QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
JOCELYN BAUFAISSIER
Géraldine
fait trottiner Andrew à côté d'elle en lui tenant le derrière en l'air,
suspendu par les élastiques de son slip qu'elle lui a rentré dans la raie des
fesses. Elles montaient et descendaient au rythme de la marche, rebondissant à
chaque pas qu'il faisait.
–
« Aller Andrew, on avance et on se dépêche ! Tant qu'elles sont
encore chaudes, il faut que vos fesses
profitent bien de la nouvelle fessée qui les attend à la maison. Vous
avez échappé à la déculottée chez Bettina, mais ne vous faites pas d'illusion,
Margaret va se faire un plaisir de s'en charger !
–
Oooh Nooow, please Miss Géraldine ... !! s'écrie le jeune homme terrorisé
à l 'annonce de recevoir une nouvelle fessée de Margaret. Pas encore la 'spanking.... Please, pas par votre Mother ! Elle fesse trop
''hard''... euh... fort !
–
Il va falloir vous y faire mon ami, une vrai bonne fessée, doit toujours être
très sévère . Et cessez de pleurnicher comme un gamin, ça ne changera rien.
Sinon d'en mériter une plus longue ! Aller, avancez, plus vite que ça ! Les
fesses bien en vue, pour montrer à tout le monde qu'elles en ont déjà reçu une
belle !
–
Ooow... pitié... j'ai... very, very...
honte...shocking !!
–
C'est fait pour ça mon ami ! . Appliquez-vous a bien remuer du derrière
pour qu'il attire les regards – Elle le fait obéir d'une monumentale claque aux
fesses qui retentit bruyamment dans la rue – Mieux que ça ou c'est la fessée
directe sur le trottoir ! »
Mâté,
il avance à petits pas ridicules, tortillant, malgré lui, une paire de fesses
rebondissante dont la cuisson persistante ne passait pas inaperçue. Plusieurs
passantes se retournent, amusées, pour contempler les belles rondeurs écarlates,
d'autres s'étonnent de la solidité des élastiques du slip qui en supportaient
le poids. Certaines encore, complimentent Géraldine et l'incitent à continuer
le traitement. Ce dont elle était déjà convaincue,
Andrew, tout essoufflé, marchait avec difficultés en tenant son
pantalon sur ses cuisses, les fesses douloureuses, sciées en deux par les
élastiques de son slip tendu au fond de la raie. Son visage, en transpiration,
était presque aussi rouge, mais de honte et d'humiliation.
Une
grande et belle femme, de forte corpulence, s'arrêta à leur hauteur. Son
physique, aux formes généreuses, impressionnait dès le premier coup d’œil.
Tailleur, très ajusté sur des hanches opulentes, jupe serrée, pleine à craquer
d'un imposant fessier, bustier en dentelle empli à ras bord, bas nylon, talon
aiguille, elle affichait l'élégance provocante et raffinée d'une bourgeoise
dévergondée, bon chic bon genre. A côté
d'elle, son mari, de moindre envergure,
en costume trois pièces, se tenait sagement en retrait, dans une attitude
respectueuse. Mis à part la solide paire de fesses particulièrement développée
qui gonflait le fond de son pantalon, son allure plutôt mince, contrastait
fortement avec l'imposante stature de son épouse. On voyait au premier coup
d’œil que Madame portait la culotte et que Monsieur devait se faire
régulièrement descendre la sienne. Le
manche du martinet, lustré par l'usage, qui dépassait du sac de l'altière
épouse, montrait jusqu'à quel point, elle tenait ses fesses sous son autorité.
–
« Mademoiselle, permettez-moi de vous féliciter, dit-elle à l'attention
de Géraldine. Je constate que vous pratiquez la fessée avec une belle
efficacité. Le fessier de monsieur est absolument resplendissant.
–
Merci du compliment chère Madame, ça lui va droit aux fesses ! Ironise la
jeune femme
avec
son sens habituel de la provocation. »
Andrew,
en arrêt les fesses à l'air, sur le trottoir, n'a pas tout compris. Il a laissé
tomber son pantalon sur ses chevilles et attend sagement les consignes.
–
« Voyez-vous, poursuit l'arrogante créature, mon mari se plaint que je
suis trop sévère avec ses fesses. Quand je vois la couleur et la cuisson de
celles du vôtre, je me dis que les fessées que je mets au mien, ne sont pas
encore assez cuisantes pour obtenir des fesses aussi reluisantes sur toute la
surface. »
Géraldine sourit avec indulgence. La
différence d'âge entre Andrew et elle, n'est pas si importante et peut porter à confusion.
