QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LA PUNITION DE BETTINA ET GERALDINE. 2é partie
Les deux fessées continuaient à claquer sans interruption, pour la plus grande satisfaction de Sébastien qui tenait là une éclatante revanche. Peu importe ce qui pouvait lui arriver par la suite, il profitait d'autant mieux du moment présent, que personne ne se préoccupait de lui. Les postérieurs de Bettina et Géraldine, maintenant aussi rutilants l’un que l’autre, étaient animés de mouvements incontrôlables. Deux provocantes paires de fesses rebondies, indécemment écartées par la position qu’elles étaient obligées de maintenir, et enflées par les vigoureuses fessées subies. Elles en paraissaient carrément énormes.
Finit les petites insolences, les simulacres d'indifférence
à la fessée, cette fois ci, les deux jeunes femmes s'en prenaient une sévère et
semblaient réellement mâtées sous l'ardeur que mettaient Walter et Margaret à
les corriger. On ne voyait plus que les
visages grimaçants, couverts de larmes, les bouches ouvertes , les pieds qui
battaient l’air machinalement et surtout ces deux monumentales paires de
fesses écarlates sur lesquelles les mains sévères abattaient les battoirs avec
régularité.
Le honteux spectacle offert par Bettina était accru par la racine de gingembre dont
l’extrémité émergeait d'entre ses fesses, tandis que pour Géraldine c'était son
slip baissé qui entravait ses cuisses et la rendait encore plus ridicule. La
vision du rondin planté dans le gros cul flamboyant de sa voisine, lui
faisait irrésistiblement penser à la
probable nouvelle fessée qui l'attendait, avec le manche de son martinet
enfoncé le derrière. Margaret n'avait pas l'habitude de ne pas mettre ses
menaces à exécution.
– « Et bien chérie, dit celle-ci
en s'appliquant à bien appuyer les claquées, à un rythme régulier. Qu'est-ce qu'elles en pensent tes fesses de cette
bonne petite séance de battoir... Hum ? Toi, qui prétends toujours que ça
te fait du bien de te faire chauffer le derrière !
–
Rooaaah maman, oui...ça cuit bien... mais aussi, tu tapes fort.... ça fait
mal !!
–
Et alors... Tu ne sais pas ce que tu veux. Pour que la fessée chauffe bien
il faut taper fort ! »
Sébastien observait cela avec satisfaction essayant
–vainement – de deviner laquelle recevait la “meilleure” fessée en tentant de
comparer l’abondance de leurs pleurs et leurs gigotements .....peine perdue
....mais fessées bien reçues ! Il remarqua cependant que la couleur pourpre des
fesses et des cuisses de Géraldine était plus uniforme alors que la croupe
rougie de Bettina était plus nuancée : des zones plutôt rouge vif
voisinaient avec des marques tirant sur le rouge foncé ....Il attribua
cela au Dolpic que Margaret prenait soin de passer sur le derrière de ses punis,
avant chaque fessée prévue et souvent complété par une couche supplémentaire
imposée en cours de fessée. Il se dit que Bettina aurait plein de marques et
encore plus de mal à s’asseoir que Géraldine, ....TANT MIEUX , BIEN
FAIT. ! Encore que sa sœur en mériterait tout autant. !
C’est Walter qui, le premier, cessa de claquer le derrière
de Bettina. Il retira lentement la racine de gingembre, fit semblant de la
renfoncer ce qui provoqua un gémissement angoissé, puis la retira
définitivement .
– « Alors, contente ? Ironise-t-il d'un ton de vainqueur en train de
prendre une revanche. Tu l'as ta fessée
avec ton gingembre dans le derrière. Ça chauffe bien hein !
Bettina entre le sourire et les larmes.
– Oh oui chérie tu me fesses bien... ça cuit ! Oh la,
la qu'est-ce que ça cuit, dans le cul aussi, ça brûle !
– C'est bien ce que tu voulais... le feu aux fesses, et
bien tu l'as... dehors et dedans, la totale. Et c'est pas fini ! »
Contre toute attente il lui ordonna de se reculotter et
reculotté bien serré ! Pour le
coup, elle ne discuta pas. Tortillant outrageusement des hanches, le visage
grimaçant, elle eut toutes les peines du monde à faire rentrer ses fesses
cuisantes, gonflées de claques, dans un slip qui lui semblait maintenant trop
petit pour les contenir entièrement. Elle émit un soupir douloureux au
claquement des élastiques sur les rondeurs écarlates qui en débordaient. Elle
aurait certainement préféré rester déculottée.
