Cela mit plus de
temps à se savoir, mais Audrey, sa femme, se retrouva, un soir, culotte baissée
au coin sur le palier. La couleur de ses fesses et la position qu’elle tenait
ne laissait aucun doute : elle avait été sérieusement fessée. La rumeur
laissa entendre que Tatie Claudie avait dû sévir face à la difficulté qu’Audrey
avait à corriger suffisamment explicitement son mari et pour éradiquer une
certaine nonchalance dans la tenue de sa maison. Tatie Claudie corrigeait
Audrey depuis quelques semaines quand elle la mit au coin, à l’extérieur de son
appartement, là où chacun pouvait constater les effets de la punition.
A compter de ce
jour, Tatie Claudie ne prit plus aucune précaution pour punir Audrey ou son
mari. Cela se produisit donc plus d’une fois au vu et au su des habitants de
l’immeuble qui ne pouvaient ignorer l’un des deux, placé au coin sur le palier,
exhibant des fesses écarlates.
A tour de rôle, le
voisin du cinquième étage, Dimitri, le couple du premier étage et bien entendu
Maeva et Marguerite reçurent une fessée qui dans le hall de l’immeuble, qui
dans l’escalier ou sur l’un des paliers. Les stations au coin en public se
multiplièrent. Bientôt, il n’y eut plus de semaine où l’un ou l’autre ne fut
puni devant l’un des autres voisins.
Maeva se surprit
à trouver cela rassurant. Le sentiment d’exception qu’elle avait ressenti les
premières fois où elle avait été fessée en public s’était grandement atténué en
constatant que d’autres adultes du voisinage étaient soumis au même traitement.
La crainte, très forte au début, de croiser, dans l’escalier, d’autres
personnes qui savaient qu’elle était corrigée, voire qui avaient assisté à
l’une de ces séances, avait quasiment disparu. Elle n’avait plus à se poser de
question. Tout le monde savait qu’elle recevait la fessée.
Elle n’avait pas
l’impression de vivre une situation idyllique. C’était toujours aussi malaisé
de se faire gronder et menacer d’une fessée en public, sans compter les moments
où Teva ou Hélène passaient de l’avertissement à l’action, ce qu’elle craignait
au plus haut point. C’était bien plus difficile à accepter que quand cela se
passait au sein de la famille dans laquelle Hélène était incluse. C’était
encore plus difficile quand c’était une voisine qui exerçait ainsi son droit de
surveillance et encore plus quand cela finissait par une fessée, ce qui était
arrivé et, elle le savait bien, arriverait encore plus d’une fois.
Autant
elle redoutait de croiser l’une des personnes qui l’avaient fessée, autant elle
se sentait proche de ceux qui étaient dans la même situation qu’elle. Ils
formaient une communauté silencieuse grâce à laquelle elle trouvait plus
acceptable de faire partie de ceux qui étaient en permanence sous le risque
d’une fessée.
Elle
eut l’occasion de discuter avec plusieurs d’entre eux et, comme elle, s’ils se
plaignaient du type de punition qu’ils recevaient, aucun d’eux n’évoqua une
injustice flagrante et aucun d’eux ne suggéra qu’il pourrait fuir pour mettre
fin à cette situation. Tous se sentaient aimés et protégés, satisfaits que la
plupart des décisions importantes fussent prises par d’autres, ce qui rendait
leur vie plus confortable. Recevoir la fessée, y compris publiquement, faisait
partie des désagréments de leur vie, mais ils étaient largement compensés par
l’affection qu’ils recevaient dans leur cadre familial.
Ce
fut Tatie Claudie qui imposa en premier le port de l’uniforme gris que l’on
commençait à croiser fréquemment dans la rue. Le bruit circulait depuis
plusieurs semaines et il allait en grossissant. Il relatait plusieurs
situations où des personnes avaient administré une fessée, dans un espace
public, à une autre personne portant cette tenue, en punition d’une bêtise
commise ou d’un comportement coupable.
