Quand j'arrivais dans ma chambre,
tous mes vêtements de la journée étaient préparés sur mon lit. Je m'apprêtais à
m'en saisir quand je fus écarté d'une main ferme. Sans un mot, elle m'enfila le
tee-shirt par-dessus la tête, passant, d’autorité, mes mains dans les manches,
puis ce fut le tour des chaussettes. Alors elle me présenta ma culotte que
j'enfilais, un pied après l'autre. Après l'avoir remontée sur mes fesses, elle
ajusta mon tee-shirt à l'intérieur de mon sous-vêtement en y glissant sa main.
Mon sexe, mal positionné, fut remis en place d’un geste ferme mais mesuré. Ce n’était qu’une partie de mon anatomie dont Madame Tolbois devait s’occuper comme elle le faisait pour mes pieds ou mes oreilles ou une autre partie de mon corps.
Mon sexe, mal positionné, fut remis en place d’un geste ferme mais mesuré. Ce n’était qu’une partie de mon anatomie dont Madame Tolbois devait s’occuper comme elle le faisait pour mes pieds ou mes oreilles ou une autre partie de mon corps.
Ma logeuse prit totalement à sa
charge mon habillage et je ne sais dire ce qui est le plus humiliant, se faire
déculotter ou se faire habiller comme un petit garçon. Chez Madame Tolbois,
j'avais le droit aux deux.
"Avant de passer à la fessée,
je veux que tu ranges ta chambre. Elle doit être impeccable quand je viendrai
vérifier."
Sur ce, elle me laissa. Je fus un
peu interloqué de me retrouver seul. J'en avais perdu l'habitude tant la
présence de Madame Tolbois avait été prégnante durant ce début de matinée.
C'était sans doute que je ne m'étais pas encore remis d'avoir dû me livre à mes
ablutions, puis à ma toilette sous la surveillance de ma logeuse.
Je savais que je ne tarderai pas à
me retrouver de nouveau sous sa férule et je prévoyais une correction
magistrale dont mes fesses feraient les frais. Cela était inévitable. Il
s'agissait juste de n'en pas mériter une autre pour une chambre qui ne
passerait pas, de façon satisfaisante, l'inspection de ma logeuse.
Je m'attelais à la tâche. Il y
avait peu de choses qui n'étaient pas rangées correctement étant donné que cela
avait été fait la veille. Je fis mon lit. Je déposais mes sous-vêtements sales
dans le sac prévu à cet effet. Il était presque rempli avec ce que j'avais
utilisé la semaine précédente. Il faudrait bientôt négocier, avec Madame Tolbois,
un détour par la laverie. J'entrevoyais déjà un temps passé loin de la
supervision de ma logeuse.
Après cela, je tournai en rond me
demandant là où mon sens du rangement pourrait être pris en défaut. Je n'eus
pas longtemps à attendre. L'inspection tant redoutée venait de commencer avec
l'arrivée de Madame Tolbois.
Elle fit le tour de la chambre d'un
seul regard.
"Où as-tu mis tes vêtements
sales ?"
Je lui montrais le sac dans le bas de mon armoire.
"Je préfère que tu les portes
directement dans la buanderie. Tu les mettras dans le panier à linge sale.
Dorénavant, je ferai ta lessive ici. Cela me permettra de vérifier que tu te
changes bien et de vérifier la propreté de tes vêtements. Il peut y avoir des
choses qui échapperaient à mon inspection."
Peu à peu elle grignotait mes
espaces de libertés et s'immisçait dans tous mes espaces privés. J'allais vivre
sous un strict contrôle de tous les instants.
"Dis-moi, qu'est-ce c'est que
cela ?"
Madame Tolbois désignait mon pyjama
que j'avais mis sur le pied de mon lit. Je savais que je devais répondre, mais
je ne savais pas quoi dire.
"Euh … c'est … c'est mon
pyjama."
"Et en plus tu te permets
d'être insolent ! Je vois bien que c'est ton pyjama. Comment se fait-il
qu'il n'est pas plié et rangé sous ton oreiller ?"