– « Ouaiiiie... chéri, ça serre... oh la, la, mes
fesses ! Ah je la sens ma fessée... Ces slips, c'est atroce... ça chauffe dur là-dedans !
– C'est normal, ils sont faits pour ça ! Mais puisque tu insistes, après tout, autant se régaler du
spectacle . »
Il la prit sous son bras et la redéculotta, lui laissant son slip sous les fesses
au niveau du revers de ses bas nylon, puis la propulsa en avant d'une claque
magistrale qui la fit sursauter.
– « Maintenant tu vas te mettre au coin en
attendant la fessée suivante ! »
– Oui, chéri, mais, s'il te plaît... pas tout de
suite ! » Dit-elle en ronchonnant encore, pour la forme.
Elle se hâta cependant d’obéir, et traversa la pièce en
frictionnant avec précaution ses grosses fesses en feu sans pouvoir s'empêcher
de murmurer entre ses dents.
– « Au moins que j'ai le temps de digérer celle-là... »
Nez au mur, elle tendit au maximum son derrière tout rouge,
comme elle savait devoir le faire, bien exhibé aux yeux de tous, pour témoigner
de la fessée reçue et en ressentir la honte.
Voyant cela , Margaret décida elle aussi de suspendre provisoirement la
fessée de Géraldine maintenant sanglotant. Elle la lâcha et la laissa
glisser sur le sol, en ordonnant .
– « File au coin ,toi aussi ! Elle ajouta aussitôt
à l’intention de Walter. Quel plaisir d'avoir à corriger d'aussi magnifiques
paires de fesses … Vous ne trouvez pas ?
– Surtout celle-là, confirme -t -il en désignant d'un geste du menton, le
flamboyant fessier de Bettina. Plus je
lui en mets,
plus il lui en faut ! Mais vous
n'êtes pas mal servie, vous aussi, avec le derrière de Géraldine... un sacré plantureux !
– Pareil que celui de votre femme, un gourmand de fessées,
vous ne pouvez pas savoir ! Vorace même. Et ça tombe bien, j'adore
ça ! Mais quelle dépense
d'énergie... Ça m' assèche la gorge !... pas vous »
Elle posa son
battoir brûlant sur la table basse.
– « Que diriez-vous d'un thé ? elle se ravise
aussitôt. Heuuu, vu l'heure, un Whisky plutôt, ça va nous redonner du
tonus pour la suite. Qu'en dites-vous ? “
Walter aurait préféré son Genièvre, mais ne refusa pas la
proposition.
Géraldine s'était relevée. Elle se dirigea vers le coin de
la pièce, obligée de tortiller des fesses en marchant, gênée par son slip,
tendu en travers de ses cuisses, contrairement à celui de Bettina simplement descendu
juste en dessous des fesses pour mieux les mettre en valeur. Celle-ci glissa de côté, face au mur, de façon à ce que sa
copine puisse se mettre face à l’autre
mur perpendiculaire. Comme Bettina, les mains sur la tête, Géraldine
cambra les reins pour exposer au mieux, elle aussi, son volumineux fessier
cramoisi . Les deux paires de fesses, gonflées par les claques et les
coups de martinet, étaient si rebondies et d’un tel format plantureux qu’elles
se touchaient presque.
De la façon dont
elles étaient placées en équerre, les deux punies, la tête légèrement tournée,
n’avaient d’yeux que pour le postérieur de l’autre qu’elle examinait sans
discrétion. Sébastien était fasciné par le spectacle. Il remarqua que, les yeux pleins de larmes qu'elles peinaient
à retenir, aucune ne témoignait d’une quelconque compassion pour le fessier
écarlate de l’autre ....Bien au contraire, chacune sachant que son propre
derrière faisait également l’objet d’une observation de détail impitoyable,
leur regard montrait une franche satisfaction de voir les fesses tendues de
l’autre témoigner de la sévérité de la fessée reçue, par la couleur exhibée et la chaleur dégagée
....