La
fessée était maintenant assez couramment administrée aux adultes qui
n’arrivaient pas à se comporter comme des grandes personnes au sein de leur
famille ou dans leur cadre professionnel. Cela avait fait l’objet d’un article
dans le journal local et personne ne s’en plaignait. Les protestations de ceux
qui la recevaient et qui avaient été interviewés, étaient timides et se
contentaient d’insister sur le désagrément que représentaient la punition, sans
en contester le bien-fondé.
Les
fessées, administrées en public, étaient données le plus souvent par les
tutrices, ce qui n’était que la prolongation des méthodes habituelles de
discipline domestique. Elles furent largement approuvées par les spectateurs, du
moins par ceux qui se sentaient plus en position de corriger que d’en être le
sujet.
Il
y eut quelques situations où des insolences et incivilités restèrent impunies,
faute, de la présence en proximité, de personne disposant de l’autorité pour le
faire. Les quelques personnes qui évoquèrent alors la nécessité d’une bonne
fessée n’osèrent passer à l’acte. Les coupables, en se fondant dans l’anonymat
de la foule, échappèrent au châtiment qu’ils avaient pourtant mérité.
Les
premières tenues grises dont étaient revêtues quelques jeunes femmes, passèrent
presque inaperçues. Quand de grands garçons en portèrent la version masculine,
cela se remarqua assez vite. Autant l’habillement des filles pouvait passer
pour une tenue un peu démodée, autant les culottes courtes des garçons les
faisaient ressembler à de grands enfants attardés. Quand ce furent des
personnes plus âgées qui les portèrent, les interrogations quant à la raison de
cette nouvelle mode dont les porteurs ne semblaient pas réjouis.
Il
suffit de quelques fessées administrées par des personnes connaissant la
signification du code vestimentaire, alors qu’elles n’avaient jamais rencontré
auparavant ceux qu’elles déculottèrent et fessèrent, pour que le sens de ces
uniformes soit rapidement connu de tous.
Ce
fut un incident regrettable qui décida Tatie Claudie à obliger ses deux
pupilles à porter ce nouvel uniforme. Tout commença par un appel téléphonique
en début d’une soirée qui s’annonçait très calme.
« Allo ?
– Claudie ?
C’est Gwenola !
– Ah
Gwenola ! Quel plaisir
de t’avoir au téléphone ! Dis-moi cela fait longtemps que nous ne nous
étions pas parlé ! Au moins une semaine ! »
Les
deux femmes commencèrent par échanger quelques banalités et par prendre chacune
des nouvelles de l’autre. Elles en vinrent finalement à l’objet de l’appel.
–
Tu t’occupes toujours de l’éducation de tes petits voisins, comme tu me l’as
expliqué ?
–
Plus que jamais ! Si tu savais le temps que cela ne prend ! Je dois
les surveiller continûment. C’est une charge, mais ils me le rendent bien.
Depuis que je leur donne régulièrement la fessée, ils sont devenus très
affectueux.
–
Ah, c’est curieux, j’aurais cru le contraire.
–
Non, c’est assez normal. Ils ont autant besoin de câlins que de fessées.
Finalement, ils passent de longs moments sur mes genoux, soit à plat-ventre
pour y recevoir la fessée, soit assis pour que je les dorlote.
–
Comme deux enfants !
–
Tu ne crois pas si bien dire ! Hier ils se sont disputés pour savoir qui
aurait le droit de venir dans mes bras. J’ai dû les fesser tous les deux. Je ne
les ai consolés qu’après un bon moment passé au coin. Un sur chaque genou. Ils
s’y sont presque endormis sous les caresses. Qu’ils étaient adorables !
Ils se donnaient la main, les yeux fermés, la tête posée chacun sur une de mes
épaules. Tu vois, c’est dans des moments comme ceux-là que je suis sûre de ne
pas avoir fait fausse route.
–
Je comprends, de vrais petits anges ! Dommage qu’ils ne soient pas
toujours aussi charmants !
–
Que veux-tu dire ?
–
J’ai beaucoup hésité avant de t’en parler, mais, après tout, c’est toi qui a
pris en charge leur éducation.
–
Tu m’intrigues. Que s’est-il passé ?
–
Je suis certaine de les avoir reconnus ce matin dans le bus. J’ai bien retenu
leur visage depuis que tu me les as présentés, la semaine dernière, juste avant
de donner une fessée au garçon. Je ne crois pas qu’ils m’aient remarquée. Mais
si j’avais osé, je leur aurais volontiers donné une fessée.
