vendredi 10 mars 2017

Chambre chez l'habitante - chapitre 7

Dès le repas terminé, nous fumes "priés" de débarrasser et de ranger. Tous les deux nous obéîmes sans protester. Cela n'était pas de mise. Ces tâches domestiques achevées, Madame Tolbois nous indiqua, du doigt, la direction du séjour. Je savais bien ce dont il était question. Notre hôte ne nous laissa pas longtemps dans le doute :
"C'est l'heure de votre fessée ! Maria, tu retrousse ta jupe et toi, Daniel, tu baisses ton pantalon."
Je jetais un coup d'œil en coin à Maria pour voir comment elle répondait à cet ordre. Maria fit de même à mon encontre. Cela suffit pour provoquer le courroux de Madame Tolbois.

"Vous savez que je n'ai pas beaucoup de patience quand il s'agit de vous punir. Si vous n'obéissez pas tout de suite, ce sera la ceinture et une autre fessée demain pour désobéissance."
Je m'empressais de baisser mon pantalon et quand j'eus fini, Maria tenait sa jupe retroussée largement au-dessus de sa taille.
"Enfin, ce n'est pas trop tôt !"
Madame Tolbois s'approcha de moi.
"Je ne veux plus voir d'hésitation quand je t'ordonne de te préparer pour une fessée."
Elle accompagna cette remontrance par une claque sonore sur le haut de ma cuisse. Puis elle fit glisser ma culotte le long de mes cuisses. Alors elle se déplaça pour être à proximité de Maria qui reçut la même claque que moi et dont la culotte fut abandonnée à hauteur de ses genoux. Maria eut un geste instinctif pour couvrir sa nudité. Funeste erreur !
"Remets-moi cette jupe à sa place !"
Comprenant son erreur, Maria se dépêcha de reprendre la position. Dès que ses fesses furent de nouveau accessibles elle reçut une grêle de claques. Ses gémissements n’y changèrent rien.
"Tu sembles avoir vraiment besoin de cette punition, conclut Madame Tolbois, commençons par toi."
Elle prit la main de Maria et l'entraîna vers le canapé. Elle la fit passer sous son bras, la ceintura et la souleva de terre tout en prenant place sur le canapé. Maria se retrouva à plat ventre sur le genou gauche de Madame Tolbois tandis que ses jambes se logèrent entre celles de ma logeuses et qu'elle tomba d'elle-même à genoux entre les pieds de son amie. Je restais impressionné par la facilité avec laquelle elle avait positionné la jeune femme punie, sans que celle-ci ait le temps de s'y opposer.
Alors, elle leva la main à hauteur de son épaule et la fit descendre, avec le maximum de force sur la fesse gauche de Maria qui réagit par un cri et une ruade bien inutile. Puis ce fut l'autre fesse qui subit le même traitement. Enfin, la fessée prit son rythme, alternant régulièrement chacun sur chacun des globes fessiers. A chaque fois que la main de Madame Tolbois claquait le postérieur de la femme à plat ventre sur son genou, une vague se formait sur la peau des fesses et se propageait dans toutes les directions.
Maria avait une peau plutôt blanche, parsemée de petites taches de rousseur. Il suffit de quelques fessées pour que, là où la main de Madame Tolbois se portait, la peau devienne assez vite rosée. Puis, la fessée continuant, le rose se diffusait toujours plus largement, gagnant les territoires périphériques, alors que le centre de chaque globe fessier prenait une teinte plus sombre. Puis, progressivement le rose foncé du centre vira au rouge tandis que le pourtour des fesses s'assombrissait. Bientôt, il fut impossible de distinguer les taches de rousseur qui se confondaient avec le rouge foncé qui recouvrait le sommet des fesses de Maria. Il était encore possible de les distinguer sur le rouge moins soutenu qui avait envahi le côté de chaque fesse.
Maria pleurait presque depuis le début du châtiment. Passé la stupeur provoquée par les premières claques qu'elle avait accompagnées d'un cri de douleur, Maria sanglotait et en me fondant sur ma courte expérience de la fessée, c'était autant de honte que de douleur, du moins au début. Chaque fessée était suivie d'un gémissement plus sonore qui s'étouffait dans un nouveau sanglot.