–
« Ce n'est pas mon mari, chère Madame, juste un étudiant Anglais au pair
pour quelques semaines, d'un petit signe du menton, elle désigne ses grosses
fesses rouges qui débordent presque entièrement des élastiques de son slip. Son
comportement laisse tellement à désirer qu'on doit le corriger souvent. Il a
besoin de cuisantes fessées, elle a un
petit rire mutin. Alors on lui en
met... et des sévères, comme vous pouvez le constater!
–
Je vois ça ! Dit la Dame à la volumineuse poitrine frémissante. Son
décolleté provoquerait une émeute dans un congrès de séminaristes. Vous faites
bien, je suis moi-même adepte inconditionnelle de la fessée que je pratique
aussi régulièrement. C'est même mon sport favori ! »
Elle
a un rire de gorge sonore qui fait lourdement tressauter son avant-scène. Visiblement passionnée par le sujet, et toute
au plaisir d'en partager l'intérêt, elle s'exprime sans retenue.
–
« Je ne connais rien de mieux pour entretenir la forme qu'une bonne
séance de fessées ! Elle arrondit
ses lèvres rouges en forme de cœur : J'adoooore ! Vous ne pouvez pas savoir comme ça m'excite
de sentir un fessier bien ferme chauffer sous ma main. Surtout celui de mon
époux qui claque si bien ! Mon petit salopard de mari... il a en a une de
ces paires ! Il faut dire qu'en dix
ans de mariage, j'ai eu le temps de lui formater le derrière à ma main, un vrai
cul à fessées ! »
Le mari ne dit rien, il doit être habitué à ce
genre de commentaire humiliant.
Géraldine
se félicite intérieurement d'avoir eu l'idée de trimballer Andrew dans la rue
les fesses rouges bien en vue, sans quoi elle ne se serait jamais faite abordée
par cette magnifique maîtresse femme. Indifférente aux gens qui passent sur le
trottoir, et sans plus se préoccuper de la présence de son époux, elle continue
à vanter les capacités d'endurance de ses fesses à encaisser les nombreuses
fessées qu'elle lui administre.
–«
Je ne me lasse pas de le corriger, et je saisis la moindre occasion. Elle rit
encore, sa poitrine manque de déborder. Même s'il ne s'en présente pas, je
finis toujours par trouver un prétexte à le déculotter et lui rougir le
derrière … le rouge lui va si bien aux fesses ! »
Les
passants passent, des couples s'arrêtent, les dames montrant à leur mari, les fesses d'Andrew, en exemple
de ce qui devrait désormais leur arriver. Géraldine est d'abord surprise puis
enchantée de cette conversation inattendue.
–« Vraiment ravie de vous rencontrer, chère
madame. Je vois que nous partageons les mêmes valeurs et les mêmes méthodes de
discipline... Je me présente : Géraldine Delaniaires. »
Elle
lui tend la main. Celle de la Dame, gantée de résille, lui enserre les doigts
sous une poigne de fer. Il ne doit pas faire bon laisser traîner ses fesses à
sa portée.
–«
Excusez-moi dit la femme aux mains comme des battoirs, j'ai pris ce jeune homme pour votre mari. Et
je ne me suis même pas présentée : Jocelyn Baufaissier, elle fait un signe de tête en direction de
son époux resté silencieux. Jasper ... mon mari... Elle lui jette un
regard sévère. Jasper, tu salues Mademoiselle s'il te plaît ! »
Il
semble sortir de ses pensées et, confus, émet un timide bonjour, presque
inaudible. Madame le reprend aussitôt sous l'œil goguenard de Géraldine.
–«
Jasper, vous dormez mon ami ? Je n'ai rien entendu ! »
Il
réitère son salut , mais pas mieux, paraissant indifférent à ce qui se passe
autour de lui.
Madame
manifeste aussitôt son mécontentement. Elle frémit sur ses hauts talons qui
claquent sur le sol en faisant rebondir ses lourdes fesses et son envahissante
poitrine.