"Je … j'ai oublié … je ne
savais pas qu'il fallait …"
"Comme ta chambre est bien
rangée, j'aurai sans doute passé cet oubli, pour une fois et pour t'encourager.
Comme tu as cru bon d'être insolent, ce sera la fessée !"
"Mais Madame, je n'ai pas été
insolent, je ne …"
"Et maintenant tu
réponds ! Cela passe les bornes ! Ton compte s'alourdit, mon garçon.
Tu devais déjà recevoir deux sérieuses fessées aujourd'hui pour ta conduite de
vendredi soir pour le rangement de ta chambre hier. Tu viens d'en gagner une
troisième. Puisque tu préfères passer ta journée au coin avec les fesses
cuisantes, je ne voudrai pas te décevoir. Tu peux compter sur moi."
Je ne suis pas certain que
"préférer" correspondait tout à fait à mon choix. Par contre, je
comprenais bien que je ne pouvais l'éviter.
"Pour le moment, tu vas devoir
te contenter d'une petite fessée. Viens ici."
L'expression "petite
fessée" ne me laissait pas beaucoup d'illusion. Mes fesses seraient
bientôt écarlates. Pour l'instant seules mes joues avaient rougies de honte de
me trouver encore une fois dans cette situation humiliante : attendre
patiemment de recevoir la fessée déculottée.
Pour rompre avec les habitudes,
Madame Tolbois me baissa le pantalon elle-même. Je la laissais faire. Puis,
sans un mot, elle écarta son bras pour me ménager la niche maintenant habituelle sous son
bras. Je m'y positionnais avec obéissance. Elle acheva alors mon déculottage.
Et, sans transition, sa main nue commença à claquer vigoureusement mes fesses.
Le bruit sonore que cela faisait remplissait la pièce. Très vite mes cris s'y
joignirent à chaque fois que la main de Madame Tolbois s'abattait sur mes
fesses.
Certes, recevoir une fessée à main
nue est moins douloureux que lorsque ma logeuse utilisait un instrument
punitif. Ou plutôt, la douleur est moins durable une fois la fessée terminée et
la main ne laisse pas de marques persistantes sur les fesses. Les rougeurs
s'estompent assez vite. Durant son application elle-même, de sa main nue,
Madame Tolbois savait me faire ressentir, quand elle le souhaitait, une cuisson
qui devenait vite intolérable bien que je m'y soumisse, contre mon gré, jusqu'à
son achèvement.
J'aurais pu avoir la prétention de
résister stoïquement à un tel châtiment comme un adulte gardant en son for
intérieur une douleur passagère sans l'extérioriser publiquement. Avec Madame
Tolbois, je n'y arrivais pas. Cela me donnait l'impression d'être un enfant,
puni par une grande personne. La position dans laquelle elle me plaçait alors
fréquemment, courbé sous son bras, renforçait encore ce sentiment.
Ces fessées m'étaient données
immédiatement après que ma bêtise avait été découverte et que j'avais été
copieusement grondé afin que je fasse bien le lien entre mon comportement et la
sanction qu'il justifiait. Cela complétait le tableau pour en faire un moment
de discipline domestique, en quelque sorte une situation banale de la vie chez
Madame Tolbois. Cette banalité se confirmait par la grande fréquence à laquelle
j'allais être soumis à ces punitions.
Je pense que l'état d'esprit dans
lequel je me trouvais alors correspondait tout à fait à ce que cherchait ma
logeuse.
La fessée se prolongeait. J'avais
épuisé toutes les supplications. J'étais au bord des larmes quand Madame
Tolbois me relâcha.
Redressé devant elle, je ne savais
pas trop quelle contenance prendre. Je ne pouvais plus prétendre à une relation
entre adultes. Bien que sensiblement de la même taille qu'elle et que nos âges
soient proches, la fessée qu'elle venait de m'administrer m'interdisait de
penser à elle comme à une égale. Son statut social lui permettait de me punir
quand elle le jugeait mérité et le mien me contraignait à lui obéir et à
accepter les corrections dont elle décidait.
