La période de confinement ou de couvre-feu renforcé, est dans certain cas le catalyseur pour que les couples explosent, car de se retrouver toute la journée dans des surfaces réduites, les uns sur les autres, peut cristalliser des tensions qui dans un autre contexte passeraient inaperçues.
C’est ce qui arrive à une famille de notre quartier. Guy G. quarante et un ans, Lara G. quarante et un ans et leur deux garçons, Maxim dix-sept ans et Tom quatorze ans.
Couple
mixte franco-russe, Guy G. est un directeur d’une banque, Lara G. est
traductrice pour une société de la région ( Sud-Translate ) et leurs deux fils
sont à Ste CROIX.
Dans les
premiers temps, le télétravail était adapté pour répondre au besoin de
confinement, mais ayant abandonné les autres activités sportives, culturelles
et sociales, l’ambiance est rapidement devenue presque invivable et ce n’est
pas les promenades du chien ou la permission d’aller courir dans le quartier
qui a détendu l’atmosphère.
En fait,
tout évènement, même mineur, devient source de disputes et de conflits. C’est
dans ces cas-là que l’on se rend compte que nous ne sommes pas faits pour
rester cloitrer.
Maxim et
Tom tournent également en rond. Parfois, Victoria vient rendre visite à Maxim,
son copain, mais l’atmosphère pesante rejaillie négativement également sur les
deux adolescents.
La
solution est de mettre un peu de distance entre les époux. Lara G. reste dans
l’appartement avec les deux enfants et Guy G. part chez ses parents. Cette
solution est censée apaiser les tensions et que les époux retrouvent une
sérénité pour reprendre une vie commune lorsque la vie aura retrouvé un aspect
plus normal.
L’effet
pervers de la situation est que la liberté donne des ailes et Guy G. en profite
pour transgresser les règles du mariage, jusqu’au jour où Lara G. se rend
compte que son mari a une maitresse. En fait, un jour, Lara G. téléphone à son
mari, censé être en train de travailler à distance mais sa mère lui dit qu’elle
ne l’a pas vu depuis deux jours et c’est ainsi que Lara G. découvre de pot aux
roses.
D’abord
éberluée par la nouvelle, Lara G. passe par tous les états, jusqu’à être très
en colère contre son mari, qui profite de la situation pour prendre du bon
temps avec ses collègues féminines qui ne demandent pas mieux.
Après une
franche explication, Guy G. et Lara G. décident d’enclencher une procédure de
divorce, ce qui créé la zizanie dans la famille avec notamment une rébellion de
la part des deux ados qui ne voient pas la séparation de leurs parents du
meilleur œil.
Les deux
époux prennent un avocat et se rendent dans les réunions de médiations pour
faire le point sur leur situation et la médiatrice Claudie R. tente de tout
faire pour que les époux renouent le dialogue et sortent de cette impasse.
« La période est compliquée pour tout le
monde mais ce qu’est pas une solution que de divorcer ! » dit la médiatrice
« Nous nous étions séparés provisoirement
afin que chacun de nous retrouve de la sérénité et revienne avec de meilleurs
sentiments, par contre, Guy en a profité pour me tromper avec des greluches de
son bureau » s’emporte Lara G.
« C’est vrai ça, Monsieur G. ? »
s’étonne Claudie R.
« Euuuh... ben.... euuuh... ben... mouiiii,
j’ai été faible et j’ai cédé à deux de mes collègues qui me draguaient déjà
depuis un certain temps. Mais c’est de la faute de mon épouse, elle est trop
envahissante. Je dois tout le temps faire tout ce qu’elle veut » tente de se défendre Guy G.
« C’est pour le bien de la famille. On se
réparti les tâches ! Il n’y a pas de raison que tout retombe sur moi
seulement ! » se plaint Lara G.
La
discussion dans le bureau de la médiatrice est houleuse. Chacun des époux se
rejette la faute et les petits tracas de la vie commune sont exacerbée pour
devenir de véritables obstacles.
