« Approche ! Ce n’est pas
le moment de désobéir ! »
Lentement, mais inexorablement,
Colin vint se mettre entre les mains de sa cheffe de service. Il aurait voulu
que le chemin fût long, mais il n’y avait que trois pas à faire. Madame Talouet
ne perdit pas de temps pour défaire le pantalon. Colin la laissa faire tant
qu’elle s’affairait sur la ceinture. Il eut un geste de recul quand il sentit
les mains de sa cheffe sur sa braguette. Bien qu’il y eût encore le tissu du
pantalon et de la culotte pour faire écran avec sa verge, il réagit au contact
qui lui sembla intime alors que Madame Talouet y était totalement indifférente.
« Tiens-toi
tranquille ! »
Il fut remis en place fermentent
et le déculottage se poursuivit. Il avait pourtant l’habitude que les mains de
sa femme entrent en contact avec cette partie de son anatomie. Autant il
appréciait les attouchements que cela engendrait quand il s’agissait de
préliminaires à une relation sexuelle, autant il les redoutait quand c’était
une punition qui s’annonçait. C’était encore pire maintenant qu’il s’agissait
de sa cheffe de service. Il était parcouru de frissons et une boule grossissait
dans son ventre. Il avait du mal à avaler sa salive.
La braguette déboutonnée, le
pantalon tomba sur le bas de ses cuisses. Madame Talouet le fit passer
en-dessous des genoux. Il eut un frémissement quand elle passa ses doigts sous
l’élastique de la culotte, mais il s’en tint là. Le pire était à venir. Il
sentit son sous-vêtement glisser le long de ses cuisses et l’effleurement des
mains le long de sa peau. Il sentit son sexe se recroqueviller. Il ferma les
yeux. Il ne voulait pas croiser le regard de ses collègues, il avait peur d’y
lire de la pitié ou pire encore de la satisfaction, en réponse à la honte qu’il
ressentait au fond de son estomac.
Madame Talouet ne lui laissa pas
le temps de réfléchir plus avant sur sa nouvelle condition dans ce bureau. Elle
passa son bras derrière son dos et enserra sa taille. Colin avait l’habitude de
cette position. Il y était placé par sa femme plusieurs fois par semaine. C’est
donc tout naturellement qu’il laissa Madame Talouet le placer de façon à mettre ses fesses nues commodément à disposition de la main qui
devait le punir.
Madame Talouet le serra fermement
contre sa hanche et elle le fit basculer en avant afin que seuls les bouts de
ses pieds touchent encore le sol. Elle voulait que, pour cette première fessée,
il se sente maintenu sous sa contrainte et qu’il soit clair que c’était sa
volonté à elle qui le plaçait dans cette position disciplinaire. C’était
l’occasion d’asseoir définitivement son autorité en le faisant déchoir de la
position surplombante par rapport à ses autres collègues, ce qui laissait
toujours un doute quant sa légitimité à elle, à diriger ce service.
Ayant publiquement mis au jour
les corrections domestiques qu’il recevait et après l’avoir déculotté en
présence de tous ses collègues, il ne lui restait plus qu’à démontrer que la
fessée constituait une punition effective qui amènerait son collaborateur à se
repentir de son attitude.
Pour Colin, le mal était fait. Il
sentait bien que plus jamais il ne pourrait avoir de nouveau son statut de
privilégié, opposant discret et non déclaré à sa cheffe, contestant son
autorité par le doute qu’il distillait sur sa compétence à occuper le poste de
responsabilité. Il serait maintenant regardé, malgré son âge, comme un garçon un peu
immature qu’il convenait de punir pour le ramener à des meilleures dispositions.
Il se doutait qu’après
l’autorisation et les encouragements de sa femme que sa cheffe venait de recevoir,
elle ne s’en tiendrait pas à une seule fessée. Il y en aurait d’autres, sans
doute au plus petit prétexte. Il lui faudrait maintenant faire attention à ce
qu’il disait et à ce qu’il faisait. Il devrait montrer des gages de sa
soumission à l’autorité de sa cheffe. Plus question d’insolences implicites,
plus question d’insinuations suggérées mais non formulées. Il devrait changer
d’attitude.
