mercredi 30 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 16 h 32

En général, lorsque ma compagne veut que je prenne pleinement conscience de l’écart que je viens de commettre, elle me baisse la culotte et elle me donne la fessée. Je ne me rappelle pas avoir été corrigé sans qu’elle ait eu une bonne raison de le faire. Elle peste contre mes comportements infantiles et je reçois une punition qui me fait régresser à l’état de petit garçon puni par sa Maman.

Dans notre couple, c’est elle la grande personne raisonnable et elle est très exigeante vis-à-vis de moi. Autant qu’une Maman peut l’être à l’égard de son rejeton. Quand elle me baisse la culotte, j’ai honte qu’elle soit obligée d’en venir à cette extrémité. Mais elle m’a souvent expliqué que, bien que je sois un adulte, je ne sais pas m’auto-discipliner. Il faut donc bien qu’elle s’en charge à ma place. C’est normal. Ce jour-là, elle n’a pas eu besoin de me baisser la culotte pour me corriger. Je vous explique pourquoi.

mardi 29 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 14 h 57

La fessée reçue le matin ne m’avait pas laissé de marques sur les fesses. Rapidement, je n’en ai plus ressenti les effets, sauf pendant une petite heure quand je m’asseyais, ce que j’ai évité de faire, du moins au début.

Mais je savais que je n’étais pas tiré d’affaire. La perspective du retour de témoins potentiels « non avertis » ne laissait pas la possibilité à ma compagne de me punir comme elle l’entendait. Elle ne savait pas quand ils reviendraient, et elle ne voulait pas leur imposer la vue ni d’une fessée déculottée qu’elle serait en train de me donner, ni de mon exposition au coin, les fesses nues, comme elle aurait voulu le faire.

lundi 28 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 10 h 39

Ma compagne a décidé de prendre à bras-le-corps mes habitudes qu’elle juge inacceptables. Parmi ceux-ci, il y a, bien sûr, le fait de manger en ouvrant la bouche. Je suis d’accord avec elle. Je dois me débarrasser de cette détestable habitude qui n’est pas agréable pour ceux qui mangent en face de moi. Ma compagne dit que ce n’est pas digne de moi, un garçon qu’elle veut bien élevé avec de bonnes manières. J’en conviens et je voudrais bien m’en délivrer.

Mais chacun connaît le problème. Quand, en tant qu’adulte, on a pris une habitude, aussi exécrable soit-elle, il est très difficile de s’en défaire. Ce n’est pas seulement une question de volonté. Les mauvaises habitudes deviennent un réflexe, on le fait sans y penser. Il faut donc une contrainte très forte pour en changer. Ma compagne a décidé d’exercer cette contrainte et bien entendu, c’est la fessée déculottée qui lui permettra de me faire changer de façon de faire.

samedi 26 avril 2025

De quel type de fessée s’agit-il ?

Je reçois souvent des sollicitations, dans des commentaires suite à la parution d’un article ou directement par courriel, de personnes me demandant s’il serait possible qu’ils viennent ici, le plus souvent, pour y recevoir la fessée.

Sauf lorsque le message est trop laconique, en général j’y donne suite. S’engage alors un échange qui me permet de comprendre pourquoi mon interlocuteur, plus rarement mon interlocutrice, m’interpelle. On y retrouve de tout.

vendredi 25 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 21 h 34

Durant ce week-end, j’ai retrouvé les exigences de ma compagne dans son rôle maternel. Comme elle fait bien plus attention à moi, elle repère des habitudes et des comportements qu’elle juge inappropriés. Elle sait qu’il n’y a qu’une façon de les faire changer, c’est de me punir à chaque fois qu'elle le juge nécessaire.

Presque vingt-quatre heures sont passées depuis ma dernière fessée et j’en porte encore les marques. Bien que les fessées qu’elle me donne soient très cuisantes et, la culotte baissée aidant, soient très embarrassantes, je ne lui en veux pas. Elle ne fait que son devoir de Maman. C’est donc tout à fait normal.

jeudi 24 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 17 h 48

Ce fut un week-end de Pâques fantastique. Notre vie de couple est sur une pente ascendante. Je l’avais déjà écrit à ma compagne, suite à un des derniers que nous avions passés ensemble. Je lui avais fait remarquer que, elle comme moi, nous ne serions parfaitement satisfaits que lorsque notre relation filiale prendrait le même chemin.

Elle m’avait donné une fessée, la semaine précédente, alors que nous marchions sur le chemin de halage du canal, mais c’était une toute petite fessée, que, bien sûr, je l’avais sentie, mais à peine. Certes, elle avait baissé ma culotte en extérieur et cela était déjà une source de honte bien réelle, mais elle était loin d’avoir donné tout son potentiel de sévérité. À ce rythme-là, je ne pensais pas retenir durablement les leçons qu’elle voulait m’inculquer, comme c’était son devoir de Maman de le faire.

Ce week-end de Pâques, elle a rectifié la donne. Elle a assumé totalement son statut maternel et j’en sens encore les effets sur mes fesses. Notre relation fonctionne ainsi : sur deux pieds. Une, a trait à notre vie de couple et l’autre est de nature filiale… c’est pourquoi ma compagne n’hésite pas à me déculotter et à me fesser où que nous soyons.

mercredi 23 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 17 h 09

Après cette première fessée, notre promenade s’est poursuivie. Je sentais, sur mes fesses, la douleur, là où les baguettes avaient imprimé leurs marques. Je n’osais pas regarder plus avant dans quel état étaient mes fesses. Il aurait fallu baisser mon pantalon et ma culotte, et ça, ma compagne ne l’aurait pas permis. Elle faisait comme si ce dernier épisode avait clos le chapitre.

Elle avait totalement raison. Je n’étais pas prêt à m’occuper de nouveau des cailloux du chemin. Chaque fois qu’il y en avait un qui me semblait positionné pour être poussé par mon pied, je résistais à l’envie, sachant, si je le faisais, ce qui m’attendait. Les habitudes des adultes sont souvent profondément ancrées et il est difficile d’y résister. Je sais que, très probablement, il faudra plus d’une fessée pour faire disparaître cette manie. Si ma compagne avait décidé d’y arriver, je sais qu’à force de patience, elle atteindra son but. Mes fesses seront mises à contribution autant de fois que nécessaire, mais pour le moment, la leçon avait porté ses fruits. Plus de coups de pied dans les cailloux… du moins pour aujourd’hui.

mardi 22 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 16 h 45

Ce n’est pas que les fessées que me donne ma compagne aient vraiment cessé un jour, même si les récits n’en ont pas été publiés sur ce blog. Pour répondre à l’interrogation de quelques lecteurs, non, je ne suis pas devenu subitement sage et obéissant. Ma compagne a dû sévir à plusieurs reprises, mais elle n’avait jamais estimé que l’histoire devait en être publiée ici. Hier, après l’après-midi que je vais conter en détail ci-dessous, ma compagne a décidé que je devais en écrire le fil et le mettre à votre disposition sur le blog.

Je ne sais pas exactement quelles étaient ses intentions. Était-ce pour montrer que la fessée déculottée n’a pas disparu des pratiques éducatives, surtout quand il s’agit de parfaire l’éducation d’un adulte ? Était-ce pour accroître la honte que je ressens à l’idée de faire savoir à tous les lecteurs que recevoir la fessée déculottée est encore nécessaire, malgré mon âge ? Il est, en effet, toujours mortifiant de faire savoir à tout le monde que le seul moyen que ma compagne ait trouvé pour contrôler mon comportement et me faire renoncer à des attitudes irresponsables, c’est de me baisser la culotte et de me donner une sérieuse fessée.