Moi, j’ai décidé de rouler le plus souvent possible en utilisant le régulateur de vitesse. Ce qui fait que je ne dépasse que très rarement les limites de vitesse autorisées. Mais je peux me faire avoir dans les entrées de villes et de villages, quand on doit diminuer rapidement l’allure à laquelle je roule. C’est ce qui s’est passé cette fois-ci. Je n’ai pas ralenti assez vite alors que le radar était là.
Ma compagne n’apprécie pas quand elle estime que je roule trop vite en voiture. Moi, je ne pense pas que ce soit le cas et je considère qu’elle a peur de conduire sur les petites routes dans la campagne. Comme vous le voyez c’est un sujet permanent de dispute entre nous.
Vous pensez bien qu’elle ne pouvait pas laisser passer alors qu’elle avait la preuve que je roulais trop vite. Je dois avouer que, comme je me fais un point d’honneur à ne jamais rouler au-delà de la vitesse autorisée, j’étais mortifié de m’être fait prendre. Cela valait bien une bonne punition.
« Va me chercher la règle ! »
Je rentrais dans la maison et je pris la règle. Il s’agissait d’une règle d’écolier, plate et en bois. Elle a été achetée spécialement pour augmenter la sévérité des fessées que je reçois et c’est un instrument punitif auquel beaucoup d’enfants ont dû faire face. Mon pantalon, descendu autour de mes chevilles, gênait mon déplacement. Il m’obligeait à une démarche sans lever le pied, ce qui soulignait, pour qui me voyait dans cette tenue, le caractère punitif de la situation dans laquelle je me trouvais.
Heureusement, ma compagne n’avait pas jugé bon de me baisser la culotte : mes fesses étaient encore couvertes. Mais si j’avais été aperçu par une autre personne, ce qui se passait n’aurait fait aucun doute. Je me dépêchais donc, stimulé par ma compagne.
« Plus vite que ça, à moins que tu ne veuilles que je t’encourage avec de bonnes claques sur tes fesses ? »
Non, je n’y tenais pas plus que ça.
Je revins avec à la main l’instrument de ma prochaine punition. Je le lui tendis.
« Remets-toi à plat ventre sur mes genoux ! »
La fessée reprit. Elle alternait entre sa main et la règle, le haut de mes cuisses et mes fesses qui étaient encore protégées par la culotte.
On pourrait croire qu’un sous-vêtement en coton blanc ne protège que peu d’une fessée. Je peux vous assurer que si. Ma compagne le sait, mais elle continue, de temps en temps, à vouloir ne me baisser la culotte que dans une seconde étape. Je ne m’en plains pas. Même avec la règle, ma culotte sur mes fesses constituait une protection efficace.
Autant, quand ma compagne appliquait sa main ou la règle sur le haut de mes cuisses, directement sur la peau nue, je ne pouvais retenir mes cris au risque d’ameuter les voisins. Quand elle atterrissait sur ma culotte, je pouvais supporter la fessée sans difficulté. Je n’avais plus besoin de crier ma douleur, celle-ci étant toute relative. Il n’y a pas le pincement suivi d’une augmentation de la cuisson de la peau au moment où la main ou un instrument arrive sur les fesses. C’est bien plus supportable, même quand ma compagne y met toute son énergie.
Je crois qu’il n’y a pas à hésiter : la seule fessée efficace pour punir un adulte doit être administrée culotte baissée. Au-delà de lui montrer ainsi qu’il a perdu tous ses privilèges habituellement attachés à l’âge adulte, la fessée est bien plus douloureuse, ce qui est le but recherché.
Je pense que ma compagne dut s’en rendre compte, ou alors c’est que me déculotter faisait partie de ses intentions premières. Toujours est-il qu’il y eut une brève interruption dans le rythme de la correction et je sentis les doigts de ma compagne se glisser sous l’élastique de ma culotte. Elle la baissa.
Ce fut alors une toute autre affaire. Je n’avais plus de moment de récupération. Toutes les claques qu’elle donnait avec sa main ou avec la règle arrivaient sur ma peau nue. Je n’avais plus le temps de la réflexion. Sa main ou la règle s’abattait sur mes fesses et le haut de mes cuisses à un rythme soutenu. Leur cuisson n’en augmentait que plus rapidement.
