2 - Une nuit… agitée et un drôle de Conseil de Famille
Comme nous montions nous coucher, je profitais d’un moment de complicité
avec les jumeaux pour leur glisser : « Denis est encore petit. Mais
vous, à votre âge, vous n’êtes plus déculottés, vous ne recevez plus de
fessées ? « On voit que tu ne connais pas l’éducation chez les
militaires… Et comme Papa n’est pas souvent là, c’est Maman qui s’en charge.
Rassures toi, la fessée n’est pas régulière, pas quotidienne et Maman n’est pas
un bourreau. Mais pour diriger, souvent seule, une famille de 5 enfants il faut
de l’autorité. Et la fessée, au sens large, est certainement le moyen le plus
efficace. Et il n’y a pas d’exception… ». Cette dernière mention était
sans doute un avertissement pour moi.
« Et que veux-tu dire par fessée au sens large »
ai-je demandé en pensant instantanément à ce que j’avais aperçu dans le placard.
Mais manifestement mes nouveaux camarades n’avaient pas envie de s’étendre sur
ce sujet peut-être douloureux. « Tu comprendras bien assez tôt ».
Voilà une réponse qui n’était pas vraiment faite pour me rassurer
Cette nuit-là, je me suis tourné, retourné cent fois sans trouver le
sommeil. Je me souvenais que Marie-Ange avait précisé « Nous nous
occuperons de Georges comme de nos enfants ». Que cela voulait elle
dire ? Serais-je, moi aussi, fessé. Je ne pouvais y croire !
Les images de Denis, cul nu sur les genoux de sa mère, tournaient en
boucle dans ma tête. Mais une autre sensation naissait en moi. Une admiration,
une affection pour cette femme qui avait tant d’allure, qui respirait à la fois
l’autorité et la bienveillance. Pas de cris, pas de ressentiment. J’avais bien
compris qu’après la fessée de Denis et son séjour au coin, l’incident serait
oublié. Ma mère me manquait mais Marie-Ange prenait une autre place au fond de
moi.
Impossible de trouver le sommeil. Impossible de trouver le calme. Les images
se télescopaient dans mon cerveau agité. Plusieurs fois je me réveillais en
sursaut et tout transpirant avec le même rêve. Rêve ou cauchemar, je ne savais
pas très bien. Marie-Ange, dans mon rêve fessait Denis comme je l’avais vu
faire. Sauf que rapidement je pu me rendre compte que ce n’étais pas Denis mais
moi qui étais là, couché en travers des cuisses de Marie-Ange. C’étaient mes
fesses et non celles de Denis qui rougissaient à vue d’œil. Et surtout, c’était
le regard de mes nouveaux camarades qui se posait sur ma nudité, mes fesses,
mon sexe pendant et peu glorieux… D’où le réveil en sursaut.
Mais lorsque le vrai réveil se mit à sonner, j’étais si crevé que je
n’entendis pas un bruit. Je dormais enfin. J’avais retrouvé enfin le calme. Si
bien que c’est une tornade qui vint me tirer du lit une demi-heure trop tard.
Baudouin avait l’air survolté. « Lève-toi vite. Maman est furieuse et de
mauvaise humeur. Descend rapidement. En bas ça va barder… Décidemment, il y
avait un risque de continuité entre mes rêves de la nuit et la réalité qui m’attendait.
C’était à craindre
Le temps de me brosser les dents et d’enfiler des habits attrapés au
hasard, je dévalais l’escalier déjà un peu inquiet pour mon matricule. Comme
j’avais pu le constater la veille, la ponctualité est une vertu chez les
militaires. Mais franchement, je m’attendais peu au spectacle qui s’offrit à
moi. Les fesses, nues, de Charlotte étaient déjà cramoisies. Charlotte courbée
sous le bras de Marie-Ange, les pieds ne touchant même pas terre, hoquetait de
sanglots mais cela ne semblait en rien ralentir le rythme de la fessée
administrée d’une main décidée. « Vous êtes enragés ce matin…. On ne
reparlera ce soir. Remet ta culotte en place et file à l’école. Et ne
t’avise pas d’être en retard. Et toi, Georges, ton séjour commence bien
mal. Tu as vu… que je ne suis pas toujours patiente. Méfies toi ! ».
