La baguette que Madame Caroni tenait à la main fut la deuxième chose qu’il retint de ce tableau. Il fut pris d’un accès de panique.
« Non, pas moi ! Je n’ai rien fait ! »
Madame Caroni confia sa badine à Madame Abramov qui était
près d’elle et elle s’avança vers lui. Elle le prit dans ses bras en lui
tapotant doucement les fesses.
« Chut, calme-toi. Que t’arrive-t-il ?
– J’ai eu peur que vous… avec la baguette… comme l’autre…
– Tu as eu peur que je te donne la fessée avec la
badine ? »
Benoît hocha la tête.
« Avais-tu fait quelque chose pour la mériter ?
– Oh non Zia Margherita, j’ai été sage toute la
journée !
– C’est bien ! Alors il n’y a pas de raison que tu aies
la baguette sur les fesses.
– Oui Zia.
– Rentre à la maison et vérifie que tout y est bien rangé.
Tu as sans doute un peu de ménage à faire avant le dîner ?
– Oui Zia. »
Benoît ne semblait pas encore complètement rassuré. Il se
dirigea vers l’ascenseur, appuya sur le bouton pour l’attendre. Constatant
qu’il fallait attendre un peu, il préféra monter par les escaliers.
« Voilà un garçon qui a été impressionné par la vue de
notre petit Paul.
– Il s’est imaginé à sa place.
– Je ne sais pas si ce sont les fesses striées qui l’ont ému
à ce point, ou bien la mise au coin dans le hall.
– Sans doute un peu des deux. Il sait, maintenant, qu’il
peut être puni n’importe où et être mis au piquet dans un lieu public. C’est
une bonne chose. La fessée de l’un contribue à l’éducation des autres. Mes
pupilles en apprendront autant en voyant Paul, qu’en étant fessés
eux-mêmes. »
La conversation aurait pu continuer si Véronique n’avait pas
fait son entrée dans le hall. Elle ne vit pas Madame Caroni tout de suite et
elle avait traversé la moitié du hall quand elle s’arrêta pétrifiée. Elle
venait de découvrir Paul.
Elle comprit tout de suite la situation. Du regard, elle fit
le tour des quatre personnes qui l’entouraient. Elle lut de la fermeté dans le
regard. Dans la main de sa voisine dont elle avait oublié le nom, la badine à
laquelle elle associa les marques sur les fesses de Paul. C’était le moment du
châtiment qu’elle redoutait depuis la veille au soir. Elle n’eut pas même
l’idée de se révolter. Elle se résigna.
« Oh non.
– Croyais-tu que ta petite désobéissance impertinente d’hier
soir allait rester impunie ? »
Véronique baissa la tête. Elle se triturait les doigts d’une
main avec ceux de l’autre. Tout le portrait d’une petite fille attendant sa
punition. Il n’y avait que l’âge de cette future punie qui dénotait.
« Non, Madame. »
La claque sur les fesses partit immédiatement.
« Comment t’ai-je dit que tu devais
m’appeler ? »
Une autre claque pour faire bonne mesure.
« Zia, Zia Margherita, ! Je vous demande pardon.
– Ici, le pardon, c’est après la punition. Madame Abramov,
c’est vous qui avez la baguette, voulez-vous vous charger de la
correction ?
– Bien volontiers. Viens ici Véronique !
– Mais… mais… pas ici… pas maintenant…. »
Véronique jeta un regard suppliant à Madame Caroni. Elle la
suppliait de lui épargner ce qui se préparait : une nouvelle fessée,
donnée en public, par une nouvelle fesseuse. Le regard noir que lui renvoya
Madame Caroni fut éloquent. Véronique porta son attention sur Madame Abramov et
elle marcha vers elle le plus lentement possible.
« Plus vite que ça ! »
Lorena qui était la plus proche d’elle, lui donna une
formidable claque sur les fesses. bien qu’elle fut donnée par-dessus la robe,
Véronique accusa le coup. Elle se retourna vers la jeune fille avec un air
indigné.
