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Les quatre punis, debout !
En ne précisant pas nos noms, Sœur Gabrielle nous obligeait
à désigner nous même, reconnaissant ainsi la légitimité de la punition. Dans le
plus grand silence, Frédérick se leva la première. Dominique
la suivit immédiatement. Je laissais passer un petit moment afin de vérifier
que je n'avais pas fait d'erreur d'appréciation, mais comme personne ne se
désignait, je me dressais près de ma table, me promettant de me comporter dignement
quelle que soit la rigueur de la punition qui me serait administrée.
Le quatrième, ou plutôt la quatrième ne se dénonçait pas.
Sœur Gabrielle laissa un silence profond s'installer. Puis, comme rien ne se
passait :
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Mademoiselle Bénédicte, levez-vous !
Le pli était pris d'obéir immédiatement aux ordres de Sœur
Gabrielle. Bénédicte se leva mais ne put se retenir de protester.
-
Mais, ma sœur je n'ai …
-
Silence ! Vous ai-je donné l'autorisation de
parler ?
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Non, ma sœur.
-
Vous êtes déjà dans une situation délicate n'en
rajoutez pas ! Arriver en retard, bavardages intempestifs, et vous vous
étonnez d'être punie. C'est le contraire qui serait surprenant ! N'est-ce
pas, Mademoiselle ?
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Oui, ma sœur, confirma Bénédicte d'une petite voix.
-
Nous y sommes donc. Les punis, mettez vos mains sur la tête
et venez ici.
Il y eut un court défilé vers l'estrade pour nous rapprocher
de Sœur Gabrielle. D'un geste, elle nous indiqua de nous aligner devant elle.
Mes jambes me semblaient en coton, elles avaient du mal à me faire accomplir
les quelques pas qui m'étaient ordonnés. Tous les quatre, mains sur la tête,
nous donnions le spectacle de notre parfaite soumission. Cela demandait une
certaine volonté à la pensée de ce qui nous attendait. Mon instinct me
commandait de fuir cette situation. Ce qui s'était passé depuis notre arrivée
nous avait progressivement mis en condition d'accepter d'être puni par Sœur
Gabrielle, aussi humiliant cela fut-il. Aucun d'entre nous quatre ne se
rebella, ni refusa de se soumettre à la volonté de la religieuse.
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Jeunes filles, vous allez relever vos jupes au-dessus
de votre taille, et vous, Marc, baissez votre pantalon.
Je n'hésitais pas à défaire le bouton qui retenait mon
pantalon à ma taille, puis à faire glisser la fermeture de ma braguette. Mon
pantalon tomba sur mes chevilles. A côté de moi, chacune des filles avait
troussé ses jupes qu'elles retenaient de leurs mains, laissant bien en évidence
trois culottes blanches.
-
Marc, voulez-vous relever votre chemise afin que nous
puissions voir votre culotte ?
Je ne me mépris pas sur le caractère interrogatif de la phrase. Je relevais ma
chemise et la maintenais au-dessus de mes reins.
-
Ce sont les premières fessées que je vais vous
administrer. Je veux donc que vous soyez attentifs afin d'apprendre ce que j'attends
d'un puni. Dorénavant je considèrerai que chacun saura se préparer à recevoir
la fessée.
Je peux vous assurer qu'à ce moment là, elle disposait de
toute notre attention.
-
Toute négligence dans cette préparation augmentera la
sévérité de la
punition. Mademoiselle Bénédicte en est un
exemple démonstratif : elle aurait dû être punie de la même façon que Marc,
pour la même faute, en refusant de reconnaitre qu'elle méritait la fessée, elle
a juste gagné le droit d'en recevoir une plus sévère. Retenez cette leçon :
quand on a mérité une fessée, on doit s'efforcer de la recevoir y compris en se
dénonçant.
Je sentis les épaules de Bénédicte s'affaisser légèrement à
cet énoncé elle baissa les yeux comme une petite fille honteuse de son
comportement.
-
Se préparer à recevoir la fessée suppose, ensuite, de
présenter sa culotte afin qu'elle puisse être baissée sans difficulté :
les garçons baissent leur pantalon, puis troussent leur chemise, les filles
relèvent leur jupe. Il suffit alors de suivre les indications de la personne
chargée de vous punir. En ce qui me concerne, je me chargerai moi-même de vous
déculotter.
Tout en prononçant ces mots, elle se dirigea vers Bénédicte
qui était la plus proche d'elle. Elle glissa ses pouces sous l'élastique de la
culotte de la jeune femme et fit glisser le sous-vêtement le long de ses
cuisses. S'il y avait eu un doute sur l'imminence de la fessée, celui-ci était
maintenant levé : jupe relevée, culotte à hauteur des genoux, Bénédicte
attendait sa fessée déculottée.
