A la fin de leur petite tournée française, la troupe du CRAZY HORSE se met en pause, car les grands théâtres et salles étant fermés, les représentations ne peuvent plus avoir lieu. La troupe est allée en province présenter son spectacle : « Le charme ne s’éteint jamais ». Il faut dire que les gens ne se sont pas pressés pour remplir les salles et la tournée a été décevante par rapport à l’intérêt de la revue. Le COVID et les mesures sanitaires y sont pour beaucoup. Andrée D., la directrice générale de cette partie du groupe est déçue des fréquentations, à peine quarante pour cent du potentiel des salles louées.
Pour
Alyson, la fin de la représentation a un goût d’angoisse, car elle sait qu’une
fessée l’attend, en raison de sa participation à une fête clandestine dans ma
ville, il y a quelques semaines. Svetlana K., la directrice de scène, le lui
rappelle assez souvent afin qu’Alyson fasse plus d’efforts durant les
entrainements en la menaçant de la faire fesser dehors devant qui souhaiterait
la voir se dandiner, entièrement nue. A l’écoute de ces menaces, toute rouge de
honte, Alyson donne tout ce qu’elle a pour redorer son blason devant son
exigeante directrice et le bluff de Svetlana K. fonctionne à merveille.
Etant
dans l’Est de la France, Svetlana K. et Sophie E. ramènent Alyson dans ma
ville, où ses parents l’attendent. Le jour même de son arrivée, Séverine K., la
maman d’Alyson, prend rendez-vous avec le juge pour lui stipuler que sa fille
est de retour pour l’application de sa peine, soit trente coups de
martinet sur les fesses et sur les cuisses nues.
« Bonjour Madame la
juge. Ici Madame K., la maman d’Alyson K. Ma fille a été condamnée à recevoir
trente coup de martinet pour sa participation à une fête clandestine, en
revenant de sa tournée avec sa troupe et elle est ici, chez nous »
« Oui, bonjour Madame
K. En effet, j’ai le dossier de votre fille en attente sur mon bureau. Merci de
votre appel. C’est bien que vous me téléphoniez, car je m’apprêtais à vous
contacter pour prendre quelques nouvelles »
« Nous nous trouvons
à votre disposition pour faire fesser notre fille »
« Nous allons la
laisser souffler quelques jours et je vous envoie par mail une convocation à la
gendarmerie de la ville pour l’application de la correction. Vous et votre mari
pourrez assister à la fessée. C’est toujours plus humiliant pour une punie de
se voir fesser devant sa famille. Selon l’ordonnance de l’article de loi numéro
1995-1278, la correction sera filmée, avant, pendant et après et vous pourrez
lui montrer le film pour lui faire prendre conscience de ses fautes qu’elle ne
doit plus commettre. Je vous engage même à envoyer le film aux membres de votre
famille pour bien lui faire honte. Après ça, les jeunes sont, en général, très dociles
»
« D’accord, Madame le
juge. Pourrons-nous inviter des gens lors de la fessée ? »
« Tout à fait, ça
n’en sera que mieux. Les punis, voyant du monde les regarder durant leur fessée,
ressentent une extrême humiliation et font tout pour se racheter après.
Communiquez-moi les noms des personnes à inviter, les spectateurs recevront des
invitations nominatives. De toute façon, toute la caserne de gendarmerie sera
invitée, il y aura au moins une cinquantaine de personne. Plus il y a de monde,
mieux c’est. On verra comment elle se comporte lorsqu’elle sera nue devant tout
le monde »
« Vous savez, ma
fille a l’habitude d’être nue sur scène... »
« En effet, mais ce
n’est pas la même nudité. Sur scène, les danseuses sont maquillées et à peine
reconnaissables, tandis que lors de sa correction, elle sera sans fard et
totalement exposée »
conclu le juge.
Suite
à cet entretien téléphonique qu’Alyson a écouté, le juge et Séverine K.
s’accordent pour une date.
