-
Marc, c'est votre tour ! Venez ici !
La fascination éprouvée pendant la correction administrée à
Frédérick m'avait fait oublier que j'étais le prochain sur la liste. Comme
anesthésié, je ne bougeais pas alors que je me criais intérieurement d'obéir.
Mes jambes ne fonctionnaient plus, elles étaient juste assez solides pour
porter mon poids, mais pas pour me soutenir alors qu'il fallait que je monte
sur l'estrade. Le nœud dans mon estomac devint si dur qu'il m'ôta le peu
d'énergie qui me restait.
-
Jeune homme, faut-il que j'aille vous chercher ?
Bandant toute ma volonté, je réussis à faire le premier pas.
Les autres suivirent. Curieusement, j'avais oublié que ma culotte entravait mes
déplacements. Je faillis tomber en franchissant la marche que constituait
l'estrade. Je me rattrapais in extrémis évitant de m'étaler à plat ventre aux
pieds de Sœur Gabrielle. Plusieurs de mes condisciples se mirent à rire.
-
Cela suffit, rugit Sœur Gabrielle, s'il y en a parmi
vous qui trouvent drôle de recevoir une fessée, je les invite à venir se
joindre à nous sur l'estrade. Ne vous faites pas d'illusion, vous y prendrez
votre place d'ici dimanche soir et je ne suis pas certaine que vous y trouver
matière à rire.
Un silence de cathédrale accueilli cette promesse. Sœur
Gabrielle concentra alors son attention sur ma petite personne. Je m'en serai
volontiers passé. Elle me prit par le bras et m'attira à elle. Elle me courba
sous son bras comme elle l'avait fait pour Frédérick. Je la laissais me
disposer à sa guise, soulagé que cette longue attente arrive enfin à son terme.
Je n'avais plus qu'une obsession : tenir ma main droite à l'écart de mes
fesses afin de me pas donner à Sœur Gabrielle un motif pour aggraver ma
punition. Durant le mouvement nécessaire pour me positionner, ma chemise avait
glissé sur mes fesses, les masquant partiellement. Sœur Gabrielle entreprit
d'en relever les pans afin de disposer de ses aises pour me fesser. C'est alors
que je pris vraiment conscience de la situation dans laquelle j'étais : à
48 ans passés, je m'apprêtais à recevoir la fessée déculottée en public, courbé
sous le bras d'une femme que je ne connaissais pas il y a moins d'une heure.
Deux choses m'effrayaient : d'une part la fessée en elle-même,
l'humiliation et la douleur qu'elle me promettait ; et d'autre part la
crainte de ne pas savoir me contrôler suffisamment pendant la correction qui
m'attendait, justifiant ainsi une nouvelle fessée. Je pris alors conscience que
je raisonnais comme un enfant et cette pensée fit disparaître toutes mes
résolutions de me comporter dignement.
La main de Sœur Gabrielle claqua ma fesse gauche. Le bruit
qu'elle provoqua me sembla assourdissant. La douleur fut intense et localisée
exactement là où sa main s'était abattue. Je m'attendais à cette fessée, mais
je ne pus réellement maîtriser mes réactions. Je poussais un cri rauque et je
lançais ma jambe gauche en arrière en mouvement réflexe comme si cela pouvait
diminuer l'impact de la fessée.
Sa main s'abattit une deuxième fois, cette fois sur le côté
droit de mon fessier. Cela dépassait tout ce à quoi je m'attendais. Le bruit
provoqué par chaque claque était impressionnant, la brûlure au contact de la
main ne s'estompait pas avant que la suivante n'arrive, au contraire, chacune
renforçait la cuisson due aux précédentes. Lorsque Sœur Gabrielle claqua mes
fesses une troisième fois, je me rendis compte que je ne pourrai supporter
cette fessée jusqu'à son terme. Je tendais ma volonté pour ne pas interposer ma
main entre celle de Sœur Gabrielle et mes fesses. Comme elle l'avait fait pour
Frédérick, Sœur Gabrielle détachait chaque fessée, alternant sur la droite de
mon fessier, puis sur la
gauche. La cinquième ou la sixième claque, je commençais à en
perdre le compte, tomba un peu plus bas, à la limite de mes fesses et du haut
de mes cuisses. Sur ce terrain vierge de fessée, la douleur fut intense, c'est
ce qui déclencha la suite.