–
Qu’ont-ils encore fait, ces deux gredins ?
–
Ils avaient tous les deux des écouteurs dans les oreilles et leur musique était
tellement forte que tout le monde, dans leur voisinage, en était incommodé.
–
Je le leur ai pourtant interdit !
–
Je ne crois pas qu’ils t’aient écoutée. Pire, quand une dame, assise en face
d’eux, leur en a fait la remarque, ils se sont montrés insolents, lui demandant
de « s’occuper de ses affaires ». Ils ont fini par des insultes que
je n’ose pas te répéter. Tout le monde en était offusqué, mais personne n’est
intervenu. Le temps que j’envisage de les punir, ils étaient descendus du bus.
–
Tu aurais dû sévir !
–
Oui, peut-être, mais je n’étais pas certaine d’en avoir la légitimité, ce qui
m’a fait hésiter, mais d’un autre côté, je regrettais qu’ils puissent se
comporter ainsi et restent impunis. J’ai trop hésité. Après, c’était trop tard.
C’est pour cela que je t’appelle ce soir.
–
Les petits chameaux ! Ils ne vont pas s’en tirer à si bon compte. Je te
promets qu’ils vont recevoir une fessée dont ils se souviendront. »
A
peine Tatie Claudie avait-elle raccroché, qu’elle se dirigea, d’un pas résolu,
vers l’appartement de ses voisins.
Tatie
Claudie n’eut pas besoin de s’annoncer. Elle possédait maintenant une clé de
l’appartement d’Audrey et de son mari, afin de pouvoir y entrer à n’importe
quel moment du jour et de la nuit. Elle voulait pouvoir les surveiller quand
elle le souhaitait. Cela lui avait déjà permis de les surprendre, plus d’une
fois, dans une activité interdite, ce qui s’était conclu par une bonne fessée.
Elle
n’eut pas vraiment le temps de s’inquiéter de ce que faisaient ses deux
pupilles. Elle trouva le premier dans le séjour, assis devant la télévision.
« Éteins-moi
ça tout de suite !
–
Mais que se passe-t-il ? »
Tout
en posant la question, il avait obéi aussitôt. L’éducation que leur donnait
Tatie Claudie portait ses fruits. Elle le prit par l’oreille et le mit debout
sur ses pieds. Suivant le chemin que prenait son oreille, il contourna le
fauteuil et suivi Tatie Claudie dans le couloir.
Ils
trouvèrent Audrey dans sa chambre, plongée dans un bouquin.
« Tatie
Claudie ? Mais que… »
Elle
n’eut pas le temps d’aller plus loin. Tatie Claudie lui enleva le livre des
mains et elle la tira du lit par l’oreille.
« Aïe !
Mais qu’est-ce que j’ai fait ? »
Tatie
Claudie ne lui fit pas l’aumône d’une réponse. C’est en les tenant par
l’oreille qu’elle les conduisit chez elle.
« Bonsoir,
Tatie Claudie, fit Madame Brown qu’ils croisèrent sur le pailler ! »
Tout
le monde utilisait cette appellation qui avait été imposée à tous les habitants
de l’immeuble qui étaient susceptibles de recevoir la fessée. Les autres les
avaient imités.
« Oh,
oh, ça sent la fessée !
–
Vous avez raison. La fessée est au programme de ce soir pour ces deux
chenapans. Et une qu’ils vont sentir passer !
–
Bonne soirée ! Je dis ça pour vous, Tatie Claudie, j’ai bien peur que la
soirée de vos pupilles ne soit pas des plus agréables ! »
Tatie
Claudie avait placé Audrey et son mari debout au milieu du séjour. Elle se mit
face à eux.
« Racontez-moi
ce qui s’est passé dans le bus, ce matin ! »
Audrey
et son mari se regardèrent. Ils avaient un air parfaitement innocent.
« Dans
le bus ? Mais rien de particulier, dit Audrey.
–
Et toi qu’en dis-tu ?
–
Comme Audrey ! Il ne s’est rien passé de particulier ! »
Il
portait un survêtement qui n’était tenu, à sa taille que par un élastique.
