Arrivée de Belle-Maman

"File te mettre au coin et si je te vois bouger avant que je t'en donne l'autorisation, ce sera une autre fessée !

Je veux que tu y réfléchisses aux conséquences de tes irresponsabilités. N'oublie pas de remonter bien haut ton tee-shirt afin que je puisse vérifier que j'ai été assez sévère avec toi et que tes fesses portent les traces de ta punition suffisamment longtemps.

Mets ton nez, bien au fond, dans l'angle du mur ! Les bras croisés dans le dos ! Interdiction de bouger si tu ne veux pas que tes fesses aient une double dose de ma palette à fesser.

Arrête de gigoter ! Tu es parfaitement à ta place à exposer tes fesses nues à tout vent. C'est ce que tu as mérité. J'espère qu'une prochaine fois, cela te fera réfléchir avant de te permettre un caprice.

Dis-toi bien que tu es puni jusqu'à la fin du mois. Cela veut dire que tu es privé de sortie et que tu recevras la fessée au plus petit écart de conduite.

Je sais que Maman arrive bientôt. Elle va te trouver au coin. Je n'ai pas l'intention de lui dissimuler plus longtemps que je te donne la fessée déculottée. Je vais avoir besoin de ton aide pour m'occuper de toi.

Comme je ne suis pas là la semaine prochaine, je vais lui demander de te garder. Elle aura, bien évidemment, le droit de te fesser quand elle le jugera utile. En une semaine il sera sûrement nécessaire de te punir, sans doute plusieurs fois. Je lui recommanderai de te déculotter avant de te corriger. Elle aura donc toutes les occasions pour te voir cul-nu.
Dorénavant, je vais lui demander de te donner la fessée déculottée dès que tu la mériteras. Tu vas apprendre à lui obéir aussi bien qu'à moi.
On sonne. Je crois que c'est elle. Ne bouge pas du coin si tu as pitié de tes fesses !"


"J'accepte avec grand plaisir de te rendre ce service, Suzie. Cela ne me gêne pas du tout de donner une correction à ce grand garçon quand il l'aura méritée. Si j'avais suivi mon inclinaison, il aurait déjà fait plusieurs tours sur mes genoux pour y recevoir la fessée déculottée. J'ai bien souvent eu l'impression que c'est ce dont il avait besoin et qu'il n' a pas eu assez souvent. A partir de maintenant je n'hésiterai plus, y compris quand tu seras là Suzie. Je considère que j'ai désormais le devoir de le fesser comme si c'était mon garçon.
Viens-ici, que je te donne un aperçu de ce qui t'arrivera dès que tu ne seras pas assez sage.

Retourne au coin pendant que nous préparons le repas de ce soir !