Il ne pouvait rien faire pour
l’éviter. Il ne lui restait plus qu’en reliquat de sa fierté qu’il montrerait en
subissant sa fessée sans montrer combien elle constituait une punition
effective. Il avait décidé de rester stoïque quelle qu’en soit la sévérité. Il
serra les dents, bien décidé à ne laisser échapper aucune plainte.
La première trentaine de claques
que Madame Talouet répartit équitablement sur ses deux globes fessiers fut
supportable. Il sentait l’échauffement monter, mais il avait déjà subi pire
correction. Il avait failli rompre sa résolution au tout début de la fessée.
Madame Talouet savait administrer un châtiment et les bruits qui couraient sur
son expérience familiale en la matière étaient certainement vrais.
L’échauffement se transforma
rapidement en une brûlure qui devint rapidement aiguë quand Madame Talouet
accéléra le rythme et qu’elle décocha des rafales de claques cinq, six, dix
fois au même endroit avant de passer à l’autre côté et de recommencer. Colin
émit un gémissement qu’il réussit à étouffer entre ses dents.
Cette petite concession à la
vigueur de la fessée ne contenta pas Madame Talouet. Elle s’appliqua à donner
un maximum d’efficacité à chaque claque sans ralentir le rythme. Colin n’en
pouvait plus. La douleur qui naissait sur ses fesses s’était emparée de tout son
corps. Il sentait que des larmes remplissaient ses yeux, mais il arrivait, à
grand peine, à ravaler les cris qu’il aurait volontiers laisser sortir s’il
avait été dans un cadre plus privé.
Madame Talouet vécut cette
situation comme un défi. Afin d’arriver complètement à son but, Colin devait
craquer. La main n’y suffirait pas. Elle suspendit, pour un instant, la
correction.
Colin eut une seconde d’espoir.
Lui qui était sur le point de céder, il était parvenu à résister et à subir
silencieusement la fessée sans extérioriser sa douleur. Malgré la fournaise qui
embrasait ses fesses il souffla de soulagement.
« Léa, s'il vous plait, pouvez-vous
m’apporter la règle que vous avez sur votre bureau ? »
Colin mit quelques secondes à
intégrer cette nouvelle information. Madame Talouet ne le relâchait pas et elle
demandait une règle. Il ne pouvait y avoir qu’une raison : la fessée
continuait. Tout son courage l’abandonna en un instant.
« Non, non, s'il vous plait,
s'il vous plait… »
Le premier coup de règle
interrompit sa plainte. Le hurlement de Colin finit en sanglots. Ils ne
s’arrêtèrent plus. Madame Talouet continua malgré tout un petit moment. Elle
voulait montrer à Colin quelles étaient les conséquences de son acharnement à
laisser croire que recevoir une fessée lui était indifférent. Il fallait que la
leçon fût cuisante. Madame Talouet et la règle qu’elle manipulait y arrivèrent sans
difficulté.
Colin avait oublié la présence de
tous ses collègues de travail. Il était bien trop focalisé sur ses fesses
incandescentes et sur l’espoir que cette fessée était près de la fin. Madame
Talouet prit son temps pour y arriver.
C’est un Colin qui respirait par
saccade, entre deux sanglots, que Madame Talouet laissa se redresser.
« Bon ! Nous y sommes
arrivés. Voilà qui devrait mettre les choses au point définitivement.
Allez-donc vous mettre au piquet le long de ce mur. Vous y resterez jusqu’à ce
que je vous autorise à en bouger. »
Colin ne demanda pas son reste.
Il fila aussi vite qu’il le put, malgré son pantalon qui lui interdisait de se
déplacer avec toute la célérité qu’il aurait souhaitée. Il se retrouva
cependant le nez le long du mur très vite afin d’être certain d’éviter de
provoquer une nouvelle fois le courroux de sa cheffe de service. Il ravala deux
sanglots et il s’immobilisa.
Madame Talouet regarda Colin
pendant quelques secondes. Ses épaules étaient soulevées, de temps en temps,
par un sanglot qui restait silencieux. Sa chemise couvrait ses fesses dont on
apercevait tout juste le bas.
