QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
QUAND MARGARET REMET LES PENDULES A L'HEURE.
Géraldine ne s'était pas trompée. Margaret les attendait
dans le salon, déterminée à régler cette histoire, selon sa méthode habituelle.
Cela faisait un petit moment qu'elle n'avait pas flanqué de fessées à sa fille,
c'était l'occasion idéale de la reprendre en main.
Walter l'avait mise au courant, par téléphone, du
comportement scandaleux d'Andrew et de ses amis Anglais, au pair, eux aussi,
dans des familles françaises. Bettina l'avait surpris, en plein après-midi, en sortie de Pub, dans un état que la morale réprouve
ainsi que les ligues antialcooliques. Elle avait
profité de l'aubaine pour le corriger elle-même, avec la complicité de Géraldine, qui, pour l'occasion,
s'était dispensée d'en informer sa mère.
Pour être
complet, Walter avait précisé qu'il avait déjà corrigé Bettina, mais qu'elle en
méritait bien davantage pour avoir comploté dans son dos.
– « Bien entendu, je n'ai pas de conseil à vous donner, avait-il ajouté prudemment.
Mais je pense que votre lascar d'étudiant et votre fille méritent aussi
tous les deux, une punition exemplaire. Pas tous les deux pour les mêmes
raisons, si j'ai bien compris, mais avec les même effets.
– Mais Walter, vous n'imaginiez tout de même pas que
j'allais laisser passer ça ! Ici
comme ailleurs, ça marche à la fessée, vous le savez bien !
– Oui Margaret, bien sûr ! »
Walter était un honnête homme. Il tenait à ce que les
choses soient claires et les sanctions justifiées. Il expliqua qu'Il était
rentré plus tôt que prévu et avait surpris les deux femmes en pleine action.
– « Apparemment,
Géraldine n'a pas directement participé. Mais vous connaissez votre
fille mieux que moi. Elle ne se serait pas gênée, pour flanquer, elle aussi,
une raclée à Andrew si elle en avait eu
le temps.
– Je ne vous le fais pas dire Walter, et merci de m'en
avoir informé, avait simplement répondu
Margaret . Vous me dites qu'ils sont partis depuis trois quart d'heure. Je me
demande bien ce qu'ils fabriquent, ils ne sont pas encore arrivés et vous
habitez de l'autre côté de la maison. »
Arnold, son mari, était en réunion de conseil
d'administration. Elle était seule avec son fils Sébastien, étudiant, en première année
d'école de commerce, comme Rodolphe, et Gérôme. Robin était dans le même
établissement mais sur une autre
filière. On ne peut pas dire que les performances scolaires des trois
zigotos étaient brillantes. Gérôme en était aux cours particuliers d'anglais
avec Patricia et de français avec sa sœur Anna, prof en fac de lettre. Quant à
Rodolphe il désespérait, Clarisse, sa mère par une désinvolture chronique vis à
vis des études. Sébastien venait de rentrer pour le Week-End avec un bilan de
semaine à côté duquel la catastrophe de Tchernobyl était un non-événement.
Margaret, s'était servi un verre de l'excellent pur malt
qu' Andrew avait offert en cadeau d'arrivée. Il en restait encore, malgré la
claque que lui avaient mise Gladys et Patricia lors de la magistrale séance de fessées du Dimanche
précédent, pour fêter l'arrivée du jeune homme au pair. Elle le dégustait
tranquillement dans le canapé, en feuilletant, distraitement, le dernier
catalogue d'instruments de discipline de la maison Delaniaires. A chaque petite gorgée, les glaçons tintaient
dans le verre en même temps que les anneaux de son bracelet de poignet. Un son,
clair et joyeux, qu'elle entendait avec plaisir, mais pas autant tout de même,
que celui du claquement de sa main sur une paire de fesses déculottées. Niveau
sensations, il n'y avait rien de comparable.