–
« Enfin Jasper... qu'est-ce que c'est que ces manières ? Vous pourriez faire un effort de politesse
mon ami ! Je ne vous le demanderai pas une troisième fois ! Si vous
avez besoin d'une nouvelle correction, ça ne va pas traîner ! Que diriez-vous
d'une bonne fessée déculotté, là, tout de suite, sur le trottoir, devant tout
le monde... Hein ? »
Elle
n'a nullement besoin de réponse et
commence à enlever le gant de sa main droite. Celle qui fesse. Elle aime
sentir la cuisson de son derrière sous sa paume.
–«
Vous pourriez ainsi faire admirer vos fesses en train de se tortiller sous les
claques. Je suis certaine que ça plairait
beaucoup. »
Elle explique à Géraldine avec un soupir
agacé.
–«
Il y a des jours comme ça, et ce n'est pas pour me déplaire, où il a besoin que
je lui claque les fesses encore plus sévèrement que d'habitude. Il ne pense à
rien et ne fait attention à rien. Je lui ai déjà mis deux fessées ce matin. Une pour avoir
oublié de vider le lave-vaisselle, l'autre, dans la foulée à cause des miettes
qu'il a laissé sur la table, et en plus, Monsieur m'a filé un bas en
s'accrochant à mes mollets pendant que je le corrigeais. .
– Au prix où sont les nylon maintenant, répond
Géraldine. Ça mérite au moins, une fessée supplémentaire...
–
Une seule, ce n'est pas suffisant, moi je lui en remets deux, à chaque fois.
Les fessées, c'est comme les bas nylon, ça va par paire ! Et voyez-vous,
je le corrige très souvent courbé sur ma
cuisse relevée, le pied posé sur son tabouret à fessées. J'adore l'avoir comme ça, les fesses en l'air,
bien déployées à ma main. »
Considérant, depuis longtemps, la fessée comme
un sujet de conversation tout à fait
normal, les deux femmes papotent tranquillement sur le trottoir, sans se
soucier, le moins du monde des gens qui les croisent et qui pourraient les
entendre. Andrew en profite pour se
frotter discrètement le derrière pendant que le mari, fait preuve d'une
discrétion exemplaire. Son épouse a dû lui apprendre à garder le silence quand
elle parle, car il n'a pas encore dit un
mot.
Géraldine
est positivement ravie de cette rencontre impromptue. L’exubérante femme à
poigne, semble aussi à l'aise à discuter, en pleine rue, des corrections
qu'elle flanque à son mari, que dans son salon avec ses amies. Elle
continue d'ailleurs à disserter sur les avantage de la position qu'elle vient
d'évoquer.
–
« Oui, parce que le puni est obligé de maintenir ses fesses en équilibre
instable. Comme j'interdis à Jasper de se tenir à ma jambe pour ne pas risquer
d'abîmer mes bas, il doit me présenter ses fesses en s'agrippant au dossier de
la chaise. S'il ne respecte pas la consigne... son regard s'allume d'une pointe
de jubilation. C'est le coin, puis retour sur ma cuisse pour une nouvelle
fessée ! »
Soudain
consciente de s'être laissée emportée par sa ferveur, elle marque un temps
d'arrêt.
–«
Mais je parle, je parle... je suis intarissable sur le sujet. »
Séduite
par l'éclatante rougeur du postérieur d'Andrew, elle demanda alors à Géraldine
de consentir à une petite démonstration de son savoir-faire sur les fesses de
son mari.
–
« Qu'en dites-vous ? Elle rit.
Une bonne fessée, au moins aussi sévère que celle que vous avez mise à ce jeune
homme. Je voudrais comparer la couleur de ses fesses avec celle que j'obtiens
quand c'est moi qui le corrige... je suis curieuse de savoir, s'il y a beaucoup
de différence de cuisson entre vos fessées et les miennes. »
Elle
a plongé la main dans son pantalon et, pas gênée le moins du monde, caresse ses
belles rondeurs fessières à travers son slip. Il gémit un peu, mais n'a d'autre
choix que de la laisser lui peloter
honteusement le derrière en pleine rue. Il sait qu'une nouvelle fessée
l'attendrait de retour à la maison s'il émettait la moindre protestation.
Docile, il cambre les reins et arrondit son postérieur pour le lui mettre bien
à sa main et montrer qu'elle en dispose à sa guise. Les yeux au ciel elle en
parcourt la surface d'un air détaché.