La position dans laquelle Madame Tolbois l'avait mise ne lui laissait que peu de marge de mouvement. Elle se contentait de battre des pieds sans que cela ne gêne en rien l'administration de la correction. Madame Tolbois la tenait à peine. Elle avait posé sa main gauche, bien à plat, sur les reins de Maria, maintenant ainsi la jupe correctement retroussée. Maria ne cherchait pas à profiter de cette relative liberté. Elle restait en place bien que, apparemment, la douleur fût vive. Si ce n'était sa taille et sa toison pubienne qui apparaissait au gré de ses mouvements, on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une petite fille recevant une fessée dont elle reconnaissait le bien fondé, de la part d'une grande personne lui administrant une punition sévère mais juste et méritée.
A tout bien regarder, c'est exactement ce qui se produisait.
Il y eut une courte rupture du rythme pour laisser le temps à Madame Tolbois de se saisir de ma ceinture qui était opportunément restée sur à portée de main. Autour de sa main, elle en enroula l'extrémité terminée par la boucle. Puis, prenant son élan, elle fit retomber la large bande de cuir au centre des fesses de Maria. L'extrémité libre, emportée par la vitesse du mouvement, claqua sur le haut de la cuisse.
Maria poussa un hurlement qui s'abîma dans un sanglot sonore. Ses muscles se tendirent, arquant son corps sur le genou de Madame Tolbois. Ses pieds, un instant décollés du sol, retombèrent à la même place. Madame Tolbois la tenait fermement. Elle avait ceinturé sa taille de son bras gauche et elle la plaquait fortement contre son flanc. Ainsi maintenue en place, Maria se trouva positionnée là où la ceinture l'attendait une nouvelle fois. Celle-ci s'abattit sur l'autre fesse et son extrémité cingla la peau à la jonction entre le fessier et la cuisse. La même scène se reproduisit. Mais Maria était en bonne position pour recevoir la ceinture une troisième fois.
Puis le terrible instrument punitif, comme un métronome, cingla régulièrement les fesses de Maria. Inlassablement, Madame Tolbois prenait de l'élan puis elle lui donnait de la vitesse à la lanière de cuir pour l'appliquer alternativement sur une fesse puis sur l'autre. A chaque fois que l'extrémité touchait la peau tendre entre les cuisses de Maria, celle-ci hurlait encore plus fort. Elle avait cessé ses brusques ruades pour laisser son fessier à portée de la ceinture mais à chaque cinglée, tous ses muscles se crispaient.
Les fesses de Maria tournèrent rapidement à l'écarlate. Mais elle ne faisait aucune tentative notable pour se soustraire à la terrible punition. Les premières ruades passées, Madame Tolbois maintenait Maria en position sans faire d'effort apparent. Elle plaquait juste sa main à plat sur le dos de sa victime.
Contemplant cette scène, j'étais fasciné par son côté naturel. En y repensant par la suite, je ne trouvais rien de choquant dans cette situation. Tout le potentiel érotique était gommé par le caractère punitif. Maria, en s'y soumettant en reconnaissait la légitimité, et Madame Tolbois, de par le sérieux qu'elle y mettait, s'appliquait à administrer un juste châtiment. Je n'eus pas une pensée pour l'incongruité de la situation : une femme d'âge mûr recevant, devant témoin, une fessée déculottée qui la transformait en une petite fille sanglotant sur les genoux de sa punisseuse.
Durant tout le temps où Maria recevait sa punition, je ne songeais pas, malgré mes fesses dénudées, que je prendrai bientôt la place de Maria pour y recevoir un châtiment sans doute équivalent.
Si elle fut sévère et intense, la fessée ne fut pas très longue. Une fois que la totalité de la surface, du bas du dos au haut des cuisses avait pris une teinte écarlate, Madame Tolbois cessa la fouettée. Les crispations des muscles de Maria continuèrent quelques instants, puis elles s'estompèrent. Les sanglots perduraient et Maria restait en position punitive. Madame Tolbois laissa la situation durer un petit peu. Puis, prenant Maria par les épaules, elle la redressa.