« Pour qui de prends-tu, faillit-elle lui
dire ? »
Elle se retint à temps devant les sourcils froncés de Lorena
et face à l’insistance de Madame Abramov.
« Faut-il que j’aille te chercher ? »
Deux pas plus rapides et elle était déjà arrivée. Madame
Abramov passa son bras autour de sa taille et elle la ploya sous son bras, la
plaçant dans la position qu’elle avait expérimentée deux jours auparavant. Elle
savait donc quelle serait la suite. Elle ne fut donc pas étonnée quand elle
sentit que sa robe relevée mettait à jour sa culotte.
« Va-t-elle me la baisser ? »
Elle eut tout juste le temps de formuler cette interrogation
dans laquelle demeurait un tout petit espoir avant de sentir les doigts de
Madame Abramov se saisir de l’élastique de sa culotte et de la sentir glisser
le long de ses cuisses.
« Etant donné que cette grande fille me laisse la
préparer sans discuter pour sa correction, pensez-vous que l’utilisation de la
baguette soit nécessaire ?
– Si vous pensez faire forte impression avec votre main nue,
pourquoi pas. Ce qui importe c’est qu’elle soit punie. Mais je préférerais qu’elle goûte à la badine. Il faut qu’elle comprenne que ce qu’elle a fait, ou
plutôt pas fait, hier soir, est une grosse désobéissance. Où irions-nous si ce
sont mes pupilles qui décident s’ils ont besoin d’une fessée ou pas ? Il
faut qu’elle se souvienne de cette fessée. Quoi de mieux que quelques marques
de la baguette sur les fesses ?
– Je suis d’accord avec vous mais… »
Véronique avait bougé un peu fortement sous le bras de
Madame Abramov. Avait-elle tenté de se relever ? Ce n’était pas certain.
« Tiens–toi tranquille, toi ! Je vais m’occuper de
tes fesses bien assez tôt. »
La claque sur les fesses l’engagea à plus de docilité.
« Je disais donc que je trouve préférable qu’il y ait
une différence avec celle qu’a reçue Paul Ma petite chérie là, dit-elle en
passant sa main sur les fesses de Véronique, a compris que cette fessée était
inévitable. Il a fallu bien plus de temps pour Paul.
– Vous avez raison. Commencez à la main et la baguette
seulement pour finir.
– Ça me semble plus équitable. Peux-tu me tenir la baguette,
Lorena ? »
Madame Abramov ne se trompait pas. Rien qu’avec sa main,
elle pouvait donner une fessée qui faisait impression. Véronique le confirma
dès le début de la correction. Elle accompagnait chaque claque sur ses fesses
par un cri qui résonnait dans tout le hall et devait remonter la cage
d’escalier jusqu’au cinquième. Elle remuait autant que Madame Abramov lui
laissait la liberté de le faire. Son bassin oscillait de droite à gauche et ses
genoux, du côté où venait de tomber la main de sa correctrice, remontaient,
l’un après l’autre.
Madame Abramov ne paraissait pas avoir de difficulté à la
maintenir en place. Les mouvements incontrôlés de Véronique ne constituaient
pas un obstacle à l’administration de la punition. Quand la main de Véronique
se porta en arrière, à quelques centimètres de ses fesses, ce fut l’occasion
d’une pause.
« Nous sommes bien d’accord, ma grande, si ta main vient
m’empêcher de te fesser, tu en seras punie. Est-ce bien compris ?
– Oui Madame, j’ai compris, mais s'il vous plait, plus de
fessée. Je vais obéir.
– Bien sûr que tu vas obéir ! Tu ne comptais tout de
même pas renouveler ton comportement d’hier soir ? Chaque fois que tu
auras mérité une fessée, tu ne feras plus d’histoire pour la recevoir. Je
comprends que sur le moment ce soit désagréable, mais tu verras, cela te sera
profitable.
– Oui Madame, je comprends, mais arrêtez, s'il vous plait,
ça fait mal.