Placé à côte de Bénédicte, j'étais le suivant. Faisant fi de
toute logique, je conservais encore l'espoir que la fessée me serait
administrée sur le fond de ma culotte, me permettant ainsi de conserver un
semblant de dignité. Sœur Gabrielle se chargea de faire disparaitre cette mince
espérance. Je sentis ses doigts se glisser sous l'élastique de ma culotte, puis
la baisser en insistant légèrement pour passer mon sexe qui s'était raidit. Ses
mains caressaient furtivement la peau de mes cuisses en accompagnant ma culotte
jusqu'à mes genoux. Des larmes coulaient le long de mes joues, sans que puisse
les en empêcher, tant mon émotion était forte. C'est le sentiment d'humiliation
qui prédominait, humiliation d'être déculotté devant toute la classe et de
laisser voir mes fesses et mon sexe à d'autres personnes qui, elles, étaient
décemment habillées.
Mes impressions étaient contradictoires. D'un côté
j'éprouvais l'urgence de couvrir mon sexe et mes fesses en remontant ma culotte
afin de retrouver une tenue plus conforme à mon âge, puis de fuir cet endroit
et de ne jamais me souvenir de ces quelques minutes. D'autre part, je savais
que la fessée qui m'attendait était méritée et qu'il était dans les
prérogatives de Sœur Gabrielle de me déculotter si elle le jugeait nécessaire.
J'en avais accepté le principe, il me fallait en supporter l'application. La
pudeur n'était plus de mise.
Sœur Gabrielle déculotta de la même façon Frédérick, puis
Dominique. Les quatre punis étaient prêt pour recevoir la fessée.
-
Déplacez-vous sur le côté de l'estrade afin que vos
camarades aient une vue dégagée sur vos fesses afin qu'ils comprennent bien ce
que cela fait de recevoir la fessée déculottée.
Je n'avais jamais encore marché avec un pantalon entourant
mes chevilles et une culotte baissée à hauteur des genoux. Cela donne une
démarche ôtant toute dignité. En file indienne, tenant nos vêtements relevés
nous marchâmes vers le lieu désigné par Sœur Gabrielle. Mon sexe semi érigé
ballottait entre mes cuisses à chaque pas et j'avais l'impression qu'il était
le point de mire de toute la classe.
-
Bon, il est normal que la sévérité d'une punition
dépende de l'importance de ce qui l'a motivé. De plus, comme il s'agit d'une
première fois, je serai relativement indulgente. Toutefois, mademoiselle
Dominique, vous avez mérité une correction dont je veux que vos fesses se
souviennent jusqu'à ce soir. Quant à vous Bénédicte, dans un premier temps je
vous administrerai la même fessée qu'à Marc, puis je la complèterais afin de
rougir un peu plus substantiellement vos fesses. Commençons par les deux
petites fessées.
Je compris alors que je serai l'un des deux premiers. Je
priais intérieurement pour être le deuxième.
-
Frédérick, venez ici.
Frédérick sursauta, comme si elle ne s'attendait pas à être
appelée. Peut-être avait-elle espéré, comme moi ne pas être la première. Sans
vraiment marquer d'hésitation, elle monta sur l'estrade pour se positionner
devant Sœur Gabrielle, là où le doigt pointé de la religieuse désignait le sol.
-
Venez plus près, ordonna Sœur Gabrielle tout en
écartant son bras gauche.
Je ne sais pas si Frédérick avait l'habitude de recevoir la
fessée en tant qu'adulte, ou si elle se souvenait des corrections reçues durant
son enfance, mais elle se positionna sous le bras de Sœur Gabrielle, comme s'il
était normal de placer dans cette position. Dans le mouvement, la jupe que
Frédérick ne maintenait plus en place, avait glissé, couvrant partiellement ses
fesses. Sœur Gabrielle entoura sa taille de son bras gauche, la courbant un peu
plus, puis, elle releva la jupe et la coinça sous son bras. Sentant proche le
début de sa correction, Frédérick couvrit ses fesses de sa main droite qui
était libre de ses mouvements. Simultanément, je fis le même geste, portant ma
main à mes fesses pour les protéger de la correction à venir alors qu'elle ne
m'était pas destinée. Fort heureusement, ma main gauche avait suffit à
maintenir ma chemise au-dessus de mes reins. Mon comportement passa inaperçu.
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Enlevez cette main de là tout de suite.
Le ton de Sœur Gabrielle ne laissa pas le choix. Frédérick
obéit sur le champ.
-
Ce que vous venez de faire, mademoiselle, est strictement
interdit. Vous devez laisser le terrain libre à la personne qui vous corrige.