"Relève-toi ! Reprend ta place à côté de Daniel !"
Visiblement, Maria s'empressait d'obéir. On l'aurait fait à moins.
"Retrousse ta jupe qu'on puisse voir tes fesses !"
C'est alors que je pris conscience que mon tour était venu. La boule dans mon ventre qui avait presque disparu reprit toute sa place.
"A ton tour, Daniel !"
Malgré l'angoisse qui montait, je pris la place que je commençais à bien connaître. Il n'était pas du tout dans mes intentions de résister de quelque façon que ce fusse. Madame Tolbois passa un bras autour de ma taille et me courba sur son genou. Glissant son autre main entre mes cuisses, elle la plaqua sur mon ventre. Qu'elle ait dû, dans son geste, écarter mon sexe, ne provoqua aucune réaction, ni de sa part, ni de la mienne. Ce début d'attouchement n'avait rien de sexuel et je ne m'y trompais pas. Toute mon attention était focalisée sur la fessée à venir et sur l'impérieuse nécessité de montrer mon obéissance. Autant que je puisse en juger, elle me souleva facilement pour me positionner plus à sa main.
Le visage enfoui dans les coussins du canapé, je ne voyais plus rien des préparatifs de ma logeuse. Je les suivais grâce aux sensations sur ma peau. Elle relava le pan de ma chemise qui était légèrement retombé, puis, sans appuyer outre mesure, elle posa sa main à plat dans le creux de mes reins. Enfin, elle resserra ses jambes de chaque côté de mes cuisses. Je savais les préliminaires achevés. La fessée était proche.
Je sentis l'élan que Madame Tolbois prenait et la première claque tomba sur mes fesses. Alors, elles se succédèrent sans interruption. Je ne cherchais pas à lutter contre la douleur. Je laissais libre cours à mes cris puis, rapidement, à mes pleurs. Mes mouvements sporadiques consistaient tout juste en quelques tortillements sur le genou de ma logeuses et en quelques battements de pieds limités par mon pantalon entourant mes chevilles. Après avoir reçu suffisamment de claques pour échauffer sérieusement mon postérieur, j'oubliais tout de ma situation : l'indécence de ma tenue, l'exposition de mon intimité et la présence d'une spectatrice. Seule la présence dominatrice de Madame Tolbois s'imposait à mon esprit. Je priais pour qu'elle considère enfin mon châtiment comme suffisant au regard de ce qui l'avait motivé.
Lorsque, dans un premier temps, elle me relâcha, puis qu'elle me ceintura plus fermement, je sus que le temps de la ceinture était venu. Bien que ce fût la troisième fois que je la recevais, la sensation de douleur n'en était pas moins forte.
La ceinture provoquait instantanément une sensation de brûlure qui ne disparaissait plus et allait en s'amplifiant. Tout d'abord, c'était le plat du cuir que je sentais au centre de mes fesses provoquant une première douleur qui s'accompagnait d'un bruit sourd. Dans la fraction de seconde qui suivait, c’était l'extrémité de la ceinture qui finissait sa course quelques centimètres plus bas. Le son qui l'accompagnait était plus sec, mais la douleur plus vive, comme un pincement suivi d'une brûlure intense. La fessée à main nue avait sérieusement échauffé mes fesses. La ceinture l'embrasa en quelques instants. Puis, la punition se poursuivant, la douleur  semblait toujours croître un peu plus.
Pour autant, à l'instar de Maria quelques minutes plus tôt, je ne me débattais pas, je ne cherchais pas à me soustraire à mon châtiment. Sans que cela fût conscient, j'acceptais cette punition comme méritée, laissant à Madame Tolbois le soin de décider de sa durée.
Comme presque à chaque fessée, alors que je n'en espérais plus la fin, celle-ci arriva malgré tout. Surtout quand elle est administrée avec une ceinture, il faut un peu de temps pour se rendre compte que la fessée est achevée.
Comme souvent après une fessée sévère, Madame Tolbois ma laissa en position punitive quelques instants, le temps que je reprenne mes esprits. Elle en profita pour inspecter la cuisson de mes fesses.
"Relève-toi, ordonna-t-elle."
Je repris ma place aux côtés de Maria.