–
« Je suis sûre que Jasper est d'accord,
je sens ses fesses frémir d'impatience au fond de son slip. Notre amie
Géraldine ne va pas les faire attendre longtemps, n'est-ce pas? »
Géraldine,
ne se fait pas prier. Elle se garde bien de dire que ce n'est pas elle qui a
corrigé Andrew. Elle n'a pas administré une seule fessée de la journée.
L'occasion est trop belle d'en claquer une à un inconnu, sur le trottoir
devant tout le monde, à la demande de
cette belle femme élégante, adepte des
mêmes méthodes de discipline.
–
« Pour ça non, ce n'est pas le genre de la maison. A peine annoncée, la fessée
tombe tout de suite ! »
Jocelyn Baufaissier obtient toujours ce
qu'elle veut. Satisfaite, elle pointe un index autoritaire en direction de
Géraldine et ordonne d'un ton péremptoire.
–
« Vous avez entendu Jasper ? Baissez votre pantalon et allez
présenter vos fesses à Mademoiselle Géraldine. Je veux vous voir revenir, avec
une paire rougie à l'écarlate ! Si
j'estime qu'elles ne le sont pas assez, vous y retournerez pour une deuxième
fessée, et une troisième s'il le faut, jusqu'à ce que je sois satisfaite de la
cuisson, et de la couleur. Je veux des fesses éclatantes ! C'est
compris ? »
Terrorisé,
Jasper va chercher sa fessée en se tenant le derrière à deux mains comme pour
le protéger à l'avance. Si ses fesses avaient des dents on les entendrait
claquer, même dans la rue. Arrivé devant Géraldine il se tourne en baissant son
pantalon, sous l’œil sévère de son
épouse qui le regarde s'humilier devant une inconnue, avec un sourire
jubilatoire.
–
« Le pantalon aux chevilles, insiste-t-elle, implacable. Cuisses et
fesses, bien dégagées ! »
Géraldine
s'est emparée de sa victime avec autorité. Il n'est pas bien lourd et facile à
manœuvrer. Elle le cale sous son bras, la main passée sous son ventre pour lui
mettre le derrière à la bonne hauteur. Son pantalon est descendu tout seul,
faisant apparaître une formidable paire de fesses, solidement culottées dans un
slip à fessées du meilleur effet. La rougeur de ses fesses, d'une précédente
correction est encore visible. Dressé à
recevoir la fessée, il se laisse mettre en position en suppliant pour la
forme.
–
« S'il vous plaît , Mademoiselle Géraldine ! Pas trop fort la
fessée ! Pitié, pas trop fort !
S'il vous plaît !... C'est ma troisième fessée depuis ce
matin... »
Sa
femme le reprend aussitôt, d'autorité.
–«
Qu'est-ce que j'entends Jasper ? On fait son petit douillet, on discute sa
fessée ! Je vais vous donner une
bonne raison de pleurnicher moi. Vous en aurez une autre en prime, sitôt rentré
à la maison, pour avoir réclamé de l'indulgence.
–
Ooooh, Jocelyn... nooon...pitié... pas encore une ! Mademoiselle, s'il
vous plaît !
–
Ne l'écoutez pas Géraldine. Allez-y, et une sévère, c'est tout ce qu'il mérite.
–
J'en avait bien l'intention, chère Madame ! »
Insensible
aux jérémiades du mari, Géraldine, le déculotte et commence à lui claquer sa
fessée à même le trottoir. Le volumineux fessier, encore souple des fessées
précédentes, crépite généreusement sous
sa main ferme et enveloppante. Elle fesse avec ardeur et le vicieux plaisir d'administrer
cette correction, en public et sur commande. Elle fesse fort Géraldine, avec
ardeur, consciente que cette fessée exhibition confirme la réputation de la
maison Delaniaires en matière de
discipline. Elle s'applique à bien corriger
la belle paire de fesses qui tressaute en cadence sous le regards des
passants. Des femmes surtout, qui s'arrêtent
pour se régaler du spectacle. Quelques couples aussi, des épouses,
décidées à suivre l'exemple. La plupart des maris peu rassurés, se mettant en retrait ou
regardant ailleurs.
Madame
harangue le sien, sans vergogne, pour ajouter à son humiliation.
