lundi 30 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 25 juin 2025 – 10 h 35

Ma compagne s’est aperçue que, pendant qu’elle travaillait, je ne faisais pas grand-chose. J’ai effectivement tendance à reporter à demain, ou à plus tard, ce qu’il aurait été plus pertinent de faire le jour même. Quand elle me reprochait ma paresse, je prétendais que je n’avais prévu de faire que le lendemain ce qui n’avait pas été fait.

Elle a donc décidé que je devais faire un planning prévoyant toutes les tâches que je devais faire et de noter leur échéance. Ainsi, elle saurait ce que j’avais fait et surtout ce que je devais faire et que je n’ai pas fait. Bien entendu, elle m’a promis une fessée à chaque fois qu’elle estimerait que j’avais procrastiné.

dimanche 29 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 25 juin 2025 – 9 h 15

Il va vraiment falloir que je change mes habitudes. Je ne peux plus être aussi inconséquent et continuer à manger la bouche ouverte, sans m’inquiéter de ce qu’en pensent les personnes qui sont attablées avec moi. Je sais que c’est très désagréable pour elle. Jusqu’à maintenant, je ne m’en rendait même pas compte.

Il n’y a que depuis que ma compagne m’en a fait la remarque que je sais que, souvent, quand je mastique, j’ai la bouche ouverte. Les premiers temps, ça a duré pendant trois ans, elle s’est contentée de me montrer son agacement. Évidemment, ça n’a rien changé. J’ai continué comme si de rien n’était. Bien sûr j’étais irrité que ma compagne m’en fasse le reproche bien plus que par mon attitude. Jusqu’au jour où elle a décidé de me faire changer de force puisque je ne la faisais pas volontairement.

mardi 24 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 22 juin 2025 – 12 h 45

Quand ma compagne n’est pas là, je prends plein de liberté avec les interdits et les obligations qu’elle a posés. Bien sûr, je sais que si je suis pris à le faire, j’aurai une fessée dont la vigueur dépendra du nombre de fois où ma compagne aura pu constater mes transgressions. Je crois qu'elle sait que je prends des libertés avec ses consignes aussi souvent que je le peux. Je pense que c’est pour cela que, quand nous sommes ensemble, elle n’hésite plus à me donner une grosse fessée quand elle constate une désobéissance.

Je ne crois pas qu’elle prend ces latitudes que je me donne comme une atteinte à son autorité, ce que ce n’est pas. Je pense qu’elle considère que c’est une étape normale dans l’éducation qu’elle me donne. Il s’agit de tester les limites. Tous les enfants le font plus ou moins. Compte tenu de mon immaturité, il n’est pas étonnant que je fasse aussi.

lundi 23 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 20 juin 2025 – 10 h 10

Avec la chaleur qu’il a fait ces dernières nuits, il est difficile de dormir, donc de récupérer. C’est valable pour tout le monde, mais quand, comme ma compagne, on travaille encore, il n’est pas possible de se reposer en journée. Alors que moi, je le peux.

Le gros inconvénient de cette situation, c’est qu’il lui était plus difficile d’assumer son rôle maternel. L’attention constante qu’il demande et l’énergie qu’il faut mettre pour donner une fessée qui compte deviennent une difficulté. J’avais bien vu, ce matin-là, que ma compagne n’avait plus la volonté nécessaire pour assumer les engagements qu’elle avait pris à mon égard.

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 13 h 10

Je n’avais plus vraiment besoin de preuve de l’attention que ma compagne mettait à éradiquer mes mauvaises habitudes. Si on peut dire, la fessée aux orties reçue le matin m’avait rassuré et inquiété sur le sujet. J’étais rassuré car je savais maintenant qu’elle était attentive à mes manques et qu’elle n’hésiterait pas à m’en punir, et inquiet car je voyais le nombre de fessées que je devrai prendre avant d’arriver à me débarrasser ce cette manie.