C'est une façon de reconnaître son droit à vous punir et le bienfondé de la punition. N'ayez
crainte, vous serez corrigée juste comme il faut, vos fesses suffisamment
rouges pour vous ôter l'envie de recommencer ce qui a motivé la punition. Le
prochain, ou la prochaine qui tentera de protéger ses fesses aura
automatiquement le droit à une deuxième fessée qui lui sera appliquée plus
fermement que la
première. Quant à vous, Frédérick, je n'en tiendrais pas
compte cette fois ci. Vous êtes la première à recevoir la fessée et cela n'est
jamais facile de montrer la voie à vos condisciples en cette matière.
Sœur Gabrielle leva son bras haut au dessus de son épaule,
puis, visiblement avec le plus de force possible, elle abattit sa main sur la
fesse gauche de Frédérick. Le bruit retentit dans toute la classe, et comme en
écho, la jeune femme poussa un cri. Simultanément, elle leva sa jambe gauche,
mouvement qui fut limité par sa culotte tendue entre ses genoux. Une deuxième
fois Sœur Gabrielle claqua les fesses de Frédérick, sur le côté droit cette
fois ce qui fut ponctué par un nouveau cri de Frédérick. Sa main droite amorça
alors un geste vers ses fesses, apparemment pour les protéger de la rigueur du
châtiment, mais elle réussit à l'interrompre avant de contrevenir aux consignes
explicites de Sœur Gabrielle.
Les dix premières claques furent administrées lentement,
l'une après l'autre, bien détachées en laissant s'éteindre le bruit qu'elles
provoquaient et le cri de Frédérick qui les accompagnait invariablement. Très vite,
les gesticulations de ses jambes ne furent plus synchrones. Elle pliait un genou,
puis l'autre, lançait de temps en temps un pied en arrière. Tout cela ne gênait
en rien Sœur Gabrielle qui ne devait que supporter une partie du poids de la
jeune femme. Puis, la religieuse accéléra le rythme. Les fessées claquaient
toujours aussi fort, mais elles se suivaient à un rythme endiablé. Les fesses
de Frédérick prirent lentement une couleur rose sombre, puis rouge qui devint
de plus en plus soutenu. Au changement de rythme, Frédérick se tut. Seuls de
légers râles sortaient encore de sa gorge. Puis, vint un premier sanglot,
suivit d'un deuxième et la jeune femme se mit à pleurer sans se retenir. Cela
n'interrompit pas la
fessée. Sœur Gabrielle cherchait visiblement à couvrir toute
la surface du fessier qui était à sa disposition. Je regardais hypnotisé, sans
pouvoir détacher mes yeux de la peau blanche qui tressaillait à chaque fois que
Sœur Gabrielle y appliquait sa main. Enfin, sans que j'eusse pu le prévoir la
fessée cessa. Sœur Gabrielle relâcha Frédérick qui se releva. Sa jupe glissa le
long de sa croupe en la
couvrant. Frédérick , qui sanglotait toujours, la retroussa
promptement en glissant ses mains sous le vêtement pour le relever afin de
masser ses fesses. Ce faisant elle exposa de nouveau son postérieur. Elle fut
rappelée à l'ordre par Sœur Gabrielle.
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Il suffit, jeune fille. Frotter ses fesses atténue les
effets de la fessée. Il
n'en est pas question. Retroussez plutôt votre jupe pour montrer à toute la
classe comment des fesses rougies aident à devenir obéissante.
Malgré ses sanglots persistants, Frédérick était attentive
aux ordres de Sœur Gabrielle. Elle suspendit son geste, et releva sa jupe comme
il lui avait été ordonné, reprenant la position qui avait été la sienne avant de recevoir la fessée.
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Vous avez décidément de la chance, Frédérick, d'être la première. Le second à
frotter ses fesses à la fin d'une fessée en recevra une dose supplémentaire.
C'est, en effet, strictement interdit. Il est souhaitable que la douleur
éprouvée alors que je vous fesse, continue le plus longtemps possible. Je vous
fais grâce, jeune fille, mais ce ne sera pas le cas pour vos successeurs.
Reprenez votre place dans l'alignement des punis.
Les sanglots de Frédérick s'étaient un peu calmés. Des
larmes coulaient encore le long de ses joues et elle reniflait spasmodiquement.
Cul nu, elle vint reprendre sa place à mon côté, laissant voir, à toute la
classe, ses fesses dont le rouge ne s'atténuait pas. C'était exactement le comportement
d'une petite fille qui venait de recevoir la fessée. C'était à
s'y méprendre s'il n'y avait eu son corps bien plus développé que celui d'une
enfant.
Premier épisode : chapitre 1
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J'adore ce récit et j'aurais voulu être pensionnaire pour y recevoir de nombreuses fessées déculottées publiques données par les soeurs!
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