« Monsieur G., en ce qui concerne votre
adultère, la loi ne prévoit aucune punition, mais notre département est plus
strict et le sanctionne corporellement »
annonce Claudie R.
« Corporellement... qu’est-ce que ça veut
dire ? » s’inquiète Guy G.
« Au moins cinquante cinglées aux verges
sur les fesses nues ! » lui
répond Claudie R.
« On ne peut pas fesser un adulte !
C’est réservé aux sales gosses, ce genre de choses ! » s’offusque Guy G.
« Absolument pas. Si la faute est avérée
et, dans le cas présent, vous n’avez pas nié, la peine encourue est la fessée,
les fesses à l’air et en public, de préférence, pour bien marquer la chair et
l’esprit » affirme Claudie R.
« Je ne me laisserai pas
faire ! Soyez en sûre Madame la médiatrice »
« Ce qui ne serait pas une bonne idée. En
cas de récidive ou de refus, notre instance pénale prévoit le double de
cinglées et au fouet » lui répond Claudie R.
« Je suis sûre que ça va me plaire de
l’entendre pleurnicher... » dit Lara
G.
« Ne vous réjouissez pas trop vite Madame
G., car votre mari a relevé des endettements sur l’argent du ménage. Nous
allons examiner votre cas, également »
intervient Claudie R.
« Cet argent est le sien comme le
mien ! Nous travaillons tous les deux et nous pouvons faire ce que nous
voulons »
« Oui, c’est exact, Madame G. mais votre
mari aurait dû être au courant de ces transactions. Vous auriez pu mettre votre
famille en surendettement, avec ces prélèvements. Le couple doit avoir une
vision nette des dépenses pour pouvoir anticiper les imprévus » lui répond Claudie R.
« Et... qu’est-ce que je
risque ? » s’inquiète Lara G.
« Dans le cas actuel, il n’y a pas
d’endettement, mais le niveau du compte est fort bas, donc quarante cinglées aux
verges sur les fesses nues, seront suffisantes. Vous serez mis sous tutelle
durant quelques mois, de façon à contrôler que les enfants ne pâtiront pas de
ces dépenses intempestives et lorsque les finances seront revenues à un
niveau correct, nous lèverons la tutelle »
En
entendant les potentielles punitions, les deux époux se rejettent la faute l’un
sur l’autre, car ils savent que la fessée aux verges est très douloureuse et
laissera des marques durant un petit moment. Claudie R. est obligée de les
camer pour que ça ne dégénère pas en pugilat.
« Vous reviendrez me voir la semaine
prochaine. Entre temps, nous examinerons les faits avec le juge et nous
prendrons les décisions qui s’imposent »
Même en
sortant du bureau de la médiatrice, Monsieur et Madame G. se querellent encore.
Virginie
B., l’avocate de Lara G., n’est pas très confiante, car avec une médiation qui
se passe mal et les torts des deux côtés, la procédure de divorce sera assez
compliquée. Lara G. a beau tenter de convaincre son avocate, celle-ci ne peut
pas aller contre la loi mais Lara G. ne lâchera rien, ne serait-ce que pour ses
enfants. Elle est décidée à aller au bout de son divorce et de se défaire de
l’emprise néfaste de son mari sur elle.
« Lara, vous avez l’occasion de faire un
divorce à l’amiable. Il y aura bien des concessions à faire, mais ça pourra
aller. Si vous vous entêtez, il y aura des conséquences, car le juge va s’en
mêler et vous avez entendu ce que la médiatrice a dit, ça pourra être les coups
de verges » dit Virginie B.
« Les coups de verges ne sont rien à côté
de ce que ça pourra être si je ne fais rien. Mon mari me trompe et il me fait
porter tous les torts. Je ne peux pas laisser passer ça » lui répond Lara G.
