mardi 4 mai 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 22 - 2ème partie

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LA PUNITION DE BETTINA ET GERALDINE.  2é partie

Les deux fessées continuaient à claquer sans interruption, pour la plus grande satisfaction de Sébastien qui tenait là une éclatante revanche. Peu importe ce qui pouvait lui arriver par la suite, il profitait d'autant mieux du moment présent, que personne ne se préoccupait de lui. Les postérieurs de Bettina et Géraldine, maintenant aussi rutilants l’un que l’autre, étaient animés de mouvements incontrôlables.  Deux provocantes paires de fesses rebondies, indécemment écartées par la position qu’elles étaient obligées de maintenir, et enflées par les vigoureuses fessées subies. Elles en paraissaient carrément énormes.

Finit les petites insolences, les simulacres d'indifférence à la fessée, cette fois ci, les deux jeunes femmes s'en prenaient une sévère et semblaient réellement mâtées sous l'ardeur que mettaient Walter et Margaret à les corriger. On ne voyait  plus que les visages grimaçants, couverts de larmes, les bouches ouvertes , les pieds qui battaient l’air machinalement  et surtout ces deux monumentales paires de fesses écarlates sur lesquelles les mains sévères abattaient les battoirs avec régularité.

Le honteux spectacle offert par Bettina était accru par la racine de gingembre dont l’extrémité émergeait d'entre ses fesses, tandis que pour Géraldine c'était son slip baissé qui entravait ses cuisses et la rendait encore plus ridicule. La vision du rondin planté dans le gros cul flamboyant de sa voisine, lui faisait  irrésistiblement penser à la probable nouvelle fessée qui l'attendait, avec le manche de son martinet enfoncé le derrière. Margaret n'avait pas l'habitude de ne pas mettre ses menaces à exécution.

– «  Et bien chérie, dit celle-ci  en s'appliquant à bien appuyer les claquées, à un rythme régulier. Qu'est-ce qu'elles en pensent tes fesses de cette bonne petite séance de battoir... Hum ? Toi, qui prétends toujours que ça te fait du bien de te faire chauffer le derrière !

– Rooaaah maman, oui...ça cuit bien... mais aussi, tu tapes fort.... ça fait mal !!

– Et alors... Tu ne sais pas ce que tu veux. Pour que la fessée chauffe bien il faut taper fort ! »

Sébastien observait cela avec satisfaction essayant –vainement – de deviner laquelle recevait la “meilleure” fessée en tentant de comparer l’abondance de leurs pleurs et leurs gigotements .....peine perdue ....mais fessées bien reçues ! Il remarqua cependant que la couleur pourpre des fesses et des cuisses de Géraldine était plus uniforme alors que la croupe rougie de Bettina était plus nuancée : des zones plutôt rouge vif  voisinaient  avec des marques tirant sur le rouge foncé ....Il attribua cela au Dolpic que Margaret prenait soin de passer sur le derrière de ses punis, avant chaque fessée prévue et souvent complété par une couche supplémentaire imposée en cours de fessée. Il se dit que Bettina aurait plein de marques et encore plus de mal à s’asseoir que Géraldine, ....TANT MIEUX , BIEN FAIT. ! Encore que sa sœur en mériterait tout autant.  !

C’est Walter qui, le premier, cessa de claquer le derrière de Bettina. Il retira lentement la racine de gingembre, fit semblant de la renfoncer ce qui provoqua un gémissement angoissé, puis la retira définitivement .

– «  Alors, contente ? Ironise-t-il d'un ton de vainqueur en train de prendre une revanche.   Tu l'as ta fessée avec ton gingembre dans le derrière. Ça chauffe bien hein !

Bettina entre le sourire et les larmes. 

– Oh oui chérie tu me fesses bien... ça cuit ! Oh la, la qu'est-ce que ça cuit, dans le cul aussi, ça brûle !