« Bon, voilà, le
rendez-vous est pris, Alyson. J’espère que ça te fera murir un peu ! »
« Oui, Maman, je te
promets d’être plus mature »
« Ton père et moi
t’aimons, mais quelques fois, tu dépasses les bornes et cette fessée, tu l’as
méritée et ce n’est pas de gaité de cœur que nous te regarderons souffrir, mais
ce sera bénéfique pour l’avenir, afin que tu deviennes une adulte responsable.
Même du haut de tes dix-huit ans, tu te comportes comme petite fille »
« Maman, et si je
promettais au juge de bien me conduire, tu crois que je pourrais échapper à
cette fessée ? »
« Il n’en est pas
question, Alyson ! Tu as fauté, tu dois assumer tes erreurs ! Je suis
contre le fait que tu sois graciée ! Ce serait trop facile d’échapper
à toute sanction ! Et puis avec l’arrêt de tes représentations, tu as des
jours de vacances, tu pourras récupérer de l’épreuve, ici, car je pense que ta
nudité sera impérative »
« Mais Maman !
J’ai vu le film des fessées de mes amies, c’était atroce, elles hurlaient et même
que Lena n’en pouvait tellement plus, qu’elle s’est pissée dessus sans pouvoir
se retenir et après mes amies n’ont pas pu s’assoir durant presque une semaine ! »
« Ma chérie, il
fallait y penser avant. N’oublie pas que le juge a rendu un verdict auquel tu
ne peux échapper... »
« Maiiiis Maman... Ça
te plaira de voir ta fille se faire fesser et hurler de douleur ? »
« Bien naturellement
que non, Alyson, mais tu as fauté et puis ce ne sera qu’une fessée, tu n’en
mourras pas ! »
« T’es contre moi, en
fait ? »
« Non, ma chérie, ton
père et moi ne sommes pas contre toi, mais nous aurions dû te fesser plus
souvent pour tes fautes, ça t’aurait mis plus de plomb dans la cervelle et tu
n’en serais peut-être pas à ce point aujourd’hui... »
« En clair, j’ai pas
le choix ? »
« En clair, tu n’as
pas le choix, en effet, ma chérie ! Ce sera un mauvais moment à
passer et lorsque tu seras plus raisonnable, ça ira mieux »
Devant
tous les arguments de sa mère, Alyson fait une moue déçue de n’avoir pas ses
parents de son côté. Elle se rend compte qu’elle n’échappera pas à sa
correction.
Durant
les quelques jours qui précèdent sa punition, Alyson nous rend visite et le
sujet majeur de nos conversations est sa prochaine fessée. Nous nous rendons
bien compte qu’elle angoisse à l’idée de se faire corriger.
« Bah, t’en fait pas
Alyson, t’en a déjà reçu des fessées, ça sera pas pire... » tentais-je de rassurée mon amie.
« Oui, j’en ai déjà
pris, mais là, il y aura plus d’une cinquantaine de personnes qui vont me voir
être fouettée. Ça va être la honte totale ! » Me répond Alyson
« Oui, c’est vrai,
mais dès que les cinglées tomberont, tu seras tellement concentrée sur ton cul
en feu, que t’en oubliera tout le reste ! Et puis t’es habituée à
être à poil devant une centaine de personne... » Dit Iourievna
« Je sais ça, mais
quand même, c’est pas dans le même contexte. Durant mes spectacles, y’a pas
tout le monde qui se marre et qui m’insulte en me voyant souffrir » Consciente qu’elle va offrir un bien
piètre spectacle et souffrir de surcroit.
« Ouais, je sais,
t’as raison ! Que veux-tu y faire, maintenant ? » Dit Olga
« J’angoisse à mort,
là... ! »
Répond Alyson
« C’est clair que tu
vas morfler, mais n’y pense pas trop d’avance, ça sert à rien. Et puis, ça sera
pas tellement différent de celle que tu t’es prise par tes responsables du
CRAZY » lui dis-je pour
tenter d’atténuer son angoisse grandissante au fur et à mesure que la date de
la punition approche.
« J’en ai chié quand
même, ce jour-là ... ! »
me répond Alyson du tac au tac.