C’est avec un fond de méchanceté puérile,
teintée d’esprit de vengeance par rapport à toutes les fessées que lui-même recevait, que Sébastien
contemplait avec plaisir, sa sœur surtout, et la voisine, recevoir une
correction sur leur fabuleux derrière. Il se disait que pour de ferventes
adeptes de la fessée comme sa mère et sa tante, Walter à l'occasion, ce devait être une aubaine d'avoir, sous la
main, des postérieurs de ce format, à déculotter et claquer à volonté.
Il se régalait avec délice, ce soir-là et se réjouissait à regarder sangloter les deux jeunes
femmes, et, au lieu de garder les mains sur leur tête, les voir se frotter les
fesses en cachette, comme des gamines,
quand Margaret et Walter ne les regardaient pas. Il les voyait de dos, leur paire de fesses
plantureuses d’une telle couleur que leur chaleur irradiante était visible en
quelque sorte et sautait aux yeux si on peut dire ... Taille cambrée , reins
creusés , elles exhibaient impudiquement les rondeurs proéminentes de leurs
volumineux fessiers ...
Les bribes de leur conversation chuchotée,
qu'il avait pu saisir, ne laissaient aucun doute. Ni l’une ni l’autre n’espérait échapper à
une, ou même plusieurs, “bonnes” fessées au cours de la soirée !
Elles présentaient ainsi leurs fesses déculottées parce que c’était l’usage, la
règle. En attente d’une fessée ou venant de la recevoir, on devait exposer au
mieux son derrière de façon à ce que l’effet de la déculottée puisse être
constaté. Géraldine comme Bettina,
prouvaient ainsi qu’elles avaient de quoi satisfaire la sévérité des
corrections et qu'elles ressentaient même un certain plaisir à se faire claquer
les fesses. Cela ne les empêchait
nullement de redouter les fessées, notamment celles qu’elles savaient
imminentes, mais l’envie à peine dissimulée d’être corrigée l’emportait sur la
crainte.
C’est Bettina, encore elle, qui prit d’ailleurs
l’initiative en interpellant Walter,
mais en s’adressant à tout le monde.
Désignant, le battoir en cuir que son mari avait repris en main, elle
dit d’une voix faussement peureuse.
– « Oooh ! ...tu vas encore me mettre une
fessée au battoir ... en plus de l'autre et de celle au martinet ? Hou la
la, cela fait mal la fessée avec ça … cela me corrige bien tu sais .... Et je sais aussi que je le mérite, mais, s'il
te plaît, pas avec le côté vernis ça
cuit trop ! »
Walter ne dit rien mais se fend d'un petit sourire en faisant tourner le manche dans sa main
pour utiliser cette fois la surface brillante , celle qui claque beaucoup
plus fort.
C'est un nouveau modèle à deux faces différentes, création
des ateliers Delaniaires, d'après une idée de Madame toujours en recherche de
rendre les fessées plus performantes. Un côté en cuir mat pour bien chauffer
les fesses et l'autre en cuir vernis pour les faire reluire... Étant bien sûr
au courant de la séance de fessées qui s'annonçait, Astrid en avait apporté deux exemplaires à sa
sœur, pour procéder à un claque-test. Les
deux solides paires de fesses, constituaient le champ d'expérimentation
idéal. Trop occupée au magasin en l'absence de Géraldine, elle avait dû, la mort dans l'âme, renoncer à assister à
l'inauguration du nouvel instrument de discipline.
Bettina, consciente de la nature du terrible instrument qui
va lui claquer aux fesses, poursuit
maintenant son petit numéro à l'envers en faisant semblant d'avoir très très
peur, mais pas tant que ça finalement... bref, elle continue à faire des
commentaires en provocant son mari.
– « Tu vas encore me faire tortiller des fesses devant
tout le monde ...hein Walter, que tu vas me les faire danser ! Et
s’adressant à sa copine. Ah Géraldine, tu vas m’entendre crier cette
fois ....Vous allez tous les voir mes grosses fesses rouges en train de danser
....hou la la ....tu vas peut-être y goûter toi aussi , Géraldine...