J’étais aussi inquiet parce que je me doutais qu’un jour ou l’autre, elle se consacrerait à d’autres de mes détestables coutumes habituelles. Comment me fesses pourraient-elles supporter toutes les fessées qui s’annonçaient ? Il me faudrait abandonner beaucoup de ces manies, faute de quoi je devrai me résigner à avoir les fesses cuisantes quasiment en permanence.

dimanche 22 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 10 h 25

C’est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle pour moi, que ma compagne ait décidé d’éradiquer les habitudes que j’ai prises depuis de nombreuses années et qu’elle juge inappropriées pour une personne adulte.

C’est une bonne chose, car je suis bien persuadé que les manies que ma compagne a décidé de me faire passer ne sont pas admissibles pour une grande personne. Je ne sais pas exactement ce qui va faire l’objet de son attention, mais il faut admettre que si, à l’avenir, je ne mange plus la bouche ouverte ou si je ne mets plus mes doigts dans mon nez pour le curer ou encore si je ne mets que des tenues décentes, je n’aurai rien perdu, au contraire.

Mais je comprends que ce sera difficile, car je sais comment ma compagne s’y prendra pour que je change mes façons de faire : une bonne fessée déculottée à chaque fois que je me laisse aller. Ni elle ni moi ne connaissons d’autre méthode efficace pour y arriver et celle-là a fait ses preuves depuis longtemps et elle fonctionne très bien avec moi.

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 25

Évidemment, se faire déculotter et fesser par sa compagne sans avoir son mot à dire, ce n’est pas commun. Pourtant, depuis que j’ai admis que j’avais besoin de cette supervision pour corriger mes comportements enfantins et mes mauvaises habitudes, je dois avouer que mes écarts sont moins nombreux ou qu’ils durent moins longtemps. Les fessées que je reçois n’y sont pas pour rien.

Ma compagne sait donner la fessée. Même les plus courtes sont toujours cuisantes. Je les crains toutes, mais j’ai une véritable terreur quand elle décide que j’ai besoin de sentir la brûlure des orties sur mes fesses. Ces végétaux ne présentent aucun risque de blessure ou de provoquer un bleu. Elle peut donc les appliquer aussi longtemps qu’elle le juge nécessaire et je les sens au moins pendant une journée entière. Ma compagne dit que c’est tout à fait ce qu’il me faut et qu’ainsi je garde longtemps en mémoire ce qui m’a valu la fessée aux orties et ça me dissuade de recommencer. En général, elle a raison.

samedi 21 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 15

J’avais maintenant ma réponse. Si j’en croyais ce qu’elle disait, manger la bouche ouverte serait maintenant systématiquement puni et je savais comment. La fessée que j’avais reçue n’était pas la plus grosse qu’elle m’ait administrée, mais elle était à prendre en compte, comme l’une de celles qui comptaient. Dix minutes après, j’en sentais encore les effets.

Elle m’avait promis les orties si je recommençais. Sans doute était-ce dans sa façon de le dire, mais alors qu’elle m’avait déjà annoncé une prochaine fessée avec ces végétaux par le passé, sans tenir son engagement, j’avais tendance à la croire cette fois-ci. Le temps des provocations était sans doute passé. Il était temps, si je ne voulais pas recevoir la mémorable correction qu’elle m’avait prédite, de faire attention à la façon dont je mangeais.

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 05

Je n’ai eu la réponse aux questions que je me posais que le lendemain, mais elle fut extrêmement claire. Et la journée a confirmé ce dont je me doutais : ma compagne avait décidé de passer à la vitesse supérieure en matière d’éducation. Ce dont nous avions parlé et le courriel que je lui avais envoyé avaient porté leurs fruits.

