mercredi 30 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 16 h 32

En général, lorsque ma compagne veut que je prenne pleinement conscience de l’écart que je viens de commettre, elle me baisse la culotte et elle me donne la fessée. Je ne me rappelle pas avoir été corrigé sans qu’elle ait eu une bonne raison de le faire. Elle peste contre mes comportements infantiles et je reçois une punition qui me fait régresser à l’état de petit garçon puni par sa Maman.

Dans notre couple, c’est elle la grande personne raisonnable et elle est très exigeante vis-à-vis de moi. Autant qu’une Maman peut l’être à l’égard de son rejeton. Quand elle me baisse la culotte, j’ai honte qu’elle soit obligée d’en venir à cette extrémité. Mais elle m’a souvent expliqué que, bien que je sois un adulte, je ne sais pas m’auto-discipliner. Il faut donc bien qu’elle s’en charge à ma place. C’est normal. Ce jour-là, elle n’a pas eu besoin de me baisser la culotte pour me corriger. Je vous explique pourquoi.


Après m’avoir passé de la crème apaisante sur les fesses, ma compagne m’a mis au lit. Elle voulait que je fasse une sieste. Elle s’est installée à mes côtés et nous avons dormi un peu. Quand elle s’est réveillée, je somnolais.

« Je dois m’absenter quelques instants. Tu te lèves et tu m’attends. »

Elle est partie et je suis resté seul. Je ressentais encore un peu les conséquences de ma dernière fessée. La peau de mon postérieur tirait un peu, même si je n’avais pas vraiment mal. Je me suis mis devant la glace et j’ai examiné l’état de mes fesses. Les extrémités des lanières du martinet avaient laissé quelques traces sur ma peau.

C’était bien moins douloureux que les marques laissées par la baguette qu’elle m’avait donnée la semaine précédente. Je savais, par expérience, que ces empreintes disparaîtraient aussi plus vite, mais le souvenir de la correction et surtout de ce qui l’a motivé s’estomperait aussi bien plus rapidement.

Tant que mes fesses portent les stigmates d’une fessée, je n’oublie pas ce qui l’a justifiée. C’est comme un rappel permanent. Cela fonctionne encore mieux quand je ressens un tiraillement. C’est que la peau de mes fesses n’a pas encore retrouvé toute son élasticité. Dans ces cas-là, quand je pose un doigt sur mes fesses, la peau réagit comme après un léger coup de soleil. Elle devient plus pâle là où le doigt est posé et tout autour, cela devient rouge foncé.

Pour faire court, je n’étais pas encore complètement remis de la correction reçue en début d’après-midi. La douleur n’était plus vive comme elle l’avait été tout de suite après que ma compagne ait mis fin à la fessée. Mais le toucher ravivait encore un peu la cuisson. Les marques, elles, ne disparaîtraient probablement que le lendemain.

Il n’y avait là rien d’étonnant pour moi. D’avoir les fesses encore sensibles et portant des marques une bonne heure après avoir été corrigé, fait partie des conséquences normales d’une fessée. Si ma compagne avait utilisé le martinet, c’était bien pour obtenir ce résultat et, encore une fois, je ne pouvais pas m’en plaindre. La fessée avait été parfaitement justifiée.

Le seul inconvénient de cette situation, c’est qu’une culotte, quand elle frotte contre la peau des fesses, a tendance à raviver la douleur. Je décidais donc de ne pas en mettre.



Ma compagne ne revenait pas. Son absence se prolongeait. Je vaquais donc à mes occupations. Il faisait beau, la porte qui menait dehors était ouverte, je passais un pull afin de me protéger un peu du froid. Pour le bas, les restes de la cuisson sur mes fesses suffiraient à les réchauffer. Je sortis donc. Ma compagne m’interdit de me promener les fesses nues que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur. Elle dit que ce ne sont que les petits garçons qui font cela, puisque ça leur est indifférent qu’on puisse les voir dans ce simple appareil.

Pourtant, là où nous habitons, il n’y a quasiment aucun risque d’être aperçu par un voisin. Les bruits qu’ils faisaient étaient bien perceptibles, mais ils ne pouvaient pas me voir. Je peux donc me déplacer en toute quiétude que ce soit dans la maison ou dans le jardin.