– Sûrement tu veux dire ! Réplique l'intéressée en se
tenant le derrière à pleines mains. Ce qui est bon pour tes fesses , c'est
pareil pour
les miennes !
– Oh la la ! Oui, quelle fessée on va encore recevoir
....hein , William ? Tu vas bien me dresser ce soir hein ! Je vais l’avoir ma
grosse fessée déculottée et je vais m’en rappeler! »
Margaret, que les bravades de Bettina ne troublaient, pas le moins
du monde, mais au contraire, lui laissaient
le champ libre à une nouvelle fessée des plus sévères, lança un clin d'œil complice à Walter.
– « Elles vont même s'en rappeler toutes les deux, et faisant
allusion à Andrew. On ne prend pas l'initiative de s'occuper de certaines
paires de fesses sans autorisation. Par contre, les leurs sont en libre accès
permanent !
– Je trouve la formule, tout à fait appropriée ! Répond
Walter .
Margaret
tape dans ses mains en annonçant la suite de opérations comme s'il s'agissait
d'une bonne nouvelle. Pas pour tout le monde ...
–
« Aller, votre punition n'est pas terminée, elle doit être
exemplaire !
– On ramène ses fesses pour la tournée
suivante ! »
Se lâche Walter, stimulé par la détermination de la
maîtresse de maison qui ajoute en riant.
– « Il faut claquer les derrières tant qu'ils sont
encore chauds. Ça rend les fessées plus retentissantes ! »
Les deux jeunes femmes, dans un simulacre de
contrariété, obéissent en marmonnant entre leurs dents. Se déplaçant à petits
pas nerveux, tortillant rageusement du derrière pour montre leur
désapprobation, elles viennent présenter à nouveau leurs
fesses, l'une à son correcteur, l'autre
à sa fesseuse.
L’une
comme l’autre savait recevoir la fessée. Elles
avaient appris à positionner leur derrière pour cela en l’offrant comme cible
la plus efficace qu’il soit aux regards, à la main et aux instruments de correction, jugés bon
d’employer ! Dès le début de cette soirée de punition, ces
superbes paires de fesses avaient pris une couleur rouge intense qui témoignait
de la terrible cuisson endurée.
William,
battoir en main, ordonne à Bettina de
revenir se mettre en position pour recevoir sa nouvelle fessées.
– « Et comme il faut , précise-t -il. Les fesses bien
exposées ! »
Obéissant
immédiatement, elle s’allongea docilement sur ses genoux en soulevant son gros
postérieur déculotté, entièrement rouge de la fessée précédente, prêt à claquer
de nouveau. Elle eut à peine le temps de dire
encore.
– « Oooooh oui ! oh la
fessssssée ! »
Que dans sa bouche succédèrent les cris de
douleur.
– « Wouahrrr ! Wouahrrrr ! Tu tapes trop
fort chérie ;;;; ça fait mal, le batt... Roaiiiiie !!! »
A peine
quelques secondes furent nécessaires pour que - à la grande joie de Sébastien
de plus en plus ravi du spectacle - Bettina éclate littéralement en sanglots,
pleurant à chaudes larmes comme une petite fille qui se prend une cuisante
fessée .
Il n’avait fallu que quelques claques infligées
sur ses grosses fesses avec ce sévère
instrument pour qu'elle perde tout
contrôle et toute dignité ! La fessée ...voilà ! Elle recevait la fessée méritée ...
Géraldine regardait cette fessée avec, tout de
même, un peu d'appréhension dans le regard
Pendant que sa copine criait et pleurait, Margaret lui avait ordonné de revenir se mettre ,elle
aussi, en position sur ses genoux. Elle se contenta pour le moment, de lui
claquer vigoureusement les fesses à la main, à intervalles réguliers, et
suffisamment fort pour qu’elle se remettre à pleurer. Un peu comme un deuxième
tour de chauffe avant la nouvelle déculottée au
battoir. De la main gauche, il lui tenait les cheveux tirés en arrière
afin que la tête levée, elle ne perde rien de la fessée de Bettina.
– « Regarde bien ses fesses, chérie, regarde
comme elles rougissent encore, de plus en plus ! Et bien ça va être pareil pour
les tiennes ! »
Géraldine ne répond pas et serre les dents,
alors que Walter lâche le battoir, mais
pas sa femme. Il claironne d'un ton triomphant comme un gamin décide de
changer de jouet pour mieux s'amuser.