Tout a commencé au cours du petit déjeuner. J’étais, à ce moment-là, encore dans l’incertitude et toutes mes questions n’avaient pas reçu de réponse. Je ne savais pas encore si ma compagne entendait s’attaquer à mes mauvaises habitudes. Je l’ai compris bien vite.

vendredi 20 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 18 juin 2025 – 09 h 15

Il est normal, pour toute personne, quel que soit son âge, qui est placée sous l’autorité d’une autre, de tester la validité des exigences qui lui sont imposées, comme il est normal, dans un processus d’éducation, de contraindre celui qui est placé sous la responsabilité d’une autre, de l’obliger à respecter certaines règles.

Ces contraintes doivent être judicieusement choisies parmi ce qui fait partie des difficultés rencontrées, mais qui dépendent de la volonté de celui qui doit les respecter. C’est ainsi que ma compagne a décidé que je n’avais plus le droit de mastiquer mes aliments la bouche ouverte. Je suis d’accord avec elle. Ce n’est pas quelque chose que je veux infliger à ceux qui mangent en face de moi.

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 17 juin 2025 – 18 h 15

Ma compagne exige que je lui obéisse sans tergiverser, ni discuter ce qu’elle décide, et encore moins montrer mon mécontentement même si je ne suis pas d’accord. Elle tient à être la seule à décider de ce qui me concerne, de ce qui est bien pour moi ou pas. Parfois, elle me demande de lui donner mon avis, mais elle n’en tient compte que s’il lui paraît raisonnable. La plupart du temps, elle n’en tient pas compte. C’est absolument normal. Je n’ai pas toujours en tête l’ensemble des éléments qui me permettraient d’avoir un jugement sensé.

Il est un domaine où elle ne requière jamais mon opinion : c’est quand elle a décidé de me punir. Elle attend alors de moi une obéissance totale et comme je reconnais son autorité, je ne résiste pas quand elle entreprend de me déculotter et de me fesser, aussi douloureuse, parfois, qu’ait pu être la correction. Elle est la seule juge des bienfaits que cela m’apportera.

jeudi 19 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 16 juin 2025 – 10 h 05

Je n’ai pas beaucoup dormi de la nuit. Je suis resté éveillé dans notre lit jusqu’à très tôt le matin. Bien sûr, il y avait la brûlure sur les fesses qui ne voulait pas s’atténuer. Je crois que c’est uniquement quand elle est devenue moins vive que j’ai enfin pu m’endormir. Le matin, elle était encore présente, comme pour m’obliger à me rappeler de la fessée et de ce qui l’avait provoquée. Rien que de très normal, j’avais reçu une fessée et j’étais habitué à ce qu’elle soit prolongée par des fesses douloureuses, sauf que la cuisson, avec des orties, est bien plus persistante.

Mais je pense que si je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit-là, c’est aussi parce que je n’arrêtais pas de penser à la nouvelle donne que cette correction avait créée. Comment allaient désormais se passer les repas que nous allions partager ? Je ne croyais pas une seule seconde qu’une unique fessée, aussi rigoureuse ait-elle été, me permettrait d’éradiquer cette mauvaise habitude de manger la bouche ouverte.

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 18 h 45

 Il est rare que ma compagne me donne une fessée de façon différée, pour une bévue commise il y a déjà quelques temps. Elle préfère les corrections administrées au moment où la faute est commise, là où elle est commise et quelles que soient les personnes présentes.

Évidemment, elle ne fait pas n’importe quoi. Il y a des endroits, des moments et des personnes où il ne serait pas souhaitable de me déculotter pour me fesser. J’ai bien plus de doutes si elle ne me baisse pas la culotte, mais c’est une autre histoire.

Ce soir-là, sans doute je l’avais trop exaspérée et elle voulait radicalement calmer mes protestations.

mercredi 18 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 17 h 22

Ma compagne considère que parmi les valeurs que doit inculquer l’éducation, le respect dû aux grandes personnes fait partie des aspects fondamentaux. Il n’est donc pas admis une quelconque forme d’insolence. Elle doit être punie aussitôt qu’elle se manifeste afin de montrer à celui ou celle qui l’a commise, que cela représente un comportement inadéquat.