– C'est bien ce que tu voulais... le feu aux fesses, et bien tu l'as... dehors et dedans, la totale. Et c'est pas fini ! »

Contre toute attente il lui ordonna de se reculotter et reculotté bien serré !  Pour le coup, elle ne discuta pas. Tortillant outrageusement des hanches, le visage grimaçant, elle eut toutes les peines du monde à faire rentrer ses fesses cuisantes, gonflées de claques, dans un slip qui lui semblait maintenant  trop  petit pour les contenir entièrement. Elle émit un soupir douloureux au claquement des élastiques sur les rondeurs écarlates qui en débordaient. Elle aurait certainement préféré rester déculottée.

– «  Ouaiiiie... chéri, ça serre... oh la, la, mes fesses ! Ah je la sens ma fessée... Ces slips,  c'est atroce... ça chauffe dur là-dedans !

– C'est normal, ils sont faits pour ça ! Mais puisque tu insistes, après tout, autant se régaler du spectacle . »

Il la prit sous son bras et la redéculotta, lui laissant son slip sous les fesses au niveau du revers de ses bas nylon, puis la propulsa en avant d'une claque magistrale qui la fit sursauter. 

– «  Maintenant  tu vas te mettre au coin en attendant la fessée suivante ! »

– Oui, chéri, mais, s'il te plaît... pas tout de suite ! » Dit-elle en ronchonnant encore, pour la forme. 

Elle se hâta cependant d’obéir, et traversa la pièce en frictionnant avec précaution ses grosses fesses en feu sans pouvoir s'empêcher de murmurer entre ses dents. 

– « Au moins que j'ai le temps de digérer celle-là... » 

Nez au mur, elle tendit au maximum son derrière tout rouge, comme elle savait devoir le faire, bien exhibé aux yeux de tous, pour témoigner de la fessée reçue et en ressentir la honte.  Voyant cela , Margaret décida elle aussi de suspendre provisoirement la fessée de Géraldine maintenant  sanglotant. Elle la lâcha et la laissa glisser sur le sol, en ordonnant .

– «  File au coin ,toi aussi ! Elle ajouta aussitôt à l’intention de Walter. Quel plaisir d'avoir à corriger d'aussi magnifiques paires de fesses … Vous ne trouvez pas ?

– Surtout celle-là, confirme -t -il en désignant d'un geste du menton, le flamboyant fessier  de Bettina. Plus je lui en mets, plus il lui en faut !  Mais vous n'êtes pas mal servie, vous aussi, avec le derrière de  Géraldine... un sacré plantureux !

– Pareil que celui de votre femme, un gourmand de fessées, vous ne pouvez pas savoir ! Vorace même. Et ça tombe bien, j'adore ça !  Mais quelle dépense d'énergie... Ça m' assèche la gorge !... pas vous  »

Elle  posa son battoir brûlant sur la table basse.

– « Que diriez-vous d'un thé ? elle se ravise aussitôt.  Heuuu, vu l'heure, un Whisky plutôt, ça va nous redonner du tonus pour la suite. Qu'en dites-vous  ?   

Walter aurait préféré son Genièvre, mais ne refusa pas la proposition.

Géraldine s'était relevée. Elle se dirigea vers le coin de la pièce, obligée de tortiller des fesses en marchant, gênée par son slip, tendu en travers de ses cuisses, contrairement à celui de Bettina simplement descendu juste en dessous des fesses pour mieux les mettre en valeur. Celle-ci  glissa de côté, face au mur, de façon à ce que sa copine  puisse se mettre face à l’autre mur perpendiculaire.  Comme Bettina, les mains sur la tête, Géraldine cambra les reins pour exposer au mieux, elle aussi, son volumineux fessier cramoisi  . Les deux paires de fesses, gonflées par les claques et les coups de martinet, étaient si rebondies et d’un tel format plantureux qu’elles se touchaient presque.

 De la façon dont elles étaient placées en équerre, les deux punies, la tête légèrement tournée, n’avaient d’yeux que pour le postérieur de l’autre qu’elle examinait sans discrétion. Sébastien était fasciné par le spectacle. Il remarqua  que, les yeux pleins de larmes qu'elles peinaient à retenir, aucune ne témoignait d’une quelconque compassion pour le fessier écarlate de l’autre ....Bien au contraire, chacune sachant que son propre derrière faisait également l’objet d’une observation de détail impitoyable, leur regard montrait une franche satisfaction de voir les fesses tendues de l’autre témoigner de la sévérité de la fessée reçue,  par la couleur exhibée et la chaleur dégagée ....