– « Le martinet maintenant ! La
fessée déculottée au martinet ! »
Il maintient Bettina sous son bras, le postérieur soulevé sur son genou gauche, pied
posé sans précaution sur le canapé. Contre toute attente, elle ravale ses
sanglots et, comme si son solide postérieur avait déjà digéré sa raclée au
battoir, reprend son petit délire provocateur en réclamant.
– « Rooooh, ouiii , la fessée ! La fessée au martinet sur mes grosses fesses
déculottées !! ! »
Elle
n’eut pas à le demander plus longtemps. Une volée ininterrompue de coups de
martinet, cinglant de tous côtés s’abattit sur son gros derrière déjà bien
corrigé, exposé et tendu à l’extrême. Ses cris et ses sanglots redoublèrent … et
pourtant on l’entendait parfois gémir, sans vraiment discerner si c'était
uniquement de douleur ou de sensations plus jouissives.
« Ouiiii la fessée.. la fessée... ouiii …
raaaaah, ça cuit, ça cuit !! … »
Géraldine, à peu près dans le même état de
pâmoison, ayant déjà reçu sa dose de martinet, Margaret décida de reprendre le battoir, plus adapté à
mieux lui faire reluire les fesses. La jeune femme se mit à hurler tandis que
la surface de cuir verni aplatissait ses fesses rondes en les blanchissant à
chaque coup pour une fraction de seconde, pour les faire immédiatement rebondir encore plus rouges.
Elle essayait de demander pardon entre ses sanglots tout en sachant bien sûr
que c’était inutile …
.Cette nouvelle fessée au battoir ne dura
cependant pas très longtemps. Margaret
, décidée à rendre la correction particulièrement exemplaire, la prolongea d’une interminable fessée à la
main dont elle connaissait l’efficacité sur le plantureux derrière de sa fille.
La soirée se poursuivit ainsi entre fessées manuelles et fessées aux martinets,
Margaret et Walter échangeant les
martinets et les battoirs de temps à autre. Les deux punies pleuraient évidemment
maintenant sans discontinuer , totalement matées...
Sébastien assistant à cette série de fessées
exceptionnelles reçues par sa sœur et la voisine, éprouvait , à la longue
, des sentiments ambigus. Il manœuvrait dans la pièce alors que personne ne
s’intéressait vraiment à lui, ne sachant pas trop quel adjectif pourrait le
mieux rendre compte de la vive couleur rouge enflammant ces deux gros
derrières. Ecarlate ? cramoisi ? vermillon ? pourpre ? Une couleur rouge,
à la fois soutenue et vive ....à la fois foncée et éclatante ! En tout
cas , elle ne faisait que croître et embellir, s’étendant progressivement sur
les cuisses, jusqu’à la hauteur des bas nylon , s’élargissant même sur les
flancs des fesses aux endroits que le battoir
ou la main avait plus ou moins épargné.
C'était comme un incendie qui
gagnait tout le bas du corps des deux
punies !
Il tournait autour des deux femmes corrigées
afin de voir aussi leur visage pendant la fessée mais il revenait vite à
l’observation sans vergogne des deux gros derrières tout rouges, qui lui
paraissaient de plus en plus volumineux, claqués et reclaqués bruyamment ,
cinglés et recinglés sans répit. A voir
les visages empourprés , ruisselants de larmes abondantes inépuisables, mêlées
à la bave de la bouche grande ouverte pour crier pour tomber à grosses gouttes
sur le cou, la poitrine, le sol, il
finissait par éprouver, même pour sa sœur, un début de compassion.
Bettina avait perdu toute superbe et même une
quelconque dignité, comme Géraldine qu'il avait déjà vue dans cet état, quand
elle recevait une très cuisante fessée. Elle tentait parfois d’articuler
un parfaitement inutile.
– « Paaarrrrdon...ma... maman . Je ne
recommencerai pas... sans... sans aiiiiiiie !! Ton autori... aaaaoouiiiile
… sation !
– « Trop tard ma chérie !! Fallait y
penser avant !! Maintenant c'est la fessée !! »
La voisine, quant à elle, n’était capable que
d’émettre une lamentation plaintive.