Je poussais un hurlement qui se termina en sanglot. De ma
main droite, je couvris mes fesses et je commençais à supplier la sœur :
-
Pardon, je ne le ferai plus, … pardon !
Sœur Gabrielle fit une pause, sans doute gênée par ma main
qui ne lui laissait pas son terrain d'exercice entièrement libre.
-
Marc, enlevez cette main de là tout se suite.
Sa voix était froide, exprimant clairement une colère
rentrée. Son ton me promettait d'ores et déjà une prochaine fessée magistrale.
Placé dans le contexte de soumission dans lequel j'étais, il était impossible
de résister à cette injonction. Je retirais ma main.
-
Je vous avais prévenu, jeune homme, vous venez de
choisir de recevoir une autre fessée. Je vais finir celle-ci, mais comptez sur
moi pour vos retrouver une nouvelle fois, la culotte baissée, d'ici ce soir.
Sœur Gabrielle me prit le poignet droit qu'elle immobilisa à
l'aide de sa main gauche placée sous mon ventre, et qui me tenait courbé contre
son flanc.
-
Non, pardon, ma sœur, mais pas la fessée, je serai
sage, …
Mes supplications furent interrompues par la fessée qui
reprenait de plus belle. Mes sanglots reprirent alors pour ne plus
s'interrompre. Sœur Gabrielle accentua le rythme des claques sur mes fesses et
le sentiment de cuisson sur ma peau grandissait proportionnellement. J'étais
arrivé au paroxysme de ce que je pouvais supporter lorsque la fessée cessa.
Sœur Gabrielle ne me relâcha pas tout de suite. Elle me
garda dans la position punitive un petit moment. Les cris puissants que
j'émettais à chaque fois que la main de Sœur Gabrielle me punissait se transformèrent
assez vite en plaintes sourdes.
-
N'oubliez pas, Marc, que porter ses mains à ses fesses
est interdit. Vous allez vous relever, trousser nouveau votre chemise et
rejoindre vos condisciples qui sont punis. Allons !
Elle accompagna ses consignes d'une petite tape sur mes
fesses avant de me libérer. Je crois que ces quelques instants durant lesquels
j'avais été contraint de garder la pause me sauvèrent d'une nouvelle fessée et
je soupçonne Sœur Gabrielle de l'avoir fait intentionnellement. J'avais ainsi
pu me reprendre quelque peu ce qui me permit de garder le contrôle de mes
gestes. Je pus maitriser mon envie pressante de soulager mes fesses endolories
en les massant de mes mains. Cela remit en priorité l'urgence prioritaire :
obéir à Sœur Gabrielle afin d'éviter de recevoir une nouvelle fessée. Il
m'était alors complètement indifférent de montrer à mes compagnons et surtout à
mes compagnes, mes fesses et mon sexe qui pendait flasque entre mes cuisses. Je
regagnais ma place, tout heureux d'en avoir fini avec cette première épreuve.
-
Allons, Bénédicte, venez me voir !
Comme Frédérick et moi avant elle, Bénédicte alla se placer
à la disposition de Sœur Gabrielle qui, sans un mot de commentaire, la courba
sous son bras dans la position punitive qui semblait avoir les faveurs de la religieuse. Il est
vrai qu'elle transformait, autant physiquement que symboliquement, les adultes
que nous étions en petits enfants soumis d'autant plus que nous nous placions,
de nous même dans la position qui permettait à Sœur Gabrielle de nous corriger.
-
Jeune fille, dans un premier temps, je vais vous
administrer une fessée semblable à celle que vient de recevoir Marc. Puis, vous
recevrez alors une seconde fessée pour avoir tenter de vous soustraire à la
punition que vous avez méritée.