Tatie Claudie tira vers le bas et le pantalon se retrouva à hauteur de ses
genoux. La culotte était descendue de quelques centimètres dans le mouvement.
Il la remit machinalement à sa place. Puis, se tournant vers Audrey, Tatie
Claudie la courba sous son bras et retroussa sa jupe. La culotte ne la
protégeait pas beaucoup de la vigueur de la main de sa tutrice, d’autant plus
que celle-ci s’égarait souvent sur les cuisses nues. Une vingtaine de claques
sur chaque fesse firent réagir Audrey. Ses cuisses étaient rouges, là où la
main avait frappé, et la couleur se prolongeait sous la culotte.
Tatie
Claudie délaissa Audrey pour placer son mari à sa place. Il reçut la même
fessée que sa femme, ce qui lui arracha les mêmes plaintes et eut les mêmes
effets sur la coloration de son postérieur.
« Relève
ta jupe, Audrey, nous n’en avons pas fini ! »
Debout
devant leur tutrice, ils avaient perdu de l’assurance.
« Je
repose ma question : que s’est-il passé dans le bus ce matin ?
–
Mais je ne sais pas…
–
Et toi, Audrey ?
–
Rien, je vous assure.
–
Je ne vois pas de quoi vous voulez... commença-t-il. »
Il
n’eut pas le temps d’aller plus loin. Tatie Claudie le replaça de nouveau sous
son coude.
« Attendez,
je… »
Tatie
Claudie fit glisser la culotte le long de ses cuisses. La fessée qui suivit fut
tout aussi énergique que la première. Bien que le tissu en fût fin, la culotte
avait amorti quelque peu les claques de la fessée précédente. Cette fois-ci, la
peau des fesses était en première ligne. Cette deuxième fessée était bien plus
rigoureuse que la première. Non seulement elle dura plus longtemps, mais la
main sur la peau nue piquait bien plus qu’avant et le bruit qui en résultait
résonnait bien plus fort.
Il
y avait également la honte d’avoir la culotte baissée par sa terrible voisine
dont il fallait tenir compte. Il n’arrivait pas à trouver cela banal, bien
qu’il ne pût rien faire pour l’éviter. Il était stupéfait par le peu de prix
que sa voisine accordait à ménager sa pudeur. Non seulement elle le déculottait
sans hésiter, mais de plus elle n’hésitait pas à exposer son intimité en présence
d’autres personnes.
La
fessée ne cessa pas avant que ses cris se soient transformés en sanglots.
« Relève
ta chemise ! La punition n’est pas terminée ! »
Sans
s’inquiéter plus longtemps de ce qu’il faisait, Tatie Claudie reporta son
attention sur Audrey.
« Attendez !
Je sais ce qui s’est passé ! C’est à cause de…
–
Tu me diras cela tout à l’heure, l’interrompit Tatie Claudie. Après la
fessée ! »
La
rigueur de celle-ci ne laissa pas le temps à Audrey de continuer ses aveux.
Audrey sentit que Tatie Claudie dénudait son postérieur et la fessée commença
aussitôt.
Audrey
ne s’habituait pas plus que son mari à être corrigée par sa voisine. Elle
l’aurait volontiers contesté mais la seule tentative qu’elle avait fait en ce
sens, la première fois où Tatie Claudie l’avait déculottée et fessée en
présence de son mari, s’était soldé par un échec cuisant. La fessée à main nue
avait été doublée par une deuxième donnée avec la règle et une soirée entière
passée au coin. Audrey en gardait un souvenir cinglant. Elle ne tenait pas à
recommencer. Tatie Claudie trouvait, à juste titre devait reconnaître Audrey,
suffisamment de raison de recourir à la règle sans qu’il y eût besoin d’en
rajouter.
C’est
avec réticence, qu’après cette fessée, elle était venue s’asseoir à califourchon
sur les genoux de Tatie Claudie. La sensation du tissu de la jupe de Tatie
Claudie sur ses fesses nues lui avait rappelé sa condition de punie. Elle avait
frissonné au premier contact de la main qui caressait ses fesses encore
marquées par la règle. Elle n’avait pu retenir une crise de larmes que Tatie
Claudie avait modérée en posant son visage sur son épaule.