Je m’attendais à une longue et douloureuse correction quand, subitement, elle prit fin. Ma compagne me laissa allongé sur ses genoux.
« Ce sont des cris d’enfants, dit-elle ! »
Effectivement, on entendait des enfants qui jouaient. Autant, je crois, que ça ne gênerait pas trop ma compagne de me déculotter et de me fesser en présence d’autres adultes, autant elle refuse de me déculotter et même de me fesser quand des enfants risquent de m’apercevoir.
Elle me remit sur mes pieds et remonta ma culotte et mon pantalon. J’eus un bref espoir. Cette interruption imprévue signifiait-elle la fin de ma punition ? Je fus rapidement déçu. Elle jeta un regard circulaire sur notre environnement proche, puis elle me prit par la main. Elle n’avait pas lâché la règle. Je la suivis.
Elle me conduisit à quatre ou cinq mètres de là, derrière un petit appentis. Là, même si les bruits des enfants se rapprochaient, ils ne pourraient pas voir ce qui m’arrivait. Elle me planta devant elle et, glissant ses pouces de chaque côté, elle descendit mon pantalon sur mes chevilles. Elle fit alors de même avec ma culotte. J’avais maintenant les fesses nues. Je savais pourquoi. Ma compagne me courba sous son bras.
C’est alors que je vis la route. Oh, ce n’était, heureusement, pas une route très passante, mais il était possible, en regardant dans le virage, de voir dans quelle situation délicate je me trouvais. J’espérais que personne ne passe. Je ne sais pas si ma compagne s’est rendu compte qu’une personne passant sur la route pouvait nous voir. Si c’est le cas, cela lui était indifférent, ce qui n’est pas exactement une bonne nouvelle pour moi.
Je m’agrippais à sa cuisse et à son mollet. Je savais que, ma culotte étant baissée et elle tenait toujours la règle à la main, la fessée serait sévère et qu’elle envisageait d’aller au-delà de ce que je pouvais supporter.
La règle s’abbatit sur mes fesses, laissant une douleur aiguë barrer mon postérieur. La fessée était commencée. Combien de temps allait-elle durer ? Je ne sais pas combien de fois elle claqua mes fesses avec la règle. À chaque fois, je criais mon désespoir. Mes fesses étaient de plus en plus cuisantes, mais je savais que je n’avais pas le droit de quitter la position dans laquelle elle m’avait mise. Cela devenait de plus en plus difficile de la laisser me fesser. La douleur devenait insupportable. Deux fois, elle dut me gronder.
« Baisse-toi correctement ! »
Je reprenais la position et j’empoignais ses vêtements qui étaient à ma portée encore plus fermement afin de me contraindre à laisser mes fesses à la disposition de la fessée qu’elle me donnait. Je savais que si j’en bougeais, la suite n’en serait que plus terrible.
Il y eut une brève pause et je n'eus pas vraiment le temps d’espérer la fin de ma punition. Sa main prit le relais de la règle. Cela ne faisait pas moins mal. Le centre des fesses, un côté puis l’autre, le haut, puis le bas, le haut des cuisses… Sa main claquait aussi fort qu’elle le pouvait et je ne pouvais que crier ma douleur. Ce n’était plus supportable, mais je restais dans la position dans laquelle elle m’avait mis, en espérant que cette claque serait la dernière. Bien longtemps mon espoir fut déçu. Enfin la fessée cessa.
Ma compagne me relâcha et je pus me redresser.
« Alors, j’attends !
– Je ne le ferai plus, Maman !
– Et ?
– Je te demande pardon !
– Tu es sûr d’avoir bien compris ?
– Oh oui, Maman.
– Tu sais que la prochaine fois, je serai plus sévère ?
– Oui Maman. »
Je me demandais bien en quoi elle pouvait être plus sévère. Les orties, peut-être ? Enfin, elle remonta mon pantalon.
« Je vais remettre ta culotte à l’endroit. Viens avec moi ! »
Pour remettre ma culotte comme elle aurait dû être, il fallait commencer par l’ôter. J’allais de nouveau me retrouver les fesses nues devant elle, ce qui n’était pas une bonne nouvelle.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
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