« J’enregistre votre position. Mais ne
venez pas vous plaindre après ! »
Durant
quelques semaines, les deux époux vont à la médiation, mais il n’en sort aucune
avancée. Les époux restent sur leurs positions et la médiatrice décide
d’envoyer le dossier devant le juge des affaires familiales, seule solution
pour sortir de l’impasse.
Le jour
du jugement, les époux, leur avocat respectif et le juge sont présents.
Après
l’énoncé de l’état des lieux de la médiation, le juge, un homme assez
autoritaire, s’adresse aux deux époux :
« Votre cas est des plus simples et même
avec ce cas courant, vous n’avez pas réussi à vous entendre ! Vous avez
des torts partagés ! J’espère que vous vous rendez compte que vous me
faites perdre mon temps ».
Les deux
avocats défendent leur client et mettent toute la responsabilité sur l’autre
époux. L’un pour avoir détourné de l’argent du compte commun et l’autre pour
adultère.
A la fin
des plaidoyers, le juge enregistre les plaintes et les points de défense et
rend son verdict :
« Monsieur G., l’adultère est sanctionné
dans notre département. Vous auriez dû attendre l’annonce de votre divorce pour
aller taquiner vos collègues... Je vous condamne à recevoir soixante coups de
verge sur les fesses nues. Quant à vous, Madame G., l’argent pris sur le compte
aurait pu mettre la famille dans une situation financière délicate. Je vous
condamne donc à quarante coups de verge sur les fesses nues. La justice est
rendue ! Vous allez passer à côté, vous déshabiller entièrement pour
recevoir votre correction ».
« Je suis désolée pour vous Lara. Je vous
l’avais dit. Vous n’auriez pas dû vous entêter. Qu’avez-vous gagné,
maintenant ? Vous êtes dos à dos avec votre mari et vous allez être
fessée »
« Je sais, mais au moins Guy ne s’en
tirera pas à si bon compte »
Les
fesseuses du palais de justice incitent les deux époux à se dévêtir plus
rapidement, car elles trouvent qu’ils lambinent un peu trop.
« Allez cher Monsieur, faites-nous voir
vos fesses et plus vite que ça... Maintenant, retrousser la peau et exhibez
votre gland qu’on en profite un peu ! A moins que vous souhaitiez que
ce soit nous qui la fassions ? »
Timidement,
Guy G., tout épilé, retrousse son prépuce et découvre son gland. L’humiliation
le fait être en érection.
« Et ben voilà ! C’était pas si
compliqué que ça. Quel bel engin... Maintenant prenez place sur le banc à
fessée »
Les deux
fesseuses l’attachent solidement de façon à ce qu’il ne puisse pas bouger.
Après lui avoir attaché les mains et les pieds, elles lui sanglent le bassin.
Les deux femmes prennent leur bouquet de branches de bouleaux et se mettent en
position.
Sur
l’ordre du juge, les deux fesseuses fustigent, chacune leur tour, les fesses du
prévenu. La chaleur commence à faire effet dès les premières cinglées, ce qui
fait remuer et grimacer Guy G.
Plus les
cinglées pleuvent et plus Guy G. à l’impression que ses fesses s’embrasent.
Après des gémissements, il crie puis hurle de douleur en se débattant de toutes
ses forces. Ses fesses sont griffées par les tiges de bouleaux qui labourent la
chair. Guy G. s’époumone à demander pardon et à implorer la fin de cette
correction. Il jure qu’il ne draguera plus ses collègues et qu’il a compris.
Virginie
B., l’avocate de Lara G. dit à sa consœur :
« Qu’est-ce qu’il beugle, ton
client ! Non mais, regarde-le se débattre. Aucun courage... »
« C’est vrai qu’il n’en mène pas large, le
mec ! Mais t’as vu l’état de ses fesses ? il ne pourra plus s’assoir
durant plusieurs jours... On verra comment ta cliente va réagir lorsqu’elle va
se faire marquer les fesses. Regarde-la, ses tétons sont déjà tous dressés et
elle doit mouiller de trouille, je parie »
« Ouais, t’as raison. On a en de la chance
d’assister à cet excitant spectacle, je me sens toute chose, moi... » lui répond Virginie B.