– Je ne pense pas que ce soit fini. Vois-tu il y a encore
quelques endroits qui ne me semblent pas assez rouges.
– Non, non… »
La suite fut perdue dans les cris de Véronique alors que la
fessée reprenait. Véronique ne se rendit pas compte de l’arrivée d’une dame que
personne ne connaissait et qui s’arrêta pour contempler la scène, mais elle ne
marquait pas d’étonnement excessif.
« Pouvez-vous me dire ce qui se passe ? »
Elle s’adressait à Madame Caroni.
« Nous apprenons à cette dame que quand on fait des
bêtises, cela a des conséquences et qu’il est préférable d’accepter sa punition
plutôt que de la fuir. On se fait toujours rattraper.
– Mais comme cela ? Ici ? Devant… tous les gens
qui passent ? »
En trois phrases, Madame Caroni résuma la situation.
« Elle et son fils Paul avaient besoin que la fessée
soit exemplaire. Je pense qu’ils ont compris qu’on ne peut pas refuser les
conséquences de ses actes, grâce à cette fessée. Ici et maintenant, en présence
des dames qui passent. Mais je vous choque peut-être ? Vous trouvez que ce
n’est plus de l’âge de ces deux chenapans ?
– Pas du tout, ne vous méprenez pas. Cette scène que je vois
là, confirme une rumeur que j’avais entendue. La dame qui donne la fessée,
c’est Madame Caroni ?
– Non, c’est Madame Abramov. Madame Caroni, c’est moi.
–Enchantée de vous rencontrer ! Mon fils, Stéphane, et
un copain, Anatole, vont emménager dans l’appartement libre au premier. Ils
sont en colocation pendant leurs études. Je dois avouer que la mère d’Anatole
et moi étions un peu inquiètes de les laisser organiser eux-mêmes leur vie sans
que je puisse les surveiller. C’est la première fois qu’ils vont vivre en
dehors de la maison familiale. Je n’habite pas ici. Plus de deux cents
cinquante kilomètres, ça ne permet pas d’avoir une vision réelle de ce qui peut
se passer dans la tête de ces deux jeunes garçons.
- Vous avez raison. Cela réserve parfois des surprises.
– Nous voudrions éviter les plus mauvaises.
– Cela se comprend.
– Nous ne savions pas comment faire et on m’a parlé de vous.
Vous devez vous occuper du neveu d’une de ses amies, si j’ai bien compris.
– C’est possible.
– On m’a dit que vous accepteriez de garder un œil attentif
sur nos deux garçons.
– Pourquoi pas, mais cela dépend à quelles
conditions. »
Madame Caroni sentit son interlocutrice se crisper.
« Si c’est une question d’argent…
– Ce n’est pas ce à quoi je pensais. Je ne me vois pas être
rémunérée pour jeter un œil, comme vous dites, sur mes voisins. Non, c’est
plutôt une question de périmètre.
– De périmètre ? A quoi pensez-vous ?
– Je n’accepterai pas de surveiller vos deux garçons, que si
j’ai entièrement carte blanche sur tous les aspects de leur éducation.
– Qu’entendez-vous par là ?
– Tous les aspects de contrôle qu’une tutrice doit avoir sur
son pupille, fut-il majeur : son travail, son hygiène, sa vie quotidienne,
sa politesse… tout, absolument tout !
– Cela me paraît raisonnable.
– Vous y avez assisté, vous êtes donc bien consciente qu’il
y aura la fessée quand elle sera méritée, uniquement à ces moments-là, mais
sans aucune discussion possible. Je baisse toujours la culotte pour donner la
fessés et la présence de témoins, comme vous pouvez le constater, Madame Caroni
désignait Véronique qui criait sa souffrance sous le bras de Madame Abramov, ne
m’arrête pas.
– C’est bien parce que votre réputation vous dit à la
hauteur pour corriger nos rejetons que nous avons sauté sur l’opportunité de
louer cet appartement, même s’il est un peu cher.