Olga,
Iourievna et moi tentons de lui changer les idées durant les périodes où nous
sommes ensemble. Mais nous sentons bien qu’en arrière-plan, elle pense toujours
à cette épée de Damoclès, chose visible lorsqu’elle est perdue, les yeux dans
le vague. Mes amies et moi, redoublons d’ingéniosité pour lui faire penser à
autre chose.
La
veille au soir de sa punition, Alyson a de fréquentes crises de larmes en
pensant à ce qui l’attend le lendemain et nos câlins et tentatives d’apaisement
n’y font rien.
Entre
temps, nous avons reçus notre invitation pour assister à la fessée de notre
amie. Antoine K. et Séverine K. ont pensé que ce serait rassurant pour leur
fille que ses amies proches soient présentes pour qu’elle se sente soutenue
durant la pénible épreuve qu’elle n’est pas prête d’oublier.
Le
matin de la correction, Séverine K. va réveiller sa fille :
« Allez ma chérie, il
faut te lever, nous sommes attendus à dix heures à la gendarmerie. Il ne faut
surtout pas être en retard, sinon, il y aura dix coups de martinet
supplémentaires »
demande Séverine K. à Alyson encore tout endormie, car sa nuit a été courte et
parsemée de cauchemars.
Après
une toilette rapide et un petit déjeuner sans appétit, Alyson s’habille pour
partir.
« Ne met pas ton
pantalon, Alyson, avec ce que tu vas prendre, tu ne sauras plus le remettre
après. Met son short, il est ample et ça ne serrera pas trop tes
fesses meurtries »
lui recommande sa mère.
« T’as raison Maman,
je pensais pas à ça. Comment je fais pour ma protection périodique ? J’ai
mes règles en ce moment. »
« Mets un tampon, ça
suffira bien ! »
« Avec le cordon qui
va dépasser, je vais avoir l’air d’une cruche ! »
« C’est sûr, oui,
mais que veux-tu, c’est comme ça. Ça serait pire si tu avais tes règles devant
tout le monde »
« Ouais, t’as
raison »
Allongée
sur son lit, Alyson introduit son tampon de protection et enfile son short.
Durant
le trajet entre son domicile et la gendarmerie, Alyson est silencieuse,
renfermée dans son angoisse grandissante.
En
arrivant à la gendarmerie, Alyson et ses parents se rendent à l’accueil pour se
présenter au gendarme de permanence.
« Ah oui, Mademoiselle
Alyson K., dossier 2020/0197, nous vous attendions. La Capitaine médecin Cindy
B. va vous recevoir. Bon courage, car nos fesseuses sont en forme ... » dit le gendarme, en regardant Alyson
d’un regard moqueur.
En
entendant que les « fesseuses sont
en forme » fait rougir et sangloter Alyson, qui s’attend au pire.
Alyson
et ses parents se présentent dans une salle et sont reçu par le médecin de la
gendarmerie.
« Bonjour
Mademoiselle, veuillez-vous déshabiller entièrement, je vais vous
ausculter »
San
se faire prier, Alyson ôte tous ses vêtements.
« Je vois que vous
êtes danseuses au CRAZY. Ça vous ôtera au moins l’humiliation d’être nue devant
tout le monde... »
ironise la Capitaine.
« Vous savez, c’est
différent ! Je ne reçois pas la fessée sur scène ! » tente d’expliquer Alyson.
« Couchez-vous sur la
table d’examen ! »
Cindy
B. ausculte Alyson sous toutes les coutures, en présence de ses parents. Aucune
intimité ne lui est réservée.
« Le pouls et la
tension sont corrects. Vous êtes sportive, ça se voit. Vos fesses sont bien
fermes, la peau pas trop tendre ... Ecartez les cuisses. Allez ! plus
largement que ça ! »
Devant
ses parents, surtout son père, Alyson a de la retenue d’exhiber son intimité.
« Vous avez vos
règles ? »
« Euuuh, Oui
Docteur »
« Eh bien, avec les
cuisses écartées et le cordon qui pendouille, vous aurez l’air encore plus ridicule
durant la fessée... Allez, levez-vous, vous êtes apte à être corrigée. Je
signe l’attestation et on y va. Les spectateurs sont déjà là et attendent et
aucun n’est en retard... »
« Déjà ? » demande Alyson qui ne s’attendait pas à
être punie aussi rapidement.