Elle sirotait son
Whisky et levait de temps en temps les yeux du catalogue pour contempler le
gros derrière enluminé de son fils qu'elle venait de corriger. Vingt et un ans,
et pas plus mature que les Gérôme, Rodolphe, Robin, du même âge, plus assidu
à '' l'Olympic'' aux fléchettes et
au babyfoot, que sur les
bancs de l'Institut. Il était en pénitence sur le tabouret à fessées, bien en
vue, au milieu du salon. Margaret l'avait fait asseoir sur les cuisses, le slip
baissé, les fesses dans le vide, entièrement débordantes de l'assise, ce qui en
développait encore les proéminentes rondeurs. La fessée avait été très
cuisante, à la hauteur de la tricherie. Il avait signé à la place de sa mère,
un contrôle qu'il devait lui montrer, noté zéro. Il avait bêtement copié sur
Rodolphe, aussi nul que lui, lequel avait récolté un trois sur vingt. Dans le genre association de mal-fauteurs,
difficile de mieux faire pire...
– « Alors mon chéri, ça cuit ? Dit Margaret en
reposant son verre sur la table basse.
Elle était bonne ta fessée non et méritée ? Ça valait bien ton zéro
de contrôle. Et ma main... tu l'as bien sentie ma main, claquer sur tes
fesses ! »
Sébastien se
retourne, le visage en larme, et sanglote par-dessus son épaule.
– « Oh oui... maman, oui... je... je l'ai bien sentie, ta main... la
fessée ! Mais c'est vrai...Je... je l'ai méritée
– J'espère bien !
Elle reprend une petite gorgée de Whisky. Et pourquoi tu l'as méritée ta fessée ?
– Parce que j'ai triché maman, et... et que j'ai imité ta signature …
– Et bien, j'espère que cela va te servir de leçon. Tu
vas rester là, sans bouger, jusqu'à ce
que ta sœur arrive … avec Andrew.
– Oui maman...
– Mais qu'est-ce qu'elle fabrique d'ailleurs ? Toujours à n'en
faire qu'à sa tête. Après ce qui s'est passé cet après-midi. Elle va me payer ça, la petite garce ! »
Margaret que la correction, pourtant sévère, administrée
à son fils n'avait pas calmée, sentait monter une colère sourde, qu'elle se
réservait de laisser éclater lors des corrections à venir. Elle a un retard de
fessées à rattraper, notamment sur Géraldine qui a pris de l'avance
impunément.
Il y avait des règles à respecter dans l'exercice de
l'autorité. Bien sûr, elle trouvait normal de sanctionner systématiquement les
écarts de comportement et flanquer une bonne fessée à qui le méritait, c'était
dans l'ADN de la famille. Mais quand
Andrew devait être puni, c'était d'abord à elle de le corriger. Il était
placé sous sa responsabilité. Bettina n'avait pas à en prendre l'initiative et
encore moins Géraldine qui aurait dû lui en parler avant de s'en rendre
complice. Elle allait avoir une petite
discussion avec ses fesses pour lui rappeler qui avait le pouvoir de décision dans cette famille.
Et ça n'allait pas tarder. La porte de l'entrée s'ouvre
brusquement. Andrew, trébuchant, tenant toujours son pantalon baissé, fait, le
premier, irruption dans le salon, poussé par Géraldine.
– « Voici notre héros du jour, claironne-t-elle
en le propulsant vers sa mère d'une claque retentissante sur les fesses.
Monsieur s'est déjà distingué au Pub avec ses petits camarades
anglais !
– Oui, je suis au courant... et c'est
pour ça que tu arrives à cette heure-là ?
Elle désigne Andrew d'un geste du menton. Et lui, qu'est-ce qu'il fait à se balader le
pantalon baissé ? »
Géraldine sait qu'elle est en défaut et
que sa mère a appris ce qui s'est passé chez Bettina. Innocente comme le gigot
d'agneau avant de passer au barbecue, elle feint l'étonnement et reste vague,
en évitant de rentrer dans les détails.
– « Ben maman, tu le vois bien, il
a été puni... et j'ai pensé que la leçon serait plus efficace, en le
ramenant comme ça à la maison. »
Margaret a un petit sourire
narquois ;
– « Tu dis, ''Il a été puni''...
mais puni par qui ? »
Géraldine, ne se démonte pas et continue
avec aplomb .
– « Et bien par Bettina !