C’est avec un fond de méchanceté puérile, teintée d’esprit de vengeance par rapport à toutes les fessées que lui-même recevait, que Sébastien contemplait avec plaisir, sa sœur surtout, et la voisine, recevoir une correction sur leur fabuleux derrière. Il se disait que pour de ferventes adeptes de la fessée comme sa mère et sa tante, Walter à l'occasion,  ce devait être une aubaine d'avoir, sous la main, des postérieurs de ce format, à déculotter et claquer à volonté.

Il se régalait avec délice, ce soir-là et se réjouissait à regarder sangloter les deux jeunes femmes, et, au lieu de garder les mains sur leur tête, les voir se frotter les fesses en cachette, comme des gamines,  quand Margaret et Walter ne les regardaient pas.  Il les voyait de dos, leur paire de fesses plantureuses d’une telle couleur que leur chaleur irradiante était visible en quelque sorte et sautait aux yeux si on peut dire ... Taille cambrée , reins creusés , elles exhibaient impudiquement les rondeurs proéminentes de leurs volumineux fessiers ...

Les bribes de leur conversation chuchotée, qu'il avait pu saisir, ne laissaient aucun doute.  Ni l’une ni l’autre n’espérait échapper à une,  ou même plusieurs, “bonnes” fessées  au cours de la soirée ! Elles présentaient ainsi leurs fesses déculottées parce que c’était l’usage, la règle. En attente d’une fessée ou venant de la recevoir, on devait exposer au mieux son derrière de façon à ce que l’effet de la déculottée puisse être constaté.  Géraldine comme Bettina, prouvaient ainsi qu’elles avaient de quoi satisfaire la sévérité des corrections et qu'elles ressentaient même un certain plaisir à se faire claquer les fesses.  Cela ne les empêchait nullement de redouter les fessées, notamment celles qu’elles savaient imminentes, mais l’envie à peine dissimulée d’être corrigée l’emportait sur la crainte.

C’est Bettina, encore elle, qui prit d’ailleurs l’initiative en interpellant Walter,  mais en s’adressant à tout le monde.  Désignant, le battoir en cuir que son mari avait repris en main, elle dit d’une voix faussement peureuse.

– «  Oooh  ! ...tu vas encore me mettre une fessée au battoir ... en plus de l'autre et de celle au martinet ? Hou la la, cela fait mal la fessée avec ça … cela me corrige bien tu sais ....  Et je sais aussi que je le mérite, mais, s'il te plaît,  pas avec le côté vernis ça cuit trop ! »

Walter ne dit rien mais se fend d'un petit sourire  en faisant tourner le manche dans sa main pour utiliser cette fois la surface brillante , celle qui claque beaucoup plus fort.

C'est un nouveau modèle à deux faces différentes, création des ateliers Delaniaires, d'après une idée de Madame toujours en recherche de rendre les fessées plus performantes. Un côté en cuir mat pour bien chauffer les fesses et l'autre en cuir vernis pour les faire reluire... Étant bien sûr au courant de la séance de fessées qui s'annonçait,  Astrid en avait apporté deux exemplaires à sa sœur, pour procéder à un claque-test. Les  deux solides paires de fesses, constituaient le champ d'expérimentation idéal. Trop occupée au magasin en l'absence de Géraldine, elle avait  dû, la mort dans l'âme, renoncer à assister à l'inauguration du nouvel instrument de discipline.

Bettina, consciente de la nature du terrible instrument qui va lui claquer aux fesses,  poursuit maintenant son petit numéro à l'envers en faisant semblant d'avoir très très peur, mais pas tant que ça finalement... bref, elle continue à faire des commentaires en provocant son mari. 

– « Tu vas encore me faire tortiller des fesses devant tout le monde ...hein Walter, que tu vas me les faire danser !  Et  s’adressant à sa copine. Ah Géraldine, tu vas m’entendre crier cette fois ....Vous allez tous les voir mes grosses fesses rouges en train de danser ....hou la la ....tu vas peut-être y goûter toi aussi , Géraldine...