Lorsque
les soixante coups de verge ont été donnés à Guy G., c’est au tour de Lara G.
de passer sur le banc à fessées. Les fesseuses détachent et relèvent Guy G.,
les fesses toutes griffées et très rouges.
« Alors mon biquet ! Tu vois ce que
ça fait l’adultère ? Ça va calmer tes ardeurs durant un certain temps,
ça ! » ironise l’une des fesseuses.
En se
relevant, les spectateurs constatent que Guy G. est toujours en érection et il
a éjaculé dû aux contractions et aux ruades durant sa correction.
« Eh bien voilà un beau membre, tout
dressé... Ça t’a excité, mon coco ? Tu veux peut-être un
supplément ? » lui dit l’autre fesseuse
« Nooon, pitié, pas de supplément, ça
brule trop ! » implore Guy G.
Guy G.
est mis de côté, penché en avant, les cuisses écartées, en soin avec une infirmière.
On peut l’entendre gémir lorsque l’infirmière lui étale de la lotion.
« Maintenant, à vous Madame. Laissez-vous
faire ! » demande une fesseuse à Lara
G. qui résiste.
« NOOON, PAS CA, NOOON ! Je ne veux
pas être fessée. C’est trop injuste. C’est mon mari qui m’a trompé, moi, je n’y
suis pour rien ! LAISSEZ-MOI ! NOON ! »
« Je suis désolée Madame G., mais la
justice a été rendue et nous n’y pouvons rien. Il faut juste accepter » dit la fesseuse en installant de force Lara G. sur le banc à
fessées.
Lorsque
Lara G. est sanglée, les deux fesseuses prennent des bouquets de branches de
bouleaux neufs et commencent à lui cingler les fesses et les cuisses qui a
toutes les peines du monde à retenir ses cris. Les spectateurs la voient
grimacer, la bouche ouverte, prête à hurler, tant la cuisson est dure à
supporter.
« Et ben, t’avais raison, elle mouille
sacrément la cocotte, regarde sa fente ! » dit une des avocates à sa consœur.
« Encore plus que ce que je
pensais ! Et pis l’ot’ avec son membre dressé et son bout rouge,
regarde-le comme il est excité de voir sa femme se faire fouetter... »
Soudain,
pendant que les deux avocates se régalent en discutant du traitement qui est
infligé à leur clients, Lara G. pousse un hurlement strident, n’y tenant plus,
en se débattant dans tous les sens.
« Ah, quand même... je me demandais quand
elle allait chanter ! » dit Virginie
B.
« T’es pas trop compatissante avec ta
cliente, dis donc ? »
« Ni toi avec le tien... J’ai fait ce que
je pouvais pour elle, le juge l’a condamnée. Maintenant, je profite pleinement
du spectacle, mais entre nous, j’adore ça, les voir gesticuler et brailler
! Après ça, je pourrais leur demander n’importe quoi, ils le feraient... C’est
un véritable sentiment de toute puissance ! »
Soudain,
les hurlements cessent pour faire place à des gémissements et aux pleurs de la
punie, car sa correction est terminée.
Les deux
fesseuses détachent Lara G. et l’amènent à l’infirmière pour les soins. Lara G.,
les fesses en fusion, en larmes, est moite de sueur, tant elle s’est démenée.
Elle boite et grimace de douleur à chaque pas.
« Bon, Monsieur, Madame, vous êtes revenus
à de meilleurs sentiments ? » demande
le juge.
Guy G. et
Lara G. acquiescent comme quoi ils ont compris la leçon. Ils se rhabillent
sommairement, car le contact du tissu avec leurs fesses leur est insupportable.
Ils ont l’impression que des fers rouges viennent toucher une nouvelle fois
leur épiderme et après ce qu’ils viennent de prendre, ils font tout pour que la
cuisson ne dure pas.