« Ce n’est pas normal,
songea-t-elle, quand j’ai mis une de mes collaboratrices féminines au piquet,
c’était jupe relevé afin que tout un chacun puisse voir quels étaient les
effets d’une correction. Il n’y a pas de raison qu’il en aille différemment
pour les garçons. »
Elle s’approcha de Colin et elle
releva sa chemise. Il frémit au contact des mains, mais il ne fit pas un geste
pour quitter la position dans laquelle il était. Madame Talouet noua les pans
de la chemise sur le ventre de Colin, dégageant les fesses jusqu’au-dessus de
la taille. Ses fesses vermillon semblaient rougeoyer.
Du coin de l’œil, il apercevait
ses collègues qui étaient placés sur ses côtés. Il avait parfaitement
conscience qu’ils et elles avaient une vue imprenable sur ses fesses et son
sexe, mais cela ne l’incitait pas à bouger pour autant. Il était puni et ce
n’était pas une injustice.
Madame Talouet hocha la tête.
Tout s’était parfaitement déroulé. Elle n’aurait pas pu rêver mieux que d’avoir
à fesser Colin. Maintenant qu’il était mis au pas, elle n’en doutait pas, plus
personne n’oserait contester ses décisions, même quand il serait question de
fessée. Elle devait, dès maintenant confirmer son droit à corriger chacun de
ses employés. Elle se tourna vers Clara.
« Montre-moi ce bon de
commande, Clara ! »
La jeune fille se troubla. Elle
savait que la remarque que Colin lui avait faite, était justifiée. Elle était
préoccupée par une histoire d’amour débutant et elle n’avait pas la tête à son
travail.
« Je vais le relire, Madame
et je vous l’apporte.
– Non, je le veux tout de suite.
Dans sa première version, sans que vous ayez eu le temps d’en rectifier les
erreurs. »
Clara prit le document, elle
contourna son bureau et vint mettre le papier dans la main de sa cheffe. Elle
fit demi-tour.
« Restez-là. J’ai bien peur
que nous ayons à discuter de la qualité de votre travail. »
Sans plus s’occuper de la jeune
fille qui dansait d’un pied sur l’autre et qui se tortillait les doigts, Madame
Talouet prit le temps d’examiner le document.
« Votre collègue avait
raison. Ces trois références sont erronées. Que croyez-vous que notre
fournisseur nous aurait livré ? De plus j’ai compté quatre fautes d’orthographe et une erreur de date. Tel que vous l’avez écrit, nous ne serons
livrés que dans trois mois. Ennuyeux, non, pour une commande urgente, non ? »
Clara avait l’impression d’être
grondée comme elle l’avait souvent été à l’école. Cela se déroulait devant tous
ses collègues et malgré l’envie qu’elle en avait, elle ne pouvait disparaître.
« Pensez-vous avoir mérité
une punition différente de vos deux collègues qui ont été aussi étourdies que
vous ? »
Clara baissa la tête, mais elle
resta muette.
« Je vous ai posé une
question, Clara !
– Non Madame.
– Et quelle punition ai-je dû
leur donner ? »
Comme Clara gardait le silence,
les yeux de Madame Talouet devinrent noirs et menaçants.
« Une… une… une… »
Le mot n’arrivait pas à sortir.
« « Allons,
Clara !
– Une… fessée Madame.
– C’est cela une bonne fessée
déculottée. Puisque que vous avez mérité la même chose, venez donc ici pour la
recevoir. »
Bien qu’elle ne voulût pas
bouger, ses pieds obéirent à sa cheffe. Elle avança vers sa correction. Ce fut
le chemin le plus long qu’elle avait eu à faire de toute sa vie, bien qu’il ne
fît que quelques mètres. Madame Talouet leva le bras gauche et Clara baissa la
tête pour engager sa tête dans l’espace ainsi ménagé. Ensuite, elle laissa sa
cheffe faire, malgré l’effroi qu’elle ressentait de ce qui allait lui arriver.