– « Ooooh ...laaaaa féééééé sss
....ééé eee !!! »
De temps
en temps , l’une ou l’autre jetait un coup d’œil à la croupe rutilante de
l’autre ,comme pour vérifier l’état de la sienne propre qui en était
effectivement une sorte de copie conforme, quant au volume, à la cuisson
attestée par la couleur intense et aux
mouvements désespérés qui les agitaient. Impossible pour d’aussi imposantes
paires de fesses, bien maintenues en bonne position, d’échapper à la moindre
claque ou coup de battoir.
Les cris, les pleurs, les supplications, le
bruit retentissant des deux fessiers, exposés aux claques, devaient être
entendus, par la fenêtre grande ouverte,
jusque dans la rue et les maisons voisines. Nul doute que cela ferait
l’objet de moqueries supportées, toute honte bue, par celles qui seraient
considérées comme deux garces ayant reçu une fessée déculottée entièrement
méritée .
Enfin, Margaret et Walter décidèrent de mettre un terme à
l'interminable correction. Après avoir repris deux tournées de Whisky, ils
décidèrent de se séparer. Négligeant la relative discrétion du passage par les
jardins contigus, Walter, le pas mal assuré
il supportait moins bien le Whisky que le Genièvre, emporta sous son
bras Bettina, toujours déculottée et en pleurs. Il entreprit de regagner leur
maison par le bout de rue qui la reliait à celle des Delaniaires. Géraldine,
également déculottée et en larmes, solidement
tenue à l'oreille par sa mère, était contrainte de regarder le couple
s’éloigner, depuis le seuil de la porte largement ouverte.
Portée par Walter comme un sac de linge, Bettina exhibait
son imposant fessier cramoisi, encerclé
par ses jarretelles et le revers noir de ses bas nylon, tourné vers leur
maison, projeté en l'air plus haut que sa tête qu’elle relevait vers eux. Sous le lampadaire, situé environ à mi-chemin
entre les deux maisons, Walter fit une pause, se retourna vers Margaret, à qui
il fit un signe complice de la main et, ajustant encore mieux son bras autour
de la taille de Bettina, lui souleva le derrière bien tendu, et lui infligea de
nouveau une fessée, brève mais bien claquante. Margaret répondit en faisant de
même. Elle prit Géraldine sous son bras, son fessier déculotté, flamboyant
orienté vers la rue et bien visible du haut du perron de l'escalier, lui
flanqua sa fessée à elle aussi. Une cinquantaine de claques bien cuisantes
sévèrement appliquées sur son derrière en fusion.
– « Ah tu ne t'attendais pas à celle-là hein ? S'exclame-t-elle en riant ; Elle claque à
pleine main chaque fesse l'une après l'autre. C'est la meilleure fessée de la
soirée ! Tu ne trouves pas ? »
Un nouveau flot de larmes jaillit des yeux de Géraldine. La
tête au ras du sol, elle ne peut que déployer encore ses fesses déculottées,
arrondies au maximum sous la main de sa mère qui la corrige de nouveau.
L'humiliante fessée terminée elle la fit rentrer. Sans qu’elle ait besoin de le
lui ordonner, elle alla d'elle-même se mettre au coin en massant
machinalement ses fesses en surchauffe, avec d'infinie précautions.
Margaret, satisfaite du déroulement de la punition, on le
serait à moins, referma la porte d’entrée. Sa main lui chauffait encore
délicieusement, de l'avilissante fessée qu'elle venait encore de claquer à Géraldine, les fesses
bien exhibées, sur le seuil de la maison, comme une réponse à celle donnée
à Bettina par William en guise d’au revoir ! La rue était déserte à cette
heure-là,
mais il ne faut pas exclure que des regards indiscrets aient pu voir la scène
derrière le rideau de leur fenêtre. Le saura-t-on jamais ?
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Amis de la poésie et de la fessée en libre accès, bonjour,
RépondreSupprimerVoici qu'arrive le battoir à reluire, dernier modèle de la maison DELANIAIRES, qui ne manque pas de piquant, celui-là et n'aura rien à envier au Dolpic. Côté pile, on passe la première couche et côté face, les fesses reluisent autant qu'un paire de chaussures toute neuves. Mais quelle belle invention !