« Je prononce votre divorce selon les
termes qui vous ont été communiqués ! Je vous recommande de vous
tenir à carreaux, car n’oubliez pas que vous êtes sous tutelle et dans ce
cadre, les punitions pourraient être prononcées pour l’un ou l’autre voire les
deux » leur annonce le juge des affaires
familiales.
En
silence et les fesses en feu, les deux ex-époux quittent la pièce, accompagnés
de leur avocate.
Après
s’être rhabillé, chacun des époux regagne son domicile pour récupérer de la
raclée qu’ils viennent de subir. Le chemin du retour est des plus douloureux,
car chaque pas leur provoque des brulures, les contraignant à s’arrêter de
temps en temps pour reprendre leur souffle.
« Bonjour Madame G., ça n’a pas l’air
d’aller ! » lui demande Olga qui la
croise au détour de la rue commerçante.
Toute
rouge de devoir avouer sa fessée devant une femme plus jeune qu’elle, Lara G.
lui dit qu’elle a des courbatures provoquées par un excès de sport. Olga n’est
pas dupe, car ayant déjà reçu à maintes reprises des fessées, elle en en reconnait
les symptômes.
« Vous ressemblez à quelqu’un qui vient de
se prendre une fessée, je me trompe ? » tente de l’influencer Olga.
« Euh... Non... Pas du tout, ce sont juste
des courbatures ! Je ne suis plus une sale gamine »
« Vous semblez marcher comme sur des œufs,
et ça, c’est très révélateur... et vous transpirez... »
« Bon, oui, tu as raison, Olga, j’avoue !
Je sors du bureau du juge et il m’a condamné à recevoir la fessée pour avoir
fait des dépenses qui ont mis la famille proche du surendettement »
« Ah ! j’en étais sûre. Voulez-vous
que je vous accompagne chez vous, je pourrais vous aidez aux soins ? Je
sais ce que ça fait d’être seule, on arrive pas à se soigner »
« Oui, d’accord. Mes fils ne sont pas là,
tu pourras me soigner en toute discrétion, car devant mes enfants, je ne vais
pas oser ! »
« Il faudra bien, car vous ne pourrez pas
garder quelque chose sur vous, ça va trop bruler »
« Mais que vont-ils penser de
moi ? »
« Vous leur expliquerez la situation, vos
fils sont grands, ils comprendront ! »
Arrivées
chez Lara G., Olga l’aide à se dévêtir.
« Ah, la vache... ça doit bruler,
ça ! »
« J’ai été fouettée aux verges et elles
n’y ont pas été de mains mortes »
« Vous garderez des traces durant
plusieurs jours. L’épiderme est bien griffé... »
Les deux
femmes passent une partie de l’après-midi entre les soins et discussions de
toutes sortes, jusqu’au moment où Victoria, Maxim et Tom rentrent de l’école.
Ils trouvent leur mère, nue, les fesses en piteux état.
« Mais qu’est ce qui s’est passé,
Maman ? Qui t’as fait ça ? »
Demande Maxim, l’ainé des fils.
« Ne vous inquiétez pas, j’ai été
fouettées par le juge des affaires familiales et votre père également, car nous
avons des torts partagés et le juge nous l’a fait payer »
Victoria,
est super gênée, car c’est la mère de son copain et la voir nue, les fesses marquées,
la met mal à l’aise.
« Je suis désolée, Victoria que tu me vois
comme ça, mais je n’ai pas le choix, j’ai les fesses en feu. Je ne pensais pas
que vous rentreriez aussi tôt »
« Eh bien, comme ça, les choses sont
claires, au moins » ajoute Olga.
Quelques
jours plus tard, Lara G. envoie le film de sa correction à Olga, preuve de sa
confiance. De son côté, Olga, ravie de l’avoir nous invite pour le visualiser.