–«
Allez Jasper, cambrez bien les reins ! Poussez à fond sur le derrière
! Encore ! Plus tendu, mieux
que ça ! Montrer à Géraldine comment je vous ai appris à présenter vos
fesses pour bien prendre vos fessées ! »
Le
malheureux est bien loin de cette idée, si valorisante soit elle pour son
rutilant derrière. Incapable de se
retenir, oublieux du public, il pleure à chaude larmes et supplie en vain sa
fesseuse qui ne concède rien à la sévérité de la magistrale fessée. Il se
tortille sous l'avalanche de claques, trépigne d'un pied sur l'autre, offrant
aux curieux arrêtés sur le trottoir, le
réjouissant spectacle d'une frénétique danse des fesses. Géraldine, stimulée par la présence des témoins,
lui claque maintenant le derrière à la volée. Elle tient son buste fermement
maintenu sous son bras, ne laissant que son postérieur frétiller librement au
rythme de la fessée.
La
dames demandeuse, à la forte poitrine est ravie de la démonstration.
–
« Voyez Jasper, ça c'est une fessée, une vraie bonne fessée, cuisante et
claquante comme il faut , de celles qui rougissent bien les fesses ! Vous
sentez comme elle fesse fort la
demoiselle, comme elle les claque bien vos grosses fesses ! Voilà exactement
le genre de fessée qu'il vous faut mon ami, comme à la maison. »
Tout
excitée, la forte femme se trémousse d'aise sur ses hauts talons.
–
« Ah, Monsieur pleurniche ! Monsieur prétend que je suis trop sévère,
se plaint du soi-disant excès de sévérité des fessées que je lui donne ! Eh
bien, vous pouvez dès maintenant les préparer vos fesses, on recommence dès le
retour à la maison. »
Malgré
le bruit de la rue et le claquement de la fessée, Géraldine a entendu les
propos de la Dame à l'adresse de son mari. Elle sourit intérieurement et,
sévère jusqu'au bout, parachève la
cuisson de ses fesses d'une terrible salve plus appuyée. Il hurle. La fessée
est terminée. Elle relève la tête vers la plantureuse épouse.
–
« Voilà chère madame, Monsieur a eu la fessée que vous vouliez !
On ne doit pas s'ennuyer avec une
pareille paire de fesses à la maison. Elles ont du répondant !
–
C'est vrai, répond Madame, l'air satisfait d'elle-même. Je fais ce qu'il faut
pour ça, je les entretiens régulièrement. Mais vous n'avez pas eu l'air de vous
ennuyer non plus. »
Géraldine
n'a aucune raison de bouder son plaisir.
–«
Pour moi ça a été un vrai régal. Pour lui, j'en suis moins sûre. »
Elle
le regarde, gémissant, écroulé à ses
pieds, se tenant les fesses à pleines mains.
–
« Alors, qu'est-ce que ça fait, de recevoir une cuisante fessée déculottée
en public ?
–
Le plus grand bien ! , répond Jocelyn à sa place. C'est bon pour lui de
sentir une autre main que la mienne claquer sur ses fesses, sinon elles
finissent par s'habituer.
–
Vous avez pu comparer comme vous le vouliez, alors. »
La
belle femme se rapproche de Géraldine avec un sourire malicieux et lui répond,
sur le ton d'un aveu.
–
« En fait, ne m'en voulez pas, mais c'était un prétexte. J'avais décidé de
faire fesser Jasper par une inconnue et en public. Voilà qui est fait, et à
refaire. Merci pour cette superbe fessée. J'ai beaucoup apprécié votre petit
coup poignet nerveux au moment de la frappe et d'entendre les fesses de Jasper
claquer aussi sec. Elles sont bien rouges,
comme je le voulais. D'ailleurs, voici ma carte... Nous nous reverrons
certainement et avec grand plaisir. »
Les
numéros de téléphone échangés, elles se séparent. Géraldine regarde le couple
s'éloigner sur le trottoir. L'intraitable épouse ondulant joyeusement de la
croupe, fait avancer son mari devant elle à grandes claques sur les fesses,
tout en prenant un vicieux plaisir à lui rappeler la nouvelle fessée qui
l'attend à la maison. On est sévère ou on ne l'est pas, elle lui en annonce
même une deuxième pour avoir négligé de remercier sa fesseuse.
Géraldine
fait se relever Andrew, qui s'était mis à genoux.
–
« Alors mon ami, on en a profité pour se soulager le derrière ! Très
bien, comme ça il aura un peu récupéré pour la suite. »
Elle
le remet debout en le soulevant à nouveau par son slip qu'elle lui remonte
d'autorité dans la raie des fesses.