Évidemment, il y avait le risque d’être encore dehors quand ma compagne reviendrait. Si elle me prenait sur le fait, je n’éviterai pas la fessée. Et si elle n’aime pas que je ne porte pas de culotte à l’intérieur, aller dehors sans être correctement habillé me vaudrait certainement une grosse fessée dont je me souviendrai certainement durant plusieurs jours. Elle m’avait déjà annoncé qu’elle n’hésiterait pas alors à avoir recours aux orties. Cela faisait partie du risque mais désobéir sans se faire prendre ajoute du piment à la vie. A chaque fois, et c’est souvent, que j’y arrive, c’est comme un petit défi silencieux à l’autorité de ma compagne. Il fallait donc que je prenne la précaution d’être rentré avant qu’elle ne revienne pour qu’elle ne s’aperçoive de rien.

Si elle me questionnait sur le sujet, il suffisait de lui mentir. C’est sans conséquence. Je n’ai encore jamais été puni pour lui avoir menti. Cela n’a donc pas d’importance.

J’ai quand même failli me faire prendre à l’extérieur. Je savais qu’elle serait bientôt de retour, mais j’avais absolument besoin d’un accessoire qui se trouvait dehors. Il n’y en avait pas pour plus d’une minute à faire l’aller-retour. Elle est rentrée dans l’entre-temps. Je réussis à me glisser à l’intérieur sans qu’elle me voit, mais je n’avais plus le temps de me rhabiller. Il ne restait plus qu’à paraître naturel, bien que je n’aie pas de culotte.

« Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ? »

Elle s’approcha de moi et me mit une bonne claque sur la cuisse.

« Depuis quand t’ai-je autorisé à te promener les fesses nues ? »

Une deuxième claque vint souligner sa question.

« Mais j’ai encore mal aux fesses. C’est à cause de la fessée que tu m’as donnée !

– Évidemment, que tu as mal aux fesses. Une fessée c’est fait pour cela ! Cela n’explique pas pourquoi tu te promènes dans la maison à moitié nu ! »

Elle n’avait pas remarqué les accessoires qui ne pouvaient provenir que de l’extérieur. Autrement, je suis certain qu’elle m’aurait grondé bien autrement. J’eus le droit à un discours sur la dangerosité d’être sans culotte pour la préservation de mes fesses et de mon appareil génital.

« Ouste ! Tu files mettre une culotte ! »

Allais-je m’en tirer aussi facilement ?



Elle me suivit et me rattrapa dans le séjour.

« Tu vas t’habiller correctement, mais auparavant... »

Elle m’avait pivoter pour que je me tienne face à elle. Elle prit mon bras et m’obligea à me pencher sous son bras gauche qu’elle referma autour de ma taille.

« Tu vas avoir une bonne fessée ! »

Comme je ne portais pas de culotte, elle n’eut même pas la peine de la baisser. Sa main commença à claquer sur mes fesses idéalement placées pour la fessée qu’elle avait estimé que j’avais méritée. Elle l’abattait aussi fort qu’elle pouvait et je ne pus retenir bien longtemps les cris de douleur qu’engendrait la cuisson qu’elle provoquait sur mes fesses.

« Je crois que tu as besoin d’une grosse fessée. Ce n’est pas la première fois que je te prends habillé comme s tu étais encore un petit garçon. »

La fessée ne cessait pas.

« Puisque tu te comportes comme un enfant, il est normal que tu sois puni comme on le fait pour un petit garçon qui ne comprend pas l’importance de ce qu’on lui demande : une bonne fessée déculottée ! »

Elle fessait d’un côté, puis de l’autre, pour revenir rapidement là où elle avait commencé. Le haut de mes cuisses n’était pas épargné. Elle me corrigeait devant la porte du séjour ouverte alors qu’elle donnait sur le jardin, mais je crois qu’à ce moment-là, elle n’en avait cure. Deux fois elle dut cependant me repositionner.

« Penche-toi mieux que ça pour que je puisse te fesser facilement ! »

Ce n’était pas que je cherchais à me dépêtrer de son étreinte, mais la douleur sur mes fesses devenait insupportable. J’avais tendance à me redresser ce qui ne convenait pas à ma compagne. Je saisis son survêtement, d’une main au niveau de ses fesses et de l’autre à la hauteur de son mollet pour m’aider à rester en place.