Joignant le geste à la parole, Sœur Gabrielle commença à
fesser la jeune femme. Elle utilisa la même technique éprouvée que celle dont
elle avait usé avec Frédérick et moi. Je reconnaissais, dans les réactions de
Bénédicte, mes vaines tentatives pour atténuer l'effet de la fessée et les
efforts manifestes pour ne pas se dégager de la prise de Sœur Gabrielle afin de
fuir la douleur qui montait inexorablement. Comme cela avait eu lieu lors des
deux fessées précédentes, Bénédicte accompagnait chacune des claques qu'elle
recevait sur son postérieur, par un cri qui passa rapidement d'un râle sourd à
des braillements sonores. Cela ne gênât en rien Sœur Gabrielle qui passa au
rythme plus soutenu qu'elle avait utilisé auparavant. Bénédicte se mit alors à
pleurer doucement, sans éclat particulier et conjointement, elle cessa ses
gesticulations, laissant à Sœur Gabrielle tout loisir pour la corriger. Je notais,
avec un peu de honte, que contrairement à moi, Bénédicte n'avait pas tenté de
couvrir ses fesses de sa main libre
Il est difficile d'évaluer la force et la durée d'une fessée
qu'on en soit le récipiendaire ou le spectateur. Cependant il me sembla que
celle qui était administrée à Bénédicte avait été de même sévérité que la
mienne et celle reçue auparavant par Frédérick. Lorsque Sœur Gabrielle mit un
terme à la correction, elle procéda, avec Bénédicte, de la même façon qu'avec
moi. Courbée sous le bras de la religieuses, Bénédicte patienta le temps de
reprendre ses esprits, puis, lorsque ses pleurs eurent diminués d'intensité,
Sœur Gabrielle lui ordonna de se redresser, non sans lui rappeler
l'interdiction de se frotter les fesses. De son propre chef, Bénédicte releva
sa jupe qui avait glissé sur ses cuisses.
-
C'est bien, la félicita Sœur Gabrielle ,
cependant, la punition n'est pas achevée. Je dois vous punir maintenant pour
avoir essayé d'échapper à votre châtiment.
A cette annonce, Bénédicte baissa la tête, mais elle ne
protesta pas.
-
Allez chercher la règle qui est posée sur le bureau !
La culotte entravant sa démarche, et exposant toujours ses
fesses aux regards de ses condisciples, Bénédicte fit les quatre ou cinq petits
pas qui la séparaient du bureau où la mère supérieure contemplait le spectacle.
Elle eut un instant d'hésitation lorsqu'elle voulut prendre l'objet qu'elle
venait chercher. Puis, elle rectifia la position de ses bras pour tenir sa jupe
relevée et, de sa main ainsi libérée, elle prit l'ustensile. C'était une règle
plate en bois qui mesurait 40 centimètres , un outil tout à fait à sa place
dans une salle de classe.
Elle la remit à Sœur Gabrielle qui replaça la jeune femme
dans la position punitive qu'elle venait de quitter. Ses fesses étaient encore
rouges et elles étaient parcourues de petits frissons, sans doute
l'appréhension à la pensée de la correction qui allait reprendre.
-
Faites bien attention à me laisser faire mon office sans
interposer votre main. Vous n'y gagneriez qu'une nouvelle punition.
Puis, sans plus attendre, elle abattit la règle en travers
des fesses de Bénédicte. La jeune femme poussa un véritable hurlement et
effectua une ruade qui lui fit décoller les deux pieds du sol. Sœur Gabrielle
devait s'attendre à cette réaction car elle amortit le mouvement de Bénédicte
qui retomba à la place qu'elle venait de quitter. Juste à ce moment, Sœur
Gabrielle appliqua une novelle fois l'instrument punitif sur les fesses nues de
Bénédicte. Un nouvel hurlement et la jeune femme plia ses deux jambes sous son
ventre, laissant la religieuse supporter la totalité de son poids. La règle
frappa une troisième fois les fesses idéalement disposées. Son cri, cette fois
ci, fut plus sourd, comme si elle n'avait plus l'énergie pour faire autant de
vacarme. Elle trépigna sur place ce qui fit descendre sa culotte en dessous de
ses genoux.