"Chacun dans votre coin !"
De concert, nous nous dirigeâmes vers notre lieu respectif de pénitence. La pudeur qui avait marqué notre déculottage n'avait pas laissé de trace. Les deux adultes punis que nous étions, obtempérions sans discuter, traversant la pièce, nus de la taille aux mollets et, gênés dans notre déplacement par nos vêtements baissés, adoptant une démarche à petits pas qui commençait à me devenir familière. Puis, plaçant mon nez dans le coin, croisant mes bras dans le dos, je perdis de vue ma compagne de punition.
"Voilà qui est parfait, commenta Madame Tolbois, vous avez tout le temps pour réfléchir à la bêtise qui vous a conduits là où vous êtes."
Elle alluma le poste de télévision qui se trouvait entre Maria et moi. Elle avait ainsi certainement une bonne vision sur nos fesses dénudées.

Etre mis au coin est une situation très embarrassante. Les premières minutes, c'est la douleur résiduelle de la fessée qui prédomine. Quand celle-ci avait été sévère, des ondes  de souffrance parcouraient la peau là où elle avait été particulièrement meurtrie. Je devais résister à une envie pressante de masser mes fesses, ce qui m'était strictement interdit chez Madame Tolbois. Cela occupait toute mon attention d'autant plus que, souvent, je devais étouffer les sanglots qui montaient encore du fond de ma gorge. J'étais alors assez indifférent à ce qui se passait derrière moi et au spectacle que je pouvais donner.
Mais même après les fessées les plus sévères que j'ai pu recevoir, mon temps d'exposition au coin était suffisamment long pour que la douleur devienne élancement et souvent, les minutes passant, ne restait qu'un tiraillement qui parfois même s'estompait totalement. C'est à ces moments que je prenais conscience de ma situation. Je cherchais à deviner qui pouvait m'apercevoir dans cette tenue aussi humiliante alors que seule l'écoute des bruits me permettait d'avoir quelques repères. Bien qu'étant habitué à la présence de ma logeuse qui vaquait à ses occupations sans me prêter attention, je n'arrivais pas à me faire à l'idée d'exposer mon anatomie intime à son regard. Peu à peu montait un sentiment de honte dont les causes étaient mêlées : honte d'avoir commis une bêtise qui m'avait valu une punition, honte d'avoir dû me soumettre à la fessée déculottée, et honte d'exhiber publiquement mes fesses nues révélant ainsi, bien au-delà de la durée de la fessée elle-même, mon statut de grand garçon puni quand il l'avait mérité et de ma soumission à ma logeuse.
Enfin, le temps s'étirait et semblait s'être arrêté. L'exigence d'immobilité quasi-totale qui constituait la règle d'une mise au coin, devenait peu à peu désagrément, puis j'avais de plus en plus de mal à garder cette position inconfortable dans laquelle mes muscles se tétanisaient. Il fallait alors concentrer ma vigilance afin de ne pas quitter la posture qui m'avait été assignée. J'en connaissais les conséquences : une deuxième fessée, tout aussi douloureuse que la première, m'aurait été immédiatement administrée, suivie d'un retour dans le coin pour une durée encore plus longue. Je souhaitais alors vivement la présence de Madame Tolbois. Peu m'importait alors qu'elle puisse contempler mes fesses nues. Elle seule pouvait me libérer de l'obligation de me tenir en pénitence.

Ce soir-là, à la fin du premier jour où j'avais reçu la fessée de la part de Madame Tolbois, je découvrais ces sensations. Je ne me rappelle pas d'avoir ressenti l'envie de me rebeller contre l'autorité de ma logeuse. Depuis mon premier déculottage, le matin même où j'avais résisté au moins en pensée, je ne contestais plus le bien-fondé des punitions qu'elle m'administrait. Elles m'apparaissaient maintenant comme une juste rétribution de mes désobéissances, un moment douloureux qui permettait à Madame Tolbois de pointer un comportement délictueux et à moi d'en prendre conscience sans qu'il me soit permis d'en douter. La fessée faisait partie de la vie chez Madame Tolbois, il était donc normal que j’y sois soumis quand je l’avais méritée.