J’étais stupéfait et pris de court. Une boule dans le ventre qui ne se
dissipait pas. A presque 18 ans mes premiers émois sexuels manquaient d’expérience
mais je ressentais là quelques choses d’inhabituel. Les fesses de Charlotte
étaient jolies, rondes et fermes. J’apercevais aussi immanquablement son sexe
de jeune fille. Pourtant, la scène que je venais de voir n’avait rien de
sexuelle. Il y avait autre chose de plus fort et de nouveau. Les positions de
la mère et de la fille, les bruits des claques sonores et rythmées, la couleur
vermillon qui se développait sur le joli derrière de ma copine. Mon émoi venait
de cet ensemble, de cette ambiance si particulière qui je vivais de manière
inopinée. Je filais doux, attrapant mon cartable pour courir à l’école.
Charlotte prenait un autre chemin pour aller dans une école différente. Dommage,
j’aurai bien aimé savoir ce qui avait motivé cette fessée. La deuxième à
laquelle j’assistais en deux jours. Quant à moi, je savais que je venais
d’échapper à cette punition qui, pourtant excitait un peu ma curiosité. En
chemin, j’appris par Christian que Charlotte avait répondu avec insolence à sa
mère qui ne tolérait pas les gros mots.
Ce jour-là, l’école se terminait tard et il fallait rentrer rapidement pour
être à l’heure au dîner. En entrant, je sentais bien que l’ambiance était plus
tendue. Plus lourde. Le joli sourire de Marie Ange n’était plus à sa place. Le
dîner fut expédié et Marie-Ange nous demanda d’aller tous dans le salon après
avoir débarrassé la table. Nous prîmes place en arc de cercle face à
Marie-Ange. Le silence devenait pesant. On eut dit un conseil de famille
destiné à traiter d’une question grave !
Marie-Ange n’élevait jamais la voix, ne se départissait pas de son calme.
C’est cela qui conférait à son autorité un aspect implacable et irrésistible.
C’est aussi ce qui lui donnait à mes yeux une aura. Elle dégageait quelque
chose que je ne savais pas encore définir mais qui ne me laissait à l’évidence
pas insensible.
Ses propos mirent fin à mes pensées. Ils étaient clairs. « Je ne vais
pas tolérer que cette maison ne tourne pas rond et que vous ne respectiez pas
les règles de vie commune de cette maison. Ce matin, Georges ne s’est pas
réveillé. C’est une première faute. Dans la précipitation, il a omis de fermer
le robinet d’eau après s’être brossé les dents. Après votre départ à l’école
j’ai retrouvé la salle d’eau presque inondée. Baudouin, tu es l’ainé. Ce la te
confère une responsabilité évidente. Ce matin, Georges ne s’est pas réveillé.
Tu aurais pu, tu aurais dû aller le secouer et t’assurer qu’il le lève et
veiller à la bonne tenue de votre étage. Tu n’es pas assez responsable et je
vais t’aider à le comprendre. Quand à toi George tu vas recevoir ta première
punition ici. Comme il s’agit de la première, je serai moins sévère que je
devrai l’être. Mais tiens-toi le pour dit. Avant tout je veux finir ce
que je n’ai pas eu le temps de faire ce matin. Charlotte, ton insolence de ce
matin est inacceptable. Je t’ai fessée rapidement pour marquer le coup dans
l’instant. Mais tes mots de ce matin méritent autre chose. Denis (qui
sursauta sur sa chaise), va me chercher le martinet et toi, Charlotte met toi
en position sur le bras du canapé » Anticipant un moment de contestation,
il ajouta d’une voix plus ferme encore « immédiatement ! ».