Devant ces vidéos très excitantes, nous avons du mal à nous retenir de nous caresser.
Durant tout le film, Théo et Olga ne se gênent pas pour s’embrasser tant et
plus. Nous savons que dès que nous partirons, excités comme ils sont, ils se
feront furieusement l’amour...
Une série écrite par Elena
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
Vous souhaitez réagir ?
Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai
Amis de la poésie, et de la fessée en non consentement mutuel, Bonjour Bonjour Elena,
RépondreSupprimerEh oui, ça devait arriver, mais quelle idée de retourner chez ses parents en pleine épidémie. Il faut croire qu'il y avait déjà de l'eau dans le gaz, avant le confinement, entre Guy et Lara G,( comme maintenant, G. mal aux fesses ! ) pour que la promiscuité fasse exploser la bouteille de butane. La goutte d'eau qui met le feu aux poudres! Guy en profite pour aller courir la gueuse et Lara, pour creuser le déficit budgétaire du ménage.
Là on est quand même dans le classique, rien de nouveau sur la répartition des rôles: Les hommes sont coureurs et les femmes dépensières...
La justice balance pour la fessée déculottée et les Dames exécutrices de la sentence vont se régaler, comme les avocates qui s'en payent une tranche en plus de leurs honoraires. Les liens du mariage un peu distendus, se resserrent sur les mains et les pieds des époux fautifs qui ont beau ruer dans les brancards... ils se font étriller le derrière en long en large et en travers. Là où la justice passe, les fessiers trépassent!
Guy n'a pas la trique que sur les fesses, au verso aussi, au point d'en abreuver les sillons d'un réflexe éjaculatoire incontrôlé. Allélouia, miracle de la fessée! Lara, qui connaît la chanson du même nom, en pousse une sous les verges, mais beaucoup plus pathétique celle là, au point de s'en laisser fuiter le calice jusqu'à la lie...
On ne change pas les équipes qui gagnent. Les punis stimulés par les fessées s'excitent comme des taupes devant une paire de lunettes, et les flagellantes prennent leur pied jusqu'à l'entre-cuisses.
Les filles en profitent pour s'en faire tout un cinéma et se polir le clito devant le film des fessées. Théo et Olga, le feu aux fesses mais pas pour les mêmes raison que les punis, sont au bord du jardin des délices.
Pour une fois ce sont les rejetons qui constatent les dégâts sur les fesses de leurs parents indisciplinés. Tout peut arriver, dans le petit monde de Dona Camilla Eléna...
Amicalement
Ramina
Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerGuy G. a eu la très mauvaise idée de tromper sa femme. Cela lui vaudra, décision du tribunal, soixante coups de verge. Lara, sa femme, n'aurait peut-être pas dû soulever ce lièvre. Comme elle a, de son côté, l'enquête, le prouvera, détourné de fortes sommes prises sur le bien commun, elle recevra quarante coups de verge. Les avocates sont ravies: plus le temps passe et plus elles apprécient de voir leurs clientes sanctionnées de la sorte. Assister aux punitions qu'elles reçoivent les met dans tous leurs états. Olga, quant à elle, a la chance de se voir confier le film de cette punition. Elle en fera bon usage et ne manquera pas d'en faire profiter ses petites camarades.
Bonjour à toutes et tous.
RépondreSupprimerUn nouveau thème est abordé dans ce chapitre. Celui des relations humaines lorsque, confinement oblige, les gens ont un trop plein de promiscuité ! Parfois, ça use... Comme quoi, l'homme est fait pour vivre au grand air !
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena, bonjour Ramina et François-Fabien,
RépondreSupprimerRécit parfait. Situation plausible. L'affaire se corse... "Tant va la cruche va à l'eau, qu'à la fin, elle se casse !" Dixit un dicton populaire. Et devant un public féminin, l'issue était prévisible.
J'aurais bien vu l'intervention d'une conseillère conjugale... Sait-on jamais.
Amicalement. Peter.