C'est elle qui l'a surpris devant le Pub et qui a décidé de le corriger elle-même
! Tu la connais Bettina elle ne rate pas une occ...-
– Et toi tu n'as rien à voir là-dedans ?
– Je te jure maman !! J'ai récupéré
Andrew quand il sortait de chez elle. »
Elle n'évoque même pas sa rencontre avec
madame Baufaissier et la fessée qu'elle a administrée à son mari. Margaret
change de ton.
– Et bien tu ne manques pas de culot ma
petite ! Walter t’a surprise, chez
lui, un tube de Dolpic et un martinet entre les mains, Andrew sur les
genoux de Bettina, pour ce qui avait l'air d'une deuxième fessée. Non seulement tu ne l'en as pas dissuadée,
mais tu l'as encouragée. Et je suis sûre
que si son mari n'était pas arrivé à l'improviste, tu lui en aurais flanqué une
à ton tour, et ce, sans mon autorisation ! Car c'est à moi que revient la
responsabilité de corriger Andrew quand il le mérite. Quant à ta copine
Bettina, elle s'est mêlée de ce qui ne la regardait pas. Tu comprends
ça ? ».
Géraldine se sent un peu coincée. Elle
se mord les lèvres en cherchant une
réponse, lorsqu'elle aperçoit les fesses rouges de son frère en pénitence sur
le tabouret à fessées. Captée par la conversation avec sa mère, elle n'y avait
pas encore prêté attention.
– « Et mais dis donc, on dirait que tu en as encore
mis une bonne à Sébastien. Tu lui as sacrément bien rougi les fesses ! Qu'est-ce qu'il a encore fait...ou pas fait
?
– N'essaye pas de changer de sujet ! Ça ne prend pas
ma petite ! On a décidé, Walter et moi, que vous aviez mérité une bonne
leçon. Chacune sa fessée à la maison et une deuxième séance toutes les deux en
même temps, chez eux. »
Géraldine, que la
mauvaise foi n'étouffe pas, proteste vigoureusement en tapant du talon
aiguille sur le sol.
– « Mais maman, toi tu as bien fessé Sébastien, alors
que tu m'as toujours dit que, maintenant, c'est moi qui m'en chargerais.
– Oui, mais ne t'en déplaise, c'est moi qui prends les décisions . Et je te signale
que tu n'étais pas là pour t'occuper de ses fesses ! Maintenant, ta copine
et toi vous allez regretter vos petites combines. Et toi, en plus, tes
mensonges répétés ! Vous allez vous en souvenir crois moi ! »
Géraldine se dit qu'il était inutile d'insister et
préparait mentalement ses fesses. La perspective de recevoir une fessée ne
l'impressionnait pas plus que ça. Elle était habituée, depuis longtemps, à
sentir la main de sa mère claquer sur ses fesses et, un peu comme Bettina, elle éprouvait de voluptueuses
sensations à se faire sévèrement chauffer l’arrière-train. Les cuisantes déculottées de sa
vicieuse Tante Astrid, avec gingembre ou manche de martinet enfoncé dans le
derrière, lui avait fait découvrir une palette d'émotions fortes encore plus
riche. La perspective d'une bonne séance de fessées n'était pas pour lui
déplaire et il fallait des circonstances vraiment particulières pour lui
impressionner le derrière . Elle n'en était pas loin, avec l'annonce d'une
fessée commune avec Bettina, chez elle. Ça sentait la grosse raclée.
Ses craintes furent immédiatement confirmées par la colère,
jusque-là
contenue, avec laquelle Margaret haussa soudain le ton.
– « Il va falloir aussi, Géraldine, que tu perdes
l'habitude de contester sans arrêt. Tu
ne fais qu'aggraver ton cas. Amène-moi plutôt tes fesses ! Règle numéro
un : C'est maman qui décide des fessées à administrer ! »
Sébastien, qui ne perd pas une miette de la conversation, s'est
retourné et, par-dessus son épaule, lance un regard vengeur vers sa sœur. Andrew planté au milieu de la pièce n'ose pas
bouger et attend qu'on lui dise quoi faire. Il a bien compris que ce n'était
pas le moment de la ramener, en plein règlement de compte entre la mère et la
fille.