Le bras de Madame Talouet se posa
sur son dos, entoura son flanc et les doigts de la main s’écartèrent sur son
bas-ventre. Chaque contact la brûlait. Elle eut envie d’écarter la main, bien
trop proche de ses lèvres vaginales, mais elle savait que ce n’était pas à elle
de décider de ce genre de choses. Madame Talouet se plaçait de la façon la plus
commode pour elle.
Tout cela n’était rien. Quand
l’autre main se posa sur ses cuisses, après avoir légèrement soulevé le bas de
la robe, elle crut défaillir. Son cœur eut un raté et ses entrailles se
nouèrent. Elle n’eut pas le temps de se poser plus de question avant que sa
robe ne fût retroussée au-dessus de sa taille.
« Quelle culotte ai-je mise
aujourd’hui, se demanda-t-elle en un éclair. Pourvu qu’elle ne soit pas trop petite,
ni trop transparente. On va voir mes fesses. »
Madame Talouet confirma ses
craintes.
« Je suis étonnée, Clara,
que votre Maman tolère que vous mettiez ce genre de sous-vêtements.
Regardez-moi ça ! Ça ne cache rien et on voit à travers ! Je vais en
glisser deux mots à votre mère. »
Madame Talouet asséna deux
claques bien pesées à la jonction des cuisses que la culotte ne recouvrait pas.
« Mais, j’ai vingt-huit ans,
pensa Clara ! Je peux mettre ce que je veux ! »
Elle n’osa, évidemment pas,
formuler cette protestation à voix haute.
« Dorénavant, Madame Talouet
lui asséna une nouvelle claque, je ne veux plus te voir ici avec de telles tenues.
Je vérifierai. Tu viendras me voir demain matin en arrivant que je regarde
quels sous-vêtements tu portes. Je suppose que le soutien-gorge est à
l’avenant ! Ce que je viens de te dire est valable pour lui aussi. »
Non, visiblement, elle ne pouvait
pas porter les vêtements qu’elle voulait.
« Revenons à la
fessée ! »
Madame Talouet baissa la culotte
qui resta coincée entre les genoux de Clara. Il n’y avait effectivement pas
beaucoup de tissu et maintenant qu’il pendait, chiffonné entre les jambes, on
se demandait s’il s’agissait vraiment d’une culotte.
Clara sentit ses fesses se
couvrir de chair de poule. Elle ne pouvait y croire : ses fesses nues
étaient à la vue de tous ses collègues. Le début de la fessée lui coupa le
souffle. Ce n’était plus le contact de sa peau nue avec la main qui occupait
son attention, mais les conséquences de son application vigoureuse.
Il fallut moins d’une dizaine de
claques pour que Clara retrouvât sa voix. Ce fut pour pousser des cris aigus qui
ponctuaient chaque claque sur les fesses. Ils furent vite entremêlés de sanglots
qui prirent rapidement toute la place. A peine si Clara soulevait un pied, puis
l’autre quand la douleur était trop forte. Elle se soumettait à la fessée, sans
protester, sans se débattre alors que celle-ci semblait, au vu de ses pleurs,
particulièrement cuisante.
Les collègues qui regardaient
ébahis cette scène, avaient le sentiment d’assister à un acte de justice, un
châtiment administré en toute légitimité et dont la punie admettait le
bien-fondé. Ni Clara ni aucun de ses collègues n’aurait pu penser
qu’administrer cette correction relevait d’un abus d’autorité. Ce n’était pas
l’impression que laissait ce qu’il voyait.
La couleur des fesses de Clara
avait nettement foncé quand Madame Talouet la laissa se redresser.
« J’espère que cette fessée
vous amènera à vous concentrer un peu mieux sur votre travail, jeune fille.
Mais ne vous inquiétez pas, je recommencerai aussi souvent que nécessaire.
Allez donc rejoindre votre collègue, le nez contre le mur et les mains sur la
tête, pour réfléchir à tout cela. »
Clara regarda dans la direction
où Colin avait été mis en pénitence. Elle fit deux pas dans cette direction
avant d’être arrêtée par sa cheffe de bureau.
« Attendez une seconde,
votre robe est retombée. Elle couvre vos fesses, cela ne va pas du tout. »
Madame Talouet roula la robe et
fit passer le boudin ainsi formé sous la ceinture de la robe.
