Au cours d’un de nos moments d’intimité, lorsque nous ne sommes plus dans une relation filiale, mais que nous formons un couple d’adultes, nous sommes revenus sur ces fessées qu’elle m’avait données. Souvent, nous reparlons des moments où elle assure son rôle maternel.
Nous avons convenu que, certes, j’avais reçu une grosse fessée, mais que j’aurais pu m’attendre à plus. Les fessées qu’elle m’avait administrées n’avaient pas laissé de marques sur mes fesses, alors qu’en d’autres circonstances, c’était déjà arrivé. Par conséquent, je n’ai ressenti les effets de la fessée que jusqu’au lendemain matin.
Ce n’est pas que je tienne à avoir les fesses marquées et à en éprouver les affres plusieurs jours, mais il est clair que c’est une façon, pour ma compagne, de me faire prendre conscience de la gravité de la faute que j’ai commise. Là, avec un excès de vitesse accompagné d’une amende, j’avais pensé qu’elle donnerait toute la sévérité possible à ma punition. Je m’attendais à devoir endurer les effets de la fessée durant plusieurs jours, soit à cause des marques que des instruments punitifs peuvent laisser sur mon postérieur, soit carrément à cause de la brûlure des orties et, bien plus probablement, aux deux.
Il n’en a rien été et je m’en étonne encore. Commettre un excès de vitesse ne serait-il pas aussi grave que je le pensais ? Cela me permet de relativiser les moments où ma compagne me dit que je roule trop vite. Ce n’est certainement pas aussi important que je l’avais imaginé. Bref, j’ai reçu une grosse fessée, mais pas une très, très grosse, comme je m’y attendais. Cela donne à réfléchir.
Ne vous y trompez pas, ce n’est pas parce que la punition n’a pas été aussi magistrale que je l’avais imaginée que je m’en suis tiré facilement. D’ailleurs, après les fessées que j’avais reçues et dont je vous ai déjà fait le récit, comme ma compagne avait parlé de remettre ma culotte à l’endroit, je craignais de ne pas être au bout de ma punition. Mon intention était bonne.
« Prends le sac d’instruments et amène-le dans la chambre ! »
Pourquoi aurait-il fallu emmener le sac contenant les instruments punitifs dans la chambre, justement là où nous allions, si ce n’était pour s’en servir ?
Ma compagne me le prit des mains et le posa sur le lit. Puis, me disposant face à elle, elle baissa mon pantalon puis ma culotte.
« Assieds-toi, dit-elle en me désignant le lit. »
Elle m’ôta alors complètement mon pantalon, puis ma culotte qu’elle remit à l’endroit. Elle me les enfila ensuite sans les remonter complètement. Il est vrai que, comme j’étais assis sur le lit, cela ne pouvait se faire que si j’étais debout.
« Mets-toi debout ! »
C’était le moment crucial. Soit elle remontait ma culotte… ce n’est pas ce qui s’est passé. Elle s’est assise sur le lit et elle a fouillé dans le sac en sortant la ceinture en cuir.
« Viens ici, m’a-t-elle dit en montrant ses genoux ! »
Je me suis allongé sur la plateforme qu’elle avait ménagée pour moi. Qu’aurais-je ou faire d’autre ? Ce qu’elle s’apprêtait à faire était logique. Elle en avait le droit et c’était justifié. Je ne me voyais pas refuser de lui obéir au risque de compromettre notre relation dans tous ses aspects.
Elle me plaça de façon à pouvoir avoir accès commodément à mes fesses nues. Elle passa sa jambe droite par-dessus les deux miennes afin de les immobiliser, m’interdisant ainsi de battre des pieds et de gêner l’administration de la correction. Puis sa main droite abattit sur mes fesses. Forte, très forte. À gauche, puis à droite. Je sentais qu’elle y mettait une grande détermination. Rapidement, elle couvrit toute la surface depuis le haut de mes fesses jusqu’à mi-cuisses. Elle avait dû raviver la coloration de la peau. Une vive cuisson que chaque claque augmentait s’empara de mon postérieur. C’était une bonne fessée déculottée comme ma compagne sait en donner et je confirmais son efficacité par mes cris de douleur. Cela ne l’arrêta pas. Je n’y comptais pas.
« Donne-moi la ceinture ! »
Elle était posée sur le lit à quelques centimètres de mon visage. Il fallait en passer par là et je le savais depuis le début. Je lui tendis l’instrument. L’interruption de la fessée n’avait pas assez duré pour permettre de diminuer la chaleur que sa main avait provoquée sur mes fesses. La ceinture ne fit qu’en rajouter, imprimant une onde de douleur qui barrait mon postérieur ou le haut de mes cuisses. J’accompagnais chacune de ses applications sur mes fesses par un cri désespéré, mais je restais en place, attendant le coup suivant.
Rapidement, l’idée de fuir cette situation s’empara de mon esprit. Mais ce n’était pas possible sans contester durablement son droit à me punir. Ce qui était en jeu était bien plus important que la vive douleur qui parcourait mes fesses. Je devais attendre qu’elle ait décidé que j’avais été suffisamment puni.
Quand elle lâcha la ceinture pour reprendre ma fessée à main nue, je sus que nous nous rapprochions de la fin. Après une dernière volée de claques bien sonores, elle cessa.
« Relève-toi ! »
Je me tins debout devant elle. C’est à des moments comme celui-là où je prenais conscience qu’elle m’avait ôté tous mes privilèges d’adulte. Malgré mon âge, je n’étais plus qu’un garçon à qui sa Maman venait d’administrer une bonne fessée déculottée. Mon pantalon et ma culotte baissés, qui laissaient voir mes fesses nues, et la cuisson qui embrasait mes fesses ne laissaient aucun doute sur ce sujet.
