mercredi 17 septembre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 14 septembre 2025 – 18 h 55


Toute la journée durant, je me suis demandé si ma compagne allait se rendre compte que je ne portais pas des sous-vêtements de la bonne couleur. Ils n’étaient pas blancs, comme ma compagne l’exigeait pour le week-end. Elle prétendait, avec raison, qu’il y était plus facile de contrôler si je respectais bien les règles de propreté auxquelles elle tenait.

Dès qu’elle avait formulé des exigences à mon égard, elle avait exigé que mes dessous soient blancs en permanence. J’avais argué de l’habitude de les porter de couleur et qu’il ne fallait pas les changer si on ne voulait pas que mes collègues et mes amis se posent des questions. Je n’étais d’ailleurs pas certain qu’ils s’en seraient posé. Mais ma compagne s’était rendue à mes arguments et avait transigé. Je ne devais être en blanc que les week-ends.

mardi 16 septembre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 13 septembre 2025 – 14 h 55


Être mis au coin quand on a mon âge, c’est vexant. C’est la preuve que les personnes qui étaient dans mon dos ne me considéraient pas comme une grande personne responsable. Je ne pouvais pas leur donner tout à fait tort. Je ne savais pas si ma compagne laisserait passer si je prenais des libertés avec la position que je devais habituellement y adopter : le nez dans l’angle du mur et les bras croisés dans le dos. Je devais y rester parfaitement immobile et silencieux.

Je n’avais pourtant pas envie de tester la résolution de ma compagne. Je ne croyais pas que le monsieur qui était présent prendrait l’initiative de me punir si je ne respectais pas les règles qui m’étaient imposées en pénitence. Mais ma compagne… ce ne serait pas la première fois qu’elle me ferait sortir du coin rien que pour me fesser et m’y remettre aussitôt. Je la croyais capable de me baisser la culotte pour me corriger afin de me faire comprendre comment je devais me comporter quand elle me punissait en pénitence. À ce moment, j’avais encore, par chance et cela m’étonnait, mon pantalon et ma culotte à leur place. Au moins je ne montrais mes fesses nues à personne comme c’était usuellement l’habitude.

lundi 15 septembre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 13 septembre 2025 – 14 h 40


Je savais bien qu’il y avait anguille sous roche quand ma compagne ne m’a pas donné la fessée tout de suite. Il est rare qu’elle diffère l’administration d’une correction, sauf quand nous nous trouvons dans un lieu où elle ne peut pas me déculotter et me fesser sur le champ, quand, par exemple, il y a trop de monde à proximité.

Là ce n’était pas le cas. Nous étions tous les deux à la maison et il n’y avait personne d’autre. Habituellement, je n’y aurais pas coupé : la culotte baissée, une bonne fessée et un séjour au coin pour que j’y réfléchisse aux inconvénients qu’il y a à lui désobéir.

dimanche 14 septembre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 13 septembre 2025 – 08 h 55


Cela faisait longtemps que ma compagne ne m’avait pas donné de vraies fessées et qu’elle avait exigé que j’en fasse le récit pour le publier sur ce blog. Évidemment, j’avais pris quelques claques sur les fesses, parfois alors qu’elles étaient nues, mais pas vraiment de sérieuse punition. C’était plutôt pour m’avertir que j’étais sur la ligne de crête et que la fessée n’était plus très loin. Comme je n’avais pas persévéré dans mes désobéissances, ma compagne en était restée là.

Et puis, je sais que lorsqu’il y a du monde je ne reçois pas de fessées et durant cet été nous n’avons pas souvent été seuls. Il y avait toujours, à portée d’oreilles, une personne non avertie de la façon dont ma compagne maintenait la discipline dans notre couple. Je n’ai donc pas reçu de fessées, même si ma compagne m’a dit, à plusieurs reprises, que j’en aurais bien mérité une.