Bien souvent par la suite, je repensais à ce que Madame Tolbois avait expliqué cette après-midi à Maria. Je dus bien vite convenir de son exactitude. Bien que très embarrassante, cette relation me convenait. Le contrôle qu'exercerait désormais Madame Tolbois sur tous les aspects de ma vie, répondait à une nécessité profonde, à un besoin de sécurité que je n'avais pas encore trouvé ailleurs ou à un autre moment de ma vie. Recevoir la fessée déculottée en faisait partie. C'était, certes, un moment déplaisant et humiliant, mais qui ponctuait à raison ma nouvelle vie chez Madame Tolbois.

"Maria, viens ici !"
Si j’en juge par ce que j’entendais qui venait de la télévision, c’était à la fin de l’émission que Madame Tolbois regardait. Je reconnaissais la musique qui accompagnait le générique.
"Allons, laisse-moi faire"
Cette réprimande fut accompagnée du bruit que faisait une main claquant la peau nue.
"Aïe, non, pas la fessée, supplia Maria"
"Si tu es sage et que tu me laisses faire, il n'y a pas de raison que je te punisse une nouvelle fois ce soir. A moins que tu ais désobéi pendant que tu étais au coin?"
"Non, non, Madame, j'ai été sage"
La voix de Maria laissait percer sa crainte de façon tout à fait claire.
"Alors tu n'as rien à craindre. Après avoir reçu la fessée, ta faute est pardonnée. Je ne te punirai que lorsque tu l'auras mérité. Pour le moment, je n'ai pas d'autre raison de te corriger. Ne te fais pas d'illusion il y aura d'autres occasions, sans doute demain."
"Oh, répondit Maria."
Puis le silence s'installa pendant quelques instants.
"Bon, commença Madame Tolbois, je vois que tu t'es remise assez vite de la fessée. A peine quelques rougeurs et quelques marques laissées par la ceinture. Pas de quoi te pommader les fesses. Ce ne sera pas nécessaire."
Comme je pus le constater à chaque fois, Madame Tolbois, après nous avoir administré la fessé se préoccupait également de ses conséquences. Après chaque fessée un peu appuyée, elle inspectait l'état de la peau de nos fesses et y apportait les soins adéquats à chaque fois qu'elle estimait que la sévérité de la fessée avait marqué exagérément notre postérieur.
"Relève-toi, ordonna Madame Tolbois, je vais te mettre au lit. Enlevons d'abord cette culotte, tu n'en as plus besoin ce soir."
"Oh, mais …"
Le début de protestation de Maria fut interrompu par une nouvelle claque sur les fesses.
"Allons, avance!"
"Mais, Madame, il faut que je traverse la rue, je dois remettre ma culotte."
"Je vais t'apprendre à me répondre!"
J'entendis quelques froissements de tissu entrecoupés de gémissements de Maria. Puis le bruit caractéristique d'une fessée administrée sur les fesses nues retentit dans la pièce. J'imaginais sans difficulté Maria courbée sous le bras de ma logeuse, la jupe retroussée sur ses reins, recevant la correction promise.
"Non, aïe …, pardon, aïe … je vais obéir, aïe, je vais obéir, aïe …"
Bien que cela n'allégeât pas la fessée, Maria, comme moi dans de semblables circonstances, ne pouvions pas nous empêcher de supplier notre fesseuse. Cela restait sans effet. Madame Tolbois poursuivit la punition jusqu'à avoir une jeune femme en sanglots ployée sous son coude.
"Puisque tu préfères traverser la route avec les fesses brûlantes, te voilà servie. Estime-toi heureuse que je ne t'ôte pas la jupe pour de faire traverser la rue cul nu. La prochaine fois, c'est ce que je ferai ! Tout ce que tu as gagné, c'est une grosse fessée que je vais t'administrer avant de te coucher."
Il y eut encore une claque sur les fesses nues.
"Allons, file !"
Maria ne demanda pas son reste. Je pouvais suivre son déplacement vers la porte grâce aux sanglots et gémissements qu'elle émettait.
"Et toi Daniel, tu m'attends sagement au coin !"

J'entendis la porte se fermer, puis le silence s'installa.

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