Qu’aurais-je pu faire d’autre ? Son autorité était suffisante pour m’obliger à rester là où elle m’avait placé pour subir la correction jusqu’à ce qu’elle ait décidé de sa fin. La brûlure que provoquait sa main sur mes fesses, devenait intolérable, mais je n’avais pas d’autre choix que de l’accepter en espérant une fin prochaine.



Et puis, je m’en tirais plutôt bien. Seulement une fessée à la main, même rigoureuse c’était difficile à supporter, mais bien moins que ce qui me serait arrivé si elle avait pris conscience que je n’avais pu qu’aller dans le jardin tout en ayant les fesses nues. Là je savais que j’en sentirai les effets une dizaine de minutes. Si elle avait pris des orties, je suis bien certain que deux jours après je sentirai encore les effets de la fessée.

Je la suppliais d’arrêter et de ma pardonner depuis longtemps quand elle estima que ma punition avait été assez longue.

« Va mettre une culotte et un pantalon ! »

Je filais sans demander mon reste. Cela faisait trois fessées dans la journée, c’est amplement suffisant.




Heureusement, il n'y en a pas eu d'autres

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

15 commentaires:

  1. En effet, recevoir trois fessées déculottées dans la même journée c’est beaucoup, mais si c’est mérité alors, on ne peut qu’approuver celui qui exerce l’autorité à bon escient de sa sévérité et de sa rigueur. Punir un adulte c’est parfois nécéssaire pour le ramener dans le droit chemin et lui faire perdre ses mauvaises habitudes contractées dès le plus jeune âge. C’est difficile pour celui qui éduque. Moi, ma compagne n’hésite pas à dire que je suis resté un gamin immature et qu’elle ne peut que ne traiter comme un gamin. C’est vrai, elle a raison, je le reconnais et j’ai vraiment besoin de sa poigne très ferme. Cette discipline domestique est indispensable pour mon éducation et pour améliorer mon comportement. Au moindre écart, elle n’hésite pas un instant, elle me baisse la culotte et me fesse copieusement, comme je le mérite. Le martinet ne chôme pas non plus. Je le redoute plus que tout mais je connais son efficacité et les traces qu’il laisse sur les fesses et sur les cuisses. Je médite sur mes bêtises le nez collé au mur en massant mes petites fesses. Ça me sert de leçon. Mais c’est vite oublié et mon naturel reprend vite le dessus. Je reconnais aussi que je suis très désobéissant alors que je me suis engagé à respecter la discipline. J’essaye de biaiser, de louvoyer pour ne pas me faire prendre et échapper à la correction mais ça ne marche pas et je me prends une bonne correction. Ne pas remettre sa culotte après avoir été fessé et rester fesses nues, ma compagne ne le veut pas non plus. Elle se fâche et j’ai intérêt à l’écouter si je ne veux pas qu’elle me fesse. Et elle n’aurait pas de mal à le faire étant cul nu. Pourtant moi j'aimerais bien parfois ne pas mettre de culotte, comme autrefois lorsqu’il m’arrivait de passer des vacances dans un camping nudiste. Je trouvais ça super.

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  2. Après avoir reçu la fessée déculottée à la main et à plus forte raison au martinet j’ai les fesses en feu. La présence d’un textile, ne serait-ce qu’une culotte, ne fait qu’accroître la cuisson. La tentation est effectivement grande de ne mettre qu’un teeshirt un peu long et rien dessous, de rester fesses nues.
    Ça chez nous c’est impossible, car ma compagne ne le veut pas. Il m’est quand même arrivé de le faire en cachette, dans la maison et même dans le jardin. Nous vivons à la campagne un peu éloigné de toute habitation. Je n’avais donc aucun ou très peu de risque d’être vu fesses a l’air. Peut-être un passant sur la route, mais c’est plutôt loin. Un fois je me hasardais dehors cul nu. Je pensais que ma compagne qui était occupée ne s’en apercevrait pas. Je me faisais des illusions. De mon côté je m’activais dehors sans aucune précaution. Ma compagne devait me surveiller. En tout cas je ne l’ai pas étendu venir derrière moi avec un bouquet d’orties.

