespectueux ,
no, no !
– Non, penses-tu ! Tu sais ce qui tu as
fait, et ce qui attend tes fesses... Alors, pas la peine de perdre du temps en
discussion, la fessée c'est ici et maintenant !
– Yes Ma'am...
The spank... Euuh, la fessée...
– La fessée !!... Oui, c'est comme ça qu'on dit en français.
Tu as parfaitement compris .
Elle le saisit par l'oreille, et le conduit d'autorité au salon,
au milieu duquel, trônait, un magnifique tabouret à fessée, à l'assise
recouverte de velours rouge. Elle avait, sans aucun doute, choisi cette
couleur, pour impressionner les punis en leur donnant un aperçu de celle de
leurs fesses après y avoir été corrigés. Y compris les siennes, d'ailleurs,
puisqu'elle aimait autant recevoir que donner.
– Au moins tu es à l'heure, c'est toujours ça ! Dit-elle en s'asseyant sans le
lâcher. Il dû se courber en deux pour suivre le mouvement. Il faut toujours être ponctuel quand on vient
présenter son derrière pour recevoir une fessée.
– Yes Ma'am ...
– Yes Ma'am ! Yes Ma'am ! C'est tout ce que tu sais
dire ! On ne peut pas dire que tu as encore beaucoup de vocabulaire à ta
disposition !
– Yes, Ma'am... Bettina !
– C'est bien ce que je disais, peu de vocabulaire... Par contre,
autant te mettre au courant tout de suite, si ce n'est déjà fait... en ce qui
concerne les retards, je ne connais pas
les règles en vigueur en Angleterre, mais ici, c'est systématiquement :
fessée double tarif. Ça chauffe bien
les fesses et ça incite à respecter l'heure des
rendez-vous.
Andrew
n'en menait pas large. Cela ne faisait pas longtemps qu'il était arrivé, et son
très attractif fessier avait déjà fait la cuisante connaissance avec quelques-unes des plus sévères fesseuses du
quartier. Au point de ne pas avoir
retrouvé sa couleur initiale depuis deux jours. Il faisait donc profil bas et
commençait à se demander s'il n'avait pas été imprudent de mettre son derrière
entre les mains de cette Bettina, en pensant
échapper aux magistrales fessées de Margaret. Il était en si mauvaise
posture, que l'instinct de conservation de son arrière-train lui suggérait d'éviter toute forme de
contestation. C'était le moment de puiser dans les ressources du fameux flegme
britannique, ce qui ne l'empêchait pas de s’inquiéter, quant à la durée de la
correction et de la rigueur des fessées répétitives.
Bettina
retroussa sa jupe, carrément jusqu'à la taille, afin de disposer d'une bonne
liberté de mouvement des hanches et fesser à l'aise. Elle attira Andrew debout
entre ses jambes, déboucla sa ceinture et le fit pivoter sur lui-même, pour apprécier, de plus près, la
partie la plus excitante de son anatomie postérieure qui allait bénéficier de
toute son attention.
– Maintenant,
voyons voir ce qui remplit si bien le fond de ce pantalon. Penche-toi en avant et baisse-le, lentement, en cambrant les reins pour
déployer tes fesses au maximum. J'aime
bien prendre la mesure des derrières que je vais corriger pour décider de
l'ampleur de la fessée à administrer.
Elle
rit encore, pendant qu'il s'exécute en se déculottant comme elle vient de le
lui ordonner. Tout en savourant l'apparition de l'imposant fessier soumis à son
expertise, elle retrousse la manche droite de son chemisier pour bien dégager
la main qui va claquer.
– Eh bien, mon ami, voilà une magnifique paire de fesses qui n'a
pas traîné à se faire une réputation. M'est avis qu'elles vont pleinement
profiter des méthodes disciplinaire en vigueur par ici . Ça promet de belles
fessées qui vont vous laisser des souvenirs impérissables sur le
derrière !
Andrew de moins en moins à l'aise se dandine d'un pied sur l'autre
en retenant à deux mains son pantalon baissé au milieu de ses cuisses. Il garde
les reins cambrés pour présenter du mieux qu'il peut son plantureux fessier,
bien arrondi, sous le regard goguenard
de sa fesseuse.
– Ooooh, please Madame … Noooo, s'il... vous plaît... je suis very désolé...
– Trop tard mon ami, trop tard. Et désolé de quoi ? Voilà ce
que c’est d'être insolent. Cela vous apprendra à vous conduire correctement en public ! Il n’y a rien de tel pour
vous faire comprendre cela ,Monsieur, que de bonnes-fesssssées-dé-cu-lo-ttées
!!!”