En moins de temps qu’il ne faut pour le réaliser, Géraldine se
retrouva, à plat ventre sur les genoux de sa mère, déculottée en un tour de
main, le derrière en l’air, bien arrondi. Loin de se montrer
récalcitrante, elle présenta spontanément
son postérieur dans la “bonne position” requise pour une fessée. Les seins plantureux à moitié échappés du
chemisier, les jambes gainées de nylon, prêtes à battre l’air en envoyant
valser les talons aiguille et le slip tendu en travers des cuisses, à
mi-chemin entre les fesses et les genoux.
Ô temps suspend ton vol, Margaret suspend celui de sa main, levée au-dessus du fessier à corriger, et interpelle Andrew qui ne sait toujours
pas s'il peut se reculotter ou non.
– « Et bien mon ami, qu'est-ce que vous faites planté là ? Je ne vais pas vous faire le
cadeau d'assister à la punition de ma fille. Montez dans votre chambre, en
attendant votre tour ! Aller en vitesse!
– Yes Ma'am ! Yes ! »
Il ne se fait pas prier et grimpe l'escalier en retenant son
pantalon à deux mains.
– « Quant à toi Sébastien, tourne-toi et regarde bien la fessée que je vais administrer à ta sœur.
Juste un avant-goût de ce qui pourrait à nouveau tomber sur les tiennes ! »
Géraldine, s'est installée confortablement sur les genoux de sa
mère, comme on s'allonge sur un canapé pour lire, lui offrant complaisamment sa magnifique paire de fesses déculottée, bien
rondes, encore blanches un peu rosées, que plus rien ne dissimulait aux
regards. Provocante, elle expose sa
croupe volumineuse sans aucune pudeur et sans protestation afin d’être
corrigée le plus efficacement possible ...
C’était la première fois que Sébastien, sollicité par sa mère,
pouvait profiter pleinement de ce spectacle qui le réjouissait sans la moindre
nuance de compassion. C'était pour lui comme une petite revanche, par rapport à
toutes les terribles fessées que sa sœur lui infligeait régulièrement, d'assister à celle qu'elle allait
recevoir. Il éprouvait un plaisir
décomplexé à épier le moindre frémissement de la belle peau lisse, la moindre
contraction des globes fessiers ou de la raie offerte indécemment aux regards.
Le derrière déculotté, en attente de la fessée imminente, semblait déjà
anticiper les claques qui allaient lui tomber dessus !
Margaret
en accentua l'arrondi en faisant pression sur les reins et commença l’administration de la fessée …Elle avait dû concentrer son énergie et
son désir de corriger sa fille depuis l'arrivée de celle-ci, car les claques
s’abattirent aussitôt avec force et un bruit retentissant qui emplit la pièce.
Tout en fessant avec ardeur elle la sermonne.
– « Alors tu la sens bien ta fessée ?
Elle te les chauffe bien tes grosses fesses ? tu vas t’en souvenir de
cette déculottée je te le garantis ! Je vais t'apprendre à me désobéir
moi, petite prétentieuse ! »
Géraldine se contente de serrer les dents, en
tendant son derrière dans une attitude provocante, comme pour défier sa mère en
lui montrant qu'elle pouvait supporter sa fessée sans broncher, du moins pour
l'instant. Le souffle court, les mains plaquées au sol, elle tortille du
derrière en rythme, comme pour accompagner la tombée régulière des claques. Peu
à peu, les sanglots et les plaintes, commencent d'ailleurs à se faire entendre
témoignant de la sévérité de la correction et aussi de l'expression du plaisir
et de la douleur mêlés de Géraldine, friande de sensations fortes. De ce côté-là elle est plutôt bien
servie.
Le spectacle fascinait tant Sébastien qu'il en
oubliait même que sa mère lui avait annoncé une deuxième fessée. Il
n’éprouvait aucune gêne et encore moins
de complaisance à voir cette magistrale fessée s’abattre sur la croupe écarlate
de sa sœur qui se trémoussait follement. Il se régalait plutôt, à la voir recevoir à son tour une fessée magistrale
qui en quelque sorte la remettait au même niveau que lui. Elle l’encaissait par
contre dans une attitude de défi, et il était clair qu’elle savait, en la
circonstance, montrer davantage de courage ou de fierté que lui-même ou les Rodolphe, Gérôme ou Robin dans la même situation. Elle
avait droit, comme eux, à une bonne fessée , bien sévère , bien appliquée sur
son volumineux fessier déculotté, mais cela ne semblait pas lui faire le même
effet qu’à n’importe lequel d’entre eux.