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  3. Eh oui cette fois là, j’avais reçu une bonne fessée déculottée avec mes fesses et mes cuisses bien rouges. Cette correction c’est sur que je l’avais bien méritée. Pour moi la désobéissance tout autant que les mauvais comportements donnent lieu à punition. Mais ce jour là, sans doute pressée, ma compagne qui souvent remonte le slip et la culotte, pantalon ou short, n’en avait rien fait. Je me retrouvais donc après avoir été corrigé avec le petit short et le slip noué autour des chevilles. Je me dirigeais vers ma chambre en sautillant et en massant mon derrière. Je posais le short et le slip sur un fauteuil et direction la salle de bains où je m’approchais de la glace pour observer l’état de mes fesses. Elles étaient bien rouges et ça me cuisait. Je décidais de ne garder que mon teeshirt un peu long et pour le bas de laisser mes fesses à l’air. Ma compagne était partie au garage faire de rangement. J’étais tranquille, tout au moins je le croyais. Je restais donc dans cette tenue légère a vaquer à mes occupations à l’intérieur. Et puis j’ai eu envie de sortir pour faire quelque chose dans le jardin qui est très grand. Je pensais qu’il y avait peu de chances d’être vu par ma compagne, je pouvais par conséquent sortir avec mes fesses nues sans aucun risque. Je me suis avancé vers le fond du jardin pour ramasser des fruits. Une petite haie me protégeait opportunément de la maison de sorte qu’il n’y avait aucune chance que je sois vu, c’est du moins ce que je pensais. Au bout d’un moment et sans que je l’entende ma compagne qui devait me surveiller à fait irruption derrière moi. Je n’ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit. J’étais tétanisé, j’étais fait… j’allais me faire corriger. Que faire…rien sans doute. Attendre que l’orage passe. Et l’orage n’a pas tardé.

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  4. En effet l’orage n’a pas tardé. Ma compagne que je n’avais pas entendu venir a commencé à me morigéner sévèrement. Elle m’a traité de gamin désobéissant, de sale gosse mal élevé. « Depuis quand on se balade avec les fesses nues, et dehors en plus. Je te l’ai interdit il me semble. Tu vas voir ce que ça va te coûter… je vais t’apprendre à obéir moi tu vas voir… »
    J’avais remarqué qu’elle avait mis des gants de ménage et tenait un gros bouquet d’orties fraîchement coupées à la main. J’allais recevoir la fessée aux orties. Je savais combien ça faisait mal. C’était pire que le martinet tant la brûlure était tenace. Ma compagne continuait à me gronder. «Et puis ça tombe bien, tu me facilites le travail, j’ai même pas besoin de te déculotter…

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  5. Ma compagne sans cesser de me gronder m’a attrapé par une oreille et en tirant très fort m’a attiré vers elle. Selon son habitude pour la fessée, elle m’a ployé vigoureusement sous son bras gauche et à remonté un peu mon teeshirt pour dégager encore mieux les fesses déjà entièrement dénudées. Avec son bouquet d’orties elle a commencé à me le passer énergiquement sur les fesses et sur les cuisses. La fessée aux orties c’est très différent de la fessée classique. Au début on a l’impression que ça ne fait pas mal, on ne fouette pas on frictionne seulement et ensuite c’est terrible ça fait des cloques, ça brule. Et ça dure longtemps. Rien à faire pour que ça passe, il faut attendre et ça peut durer des heures et des heures. Après la fessée ma compagne m’a expédié promptement dans ma chambre, toujours fesses nues, d’ailleurs je n’avais rien pour m’habiller. Je n’avais pas envie de mettre quoi que ce soit, ça ne me gênait pas du tout d’être cul nu pour traverser le jardin. Je savais que j’avais désobéi et que je méritais d’être sévèrement puni. J’ai filé dans ma chambre et suis allé dans la salle de bain pour regarder mes fesses dans la glace. Elles étaient toute rouges et me faisaient affreusement mal. Je me suis allongé sur le lit et je me tortillais dans tout les sens espérant en vain atténuer la brûlure.

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  6. Bonsoir, lecteur assidu et attentif, je me demandais ce qu'il était advenu de Lucas, Arno, Juliette, visiblement plus de témoignages en ligne. Ils sont donc devenus suffisamment sages pour ne plus s'exposer à la fessée ?

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  7. Bonsoir tout le monde, pas de réponse à mon dernier post, aurais-je posé une question incongrue ???