– Je ne peux rien vous promettre mais je vais envisager la
situation. Nous verrons quand les deux garçons seront arrivés.
– Vous verrez, ils sont attachants, un peu tête en l’air et
persuadés que maintenant qu’ils sont adultes, ils ont le droit de faire ce
qu’ils veulent. C’est cette dernière tendance qui nous inquiète… si loin du
contrôle maternel.
– S’il s’agit de mettre du cadre dans leur vie, ne vous
inquiétez pas, il y aura ce qu’il faut.
– Je compte sur vous. Je vous laisse à vos occupations. J’ai
à faire dans l’appartement. »
Madame Caroni n’y réfléchit pas tout de suite. Ce n’est qu’après
qu’elle se dit que d’être connue si loin était étonnant et qu’elle attirât les
mères pour lui confier la surveillance de leurs jeunes adultes, l’était encore
plus.
Madame Abramov finissait la fessée de Véronique. Une fois
les fesses bien rouges, elle avait redemandé la baguette à Lorena et
l’utilisation de cet instrument avait permis de relancer les cris et les
gesticulations de Véronique. Une vingtaine de belles marques plus sombres
avaient été dessinées sur chaque fesse, tranchant avec le rouge uniforme de
l’épiderme.
« Qu’en pensez-vous, Madame Caroni, serait-ce une
fessée suffisante pour que cette péronnelle s’en rappelle ?
– Si ce n’est pas le cas, nous recommencerons, aussi souvent
que nécessaire. Nous pouvons espérer que cette première fessée suffira pour le
moment.
– Vous avez raison. Au coin, Véronique ! »
L’interpellée se hâta de rejoindre le lieu qui lui était
assigné. Elle n’avait pas pris conscience que sa punition perdurerait tant
qu’elle y serait en pénitence. Pour le moment, tout lui était préférable à une
nouvelle fessée. Il y avait un coin disponible de l’autre côté de l’ascenseur
que celui qu’occupait son fils. Elle s’y plaça comme Madame Caroni le lui avait
montré deux soirs auparavant.
Les quatre femmes contemplèrent leur œuvre. Si les fesses de
Paul avaient un peu perdu de leur rouge vif, on y voyait encore distinctement
les marques laissées par la baguette. Elles s’étaient estompées un peu, mais
elles n’étaient pas prêtes à disparaître.
Véronique faisait encore un peu de bruit quand un sanglot
débordait de sa poitrine. Il est patent qu’elle faisait tous les efforts
nécessaires pour que ce soit silencieux, mais elle n’y arrivait pas tout à
fait. Cela se traduisait par un petit hoquet qu’elle étouffait à peine sorti de
sa gorge.
« Je lui laisse une minute, pensa Madame Caroni, et je
pense qu’elle va se faire oublier dans son coin, comme Paul. »
Elle se tourna vers ses compagnes.
« Je vous remercie de m’avoir prêté la main. Ces deux
garnements avaient besoin de sentir combien leur attitude rencontrait une large
désapprobation. Madame Abramov, vous avez un sacré coup de main pour donner la
fessée. Je pense que Véronique s’en souviendra.
– Ce n’est pas si difficile. En matière de fessée, c’est la
nécessité qui fait la fonction. Il faut apprendre vite. Je n’avais pas beaucoup
d’expérience, mas je vous ai vu officier à quelques reprises, Madame Caroni.
Vous êtes une excellente professeure.
– Si vous le souhaitez, vous pourriez acquérir rapidement de
l’expérience. Que diriez-vous d’exercer un tutorat conjoint sur ces
deux-là ?
– Que voulez-vous dire ?
– Comme moi, vous seriez chargée de surveiller le
comportement de ces deux chenapans et de sévir quand ils en ont besoin.
– Je ne sais pas si je saurai faire.
– Au vu de ce que j’ai vu ce soir, il n’y aura aucun souci.
Si vous avez un doute, nous pourrons toujours en discuter.
– Alors essayons ! Nous en tirerons les enseignements
dans quelques jours.