J’ai souvent du mal à faire la différence entre de la plaisanterie entre adultes et de l’insolence dont je pourrai me rendre coupable envers elle. C’est pourtant simple. Elle est une grande personne raisonnable chargée de mon éducation. Donc moi, je n’en suis pas une. Nous nous sommes mis d’accord sur ce sujet au début où nous nous sommes rencontrés.

Depuis, elle comme moi, considérons qu’elle a le droit de me punir à chaque fois qu’elle estime que je l’ai mérité, sans avoir besoin de mon accord. Avoir été insolent envers elle fait partie, à ses yeux, comme une bévue dont il faut me corriger. La fessée déculottée, c’est fait pour ça.

mardi 17 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 15 juin 2025 – 16 h 56

Souvent, quand ma compagne ne travaille pas, nous allons marcher le long d’un plan d’eau. Nous sommes toujours à la recherche de lieux que nous ne connaissons pas. Nous prenons, la plupart du temps, la précaution de trouver un endroit où, si nécessaire, ma compagne pourra me déculotter et me fesser ou me changer quand j’en aurai besoin. En fait, quand elle a besoin de me changer, je ne coupe pas à une bonne fessée déculottée.

Je sais que ma compagne surveille mes passages aux toilettes. Elle ne me fait pas complètement confiance pour gérer mes mixtions. Il m’est déjà arrivé de faire pipi dans ma culotte au cours de nos promenades et je ne compte plus le nombre de fois où j’ai été puni pour avoir sali ma culotte. Ma compagne me considère, à ces moments-là, comme un petit garçon, mais elle n’admet pas que je ne sois pas complètement propre.

lundi 16 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 14 juin 2025 – 13 h 45

J’ai dit à ma compagne, ce week-end, qu’elle avait adopté une attitude plus maternelle vis-à-vis de moi. Je retrouve l’attention dont elle faisait preuve à mon égard quand nous n’habitions pas encore ensemble. Elle a reprit l’habitude de m’habiller et de me déshabiller, de me mettre sur les toilettes quand elle l’estime nécessaire, de m’essuyer les fesses… Il n’y a que la douche qu’elle ne fait plus, mais le lieu ne se prête pas à cet exercice, cependant, de temsp en temps, elle prend le temps de me sécher avec la serviette de toilette.

Malheureusement, tous ces gestes quotidiens incluent également la fessée déculottée et je peux vous assurer qu’il s’agit bien de punitions. Quand elle me punit, c’est toujours qu’elle a une raison valable. Je n’ai rien à dire sur ce sujet. Elle formule plus facilement des exigences, comme ses prérogatives de maman l’y autorisent, et quand je ne m’y conforme pas, elle me punit d’une bonne fessée. C’est l’inconvénient, mais je ne peux pas avoir l’un sans l’autre, alors je prends le tout.

dimanche 15 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 13 juin 2025 – 14 h 51

Honnêtement, j’avais craint, une fois convaincue que je lui avais sciemment désobéi, que ma compagne me donne une très grosse fessée, une de celles qui laisse des traces douloureuses sur les fesses durant plusieurs jours. Il n’en avait rien été. Certes, la fessée qu’elle m’avait donnée n’était pas anodine, mais j’étais certain de ne pas en souffrir plus de quelques dizaines de minutes. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé.

Il est vrai qu’elle n’avait pas eu beaucoup de temps pour me punir. Nous étions attendus au restaurant et nous ne pouvions pas trop différer notre arrivée. Je ne savais pas si elle considérait que j’avais été suffisamment puni pour ma désobéissance ou si elle envisageait de reprendre la correction dès notre retour à la maison. Je n’osais pas lui poser la question, de peur que cela lui donne l’idée de continuer ma fessée alors qu’elle n’y avait pas pensé.

samedi 14 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 13 juin 2025 – 12 h 44

Très souvent, je profite de l’absence de ma compagne pour faire tout ce qu’elle me défend. Il s’agit pour moi, de goûter au plaisir de l’interdit, de faire ce qui est défendu, tout en le sachant, avec une boule au ventre qui me rappelle ce qui m’arrivera si ma compagne s’en aperçoit.

