lundi 26 mai 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 25 mai 2025 – 18 h 43

Quand j’ai vu ce que contenait la lettre que je venais d’ouvrir, j’ai su qu’une bonne fessée déculottée m’attendait. Comment aurait-il pu en être autrement ? Bien sûr, j’aurais pu tenter de dissimuler, à ma compagne, le courrier et ses conséquences. Ce n’était pas forcément très simple et si j’étais pris à le faire, la correction n'en aurait été que plus mémorable.

Évidemment, je n’hésite que rarement à mentir à ma compagne. Cela m’arrive souvent. Par exemple, alors qu’elle me l’a formellement interdit, je sors fréquemment dans le jardin sans avoir de culotte, les fesses nues. Elle ne s’en aperçoit jamais et je ne reçois jamais de fessées pour cette raison. J’ai déjà abordé ce sujet sur ce blog.

Aurais-je dû faire pareil ? Peut-être, mais je dois avouer que, compte tenu du contenu de la lettre, j’ai tout de suite convenu qu’une bonne fessée s’imposait. Il s’agissait de l’avis d’une amende pour excès de vitesse.

J’ai pourtant pris le temps de la réflexion. Le courrier avait été déposé dans la boite aux lettres samedi midi et je ne me suis décidé à envoyer un SMS à ma compagne que dimanche, en début d’après-midi. Elle n’était pas présente, je ne pouvais donc pas lui montrer directement le courrier. Les choses n’ont pas traîné.

Dès qu’elle a lu le message et qu’elle a eu quelques minutes de disponible, elle m’a téléphoné. Elle m’a grondé.

« Ça devait arriver ! Tu ne fais pas attention ! Et tu sais que je ne tolère pas que tu dépasses les limites de vitesse. Tu as déjà pris une fessée pour l’avoir fait. »

Elle avait raison et je le savais. Même si les autorités ne m’avaient pas pris sur le fait, elle l’avait constaté elle-même. Elle m’avait ordonné d’arrêter la voiture dans l’entrée d’un chemin, elle m’avait sorti de la voiture. Alors, elle m’avait baissé la culotte et elle m’avait donné une bonne fessée.


« Tu vas avoir une bonne fessée. Tu n’y couperas pas, dès mon retour. Et je peux te promettre que tu vas t’en souvenir ! »

Elle ne tient pas toujours ses promesses. Mais je savais que celle-là, elle ne l’oublierait pas. Je serrais les fesses d’appréhension, mais je ne pouvais plus rien y faire. J’aurai le droit à cette fessée et je dois reconnaître qu’elle était amplement méritée.

« En attendant, tu vas faire une punition écrite ! »

Faire une punition écrite, cela veut dire écrire, à la main bien entendu, autant de fois que nécessaire pour remplir une feuille recto verso, une phrase qu’elle me dicte.

« Je ne dois pas dépasser les limites de vitesse, dit-elle. Et bien écrit ! Tu me copies cela et tu as intérêt à ce que ce sois fait quand nous nous verrons. Autrement, tes fesses s’en souviendront ! »

Je n’aime pas faire de punition écrite. Mais je me suis bien gardé de le lui faire savoir. J’étais puni pour une excellente raison et cela faisait partie de ses prérogatives maternelles de choisir de quelle manière je devais expier ma faute. Une punition écrite et une grosses fessée déculottée, c’était dans l’ordre des choses.

« As-tu bien compris ?

– Oui, Maman !

– Et tu peux préparer les instruments ! »

Préparer les instruments, je savais ce que cela signifiait. Elle avait l’intention d’en utiliser au moins un pour me donner la fessée. Ce n’est pas qu’ils font plus mal que sa main, mais la douleur qu’ils provoquent est bien plus durable et certains d’entre eux laissent des marques sur les fesses qu’on peut encore voir plusieurs jours durant. Mais je sais que quand elle envisage de s’en servir, c’est qu’elle veut que je me souvienne plus longtemps de la fessée que j’ai reçue. De toute façon, c’est elle qui en décide et je n’ai pas mon mot à dire.