« Voilà ! Vous êtes
apprêtée pour le temps que vous allez passer au piquet. Filez ! »
Une claque sur les fesses, bien
qu’elle fût assez modérée, donna l’impulsion. Clara se hâta de rejoindre son
collègue et de prendre la même position que lui.
« Bien, dit Madame Talouet
en embrassant du regard les neuf personnes qui se tenaient devant elle,
j’espère que tout le monde a compris que je n’hésiterai pas à recourir à la
fessée avec n’importe lequel d’entre vous. »
Tous la regardaient, fascinés,
comme une souris est hypnotisée par les yeux du serpent qui va fondre sur elle.
Quatre personnes hochèrent la tête, confirmant que l’utilisation de la fessée
était entérinée. Ni Audrey ni Yaëlle n’avaient besoin de confirmer ce qu’elles
savaient déjà. Les trois qui restèrent immobiles n’eurent ni geste de
protestation, ni mimique d’étonnement.
« Audrey et Yaëlle y ont
déjà goûté… »
Ça y était. C’était dit publiquement,
il n’y avait plus de secret, ce qui n’empêcha pas les deux femmes de rougir.
« Elles pourront vous
expliquer tout le caractère désagréable de la chose pour ceux qui en
douteraient. »
Il n’y avait pas grand monde dans
cette catégorie.
« D’ailleurs, à ce sujet,
Yaëlle, il est temps que nous passions à la deuxième fessée, celle que je vous
avais promise. En venant me voir, passez donc prendre la règle. Je vais en
avoir usage. »
Yaëlle devint toute pâle. Elle
venait de voir combien cet instrument était redoutable.
« Oh non Madame, s'il vous
plait, pas la règle.
– Ne faites pas l’enfant, Yaëlle,
vous savez que si j’ai décidé de vous administrer une fessée avec la règle, ce
ne sont pas vos faibles protestations qui me feront changer d’avis. Croyez-vous
nécessaire que j’aille vous chercher ?
– Non, non, je
viens ! »
Elle chercha la règle du regard.
Léa la lui tendit. Elle trottina jusqu’à sa cheffe à qui elle donna le terrible
instrument. Ce n’était que la cinquième fessée que Madame Talouet administrait
dans le cadre de ses fonctions professionnelles, mais des habitudes avaient
déjà été prises.
Elle installa Yaëlle sous son
bras, celle-ci devançait les gestes de sa cheffe. La jupe relevée, la culotte
baissée, tout cela fut fait sans que rien ne s’y opposa. Plus personne n’avait
de doute sur la pertinence de la fessée, puisque leur cheffe l’avait décidée et
que leur collègue s’y résignait.
« Voyez-vous, Yaëlle a voulu
m’empêcher de la corriger en mettant sa main pour protéger ses fesses. Tout ce
qu’elle a gagné c’est une deuxième fessée qui, grâce à la règle, sera bien plus
rigoureuse que la première. Prenez-en de la graine. Cela pourrait vous arriver
également. »
La règle frappa les fesses, y
laissant une marque rouge que Madame Talouet doubla de l’autre côté. Yaëlle
hurlait. Elle remuait son bassin, et ses jambes, mais ses gesticulations
s’arrêtaient là. Sa main libre s’était agrippée au bord du bureau. Elle serrait
si fort que les articulations de ses phalanges devinrent toutes blanches.
La règle continua son travail.
Méthodiquement, inexorablement. Les marques sur les fesses s’étendaient et
devenaient de plus en plus foncées. Les mouvements des jambes de Yaëlle,
modérés au début, devinrent de plus en plus frénétiques. Elle gémissait, criait
et pleurait, mais rien de tout cela n’empêcha la fessée d’aller au bout.
La fessée de Yaëlle fut bien
moins longue que celle de Colin, mais ses fesses étaient tout aussi rouges à la
fin. Quand Madame Talouet reposa la règle, Yaëlle ne bougea pas. Elle resta
prostrée sur les genoux de sa cheffe, enfouissant son visage dans les plis de
la robe. Ses pleurs ne se tarissaient pas. Madame Talouet se mit à la bercer
doucement.