– Sûrement tu veux dire ! Réplique l'intéressée en se tenant le derrière à pleines mains. Ce qui est bon pour tes fesses , c'est pareil pour les miennes !

– Oh la la ! Oui, quelle fessée on va encore recevoir ....hein , William ? Tu vas bien me dresser ce soir hein ! Je vais l’avoir ma grosse fessée déculottée et je vais m’en rappeler! »

Margaret, que les bravades de Bettina ne troublaient, pas le moins du monde, mais au contraire, lui laissaient  le champ libre à une nouvelle fessée des plus sévères,  lança un clin d'œil complice à Walter.

Fessée déculottée


– « Elles vont même s'en rappeler toutes les deux, et faisant allusion à Andrew. On ne prend pas l'initiative de s'occuper de certaines paires de fesses sans autorisation. Par contre, les leurs sont en libre accès  permanent ! 

– Je trouve la formule, tout à fait appropriée ! Répond Walter .

Margaret tape dans ses mains en annonçant la suite de opérations comme s'il s'agissait d'une bonne nouvelle. Pas pour tout le monde ...

– «  Aller, votre punition n'est pas terminée, elle doit être exemplaire !

– On ramène ses fesses pour la tournée suivante ! »

Se lâche Walter, stimulé par la détermination de la maîtresse de maison qui ajoute en riant.

– «  Il faut claquer les derrières tant qu'ils sont encore chauds. Ça rend les fessées plus retentissantes ! »

Les deux jeunes femmes, dans un simulacre de contrariété, obéissent en marmonnant entre leurs dents. Se déplaçant à petits pas nerveux, tortillant rageusement du derrière pour montre leur désapprobation, elles viennent présenter à nouveau leurs fesses,  l'une à son correcteur, l'autre à sa fesseuse.

 L’une comme l’autre savait recevoir la fessée. Elles avaient appris à positionner leur derrière pour cela en l’offrant comme cible la plus efficace qu’il soit aux regards, à la main    et aux instruments de correction, jugés bon d’employer   ! Dès le début de cette soirée de punition,  ces superbes paires de fesses avaient pris une couleur rouge intense qui témoignait de la terrible cuisson endurée.

 William, battoir en main, ordonne à Bettina  de revenir se mettre en position pour recevoir sa nouvelle fessées.

– «  Et comme il faut , précise-t -il. Les fesses bien exposées ! »

 Obéissant immédiatement, elle s’allongea docilement sur ses genoux en soulevant son gros postérieur déculotté, entièrement rouge de la fessée précédente, prêt à claquer de nouveau. Elle eut à peine le temps de dire encore.

– « Oooooh oui ! oh la fessssssée ! »

Que dans sa bouche succédèrent les cris de douleur.

– « Wouahrrr ! Wouahrrrr ! Tu tapes trop fort chérie ;;;; ça fait mal, le batt... Roaiiiiie !!! »

 A peine quelques secondes furent nécessaires pour que - à la grande joie de Sébastien de plus en plus ravi du spectacle - Bettina éclate littéralement en sanglots, pleurant à chaudes larmes comme une petite fille qui se prend une cuisante fessée .

Il n’avait fallu que quelques claques infligées sur ses grosses fesses  avec ce sévère instrument pour qu'elle  perde tout contrôle et toute dignité  ! La fessée ...voilà  !  Elle  recevait la fessée méritée ...

Géraldine regardait cette fessée avec, tout de même, un peu d'appréhension dans le regard  Pendant que sa copine criait et pleurait, Margaret  lui avait ordonné de revenir se mettre ,elle aussi, en position sur ses genoux. Elle se contenta pour le moment, de lui claquer vigoureusement les fesses à la main, à intervalles réguliers, et suffisamment fort pour qu’elle se remettre à pleurer. Un peu comme un deuxième tour de chauffe avant la nouvelle déculottée au  battoir. De la main gauche, il lui tenait les cheveux tirés en arrière afin que la tête levée, elle ne perde rien de la fessée de Bettina.

– « Regarde bien ses fesses, chérie, regarde comme elles rougissent encore, de plus en plus ! Et bien ça va être pareil pour les tiennes ! »

 

Géraldine ne répond pas et serre les dents, alors que Walter lâche le battoir,  mais pas sa femme. Il claironne d'un ton triomphant comme un gamin décide de changer de jouet pour mieux s'amuser.