Elle le reprend par les cheveux et le couche en travers de ses
cuisses, les jambes en l'air, en appuis sur les mains, la tête au ras du sol.
Instinctivement il bombe le derrière pour en accentuer l'arrondi, comme il a
été habitué à le faire dans cette position.
Elle insiste à
plaisir pour l'impressionner davantage
– Vous avez entendu Andrew, j’adore prononcer ces mots à la suite :
bonnes-fessssées-dé-cu-lottée...ils vont bien ensemble vous ne trouvez
pas ? ... C'est encore mieux en
insistant longuement sur les sifflantes
des 'SSSS'', ça sonne aussi bien à l’oreille que sur les
fessssses !
Fessssssée-déculottée... comme si on entendait déjà le glissement du
slip sur les cuisses et la fessée claquer sur le derrière ...Je suis très
sensible à la sonorité des mots... et encore davantage à celle des claques sur
les fessssses !
Maîtresse du déroulement de la punition, elle savoure l'instant qui prélude au
déclenchement de la fessée. Elle prend tout son temps avant de commencer,
notamment celui de le sermonner pour
bien lui faire comprendre qu'il a mérité sa correction et en justifier la
sévérité. Elle
le tourmente avec jubilation en le rendant témoin des préparatifs de sa propre
fessée. Le pauvre garçon n'a pas fini de regretter le marché de dupe qu'il a
accepté, sans se douter de la personnalité perverse de la jeune femme qui le
tient à sa merci. Elle a plongé d'autorité la main dans son slip et, dans un
surcroît d'humiliation, lui patine les
fesses sous le nylon tout en détaillant, avec cynisme, sa méthode de
correction.
– Voyez
Andrew, explique-t-elle avec un cruel détachement. Pour réussir, de bonnes
fessées... Quand je dis '' bonnes fessées'', vous comprenez ce que je veux
dire... des sévères, bien cuisantes... Vous m'écoutez Andrew ?
– Si ,
oui... yes, madame Bettina … je... écoute !
– Non
Andrew, vous n'écoutez pas !
Elle
lui tire la tête en arrière en le tenant par les cheveux et lui balance une
monumentale claque aux fesses qui les fait rebondir sur ses genoux. Il ne s'y
attendait pas et pousse un petit cri.
– Vous
avez la tête ailleurs on dirait... C'est pour ça que je parle à vos fesses.
Voilà, merci ! Je disais donc Andrew... , pour bien fesser, fort et
longtemps, il faut fesser à l'aise et
n'être gêné par rien. Le derrière bien positionné, stable, manche retroussée,
et une main très ferme pour claquer sec.
Andrew, au bord
des larmes, se sent obligé de répondre... très mal.
– Yes... Euuh, oui ma... madame Bettani... Euh sory... Bettina …
Elle
retire sa main dans un claquement d'élastique et lui tapote maintenant le
derrière à travers le nylon pour en
apprécier la fermeté. Il est presque dur, serré dans son slip à fessée si
moulant qu'il lui colle au derrière comme un deuxième peau. Il en saisit la
protection dérisoire, à l'instant où éclatent les premières claques.
– Après
la théorie, la pratique, annonce Bettina d'un ton professoral... Démonstration
à l'appui avec un petit exercice d'échauffement avant les fessées déculottées.
.
Nouvel
éclat de rire sonore qui accompagne le démarrage en trombe de la première
tournée, à travers un slip, tendu à craquer sur les grosse fesses
rebondissantes . Elles en offrent une surface très ferme et excitante à
claquer. Cerise sur le derrière, le nylon, excellent conducteur de chaleur,
accentue encore l'effet de cuisson.
Andrew
en hoquette déjà de douleur et sent qu'il ne va pas résister longtemps avant de
passer des larmes dégoulinantes, aux lourds sanglots.
– Oh
please...s'il vous plaît ,madame... Ouaaaaaaiiii !i Pas si hard la
spanking... Ouaiii Ouaiiii !!!
– Ah,
c'est bon signe, s'exclame
Bettina, sa main virevoltant d'une fesse à l'autre avec entrain. A vous entendre, on dirait que
ça commence déjà à
bien chauffer, ou alors je ne vous supposais pas si douillet.
– Oauiiiiiiie !! Ouaiiiii !!! Please !
Please !!!
Le
fessier tout entier semble gonfler sous les claques, et emplit le slip qui se
tend à éclater. Sous la force des allers et retours, les élastiques s'enfoncent
progressivement dans la raie. Elle se régale Bettina, à claquer vigoureusement
la belle surface fessière qui s'offre, ferme et compacte, à sa main,
étroitement moulée dans le nylon serré comme une gaine. Et ça claque sec, de
plus en plus fort.