« Brigadier !
mettez-lui les menottes, mains dans le dos » Ordonne la Capitaine.
« Mais, c’est super
dégradant, d’être emmenée comme ça ! » fait remarquer Alyson.
« Vous ne voulez pas
qu’on vous déroule le tapis rouge, non plus ? Et puis quoi
encore ! ! »
réplique la doctoresse pour mettre un terme aux récriminations d’Alyson.
Entravée
et tête basse, Alyson est emmenée vers la cour de la gendarmerie, suivi par ses
parents et par la Capitaine.
Dans
la cour de la gendarmerie, les commentaires des spectateurs vont bon train.
Entourés de nos parents, Olga, Ekaterina, Iourievna et moi attendons l’arrivée
de notre amie. Nous sommes divisées entre compassion pour celle que nous aimons
bien et l’extrême excitation de la voir se contorsionner dans des positions
impudiques et brailler sous les cinglées qu’elle va se prendre.
Les
responsable d’Alyson, Andrée D., Svetlana K. et Sophie E. ne sont pas très loin
de nous paraissent réjouies d’assister à la punition d’une des filles de la
revue.
« Ça lui clouera le
bec. Elle la ramenait trop, je trouve. Il fallait que quelqu’un la dresse » dit Svetlana K.
« Oui, tu as raison,
c’était déjà elle qui menait les autres lors de la grève en fin d’année passée.
Elle nous en a donné du fil à retordre » ajoute Sophie E.
« C’est une très bonne
danseuse, mais question caractère, c’est une vraie bourrique et c’est une
chieuse ! Avec ce qu’elle va endurer, j’espère qu’elle aura le caquet rabattu.
On sera tranquille » dit
Andrée D., la directrice de la troupe.
Lorsqu’Alyson
arrive dans la cour, les spectateurs applaudissent et sifflent, réjouis de voir
cette très jolie jeune femme nue et humiliée. Ces sifflets font rougir
davantage Alyson qui ne sait plus où se mettre, se contentant juste de
sangloter. Seuls ses parents et ses amis proches sont tristes de la voir dans
cet état. Même certaines danseuses de la revue ont un petit sourire en coin,
assez révélateur de leur enthousiasme !
Séverine
K. et Antoine K., les parents d’Alyson, prennent leur fille dans leur bras pour
lui donner du courage.
« Courage, ma chérie,
c’est un mauvais moment à passer et ça ira mieux après ! » dit sa mère.
« Laissez-la
maintenant, elle doit y aller. Ne vous inquiétez pas, ce n’est qu’une fessée,
on ne va pas la tuer ! » dit
une femme gendarme.
Montée
sur l’estrade, Alyson est mise face à nous et nous pouvons admirer son corps
séduisant et athlétique, le tout surmontée d’une jolie poitrine en forme de
poire, qui pointe sacrément.
La
Lieutenante Helga K. présente Alyson aux spectateurs et ce qu’elle a fait pour être
corrigée aujourd’hui, bien que tout le monde le sache déjà. Mais cette
présentation a pour unique but d’humilier davantage la punie.
Les
deux ex-cadettes, la Maréchal des logis Marina de S. et la Maréchal des logis Fiona
V., empoignent Alyson et la mettent en position sur le chevalet à fessée. En se
retournant, Alyson voit les effrayants martinets de discipline « made by
DELANIAIRES », qui vont servir pour sa fessée : un long manche, cinq
grosses lanières de cuir de plus d’un mètre de longueur pour envelopper le
corps des punis. A leur vue, Alyson crie de peur en se démenant. Mdl Marina de
S. et Mdl Fiona V. parviennent avec peine à placer Alyson en position. Apeurée,
Alyson appelle ses parents au secours, car son angoisse est à son comble.
A
suivre...