« Tu vas aller au coin ! »
Je regardais autour de moi, ne sachant pas très bien vers où me diriger.
« Non, pas ici. Dans le séjour. J’ai des choses à faire et je veux pouvoir te surveiller ! »
D’une claque sur les fesses, elle m’indiqua la direction à prendre. Marchant aussi vite que me le permettaient mes vêtements baissés à la hauteur de mes chevilles, j’allais rejoindre la place qui serait la mienne tant qu’elle ne m’aurait pas autorisé à en bouger. J’avais mes habitudes dans le coin. Je m’y plaçais, croisant mes mains dans mon dos tout en relevant mon tee-shirt au-dessus de mes reins, dégageant bien la vue sur mes fesses fraîchement corrigées.
J’entendis ses pas qui se rapprochaient. Je me tenais pourtant parfaitement immobile et silencieux, comme elle l’exigeait, mais cela ne l’empêcha pas de m’asséner quelques bonnes claques sur mes fesses.
« Et je ne veux plus entendre parler de toi avant que je te le dise ! »
Je connaissais les règles qu’elle avait instaurées et je savais que si je prenais des libertés, elle n’aurait aucun souci à me les rappeler avec une bonne fessée. Préférant l’éviter, je pris la pose dans le coin, laissant mes fesses nues et probablement bien rouges à la vue de toutes les personnes qui étaient dans la pièce. Fort heureusement, ma compagne y était seule.
Bien qu'elle m'y laissa de longues minutes, je ne bougeais pas. Il faut dire que c'était surtout parce qu'elle ne quitta pas la pièce une seule seconde. Quand je suis certain qu'elle ne peut me voir, je n'hésite pas un instant à quitter la position qu'elle m'impose. Ce n'est pas tant que j'en ai physiquement besoin, mais le petit goût de liberté que je ressens alors vaut bien que je prenne ce risque. Je fais toutefois attention à avoir repris la pose avant qu'elle ne puisse me voir. La fessée que je prendrai si ce n'était pas le cas serait alors très probablement mémorable.
La dernière étape de cette punition fut la plus agréable. Ma compagne me raccompagna dans la chambre, puis, après m’avoir de nouveau mis dans la même position que précédemment, elle me passa de la crème sur toute la surface de peau où la fessée avait sévi. Ce fut un long moment et la fraîcheur de la crème apaisa la cuisson de mes fesses. Je savais, à la douceur dont elle faisait preuve, que ma punition était terminée.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Bonjour à tous, je vois que le site recueille de nouveaux témoignages, mais je n'ai jamais eu de réponse à mes derniers posts ? Que sont devenus ceux qui ont été fessés ? Lucas ? Arno ? Juliette ? Comment se fait il que nous n'entendions plus parler d'eux ? Ont ils vraiment exister ? Merci d'avance pour vos réponses, Jean-Marc
RépondreSupprimerBonjour Jean-Marc,
SupprimerEffectivement, pas de réponse. Je comptais sur les intéressés pour répondre, mais cela n'a pas été le cas.
Ils ont connu des sorts différents, mais nous (Huguette et moi) sommes devenus plus sélectifs afin de rester dans le cadre que nous avons fixé. Seule Juliette vient encore à la maison, mais elle n'est pas très disponible en ce moment.
Au plaisir de vous lire,
JLG
Bonsoir Josip, bonsoir Huguette et bonsoir Jean-Marc,
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne je garde un excellent souvenir de mon séjour en février 2024, j'aurais d'ailleurs eu plaisir à rendre de nouveau visite à Josip et Huguette. Malheureusement il semble, selon eux, que ce séjour ne se serait pas si bien passé ? J'en suis d'autant plus meurtri que tous les deux sont adorables et de belles personnes. Et je confirme que leur approche de la punition, de la fessée administrée dès que nécessaire correspond exactement à l'idée que je m'en faisais. Aujourd'hui je suis bien triste, j'ai tenté à plusieurs reprises de m'excuser, de m'expliquer, je n'ai malheureusement pas eu de réponses. Portez-vous bien, bien à vous, Arno
Bonjour à tous, et merci pour votre réponse Arno, rien du côté de Josip ?
RépondreSupprimerTout ceci me semble bien compliqué...
Bon dimanche, Jean-Marc
Bonjour Jean-Marc.
SupprimerSi tu n’es pas content de Josip qui ne te répond pas, tu peux t’adresser à Huguette et lui demander de le corriger. Elle va lui administrer une bonne fessée déculottée et il l’aura bien méritée… allez hop, cul nu et en travers des genoux.
Bien a toi.
Mais j'ai répondu (voir ci-dessus)
SupprimerJLG
C’est Huguette qui décidera si c’est une réponse satisfaisante… elle verra s’il y a lieu a punir…
SupprimerCher commentateur anonyme,
SupprimerVous avez raison, je vais voir s'il y a lieu de punir. Et vous, qu'en pensez-vous ?
Dommage que nous ne connaissions rien de vous.
Huguette
Bonsoir Huguette. Moi je dirais plutôt oui, mais je vous en laisse juge. Je pense cependant que la réponse de Josip est très vague… ce garçon mérite une bonne reprise en main. On peut vous faire confiance je crois… Bien à vous.
SupprimerJe ne sais toujours pas qui vous êtes : homme, femme, âge, région d'habitation... et même un pseudo ?
SupprimerHuguette
Bonsoir Huguette.
RépondreSupprimerJe suis Pascal.
Bien à vous.
Pascal
J'y comprends plus grand chose ???
RépondreSupprimerQui est Pascal ?
Bonne journée, Jean-Marc