-
Jeune fille, il va falloir être un peu moins
démonstrative durant votre fessée. Je ne vais pas vous maintenir en place de
force. Si vous continuez cette sarabande, vous aurez une autre fessée appliquée
avec la règle d'ici ce soir. Est-ce compris ?
-
Oui, oui, j'ai compris !
Sœur Gabrielle asséna un coup de règle qui me sembla plus
fort que les précédents, sur les fesses de Bénédicte.
-
Oui, qui ?
Bénédicte cria bien plus fort qu'elle ne l'avait fait
jusqu'à maintenant, mais n'esquissa qu'un petit geste du bassin. Elle
s'empressa alors de répondre :
-
Oui, ma sœur !
-
Voila qui est parfait, conclut Sœur Gabrielle.
Elle leva la règle au dessus de son épaule, puis, en
redescendant son bras, elle lui fit prendre de la vitesse, qu'elle accentua
encore d'un petit geste du poignet juste avant le contact avec les fesses de la
jeune fille. Bénédicte hurla, puis son cri se transforma en sanglots. Elle plia
une jambe sous son ventre comme si cela lui permettait d'atténuer la cuisson de
sa peau, mais elle soutenait maintenant son poids, ce qui devait faciliter
l'administration de la correction pour Sœur Gabrielle.
La religieuse conservait un air concentré, son attention
toute entière fixée sur la tâche qu'elle accomplissait. Lorsque Bénédicte
remuait un peu trop fort à son gré, elle fronçait les sourcils, puis elle se
recomposait rapidement son visage impassible. C'était le portrait type d'une
grande personne appliquant calmement mais fermement, "pour son bien",
un juste châtiment à un enfant comptant
sur la cuisante fessée déculottée pour lui enseigner à mieux se comporter. Il
n'y avait pas là de haine envers la punie courbée sous son bras, pas de plaisir
non plus à faire souffrir la jeune femme, juste le sentiment du devoir bien
accompli.
Alors, Sœur Gabrielle accéléra le rythme de la règle sur les
fesses de Bénédicte. Celle-ci se mit à pleurer plus fort, mais ne tenta pas de
se soustraire à la
punition. Elle donnait tous les signes d'acceptation de son
sort. Cette deuxième phase de la fessée me sembla assez courte. Lorsque Sœur
Gabrielle stoppa, Bénédicte continua à sangloter et à remuer son bassin comme
si la fessée continuait. C'est à ce moment là que je remarquais la couleur des
fesses de Bénédicte. Elles étaient rouge sombre, presque cramoisies, exactement
comme si elle avait pris un coup de soleil monumental. Le contraste était
saisissant avec la blancheur du haut de ses cuisses qui avaient été épargnées
par la fessée.
Lorsque Sœur Gabrielle la laissa se redresser, le premier
geste de Bénédicte consista à relever sa jupe. Puis, elle attendit les
consignes de la religieuse qui avait visiblement fait impression sur la jeune
femme, mais également sur chacun de nous. En mon for intérieur, et probablement
comme beaucoup de mes condisciples, je me demandais si ce type de traitement me
serait infligé durant les deux jours à venir et si je serai capable de le
supporter.
Dès qu'elle en reçu l'ordre, Bénédicte vint nous rejoindre
dans la file des punis. Sa culotte tombée sur ses chevilles gênait son
déplacement, mais toute son attitude montrait son empressement à obéir le plus
scrupuleusement possible à Sœur Gabrielle. Je reconnaissais là mes propres
sentiments vis-à-vis de la
religieuse. Loin de lui tenir rigueur de la correction
qu'elle nous avait infligée, je reconnaissais sa légitimité à me punir de si sévère
façon et je me promettais de lui obéir en toute chose.
Sœur Gabrielle traversa alors la classe et revint avec l'une
des deux chaises placées le long du mur. Elle la posa au milieu de l'estrade et
y prit place. Elle n'avait pas lâché la règle avec laquelle elle avait
administré une correction marquante à Bénédicte.