– «  Le martinet maintenant  ! La fessée déculottée au martinet ! »

Il maintient Bettina sous son bras,  le postérieur soulevé sur son genou gauche, pied posé sans précaution sur le canapé.  Contre toute attente, elle ravale ses sanglots et, comme si son solide postérieur avait déjà digéré sa raclée au battoir, reprend son petit délire provocateur en réclamant.

– «  Rooooh, ouiii , la fessée !  La fessée au martinet sur mes grosses fesses déculottées !! ! »

 Elle n’eut pas à le demander plus longtemps. Une volée ininterrompue de coups de martinet, cinglant de tous côtés  s’abattit sur son gros derrière déjà bien corrigé, exposé et tendu à l’extrême.  Ses cris et ses sanglots redoublèrent … et pourtant on l’entendait parfois gémir, sans vraiment discerner si c'était uniquement de douleur ou de sensations plus jouissives.

«  Ouiiii la fessée.. la fessée... ouiii … raaaaah, ça cuit, ça cuit !! … »

Géraldine, à peu près dans le même état de pâmoison, ayant déjà reçu sa dose de martinet, Margaret  décida de reprendre le battoir, plus adapté à mieux lui faire reluire les fesses. La jeune femme se mit à hurler tandis que la surface de cuir verni aplatissait ses fesses rondes en les blanchissant à chaque coup pour une fraction de seconde, pour les faire  immédiatement rebondir encore plus rouges. Elle essayait de demander pardon entre ses sanglots tout en sachant bien sûr que c’était inutile …

.Cette nouvelle fessée au battoir  ne dura cependant pas très longtemps. Margaret , décidée à rendre la correction particulièrement exemplaire,  la prolongea d’une interminable fessée à la main dont elle connaissait l’efficacité sur le plantureux derrière de sa fille. La soirée se poursuivit ainsi entre fessées manuelles et fessées aux martinets, Margaret et Walter  échangeant les martinets et les battoirs de temps  à autre.  Les deux punies  pleuraient évidemment maintenant sans discontinuer , totalement matées...

Sébastien assistant à cette série de fessées exceptionnelles  reçues par sa sœur et la voisine, éprouvait , à la longue , des sentiments ambigus. Il manœuvrait dans la pièce alors que personne ne s’intéressait vraiment à lui, ne sachant pas trop quel adjectif pourrait le mieux rendre compte de la vive couleur rouge enflammant ces deux gros derrières. Ecarlate ? cramoisi ? vermillon ? pourpre ?  Une couleur rouge, à la fois soutenue et vive ....à la fois foncée et éclatante  ! En tout cas , elle ne faisait que croître et embellir, s’étendant progressivement sur les cuisses, jusqu’à la hauteur des bas nylon , s’élargissant même sur les flancs des fesses aux endroits que le battoir  ou la main avait plus ou moins épargné.  C'était  comme un incendie qui gagnait tout le bas du corps des deux  punies  !

Il tournait autour des deux femmes corrigées afin de voir aussi leur visage pendant la fessée mais il revenait vite à l’observation sans vergogne des deux gros derrières tout rouges, qui lui paraissaient de plus en plus volumineux, claqués et reclaqués bruyamment , cinglés et recinglés sans répit.  A voir les visages empourprés , ruisselants de larmes abondantes inépuisables, mêlées à la bave de la bouche grande ouverte pour crier pour tomber à grosses gouttes sur le cou, la poitrine, le sol, il  finissait par éprouver, même pour sa sœur, un début de compassion.

Bettina avait perdu toute superbe et même une quelconque dignité, comme Géraldine qu'il avait déjà vue dans cet état, quand elle recevait une très cuisante fessée.  Elle tentait parfois d’articuler un parfaitement inutile.

– «  Paaarrrrdon...ma... maman . Je ne recommencerai pas... sans... sans aiiiiiiie !! Ton autori... aaaaoouiiiile … sation ! 

– «  Trop tard ma chérie !! Fallait y penser avant !! Maintenant c'est la fessée !! »

La voisine, quant à elle, n’était capable que d’émettre une lamentation plaintive.