Bizarre, cette position sur le bras du canapé. J’avais vu Denis couché sur
les cuisses de sa mère, Charlotte coincé sous son bras. Mais là, c’était plus
surprenant. J’apprendrai plus tard que lorsqu’elle utilisait le martinet qui
était doté de longues lanières de cuir, mais aussi la canne ou la cravache,
Marie-Ange souhaitait avoir toute ses aises et prendre du recul pour donner
plus d’amplitude à son geste. La fessée sur les genoux était ainsi plus souvent
retenue lorsque celle-ci était administrée à main nue.
Pendant que Denis partait vers le vestibule, Charlotte se mit sur le ventre
sur le bras du canapé, les pieds par terre, la tête dans les coussins. La
position semblait être connue de tous. Allait-elle échapper à
l ‘humiliation d’être déculottée ? Je compris vite de non. Marie-Ange
pris les pans de sa jupe pour les rabattre sur son dos et baissa prestement la
culotte de coton qui tomba sur les chevilles de la jeune fille. Plus de marques
de la fessée du matin, mais sans doute encore des douleurs qui seraient vite
ravivées. Marie-Ange saisi le martinet (dont les lanières semblaient en effet
sensiblement plus longues que celles que j’avais pu observer chez les
droguistes) des mains de Denis et sans autre forme de procès cingla durement
les fesses de Charlotte. Les premières traces rouges ne tardèrent pas à se
voir. Sous la douleur des premiers coups, Charlotte fit mine de se relever.
Mauvaise pioche. Le coup suivant, plus fort encore souligna l’inutilité de ce
geste. La correction dura deux ou trois minutes qui me semblaient éternelles.
Les fesses cramoisies de Charlotte, l’apparente insensibilité de Marie-Ange aux
pleurs de sa fille… J’étais perplexe, pensant à ce qui m’attendait.
La correction de Charlotte achevée, Marie-Ange lui ordonna de conserver
cette position et d’un geste, fit signe à Baudouin de se déculotter lui-même et
de prendre la même position sur le second bras du canapé, à l’opposé. J’étais
stupéfait. Ainsi, à 19 ans on pouvait être déculotté et fouetté en
public ! Je ne l’avais pas imaginé. Là encore je constatais que la pudeur
de ce grand garçon viril ne comptait pas. Ni pour sa mère ni pour aucun des
spectateurs présents. Le martinet entra en action sur le postérieur de
Baudouin. J’eu l’impression que les coups étaient plus forts, plus rythmés. Le
privilège de l’ainé, le statut d’un garçon? Toujours est-il que le derrière de
mon camarade rougissait lui aussi à vue d’œil. Baudouin étouffait ses plaintes
ne voulant rien montrer. J’admirais cette démonstration de courage. Une fois
sévèrement fouetté par ce martinet qui avait l’air si terrible, Baudouin dut
ensuite lui aussi conserver la position pendant que Marie-Ange se retournait
vers moi.
Il n’y avait, dans son regard, aucun signe de violence, d’animosité. Ses
yeux étaient beaux et respiraient paradoxalement une véritable bienveillance.
Mais j’y lu aussi une fermeté définitive.
« Georges, c’est à nous ».
La suite ? C'est le chapitre 3
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Magnifique cette fessée de Charlotte. sur le bras du canapé, avec le martinet. j'adore!
RépondreSupprimerVraiment merci pour ces histoires. continuez...
Cela doit être particulièrement humiliant pour une jeune fille d'être fouetté devant ses frères et aussi devant un inconnu (Georges). Mais je suppose que c'est courant dans les familles de militaires. Par contre, c'est plutôt excitant pour un lecteur comme moi si j'en crois ma réaction physique.
RépondreSupprimerTa réaction…! Mais dis moi, tu sais que ça mérite une bonne fessée déculottée…
SupprimerOui une bonne fessée déculottée et peut-être le martinet mon garçon. Je crois que ça te ferait le plus grand bien…! Pascal
SupprimerEt puis si tu consultes ce site ça mérite déjà la fessée…comme pour tous ceux qui le consultent… LOL
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