-
Dominique, c'est votre tour !
Le visage blême, Dominique vint rejoindre Sœur Gabrielle sur
l'estrade.
-
Mademoiselle, votre fessée va être magistrale et
appliquée d'un bout à l'autre avec la règle. Je tiens à vous rappeler que les règles
qui s'imposent à vos camarades sont aussi valables pour vous-même s'il vous
sera plus difficile de vous maîtriser à cause de l'utilisation de la règle. Si vous tentez de
vous soustraire de quelque façon que ce soit à votre punition, ou même si vous
ne faites que l'interrompre, je vous administrerai une seconde fessée encore
plus sévère. Est-ce compris ?
-
Oui, ma sœur, répondit la femme d'une voix blanche.
-
Compte tenu de votre désobéissance, je serai
impitoyable bien que vous n'ayez sans doute pas été punie de cette façon depuis
longtemps. De quand date votre dernière fessée, vous en souvenez vous ?
-
Oh oui, ma sœur, c'était lundi dernier.
-
Lundi dernier !
Sœur Gabrielle ne s'attendait pas à une telle réponse de la
part d'une femme d'âge mur.
-
Qui vous a donné cette fessée ?
-
Ma gouvernante, ma sœur.
-
Votre gouvernante vous fesse ?
-
Oui, ma sœur, quand elle pense que je l'ai mérité et
aussi quand Maman lui demande de le faire.
-
Vous baisse-t-elle la culotte ?
-
Oui, ma sœur, toujours. Et souvent elle se sert du
martinet.
-
Vous êtes donc en pays de connaissance. Venez ici !
Sœur Gabrielle prit Dominique par le bras et l'attira à sa
droite. Elle posa sa main sur son dos et pesa sur ses reins, indiquant à la
femme qui se tenait debout à son côté quelle position elle souhait lui faire
prendre. Dominique se courba, puis s'allongea à plat ventre en travers des
genoux de la
religieuse. Son bassin et son buste reposaient sur les
cuisses de Sœur Gabrielle qui avait écarté ses jambes, laissant une large place
à Dominique pour prendre position. Sa tête et ses bras d'un côté, et ses jambes
de l'autre pendaient dans le vide. Ses fesses étaient maintenant le point
proéminant de son corps, à disposition du bon vouloir de Sœur Gabrielle qui rajusta
la position de la jupe qui, dans la manœuvre, avait un peu glissé et recouvrait
maintenant le haut des fesses de Dominique. Sans autre commentaire, la fessée
commença.
De nouveau le bruit sec de la règle frappant la peau des
fesses nues résonna dans la
classe. A mon grand étonnement, les réactions de Dominique
furent bien plus mesurées que celles de Bénédicte précédemment. Un petit cri
étouffé, une grimace sur son visage et les jambes qui s'écartaient dans un
mouvement réflexe montrèrent que Dominique accusait le coup. Nous étions
cependant loin des démonstrations de douleur que ses prédécesseurs avaient pu
extérioriser, moi y compris, ou peut-être devrais-je dire moi surtout. Cela
n'arrêta pas Sœur Gabrielle. La règle continua à s'abattre sur les fesses de
Dominique qui rougissaient rapidement. Ses jambes s'écartaient et se
resserraient au rythme imposé par la fessée, nous laissant voir son anus et son
sexe. C'était certainement le cadet des soucis de Dominique.
Sœur Gabrielle accéléra le rythme de la correction et porta
son attention et les coups de règle qui vont avec, sur le haut des cuisses de
la femme qui gisait sur ses genoux. Dominique réagit de façon plus visible,
arquant son corps à chaque fois que la règle touchait la peau plus tendre à cet
endroit. Ses cris retenus se muèrent peu à peu en sanglots étouffés.
Sœur Gabrielle poursuivit la correction jusqu'à ce que la
peau, du haut des fesses jusqu'à mi-cuisses, fût cramoisie, d'une couleur
analogue à celle qui teintait encore le postérieur de Bénédicte, à la
différence près que toute la surface allant du bas des reins jusqu'au milieu
des cuisses avait pris cette teinte soutenue.