– « Ooooh  ...laaaaa féééééé sss ....ééé  eee !!! »

 De temps en temps , l’une ou l’autre jetait un coup d’œil à la croupe rutilante de l’autre ,comme pour vérifier l’état de la sienne propre qui en était effectivement une sorte de copie conforme, quant au volume, à la cuisson attestée par la couleur intense et  aux mouvements désespérés qui les agitaient. Impossible pour d’aussi imposantes paires de fesses, bien maintenues en bonne position, d’échapper à la moindre claque ou coup de battoir.

Les cris, les pleurs, les supplications, le bruit retentissant des deux fessiers, exposés aux claques, devaient être entendus, par la fenêtre grande ouverte,  jusque dans la rue et les maisons voisines. Nul doute que cela ferait l’objet de moqueries supportées, toute honte bue, par celles qui seraient considérées comme deux garces ayant reçu une fessée déculottée entièrement méritée .

 

Enfin, Margaret et Walter décidèrent de mettre un terme à l'interminable correction. Après avoir repris deux tournées de Whisky, ils décidèrent de se séparer. Négligeant la relative discrétion du passage par les jardins contigus, Walter, le pas mal assuré   il supportait moins bien le Whisky que le Genièvre, emporta sous son bras Bettina, toujours déculottée et en pleurs. Il entreprit de regagner leur maison par le bout de rue qui la reliait à celle des Delaniaires. Géraldine, également déculottée et en larmes, solidement  tenue à l'oreille par sa mère, était contrainte de regarder le couple s’éloigner, depuis le seuil de la porte largement ouverte. 

Portée par Walter comme un sac de linge, Bettina exhibait son imposant fessier cramoisi,  encerclé par ses jarretelles et le revers noir de ses bas nylon, tourné vers leur maison, projeté en l'air plus haut que sa tête qu’elle relevait vers eux.  Sous le lampadaire, situé environ à mi-chemin entre les deux maisons, Walter fit une pause, se retourna vers Margaret, à qui il fit un signe complice de la main et, ajustant encore mieux son bras autour de la taille de Bettina, lui souleva le derrière bien tendu, et lui infligea de nouveau une fessée, brève mais bien claquante. Margaret répondit en faisant de même. Elle prit Géraldine sous son bras, son fessier déculotté, flamboyant orienté vers la rue et bien visible du haut du perron de l'escalier, lui flanqua sa fessée à elle aussi. Une cinquantaine de claques bien cuisantes sévèrement appliquées sur son derrière en fusion.  

– «  Ah tu ne t'attendais pas à celle-là hein ? S'exclame-t-elle en riant ; Elle claque à pleine main chaque fesse l'une après l'autre. C'est la meilleure fessée de la soirée ! Tu ne trouves pas ? »

Un nouveau flot de larmes jaillit des yeux de Géraldine. La tête au ras du sol, elle ne peut que déployer encore ses fesses déculottées, arrondies au maximum sous la main de sa mère qui la corrige de nouveau. L'humiliante fessée terminée elle la fit rentrer. Sans qu’elle ait besoin de le lui  ordonner, elle alla d'elle-même se mettre au coin en massant machinalement ses fesses en surchauffe, avec d'infinie précautions.

Margaret, satisfaite du déroulement de la punition, on le serait à moins, referma la porte d’entrée. Sa main lui chauffait encore délicieusement, de l'avilissante fessée qu'elle venait  encore de claquer à Géraldine, les fesses bien exhibées, sur le seuil de la maison, comme une réponse à celle donnée à  Bettina par William en guise d’au revoir ! La rue était déserte à cette heure-là, mais il ne faut pas exclure que des regards indiscrets aient pu voir la scène derrière le rideau de leur fenêtre. Le saura-t-on jamais ?



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 22

La suite ? Eh non, c'est fini !