Les petits gémissements qu'elle émettait ne ressemblaient pas tout à
fait à ceux qu'on pousse d'habitude quand on reçoit une grosse fessée. Il n'en
percevait pas encore bien la raison et ne cherchait pas trop à comprendre. Géraldine était pour lui, et
avant tout, une menace permanente pour ses fesses, depuis que sa mère lui avait confié la responsabilité de ses
punitions. Et c'est fou comme elle
s'en sentait responsable. Pour le moment c'est sur ses fesses que ça se
passait.
Margaret fessait avec une
diabolique précision, claquant tour à tour chaque fesse avec
force, bien en rythme, pour accentuer les trépidations du derrière, ou
insistant longuement sur une fesse, puis sur l'autre, rendant la fessée encore
plus douloureuse. Géraldine commençait à en sentir la cuisson s'intensifier, au-delà de ce qui lui procurait
d'émouvantes sensations et lui aurait fait mouiller sa petite culotte si elle
avait encore eu les fesses dedans.
Margaret, connaissait très bien les réactions de sa fille.
– « Alors, ça commence à
chauffer dur? On fait moins la fière maintenant, n'est-ce pas mademoiselle '' la
fessée, même pas peur '' Ce
n'est pas la même chanson quand c'est
maman qui fesse !
Géraldine, pourtant en mauvaise posture,
continue de répondre pour ne pas laisser le dernier mot à sa mère.
– Oh, mais... Aaaaaaîe ! tante Astrid aussi... Ouuuille !! elle fesse bien … elle aussi tape
fort ! »
Elle
serre rageusement les fesses pour les rendre plus dures sous l'avalanche de
claques que Margaret lui expédie sur le derrière à toute volée. Elle l'a
reculottée et l'a fait changer de position pour l'avoir à genoux sur le sol
entre ses jambes, la tête passée sous sa cuisse, le derrière épanoui, mieux
exposé à sa main.
– Comme ça tu seras moins tentée de durcir ton
derrière ! Et de tout façon, ce
n'est pas ça qui va m'empêcher de te le corriger comme je veux. Je peux taper
encore plus fort tu sais ! Parce que je vais te les dresser moi tes grosse
fesses d'insolente ! Ça va
t'apprendre à désobéir et à mentir !
Géraldine n'a plus du tout envie de résister.
Elle prend un ton doucereux pour faire acte de contrition et faire semblant de
se soumettre pour abréger sa correction.
– « Pardon maman, pardon ... je ne désobéirai plus
jamais, dit-elle sur un ton pathétique, des
sanglots forcés dans la voix. Tu m’as bien corrigée, j’ai reçu une bonne fessée
, j’ai bien compris la leçon … »
Margaret semblait décidée à rester inflexible.
– « Tiens donc, on dirait soudain que ta
raclée te fait du bien. Mais je te connais par cœur ma petite. Des promesses,
toujours des promesses... pour protéger tes fesses !
Encore une dizaine d'allers et retours
tonitruants et elle la libère de l'étreinte de sa cuisse. Elle en ressort le
visage pas loin de la rougeur éclatante de son postérieur en feu, et se relève,
l'esquisse d'un petit sourire narquois sur les lèvres. Du genre ''même pas mal,
mais quand même'' !
– « Oh la, la, maman, tu m'as mis une
sacrée fessée ! Dit-elle en se frottant le derrière
à travers son slip qui ne l'a pas vraiment protégé des claques. Au début,
c'était bien, mais après t'as tapé vraiment fort... ça me cuit jusqu'au fond de
la raie !
– Peut-être pas assez finalement ,
répond Margaret pas dupe. C'est plus fort que toi, hein, il faut toujours que
tu fasses ta maline. Ta prochaine fessée sera encore meilleure, avec le manche
de ton martinet dans le derrière !
– Rôôôôh, maman...Pas celui avec le gros
manche, quand même !