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Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerComme le quotidien d'Alyson devait être rongé à l'idée de cette fessée suspendue pendant des semaines au-dessus de son derrière. L'attente est parfois pire que le châtiment lui-même. Et, au moment où elle est psychologiquement prête, voilà que lui est accordé/imposé un nouveau délai. Et, à nouveau, les affres de l'attente. Une attente que ses parents mettent à profit pour la placer devant ses responsabilités et lui faire prendre conscience qu'elle a amplement mérité sa punition. Le lecteur aussi l'attend, cette fessée, mais ce n'est pas de l'appréhension, lui, qu'il éprouve. Bien au contraire...
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerTout à fait d'accord avec vous, car l'attente fait se monter la tête et du coup, plus la date fatidique arrive et plus se stresse monte. On s'en fait tout un plat et lorsque le pire arrive, on a l'impression que c'est le ciel qui nous est tombé dessus;
Bref, Alyson est prête pour recevoir sa fessée, les fesses à l'air devant un parterre de gens venus regarder et pas l'encourager...
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et des fessées à la caserne... bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Eléna.
Avec le retour du printemps et des fessées cul nu dans la luzerne, voici celui du "CHEVAL GRAZY", dont la tournée a mal tournée avec carrément un bide cause du Covid.
On voit passer tellement de derrières dans l'univers de notre écrivine...vaine...veuse... ( sait pas comment on dit ) qu'on avait presque oublié celui d'Alyson qui, on ne sait plus pourquoi, reste justiciable d'une fessée. Comme quoi on se fait toujours rattraper par la justice, sauf que là, c'est papa et maman qui balancent!
Charmants les parents qui, eux, "non, rien de rien... " et n'ont rien oublié, de ce qu'Alyson va regretter. Le spectacle du Grazy Horse, n'a pas marché, la Gendarmerie Nationale vous en propose un autre avec la danse des fesses au martinet, d'Alyson, seule en scène, en meneuse de revue dans la cour de la caserne! Décors "Roger Hard", costumes "Donald Cromwells", accessoires: DELANIAIRES, ça claque fort au derrière!"
Sympas les parents! Et vas y que je t'invite toute la famille et les amis, à assister à la cérémonie, pour voir fifille, en tête de gondole, se prendre sa fessée sous les applaudissements d'une foule en délire. Gratuit pour les chômeurs et les enfants de moins de dix ans, pour l'exemplarité du spectacle.
Bon, on craint le pire pour les fesses d'Alyson, mais on a la semaine pour s'y préparer, en se demandant pourquoi elle appelle ses parents à son secours, puisque ce sont eux qui l'on dénoncée... les vilains! Elé-na-aucune mansuétude pour les rebelles.
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina !
SupprimerAh, que dire pour expliquer la situation ? Qu'Alyson a bénéficié d'un report de sa correction à la demande de sa responsable de scène. Et du coup, le juge devait avoir de ses nouvelles dès qu'elle serait rentrée de tournée ( voir le chapitre 50 acte 2 ).
Avec la mise en demeure, les parents d'Alyson n'avaient pas vraiment le choix que de mener leur fille au juge... Bon, voilà pour l'introduction, et rien à voir avec celle du martinet dans les fesses...
Comme "au théâtre ce soir", les spectateurs vont pouvoir se régaler d'assister à la danse frénétique et non néphrétique d'Alyson...
Dénouement la semaine prochaine.
Amitiés.
Elena.
Re bonjour Elena,
RépondreSupprimerAmusante le rapprochement entre "martinet" et "introduction".
Pas de soucis pour les explications. Vous voyez bien que je m'amuse à prendre le contrepied des situations avec des commentaires en décalage, pour apporter, non pas une contradiction, mais un éclairage différent sur le sens originel du récit. Les détenteurs de l'ordre bienséant et de la discipline n'ont pas toujours des comportements à la hauteur des leçons de morale qu'ils donnent au punis. Alors, de temps en temps, je regarde davantage du côté des lanières que du côté du manche... Mais nous sommes dans la fiction n'est ce pas, et, question punitions, les personnages de CDAMF ne sont pas mieux lotis!
Amicalement
Ramina