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    1. Cher lecteur anonyme,
      Si vous voulez que les autres personnes prennent le temps de vous faire une réponse, prenez au moins la peine de vous identifier avant de penser que vous avez posé une question incongrue.
      Qui êtes-vous ?
      Au plaisir de vous lire (avec un nom),
      JLG

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  8. Merci pour ces passionnants récits.

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  9. Bonjour JLG, Jean-Marc, Lyonnais et lecteur assidu du site découvert par hasard il y a environ six mois. J'ai trouvé particulièrement intéressant les témoignages des personnes corrigées, d'ou ma question ?
    Bon dimanche

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  10. Bonjour Josip
    Le jour où après la fessée, je suis sorti dans le jardin en teeshirt long et fesses nues je me suis fait prendre par ma compagne et j’ai eu droit aux orties. Elle devait me surveiller et elle avait raison. Je reconnais que tu as été plus malin que moi, mais tu t’es pris quand même une bonne fessée. Reconnais que c’était mérité… Je me souviens de cette correction et ça m’a servi de leçon. Je crois que j’aurais préféré le martinet, parce que c’est certain que les orties c’est bien pire et ça brûle beaucoup plus longtemps. Je n’ai pas renouvelé l’expérience de sortir dans cette tenue lorsque ma compagne est dans les parages. Il m’est quand même arrivé de le faire lorsque je savais qu’elle serait absente plusieurs jours, partie chez une copine par exemple.

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  11. Bonjour Caroline,
    Content de te retrouver.
    Toi aussi tu reçois la fessée…?

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    1. Merci. Je viens régulièrement lire les nouvelles histoires.cdt

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  12. Bonjour tout le monde, c'est encore Jean-marc le Lyonnais.
    En fait je m'interroge sur le fait de savoir si je serai capable de recevoir une fessée en réprimande d'une bêtise ?
    Pas sur, j'ai surement un peu peur !
    Et puis, comme vous ne m'avez pas répondu concernant la disparition de ceux qui ont été fessés ces derniers mois, je m'interroge ? est-ce que finalement tout c'est bien passé ???
    Merci et bonne journée

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  13. Bonjour Josip.
    Je vois que nos expériences sont très semblables. Bien qu’étant adultes nos comportements sont ceux d’un gamin. Je reconnais que je suis resté immature et que j’ai vraiment besoin d’être guidé avec fermeté et autorité. J’ai conservé de mauvaises habitudes que l’on doit me faire perdre. C’est une question d’éducation. Heureusement je suis pris en charge et éduqué par ma compagne. C’est elle qui a mis en place une discipline domestique stricte. Je l’ai acceptée parce que je sais que j’en avais vraiment besoin. C’est elle qui décide et je dois lui obéir sans rechigner. C’est pas facile car je suis de nature plutôt désobéissant. Ma compagne veille constamment moi. Ça me rassure aussi car je sais qu’elle ne me laissera pas faire n’importe quoi. Au moindre écart c’est culotte baissée et en travers de ses genoux qu’elle l’administre la fessée. Ça me fait réfléchir sur mon comportement, mais mes mauvaises habitudes reprennent vite le dessus. Il faut dire aussi que nous avons un martinet. Il a été en son temps commandé chez un cordonnier. J’ai dû l’accompagner pour faire cette commande et pour aller ensuite le chercher. Je peux dire que je n’étais pas fier. Mais ma compagne m’a dit que le martinet était indispensable pour mon éducation. C’est elle qui décide, alors j’ai obéi. Je reconnais qu’en fait elle avait raison. Le martinet est vraiment utile pour sanctionner les grosses bêtises. Je peux te dire qu’il sert. Ça laisse des traces sur les fesses et sur le haut des cuisses. L’effet bénéfique de la correction se fait ressentir plus longtemps. Moins longtemps tout de même que les orties. Les orties c’est quand même très rare, mais je peux dire qu’on s’en souvient longtemps. Je sais que lorsque ma compagne me corrige c’est parce que je le mérite. Chez nous la fessée est toujours éducative et punitive. Les deux vont de paire. La punition est aussi un moyen d’éduquer. J’ai de la chance d’avoir une compagne vraiment adulte et responsable qui décide et me fait obéir. Je lui ai délégué le soin de mon éducation et c’est une tâche dont elle s’acquitte avec sans faiblesse. Elle a d’ailleurs une autorité naturelle.
    Bien à toi et au plaisir de te lire.

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