J’ai déjà évoqué cette question dans un précédent article. Ce n’est vraiment pas que j’éprouve du plaisir à recevoir une fessée. Certes, je n’ai plus du tout honte de montrer mes fesses nues en présence de ma compagne que ce soit dans l’intimité ou quand elle envisage de me punir, sans doute l’habitude. Cela-dit, c’est toujours ennuyeux quand elle me baisse la culotte avec l’intention de m’administrer une correction. Je n’ai plus du tout l’impression que nous avons une relation entre deux adultes, ce qui est vrai. A ces moments-là, elle dispose de toutes les prérogatives d’une maman, donc de me punir en me déculottant et en me fessant, et moi, je dois obéir. Elle considère qu’elle doit me donner une fessée quand je l’ai méritée et je dois avouer que je ne saurai m’y opposer.

vendredi 13 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 10 juin 2025 – 12 h 43

Ce n’était décidément pas ma journée. Ma compagne avait sans doute décidé de ne rien me laisser passer. Cela ne faisait pourtant que neuf jours depuis que j’avais reçu ma dernière fessée. Ce n’est pas que je le lui reproche. Je sais que quand elle me punit, c’est pour mon bien et parce que je l’ai mérité. Je ne lui en fait pas le reproche, bien au contraire.

C’est juste que, comme toute personne je crois, je préférerais qu’elle utilise un autre mode de punition. La fessée déculottée, c’est infantilisant et j’ai toujours peur que d’autres personnes sachent de quelle manière elle me punit. Mais je sais que si elle a choisi de me déculotter et de me fesser, c’est bien pour que je prenne conscience que si je me comporte de façon irresponsable et infantile, c’est que j’ai besoin d’une punition qui dénie mon statut d’adulte, malgré l’âge que j’ai.

jeudi 12 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 10 juin 2025 – 12 h 31

J’aurais bien dû me douter que cela allait finir par une bonne fessée déculottée. En fait, je m’en doutais, mais cela fait partie de la relation filiale. Il est normal qu’un garçon, quel que soit son âge, teste les limites que lui donne sa Maman. Cela fait partie du processus d’éducation et s’il ne l’a pas fait quand il était petit, il est naturel qu’il le fasse quand il est devenu adulte. Comme il est normal qu’une Maman sanctionne par une bonne fessée quand ces limites sont dépassées volontairement.

Je ne suis pas certain que le terme volontairement soit le bon. Je ne fais rien de volontaire pour recevoir une fessée. C’est bien trop dissuasif. Se retrouver avec les fesses cuisantes, voire avec quelques marques, n’a rien d’amusant. Mais cela fait partie du fonctionnement d’une relation filiale. Je cherche à dépasser les limites sans me faire punir et ma compagne exige que je m’y tienne et elle me punit quand je ne le fais pas.

lundi 2 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 1er juin 2025 – 10 h 12

Ma compagne a dû me donner une fessée déculottée. Encore une fois. J’ai bien essayé de l’éviter et j’ai réussi à en retarder l’administration jusqu’à dimanche matin, mais je ne me faisais pas trop d’illusions. Elle m’avait annoncé la fessée dès le samedi soir et j’avais peu d’espoir de passer au travers.

Elle m’avait ordonné de me raser et les préoccupations du samedi aidant, j’ai oublié de le faire. Nous étions couchés dans notre lit quand elle s’en est aperçue. Sans doute mon visage l’avait quelque peu gratté alors que nous étions en plein câlin.