« Là, là, ce n’est pas si
grave. Tu as été vilaine et tu en as été punie. Tout va bien. Tu vas être très
sage maintenant. »
La main de Madame Talouet se posa
sur les fesses, ce qui provoqua un regain de gémissements.
« Ah oui, c’est
l’inconvénient d’une fessée. Ça rend les fesses très sensibles, mais peut-être
en est-ce l’avantage ? Certainement oui. D’avoir l’épiderme brûlant
pendant quelques minutes, ça aide à réfléchir, non. Je suis maintenant certaine
que la prochaine fois que je te corrigerai ta main restera à l’écart.
Avec une bonne fessée, on apprend vite. »
Yaëlle se calma progressivement.
Elle se laissait bercer. La main qui caressait ses fesses lui provoquait de
petits élancements de douleur qui faisaient remonter des frissons le long de sa
colonne vertébrale. Elle voulait rester sans fin sur ces genoux où elle
trouvait une consolation bienvenue. Personne ne trouvait étrange que cette
femme d’âge mûr se comportât comme une petite fille. Après tout, ne venait-elle
pas de recevoir une fessée déculottée ?
« Dites-moi, Yaëlle, ne
serait-il pas temps que vous rejoigniez vos camarades au piquet. Comme eux vous
allez y passer la pause déjeuner. Levez-vous ! »
Le grognement de protestation fut
interrompu par une forte claque sur les fesses que Yaëlle ponctua par un cri.
Son obéissance fut immédiate. Elle se leva et se dirigea vers le mur face
auquel se tenaient ses deux collègues.
Madame Talouet la suivit et,
quand elle fut installée, elle releva la jupe et elle la coinça afin qu’elle
dégageât bien les fesses. Le tableau était presque complet.
« N’y a-t-il pas quelqu’un
d’autre qui doit passer sa pause de midi au piquet ? »
Chacun regarda son voisin avec
inquiétude. De qui Madame Talouet voulait-elle parler ? Chacun espérait
que ce n’était pas de lui.
« C’est moi, Madame. »
Le soulagement fut unanime.
Audrey venait de se dénoncer.
« C’est bien cela. Allez
donc prendre place pour compléter cette belle brochette de punis. »
Madame Talouet attendit qu’Audrey
se soit installée pour la rejoindre.
« Dites-moi Audrey, tous vos
camarades de punition ont la culotte baissée. Y aurait-il une raison pour que
vous ne fassiez pas comme eux ?
– Non Madame. »
Audrey avait eu un bref espoir de
garder une tenue normale, mais c’était une prétention insensée. Madame Talouet
noua les deux rubans qui servaient à tenir la jupe relevée et elle baissa la
culotte. D’être déculottée devant tous ses collègues était bien plus difficile
à supporter que ne l’avait imaginé Audrey. Elle serra les fesses et les
cuisses, gênant la descente de sa culotte. Une claque sur les fesses répondit à
son réflexe.
« Audrey, vous faut-il une
fessée pour être obéissante ? »
Audrey se relâcha. Elle n’y
pouvait plus rien et Madame Talouet n’hésiterait pas à mettre sa menace à
exécution. Sa culotte descendit jusqu’à ses genoux. Malgré la dernière claque,
les fesses d’Audrey étaient bien pâles à côté de celles de ses camarades.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui, normal ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.
Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.
JLG, bonjour,
RépondreSupprimerBelle séquence nourrie d'une analyse pertinente sur les rapports d'autorité entre Colin et sa cheffe de service. Description, précise des mécanismes de soumission à la fessée autant psychologiques que physiques. L'écriture est toujours aussi fluide avec une terminologie maîtrisée, simple et précise qui rend la lecture aisée.
Le plaisir de vous lire est égale à celui que vous accordez à nos récits.
Cordialement
Ramina
La fessée cul nu a main nu sur les genoux j ador ca jai une jolie pair de fesses imberbes et douce je m appel Nicolas je suis de la Picardie et je recherche des adeptes de la fessée déculottée femmes hommes trav trans annonce tres sérieuse laisser un message au 0659137399 annonce tres très sérieuse
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