Géraldine et Bettina s'en prennent un bien bonne. Après ça, on pourra dire "jeu, set et match" pour nos deux punies qui n'auront pas été épargnées par leurs punisseurs respectifs. Entre apéro et fessées, Margaret et Walter les auront finalement maté et Séb les aura reluqué.
Le retour à la maison, les fesses nues est une nouvelle punition à elle seule et en plus, il y a le digestif à la lumière, ce qui donnera aux voisins, l'occasion de mater les gros fessiers rougis. Elles s'en rappelleront, les deux garces du quartier... Cette fois unies dans les vociférations et autres lamentations sous les claques sonores telles 2 cornes de brume en polyphonie. Ca va faire un peu d'animation dans le quartier.
Formidable clap de fin que cette ultime épisode en polychromie qui vient solder cette fresque historique.
"C'était la dernière séance, c'était la dernière séquence et le rideau sur l'écran est tombé"
Amitiés.
Elena.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerChers téléspectateurs, ici Peter Lepan en direct du Palais des Arts de Synthol-sur-mer, pour la dernière représentation de "Ces Dames aux mains fermes ou : Gladys les Mémoires d'une préceptrice", une pièce qui fut écrite et mise en scène par Ram Hina, un auteur à succès. Durant quatre saisons, nous avons ri, pleuré, tremblé pour nos sympathiques héroïnes et héros, entre facéties et coup de théâtre. Toute une galerie de personnages, de l'exubérante Gladys, à la très mère-poule Térèze, de Robin, à Gérome, de Sébastien à Andrew, le maladroit étudiant-au-Pair et tout un gynécée autour de ces deux garnements, en proie aux tourments de leur âge. Chers amis, cette saga s'achève donc ce soir sur une note humoristique par une belle farandole écarlate !!! Comme au théâtre, le rideau tombe après le dernier acte et les artistes font un rappel sous une ovation de bravos et mercis !
Chers téléspectateurs et téléspectatrices, je dois à présent rendre l'antenne et je vous dis à bientôt pour une autre merveilleuse soirée placée sous le signe du rire et de l'émotion."
Amicalement. Peter Lepan.
Bonjour les gens,
RépondreSupprimerLa poésie ne fait plus recette, mais... chers amis grand merci !
Je savoure le vibrant hommage que vous faites à cette Saga que je n'aurais jamais imaginé écrire si je n'étais pas tombé par hasard, et sans me faire mal, sur ce blog. Encouragé par JLG, habile pédagogue qui a su me stimuler pour me lancer dans ce challenge d'écriture imagées... et soutenu par vos précieux commentaires. Poil au nez!
Bravo Eléna pour cette brillante synthèse de dernier épisode. Eh oui, la maison Delaniaires à pu présenter sa dernière création, le "battoir double face" qui, hélas, n'aura pas servi longtemps... Au demeurant, vos commentaires se sont affinés et enrichis de pertinence au fil des épisodes. Vos terribles histoires, nous ont fait frémir le poil que n'avaient plus les pénitents de Ste Croix, corrigés nu au pilori de l'institut.
Parodie pleine d'humour et d'auto dérision de Peter Lepan... pan cul cul, à l'image de ses pittoresques personnages si délicieusement rétro. Déguisé en commentateur d'émission télé , mais on l'a bien reconnu, il nous invente, un final drôlatique, théâtralisé avec une tombée de rideau en "farandole écarlate " comme "le rideau déchiré " d'Hitchcok.
Quel plaisir revigorant ce fut d'échanger avec vous, sur un sujet brûlant, traité avec malice, habileté, humour, arrogance, provocation, et parfois même une pointe d'élégance.
je n'oublie pas notre ami JLG artisan et promoteur de l'aventure, naufragé du temps, englouti comme l'Atlantide, 20 000 lieux sous une mer de récits et commentaires à gérer et mettre ligne. Puis peu à peu abandonné par des lecteurs volatils... Ah, ma pov'dame, pardonnez leurs, ils ne savent pas ce qu'ils perdent!
Nous voici donc seuls... telle "Sissi face à son destin". Oula, la, ça craint!
Amicalement à tous, et toutes... mes loulouttes!
Ramina