En
anglais comme en français, les cris de douleur et les pleurs se ressemblent
tous, Ceux d'Andrew montaient progressivement dans les aigus au fur et à mesure que ses fesses rougissaient, et
ce n'était que le début .
– Quelle
merveilleuse idée vous avez eu de ramener une pareille paire de fesses par
ici. Fermeté, souplesse, endurance, que
du bonheur, plein la main !
– Oaaaarrrrh !!!
Please , !! Vo claquez fort … Oaiiiie,
my... but !!!
– Bien
sûr jeune homme, une fessée c’est une fessée... cela doit toujours bien claquer, au minimum une bonne demi-heure, en plusieurs fois, pour faire durer le
plaisir...
Avec une paire de fesses comme les vôtres, comment voulez-vous résister. Elles claquent tellement
bien. Des fesses comme ça, c'est fait pour la fessée, je suis certaine qu'on va bien s'entendre, et
qu'on va surtout bien les entendre pendant votre séjour. Elle rit, d'un rire clair,
joyeux, communicatif. Sauf pour Andrew, qui, dans sa position, n'avait pas du
tout envie de rigoler. Mais alors... pas du tout !
Elle avait beau avoir ce côté garce perverse, comme on le
disait, Bettina compensait par une nature généreuse qui ne se départissait
jamais de sa bonne humeur, de sa joie de vivre et... de fesser. Elle trouvait
toujours le moyen de se moquer, d’ironiser, de provoquer, même dans les
situations les plus scabreuses. Andrew n'avait pas le choix et encaissa en
pleurant l’éclat de rire de sa fesseuse en même temps que l'éclat de sa fessée.
Bettina,
désireuse d'obtenir un beau rouge uniformément réparti sur toute la surface
offerte à sa main, s'appliquait à distribuer les claques d'une fesse à l'autre,
avec la même intensité. Le claquement de la fessée était si fort qu'elle
n'avait pas entendu arriver Géraldine, qui, de la porte du salon, savourait le
spectacle, du haut de ses quinze centimètres de talons aiguille. Elle signala
sa présence en s'exclamant d'une vois enjouée.
– Hummmm, ça
sent bon la fessée ici ! Ce sont encore les fesses de notre ami Andrew qui
régalent . Ça chauffe dur on dirait !
Bettina
releva la tête tout en continuant à fesser.
Une fois lancée, elle n'avait jamais de problème pour garder les bonnes
trajectoires de sa main au derrière qu'elle corrigeait, même sans regarder.
Elle fit semblant d'être étonnée pour qu'Andrew ne se doute de rien.
– Ah
c'est vous Géraldine, quelle bonne surprise ! Comme vous faites bien de
nous rendre visite, elle prend un ton ironique. Vous passiez par ici, ou par-là ? Vous avez vu de la
lumière ?
– Pas
ex-ac-te-ment ! Répond Géraldine avec son petit sourire vicieux. Disons
que j'ai entendu claquer une paire de fesses, alors je suis entrée. C'est
l'avantage de fesser les fenêtres ouvertes. Mais ça claque tellement fort que
vous ne m'auriez pas entendu si j'avais sonné.
– Vous
avez bien fait ma chère, on ne va pas se gêner entre nous ! Comme vous le
voyez, Andrew supporte très bien sa petite séance d'échauffement ! Sans compter que vous devez bien les
connaître, maintenant, les fesses de votre protégé.
Géraldine
se retient de rire, le regard gourmand, fixé sur le gros derrière rebondissant
, elle pouffe entre ses mains.
– Pour
ça oui, c'est au moins sa quatrième fessée à laquelle j'assiste, sans compter
celles que je lui ai déjà mises à la maison... avec maman ! Vous pouvez
le dire, on s'en occupe bien de ses fesses !
-- Et
bien Andrew ! Interpelle Bettina,
qui ne perd pas le rythme pour autant et tape toujours aussi fort. La surface
de fesses débordant des élastiques du slip commence à virer à l'écarlate. On ne dit pas
bonjour à son amie Géraldine ?
Le
malheureux se tord le cou par-dessus son épaule, pour gargouiller un
misérable, ''good''... quelque chose , entre '' morning'' et bonsoir. A peine
s'il aperçoit, à travers ses larmes, la frétillante silhouette de la fille
Delaniaires, qui ne présage rien de rassurant pour ses fesses. Il n'a pas tort
d'en redouter la présence, surtout lorsque Bettina lui demande de bien vouloir aller
chercher le tube de Dolpic dans la salle de bain.
– La
deuxième porte au fond à gauche. Vous allez le trouver dans le tiroir du haut
du petit meuble, à côté d'un gros martinet que vous voudrez bien rapporter
aussi. Merci, vous êtes bien aimable.
