"Non, je t'en prie, tu ne gênes absolument pas. Au contraire, j'ai tendance à penser que ta présence est tout à fait la bienvenue. Elle permettra de mettre un point final à ce genre de comportements.
A chaque fois que j'invite l'une de mes amies d'enfance à la maison, le même scénario se reproduit. Frédéric, mon cher petit mari se croit obligé de les courtiser au point que ça en devient gênant et pour elles et pour moi.
J'en connais plusieurs qui après avoir subi ses assauts, ne veulent plus venir me rendre visite. Nous sommes obligées de nous voir en dehors de ma maison.
J'ai beau, dès qu'elles sont parties, lui administrer une sévère fessée, cela ne change rien. à la première occasion, il recommence. J'ai cru, dans un premier temps, que ma main nue ne suffisait pas à lui donner la correction qu'il méritait. J'ai donc acheté une brosse à cheveux dont c'est l'usage exclusif : rougir les fesses de ce garnement.
Je crois qu'il faut passer à une étape supplémentaire. Il recevra désormais la fessée déculottée en présence de celles de mes amies qu'il a mis dans l'embarras. Tu es la première devant qui je sévis, mais je n'hésiterai pas à recommencer aussi souvent que nécessaire.
Ne t'inquiète pas, Frédéric à l'habitude que que je le déculotte pour le fesser. En fait, je le punis de cette façon depuis bien avant notre mariage. La première fois, il avait été insolent et grossier avec moi. J'ai réagis aussitôt. Avant d'avoir compris ce qui lui arrivait, il s'est retrouvé le pantalon sur les chevilles et la culotte à hauteur des genoux. Quand je l'ai autorisé à se relever, il avait les fesses toutes rouges. C'était la première fois qu'il a pleuré sur mes genoux. Je l'ai laissé au coin une bonne demi-heure, culotte baissée, puis je l'ai obligé à me demander pardon. Il n'a jamais recommencé ses insolences envers moi.
Depuis, je maintiens la discipline en le corrigeant à chaque fois qu'il le mérite. Jusqu'alors, je ne le punissais qu'en privé, sauf une fois. Il y a deux semaines, il a osé répondre à ma mère alors qu'elle lui faisait une remarque tout à fait justifiée. Je l'ai déculotté et fessé en sa présence. Je crois qu'il n'avais jamais eu aussi honte de sa vie quand il a dû aller lui demander pardon, la culotte baissée.
Il sait que la prochaine fois, c'est Maman qui lui donnera la fessée. je lui ai demandé de ne pas hésiter à corriger mon cher mari, y compris quand je serai présente. Connaissant Maman, je pense qu'il ne tardera pas à se retrouver à plat-ventre sur ses genoux, les fessées dénudées.
Il semble que j'ai un mari qui n'apprends que dans cette position.
Je voulais donc te demander si tu accepterais de donner la fessée déculottée à Frédéric la prochaine fois que tu auras quelque chose à lui reprocher.
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De bonnes raisons pour administrer une fessée à son mari
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RépondreSupprimerBonjour Jean-Philippe,
SupprimerDans vos commentaires, il y a le germe d'un récit plus étoffé. Si vous vous attachiez à décrire le contexte, vos émotions, la colère de votre compagne, ... nous pourrions avoir un récit publiable.
Qu'en dites-vous ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
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