–
« Aller on garde son pantalon baissé et, en route ! Il est temps de
rentrer. Dit-elle en le propulsant en
avant d'une nouvelle claque aux fesses. J'ai comme l'impression que Margaret
doit nous attendre, et pas que pour nous faire des compliments. Walter, a déjà
certainement dû l'appeler pour la mettre au courant. »
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerVoilà donc une future adhérente au Cercle des Fesseuses Fessues de Synthol-sur-Mer. Elle porte fièrement son patronyme. Ces messieurs peuvent déjà avaler deux Polidrane en prévision. Main d'acier sous mitaine de résille ! De l'élégance en toutes choses. Madame Tapefort ne va pas tarder à la convier pour une "Spanking-party" pour mieux faire connaissance. Les Garnements seront au garde-à-vous. Isn't it ?
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée en public, bonjour Ramina,
RépondreSupprimerAh, cette déambulation dans la rue, les fesses rougies à l'air, j'en suis tout émoustillée... Par contre Andrew, lui, n'a pas vraiment l'air d'apprécier le traitement. L'élastique qui lui remonte tout le matériel et s'insinue dans la raie est vraiment pas terrible, si on se met à sa place.
Et que dire de cette chère Jocelyn BAUFAISSIER, toujours le martinet à portée de main, pour remettre à sa place ce cher Jasper qui ne doit pas toujours être à l'aise dans son trois pièces, surtout lorsqu'il voit de Madame son épouse est en pamoison devant les rougeurs d'Andrew. Une nouvelle dame aux mains fermes fait son apparition dans la série.
Non moins excitée, Géraldine va pour la première fois fesser un inconnu et en pleine rue, de quoi ameuter tout le quartier, car je ne doute pas que les claques et les cris de Jasper vont attirer les foules.
Cet intermède est pour Andrew, une parenthèse mais il n'en sera que plus corrigés après. Géraldine, ayant déjà eu une fessée à distribuer est en condition pour en mettre une nouvelle.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter
RépondreSupprimerJe ne sais pas si le Doliprane fait passer la cuisson des fessées, mais ça peut toujours être efficace dans le genre parle à mes fesses ma tête est malade...Le synthol doit être plus approprié.
Et oui, Madame Baufaissier vient agrandir la famille de CDAMF... Plus on est de mains, mieux on fesse! Et tu l'as dit "fibou", on fesse avec élégance, d'une main de fer sans gant de velours!
ça n'a pas fini de chaufeeeeeer!
Amicalement
Ramina
Chère Elena,
RépondreSupprimerPositivement ravi de vous savoir "émoustibourifféé" à la lecture de cet épisode. Les exhibitions punitives en public, les fesses et tout le tremblement à l'air, sont pratiques courantes à Ste Croix. Pas étonnant que la petite ballade d'Andrew dans la rue, le slip dans la raie des fesses, rouges et cuisantes, a pu titiller votre sensibilité ... (rire)
En tout cas, bravo, excellente synthèse, avant les hypothèses.
Question pratique de la fessée et sévérité, Jocelyn BAUFAISSIER n'a rien a envier à CDAMF. La rencontre du troisième type de postérieur, en l'occurrence celui de jasper, pourrait effectivement stimuler les ardeurs de Géraldine à corriger Andrew. Mais... pas certain que sa mère, Margaret, passe l'éponge sur sa complicité avec Bettina... Allez savoir... Gaspard! C'est compliqué tout ça !
L'intrigue n'arrête pas de se nouer, se noue et se renoue, se dénoue ensuite et puis se renou-nou... pour se redénounouer encore. On n'en sort pas des nou-nous! Autant prendre une "Baby Sitter à plein temps!
Amicalement
Ramina
Excellent commentaire comme d'habitude, toujours drôle et on devine ( mais depuis le temps qu'on le sait ), un esprit pétillant et vif !
SupprimerAmitiés.
Elena.
Bonjour Ramina, et Elena,
Supprimer"
Ce jeu de mots me donne l'idée d'une "saynète à Nounou". Je vais y réfléchir. Polom pom...
Amicalement. Peter.
Merci, vous n'en êtes pas moins pertinente.
RépondreSupprimerAmusant, on anticipe sur le printemps en s'envoyant des fleurs.
Bon ça change un peu des claques sur les fesses !
Amicalement
Ramina