– Avec
plaisir chère amie, minaude Géraldine en ondulant du derrière. Quand on a une
paire de fesses comme celles-là, sous la main, une bonne fessée déculottée au Dolpic avec
le manche du martinet bien enfoncé dans le derrière, moi je dis qu'il n'y a
rien de mieux !
Sa
courte jupe plissée battant le haut de ses cuisses, elle disparaît dans le
couloir dans un bruyant claquement de talons aiguilles, en écho de celui des
fesses d'Andrew, qui commence à réellement sentir sa douleur sous la main ferme
de la maîtresse de maîtresse de maison.
Lorsque
celle-ci estima lui avoir bien chauffé le postérieur et
suffisamment préparé à la fessée suivante, elle le remit debout, sanglotant
entre ses cuisses, pour le déculotter.
– Attention
Andrew, interdiction formelle de se frotter les fesses ! Avertit-elle, impitoyable, d'un ton plus menaçant que prévenant .
Sinon... c'est retour sur mes genoux et fessée supplémentaire avant la
déculottée !
C'est au moment où, son visage placé à un
niveau qui pouvait sembler équivoque, Bettina saisissait les élastiques du slip
d'Andrew pour le déculotter, que Walter, le mari, fit une entrée inattendue,
car prématurée, dans le salon. Encore une fois, à
cause du formidable claquement de la
fessée et des cris du puni, personne n'avait entendu la porte d'entrée s'ouvrir
et se refermer.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Amis de la poésie et de la fessée promise, Bonjour,
RépondreSupprimerAprès quelques écarts de conduite sur lesquelles Bettina ne veut pas faire de Pub licité, c'est Andrew qui est obligé de venir à l'insu de son plein gré pour recevoir sa correction méritée. Quelle idée de s'enivrer comme un pochtron au premier troquet ouvert... En période de confinement, de surcroit. Bettina a comme mot d'ordre "à nous les petits anglais".
On en apprend de belle sur miss Bettina. Elle ne serait pas contre recevoir quelques claquées pour avoir quelques degrés de plus aux fesses.
Pour Andrew, c'est ce qui s'appelle tomber de Charybde en Scylla voire de Maitresses Bettina en Margaret, ès fessées, ce qui n'est guère mieux.
Le Dolpic va reprendre du service, ce qui promet de belle fesses rouges et brulantes durant un petit moment.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerBelle analyse synthétique.Il y a aussi du talent chez vous.
Eh oui, Bettina est "bi " fessée" Elle aime recevoir autant que de donner. Et pour paraphraser ce que vous dites si à propos, "A elle ( les fesses ) des petits anglais!" Fessée bien ordonnée commence par les fesses des autres.
Géraldine n'est pas en reste et le plaisir de claquer une belle paire , n'a d'égal que celui de se faire rougir les siennes. Mieux que la chandelle, l'avantage de se faire chauffer les jarretelles par les deux bouts!
Quant à Andrew , il n'a pas fini de découvrir que l'Angleterre n'a pas l'exclusivité des meilleures fessées!
Ah ma po'v dame, faut se donner bien du mal pour éduquer ces insolents derrières!
Amicalement
Ramina
Bonjour Elena, bonjour Ramina,
SupprimerJ'avais écrit un commentaire et il est tombé dans l'oubliette...
Ces dames font du chantage , mais c'est pour la bonne cause. Ton épisode m'a inspiré une saynète pour Dimanche prochain. Toujours l'inter-activité. On se croise beaucoup sur cette scène de théâtre.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerJe trouvais ça curieux ... Oui, ça m'est arrivé aussi... Les voix du web sont imprévisibles... Pas tout à fait, pour la suite de ces histoires rocambolesques avec cet aréopage de personnages finalement assez prévisibles, encore que .... On se doute de ce qui va arriver s'en en être certain. Comme la dernière image en bas de page d'une BD qui introduit une interrogation et rend le lecteur impatient de savoir la suite.
Hi, HI ! Quelle va être la réaction de Walter, que va t il donc arriver à Bettina... Andrew va -t-il échapper à sa fessée déculottée ? Oula, la , mon pôv' monsieur! Suspense insoutenable ! Probable, que ça risque de "chauffeeeeer" ... ( comme dirait quelqu'un de mes connaissances)
Au moins je sais que ça t'interpelle, et, ma foi, ça ne me déplaît pas de savoir que ça titille ton inspiration dominicale. je suis toujours curieux de découvrir ta version des faits...sses! (rire) dans le petit théâtre des " Mémoires d'un garnement..."
Amicalement,
Ramina