Je n’ai pas commencé tout de suite à écrire le pensum. J’ai d’abord réfléchi à ce qu’elle m’avait promis. Je ne pouvais pas m’attendre à moins que cela. J’avais un peu de temps avant de devoir faire face à mon destin, mais il était clair que ma punition irait jusqu’à son terme. Elle n’avait pas évoqué le moment que je passerai en pénitence, le nez contre le mur alors que ma culotte était toujours baissée, mais je me doutais que cela faisait partie du programme. Je devais montrer que je regrettais mon excès de vitesse en faisant preuve de bonne volonté tant que ma punition ne serait pas achevée.

J’ai été cherché une feuille et un stylo et je me suis attaqué à la première étape de ma punition. Je savais que ce serait long. Remplir, tout en écrivant petit, une feuille sur les deux côtés, en recopiant une phrase, cela ne se faisait pas un instant. D’autant plus qu’il fallait que je fasse attention à ce que ce soit lisible. Je devais donc bien former mes lettres. Du moins, la plupart. Ma compagne n’est pas forcément très attentive à ce que toutes les lettres d’une punition soient bien écrites. Mais je dois quand même prendre garde à ma calligraphie.

Je ne sais pas combien de temps j’ai mis, mais je suis arrivé au bout. J’ai recompté. Soixante fois, j’avais dû écrire la même phrase. Il va sans dire qu’elle était, maintenant, profondément ancrée dans ma mémoire.


Quand, finalement, nous avons été en présence l’un de l’autre, j’avais étalé l’avis de contravention sur la table à côté de la punition écrite que j’avais faite. Le sac, contenant un martinet, une règle plate en bois et une ceinture en cuir, était posé juste à côté. Je voulais lui montrer qu’ainsi, je convenais que j’avais mérité cette fessée, même si je savais que d’accord ou pas, j’allais la recevoir.

Cela n’a pas pris beaucoup de temps avant qu’elle ne me prenne par la main et qu’elle m’entraîne derrière elle.

« On va dehors, ai-je demandé ?

– Bien sûr, je ne vais pas me gêner, »

Une fessée en extérieur, c’est bien plus marquant. Même si je sais que ma compagne prend des précautions afin que nous ne soyons pas vus, le risque qu’une tierce personne m’aperçoive alors que ma compagne me donne la fessée déculottée, est bien présent. La mésaventure qui m’est arrivée il y a quelques semaines, le 21 avril, en est la preuve. La présence de la jeune femme n’était pas prévue, mais elle a bien vu que ma compagne m’avait déculotté pour me fesser.

Et puis, il y a la menace qu’elle avait formulée.

« Un jour, quand ce sera suffisamment grave, je te donnerai une fessée déculottée, devant d’autres personnes ! »

Je ne savais pas si elle considérait que dépasser, pour la énième fois, les limites de vitesse était une faute qui, à ses yeux, justifiait une fessée avec la culotte baissée en public.


Elle s’est assise sur le banc et elle a baissé mon pantalon alors que j’étais debout devant elle.

« Viens ici, a-t-elle ordonné ! »

Elle désignait ses genoux et elle m’a allongé dessus, me disposant à sa guise, mais pour pouvoir me donner efficacement une fessée.

« Tu as mis ta culotte à l’envers ! »

Cela aurait pu, en d’autres circonstances, me valoir une fessée pour m’apprendre à faire attention quand je m’habille. Heureusement, elle n’a pas évoqué cette possibilité.

Elle a commencé la fessée. Quand sa main frappait sur ma culotte qu’elle ne m’avait pas encore baissée, je sentais le contact avec mes fesses, mais honnêtement, cela ne faisait presque pas mal. J’aimerais bien que ma culotte reste en place à chaque fessée, mais je sais que ma compagne allait finir par l’ôter du chemin. En attendant, j’étais bien content qu’elle commence ainsi.

Il n’en allait pas de même quand sa main atterrissait sur le haut de mes cuisses. Là, rien pour les protéger. C’était alors une véritable fessée et je ne pouvais qu’exprimer bruyamment la douleur qu’elle provoquait, au risque d’attirer l’attention des voisins. Mais je ne pouvais pas retenir mes cris, ce qui en ajoutait encore à la punition que je recevais.

Le haut de mes cuisses devait voir pris une bonne couleur rosé soutenu quand ma compagne m’ordonna :

« Relève-toi ! »

Je me mis debout à son côté. Ce n’était qu’une pause. Je savais que la correction n’était pas finie.




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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