Elle
était restée tendue durant plusieurs minutes, raidies entre les bras de sa
tutrice, comme le contact avec la main, les genoux et le corps de Tatie Claudie
augmentait encore son inconfort. Puis, peu à peu, elle s’était laissée aller
dans les bras qui étaient décidément bien accueillants et dans lesquels elle se
sentait en sécurité.
C’est
quand ses larmes avaient tari, qu’elle avait fait une dernière tentative.
« C’est
pas normal, dit-elle sans lever la tête de l’épaule de Tatie Claudie.
–
Qu’est-ce qui n’est pas normal, ma chérie ? La vaisselle de ce matin ne
traînait-elle pas sur la table du petit-déjeuner ?
–
Si, ce n’est pas ça. Si vous me donnez la fessée devant mon mari, je n’aurai
plus d’autorité sur lui.
–
De l’autorité sur lui ? Crois-tu que tu en aies déjà eu ? »
Le
grognement qu’elle laissa échapper lui valut une bonne claque sur la cuisse
nue.
« Attention !
Pas de caprice ! Je peux te donner une autre fessée ! »
La
position dans les bras de Tatie Claudie, l’échange à mi-voix directement dans
l’oreille de l’une à l’autre, les larmes qu’elle avait encore sur la joue, la
main qui tour à tour fessait et caressait, ses fesses nues… Audrey avait eu la
sensation d’être une petite fille plus qu’une adulte. Ce n’avait pas été
facile, dans ces conditions, de discuter avec Tatie Claudie d’égale à égale.
Celle-ci avait mis définitivement fin à la discussion.
« Il
n’est pas nécessaire que tu aies de l’autorité sur ton mari. Dorénavant, je
m’en chargerai. Je crois que tu as bien assez à faire à contrôler ce que tu
fais, sans avoir la charge d’une autre personne. Je ne t’autorise plus à fesser
ton mari. Tu n’es pas assez responsable pour cela. C’est moi qui le ferai, pour
lui comme pour toi ! »
Depuis,
elle subissait les fessées comme une véritable épreuve, tout en sachant, à
chaque fois que la correction était méritée. Mais elle ne loupait pas une
occasion de se réfugier dans les bras de sa voisine et elle se sentait fière
quand Tatie Claudie lui faisait un compliment, ce qui arrivait malgré tout
assez souvent.
Chaque
fois que la main claquait sur ses fesses, elle avait un sursaut de douleur qui
était insuffisant pour absorber la brûlure que cela provoquait. Tatie Claudie
poursuivit jusqu’à ce que les larmes d’Audrey lui indiquèrent que la fessée
faisait son effet.
« Allez,
chacun dans son coin ! Ne croyez pas que nous en avons fini tous les
trois. Réfléchissez bien à ce que vous allez me répondre tout à
l’heure ! »
Dans
le séjour chez Tatie Claudie, ils avaient effectivement chacun un coin dans
lequel ils se retrouvaient après les fessées. Tatie Claudie exigeait qu’ils y
prennent la même position que celle que Maeva et Marguerite devaient adopter en
pareilles circonstances. C’était humiliant de montrer ses fesses nues portant
encore les traces de la récente fessée, à qui était là. Particulièrement quand
il y avait des spectateurs.
Mais
comment faire autrement ? C’était inenvisageable.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui, normal ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.
Amis de la poésie et de la fessée en culotte courte... Bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Jçsip.
Le régime de la fessée à tous les étages franchit un pallier dans l'immeuble de la déculottée ! Le port de l'uniforme gris initié par Tatie Claudie, offre un équivalent à l'uniformité des fesses rougies par ses soins.
C'est fou comme les tantines ont cette inclinaison à sévir pour la bonne cause et câliner ensuite. La fessée punition est souvent suivie de marque d'affection, comme une consolation. Un juste équilibre entre l'exercice de l'autorité acceptée par le puni pour la faute commise, et la manifestation du pardon après la sanction.
Esprit est tu là? Oui, frappeur et rédempteur, au service de valeurs éducatives justement inculquées.
Amicalement
Ramina