– Cela me semble parfait. Merci à toi aussi, Lorena.
– C’est toujours un plaisir de rendre ce genre de service,
répondit la jeune fille.
– Et vous Virginie, qu’en avez-vous pensé ? »
Virginie habitait avec son mari au quatrième étage. Depuis
une rencontre fortuite dans le hall, alors qu’elle fessait Béatrice, Madame
Caroni et elle avaient sympathisé. C’était spontanément qu’elle avait proposé
son aide quand Madame Caroni lui avait expliqué ce qu’elle préparait dans le
hall.
« J’avais besoin de voir, pour de vrai, ce que donnait
une fessée. Je suis impressionnée par la transformation qu’une simple fessée a
provoqué chez ces deux personnes. Croyez-vous qu’ils défieront de nouveau votre
autorité ?
– Ils doivent avoir à peu près compris que cela ne les mènera
nulle part. Défier, peut-être pas. Ils savent que la prochaine fois, la fessée
sera encore pire. Par contre, je suis certaine qu’ils chercheront à contourner
les règles, qu’ils désobéiront… c’est le lot de toute tutrice de devoir, sans
cesse, remettre l’ouvrage sur le métier. Le travail n’est jamais complètement
fini.
– Cela m’intéresse au plus haut point. J’envisage de passer
à la fessée pour discipliner Nicolas, mon mari. Cette démonstration in vivo m’a
conforté dans ma résolution. Il a besoin de comprendre que son attitude ne peut
plus durer et j’ai beau le gronder, cela n’a que peu d’effet sur le moment et pas
du tout à long terme. Avec une bonne fessée, j’espère faire impression plus
longuement.
– Vous avez des ennuis avec votre mari ?
– Ne m’en parlez pas ! En toutes choses, c’est un
dilettante ! Tenez, il vient de perdre son travail la semaine dernière
simplement parce qu’il y arrivait systématiquement en retard. Il oubliait de
partir à l’heure de la maison, alors que je fais en sorte qu’il soit debout et
prêt à partir bien avant l’heure. Si vous saviez comme il est tête en
l’air !
– Oui, en effet, c’est problématique.
– Quand je vous ai vue, la semaine dernière, fesser votre
voisine dans le hall, cela m’a donné des idées. Je me suis dit : et si c’était
la bonne méthode avec Nicolas ? D’avoir assisté à la correction que vous
avez administrée l’a fortement marqué et quand, il y a trois jours, je l’ai
menacé d’une correction, il m’a regardé, cherchant à savoir si j’étais
sérieuse. Je crois qu’il est temps que je passe à l’acte. Je ne peux pas me
contenter de menacer. Il faut que je sois crédible.
– N’hésitez pas ! Corrigez-le à la première
occasion ! Je peux vous assurer que cela lui fera le plus grand bien. Il
sera d’autant plus facile pour lui de repérer quand il se comporte de façon
inadmissible. Vous lui rendrez service et vous diminuerez la frustration que
vous éprouvez face à ses comportements puérils. Vous serez ainsi certaine qu’il
en comprendra qu’ils ne sont pas acceptables. Les fessées seront, pour lui, des
repères clairs.
– Je vous remercie de me conforter dans ma décision et de m’aider
à comprendre comment je vais aider mon mari à devenir un peu plus responsable.
– Si vous avez besoin d’aide pour passer à l’acte… »
Madame Caroni montra ses deux pupilles sagement positionnés
au coin.
« … c’est à charge de revanche.
– Je ne m’attends pas à rencontrer de difficulté quand je
donnerai sa première fessée à Nicolas. J’ai une certaine ascendance sur lui. Il
est inquiet sur ce qui va lui arriver, mais il ne s’y opposera pas. Je parierai
même qu’il en sera soulagé. De toute façon j’aurai la réponse dans la journée. »
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 52
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y aura une suite, bien sûr !
mais il faut attendre un peu. Combien de temps ? Une semaine devrait suffire.
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
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