– Je ne te demanderai pas ton avis ma petite.
Maintenant va me chercher Andrew j'ai aussi un compte un régler avec lui.
»
Elle réfléchit quelques secondes avant de
changer d'avis.
– « Et puis non, je m'occuperai de lui
demain. J'aurai plus de temps à consacrer à ses fesses. Je préfère que tu gères
ton frère. »
Elle se tourne vers Sébastien, impressionné par
la formidable fessée que sa sœur vient de recevoir, sans plus broncher que ça.
Elle s'est déjà reculottée, bien serré et a plutôt l'air de savourer l'effet de
cuisson qui lui réjouit l'entre cuisses.
– « Toi,
monte dans ta chambre, et refais-moi le contrôle qui t'a valu un
zéro ! Et gare à tes fesses si c'est mal fait. C'est Géraldine qui s'en
chargera. Et tu connais ta sœur, elle a la main lourde, surtout dans l'état
d'excitation où elle est après une déculottée.»
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 16 La suite, c'est très bientôt.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"Association de "mal-fauteurs" (excellent).
"En ce jour Mardi 23 mars de l'An de grâce 2021, après réunion du conseil de famille et après 10 minutes de délibération maternelle, la sentence est prononcée. Exécutable immédiatement. La fautive sera punie de la grosse fessée maternelle administrée sur la partie la plus honteuse de son anatomie de la main de sa mère Margaret Elizabeth Martine Het épouse Delaniaires."
La fessée est toujours une affaire de famille. Non ?
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée maltaise... bonjour,
RépondreSupprimerHello Ramina.
Cette fois, c'est règlement de compte à OK coral. Margaret dégaine son martinet en buvant son whisky et fesse plus vite que son ombre. Une vraie lucky fesseuse... Son surnom est connu dans tout l'Ouest, c'est Calamity Margaret, voire la dixième plaie d'Egypte, j'hésite encore entre les 2.
Dans la famille fesseuse, après la mère, je veux la soeur... Les garçons ont intérêt à se tenir à carreaux, car le martinet va encore être de sortie... Et bien enfoncé, telle une banderille sur le dos d'un taureau. Olé !
Amitiés.
Elena.
Sébastien et Géraldine sont les victimes de Lucky Ma'am !
Bonjours Elena,Peter, et les autres... Il doit bien y en avoir.
RépondreSupprimerAh mes amis, comment l'esprit vient aux fidèles lecteurs!!
Merci, pour ce festival de références, jeux de mots et commentaires aussi savants que drôlatiques, genre Western disciplinaire, voire biblique avec la dixième plaie d'Egypte pour fessée pyramidale!
Règlement de compte à "OK Coral" , " Lucky Ma'am" certes, mais aussi "Lucky Stricte"... ( D'accord un peu fumeux le jeu de mot! )
La fessée "une affaire de famille" (Eric Klapisch), comme dit Peter, sauf qu'en matière de fessier je dirais plutôt la partie la plus "glorieuse" de l'anatomie! Surtout quand il s'agit des fesses de Géraldine!(rire)
Et comme une fessée n'arrive jamais seule, telle la banderille sur le dos du taureau, chère à Elena, il est probable que le manche d'un martinet, habilement manié, devrait retrouver une place de choix, planté au centre d'un beau derrière en cours de cuisson! Le rouge et le noir!
Amicalement
Ramina
-- Euuh, j'ai pas compris le coup de la fessée Maltaise (?) ELisabeth Martine Het... non plus... ça doit être la Covid!
Ah le COVID, quand tu nous tiens...
SupprimerEn référence au whisky pure malt ! Et dans l'univers du western, le pure malt y tient une place de choix. Un petit verre de whisky et on dégaine le 6 coups, voire le six lanières...
Amitiés.
Elena.
Hello Ramina,
RépondreSupprimerFameux (ou fumeux, Rires) le jeu de mot : Martine-Het = Martinet !
La fessée Maltaise ? Fessée insulaire (comme le "Perfide Albionais")?ou encore : fessée teintée du breuvage des Pictes : le Pur Malt ?
5merci pour la référence cinéma ! )
Amicalement . Peter.