Me tenir devant elle, la culotte
baissée, accentuait cette différence. Il eut été normalement indécent ou
tendancieux, en tant qu'adulte, d'exposer ainsi mes fesses au regard d'une
femme de mon âge. D'un côté, je ne pouvais cependant pas m'empêcher de me voir
comme une grande personne placée dans situation impudique. De l'autre, je savais
bien qu'il n'en était rien et surtout dans la tête de Madame Tolbois. Elle eut
bien souvent l'occasion de me rappeler qu'elle ne voyait en moi, quelle que
soit ma tenue, qu'un garçon, certes inhabituellement âgé, dont elle avait en
charge l'éducation. Cela passait par la fessée déculottée, il était donc normal
qu'elle puisse voir mes fesses dénudées. Il n'y avait pas à en faire une
affaire remarquable.
Bien que les fessées déculottées se
soient multipliées durant mon séjour chez Madame Tolbois, je n'arrivais pas à
me faire à cette situation. Evidemment, je me soumettais autant lors du
déculottage auquel je devais souvent participer, que lors de la fessée
elle-même aussi sévère qu'elle ait été ou encore lorsque je devais aller en
exposer le résultat au coin. Cela ne faisait pas l'ombre d'un doute pour
personne. Cependant, je ressentais de la honte dès qu'il était question de me
punir, j'en connaissais les conséquences. Elle se renforçait lors du
déculottage pour ne s'atténuer que pendant l'application de la fessée. J'avais
alors bien d'autres choses à penser. La honte revenait en force dès que la
douleur s'atténuait. Je vivais avec une menace permanente planant au-dessus de
moi.
Planté devant ma logeuse, il ne me
restait qu'à attendre son bon vouloir.
"Voilà une bonne chose de
faite, conclut-elle. Nous la poursuivrons ce soir avec quelque chose de plus
consistant. Cela dit, il faudra que je m'équipe rapidement d'un solide
martinet. Je crois que j'en aurai usage."
Elle me fixait droit dans les yeux
et je n'osais les baisser.
"Va te mettre au coin dans le
séjour pour attendre que je sois prête à te donner la fessée."
Etourdiment ou plutôt dans un réflexe mal
maîtrisé, je commençais à remonter ma culotte. Cette initiative fut accueillie
par une bonne série de claques sur mes fesses. Madame Tolbois avait attrapé mon bras, elle m'avait rapproché d'elle d'un geste ferme, puis elle commença la fessée. Debout devant elle, je la laissais faire. L'énergie dispensée par chaque claque m'obligeait à un mouvement qui envoyait mon bassin en avant. Un mouvement de balancier le ramenait en arrière pour attendre la fessée suivante. Positionné de profil, du coin de l’œil, je voyais arriver chaque claque sans que je n'ose m'y soustraire. Sa nouvelle autorité sur moi suffisait à me maintenir sur place, malgré l'éclair de douleur que provoquait sa main sur mes fesses.
"Qui t'a autorisé à remonter
ta culotte ?"
Elle ponctua cette question par une
nouvelle grêle de claques sur mes fesses. Madame Tolbois dessinait peu à peu le périmètre de l'autorité à laquelle j'étais soumis. Elle y établissait les règles et elle me montrait ce qui m'arriverait à chaque fois que je les dépasserais.
"Ta tenue est parfaite pour
recevoir une fessée dans quelques instants. Ce n'est pas la peine d'en
changer."
Sa main s'abattit encore plusieurs
fois sur mes fesses. Je fis un rapide calcul dans ma tête. Je n'étais pas levé depuis une heure et j'avais déjà reçu cinq fois la fessée. Rien de bien spectaculaire, mais des petites corrections qui avaient conclu chacun de mes écarts. Elle m'inculquait un message clair à coup de fesses rougies : dorénavant, je recevrai la fessée en réponse à chacune de ses exigences bafouées.Ma soumission confirmait son bon droit.
"File te mettre au coin."
Je ne demandais pas mon reste.
Premier épisode : chapitre 1
Episode précédent : chapitre 9
Episode suivant : Chapitre 11
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