Comme elle avait procédé pour les autres punis, Sœur
Gabrielle accorda quelques minutes à Dominique avant de lui ordonner de se
relever. Obéissante, la femme d'âge mûr reprit la position qui exposait
publiquement ses fesses et son sexe. Elle reprit sa place à nos côtés.
-
Voila qui est parfait, commenta Sœur Gabrielle,
Son regard balaya l'ensemble de la salle, vérifiant que sa
démonstration avait fait impression sur les spectateurs. Elle fut certainement
satisfaite de son examen car elle reporta son attention sur nous.
-
Allez donc, tous les quatre, mettre votre nez contre le
mur qui se trouve derrière vous.
Il n'y eu personne pour hésiter sur la direction à prendre,
celle que nous indiquait le doit pointé de Sœur Gabrielle.
-
Les mains sur la tête !
N'étant plus retenus, les jupes des filles et ma chemise
retombèrent, cachant nos postérieurs enflammés. Sœur Gabrielle passa derrière
chacun de nous et, relevant les jupes des filles, elle les coinça dans leur
ceinture. Enfin, elle noua les pans de ma chemise sur le devant immobilisant le
tombé au dessus de mes reins.
-
Vous remonterez ainsi vos vêtements lorsque vous serez
mis au piquet ou au coin.
Bien que n'ayant pas été placé dans la position la meilleure
pour prendre du recul, j'imaginais assez bien le tableau que nous composions,
les trois filles et moi, alignés le long du mur, mains croisées sur le haut de
notre crâne nos fesses nues offrant un dégradé de rouge témoignant de la
sévérité de la punition reçue.
-
Vous apprendrez à vous tenir en pénitence, laissant
voir à chacun les effets de la punition reçue. Il n'est pas question que les
jupes et les chemises cachent la moindre petite surface de vos fesses. Ceux à
qui cela arrivera recevront une fessée supplémentaire. Bien évidemment, la plus
totale immobilité et le silence le plus complet sont de rigueur. A défaut, vos
fesses vous en cuiraient.
En bonne pédagogue, Sœur Gabrielle fixait les règles dès les
premières minutes où nous avons été placés sous sa férule. Je sentais bien
qu'il n'y aurait pas de deuxième avertissement et qu'elle mettrait ses menaces
à exécution à la prochaine occasion. Mon nez appuyé contre le mur me donnait un
point de repère pour juger de mon immobilité. Toute mon énergie étant tendue
vers ce but : ne pas donner l'occasion à Sœur Gabrielle de sévir de
nouveau.
Ce n'était pas que la douleur qui avait embrasé mes fesses durant
la correction, fût encore aussi aigue. Il ne restait qu'une démangeaison comme
celle que provoque un léger coup de soleil mais elle suffisait pour raviver
suffisamment le souvenir de la cuisson que j'avais ressentie pour qu'elle me paraisse
bien réelle bien que je ne l'éprouvasse plus maintenant. Sœur Gabrielle avait durablement
marqué mon esprit, bien au-delà de ce que j'imaginais que pouvait provoquer une
fessée en me rendant ici.
Je n'avais pas l'esprit disponible pour analyser les
sentiments contradictoires qui m'envahissaient mais ce n'était ni la honte
qu'aurait dû provoquer le fait d'avoir été puni comme un petit garçon et de
m'être laissé aller, par mon attitude, à confirmer ce nouvel état ; ni
l'humiliation de me trouver à demi dénudé en public qui dominaient. Ce qui me
préoccupait, à ce moment là, c'était la nécessité d'obéir aux ordres qui me
seraient dorénavant donnés.
Premier épisode : chapitre 1Episode précédent : chapitre 4
Episode suivant : il n'y en a pas pour l'instant. Bientôt peut-être.
Bonjour,
RépondreSupprimerC'est le dernier épisode écrit de cette série. Il est possible, sans difficulté, d'imaginer une suite. je le ferais bien volontiers si je n'étais pas engagé dans l'écriture d'autres aventures. Ce sera donc tout pour le moment.
JLG