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

3 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la fessée en libre accès, bonjour,
    Voici qu'arrive le battoir à reluire, dernier modèle de la maison DELANIAIRES, qui ne manque pas de piquant, celui-là et n'aura rien à envier au Dolpic. Côté pile, on passe la première couche et côté face, les fesses reluisent autant qu'un paire de chaussures toute neuves. Mais quelle belle invention !
    Géraldine et Bettina s'en prennent un bien bonne. Après ça, on pourra dire "jeu, set et match" pour nos deux punies qui n'auront pas été épargnées par leurs punisseurs respectifs. Entre apéro et fessées, Margaret et Walter les auront finalement maté et Séb les aura reluqué.
    Le retour à la maison, les fesses nues est une nouvelle punition à elle seule et en plus, il y a le digestif à la lumière, ce qui donnera aux voisins, l'occasion de mater les gros fessiers rougis. Elles s'en rappelleront, les deux garces du quartier... Cette fois unies dans les vociférations et autres lamentations sous les claques sonores telles 2 cornes de brume en polyphonie. Ca va faire un peu d'animation dans le quartier.
    Formidable clap de fin que cette ultime épisode en polychromie qui vient solder cette fresque historique.
    "C'était la dernière séance, c'était la dernière séquence et le rideau sur l'écran est tombé"
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour Ramina,

    Chers téléspectateurs, ici Peter Lepan en direct du Palais des Arts de Synthol-sur-mer, pour la dernière représentation de "Ces Dames aux mains fermes ou : Gladys les Mémoires d'une préceptrice", une pièce qui fut écrite et mise en scène par Ram Hina, un auteur à succès. Durant quatre saisons, nous avons ri, pleuré, tremblé pour nos sympathiques héroïnes et héros, entre facéties et coup de théâtre. Toute une galerie de personnages, de l'exubérante Gladys, à la très mère-poule Térèze, de Robin, à Gérome, de Sébastien à Andrew, le maladroit étudiant-au-Pair et tout un gynécée autour de ces deux garnements, en proie aux tourments de leur âge. Chers amis, cette saga s'achève donc ce soir sur une note humoristique par une belle farandole écarlate !!! Comme au théâtre, le rideau tombe après le dernier acte et les artistes font un rappel sous une ovation de bravos et mercis !
    Chers téléspectateurs et téléspectatrices, je dois à présent rendre l'antenne et je vous dis à bientôt pour une autre merveilleuse soirée placée sous le signe du rire et de l'émotion."
    Amicalement. Peter Lepan.

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour les gens,

    La poésie ne fait plus recette, mais... chers amis grand merci !
    Je savoure le vibrant hommage que vous faites à cette Saga que je n'aurais jamais imaginé écrire si je n'étais pas tombé par hasard, et sans me faire mal, sur ce blog. Encouragé par JLG, habile pédagogue qui a su me stimuler pour me lancer dans ce challenge d'écriture imagées... et soutenu par vos précieux commentaires. Poil au nez!

    Bravo Eléna pour cette brillante synthèse de dernier épisode. Eh oui, la maison Delaniaires à pu présenter sa dernière création, le "battoir double face" qui, hélas, n'aura pas servi longtemps... Au demeurant, vos commentaires se sont affinés et enrichis de pertinence au fil des épisodes. Vos terribles histoires, nous ont fait frémir le poil que n'avaient plus les pénitents de Ste Croix, corrigés nu au pilori de l'institut.

    Parodie pleine d'humour et d'auto dérision de Peter Lepan... pan cul cul, à l'image de ses pittoresques personnages si délicieusement rétro. Déguisé en commentateur d'émission télé , mais on l'a bien reconnu, il nous invente, un final drôlatique, théâtralisé avec une tombée de rideau en "farandole écarlate " comme "le rideau déchiré " d'Hitchcok.
    Quel plaisir revigorant ce fut d'échanger avec vous, sur un sujet brûlant, traité avec malice, habileté, humour, arrogance, provocation, et parfois même une pointe d'élégance.
    je n'oublie pas notre ami JLG artisan et promoteur de l'aventure, naufragé du temps, englouti comme l'Atlantide, 20 000 lieux sous une mer de récits et commentaires à gérer et mettre ligne. Puis peu à peu abandonné par des lecteurs volatils... Ah, ma pov'dame, pardonnez leurs, ils ne savent pas ce qu'ils perdent!
    Nous voici donc seuls... telle "Sissi face à son destin". Oula, la, ça craint!
    Amicalement à tous, et toutes... mes loulouttes!
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.