Ce lundi 30 juin restera-t-il dans les mémoires ? Il est à craindre qu’il soit bientôt dépassé par une autre journée bien plus chaude. Nous sommes en Bretagne, heureusement, il y a toujours un peu d’air, mais tout de même, 37 ° au plus chaud et une température qui s’est maintenue au-dessus des 30° jusqu’à 22 h, cela reste exceptionnel en Bretagne. Pourvu que ça le reste.
Cela a posé un problème à ma compagne. Bien qu’elle ait identifié plusieurs situations où me donner une fessée était une évidence, elle ne s’en sentait pas la force. Rien qu’à la pensée de devoir me coucher sous ses genoux ou de me coller contre son flanc, son énergie diminuait. L’augmentation de chaleur qu’impliquait cette promiscuité ne lui semblait pas envisageable. Moi, ça m'allait très bien.
« Je me sens vidée, disait-elle ! »
Je faisais tout de même attention à ne pas provoquer sa colère. Il n’aurait pas fallu qu’elle se sente obligée d’assumer son rôle maternel, tant pis pour la chaleur. Si elle avait dû me donner la fessée trop souvent, sans doute aurait-elle été mémorable. Elle m’aurait probablement fait payer non seulement la bêtise qui avait nécessité une fessée, mais aussi le fait de devoir me la donner alors qu’il faisait aussi chaud. Je lui fais confiance, si la situation l'avait exigé, elle aurait retrouvé son allant, au moins le temps de me corriger.
Je faisais très attention à obéir à ses ordres, ce qui était assez simple tellement nous étions tous les deux prostrés par la température qui ne cessait de monter. Il y avait tellement peu d’exigences que c’était facile de les satisfaire. J’avais bien mangé, le midi, au moins une fois en gardant la bouche ouverte, mais je n’étais pas certain que ma compagne l’avait vu. Ce n'était pas moi qui allait l'en informer.
Elle m’avait avoué, par la suite, qu’elle avait envisagé de me fesser à ce moment-là, et m’a-t-elle dit à d’autres occasions sans que je sache lesquelles, mais elle y avait renoncé. Il faisait décidément trop chaud. Moi j’en étais satisfait… et déçu. Déçu autant de n’avoir pas réussi à me contrôler durant tout un repas, que de ne pas en avoir été puni alors que je l’avais mérité. Mais je me suis déjà expliqué sur ce paradoxe, je n’y reviens pas.
Nous avions été nous allonger sur notre lit en début d’après-midi. Nous avions tous les deux une tenue des plus légères. Ma compagne avait gardé ses sous-vêtements et moi je ne portais qu’un polo. Être dans le lit les fesses nues, était une habitude admise. Je dormais généralement sans bas de pyjama. Ce n’est pas les deux ou trois claques sur mes fesses, bien qu’elles aient été assez appuyées, qui pouvaient constituer une correction à prendre en compte. Ma compagne me les avait données quand elle m’avait dit que j’aurais dû avoir une punition plusieurs fois dans la journée. Je ne répliquai pas. Il ne fallait pas lui donner un prétexte pour réparer cette injustice.
Quand nous nous sommes levés, il faisait toujours aussi chaud, même, me sembla-t-il, un peu plus. Ma compagne dut s’absenter durant quelques dizaines de minutes. Je me levais et, comme à mon habitude, je restais dans la tenue que j’avais adoptée pour me reposer. Je n’avais donc pas de culotte, les fesses nues.
Ma compagne est revenue et elle n’y a pas prêté attention. Chacun tentait de lutter de son côté contre la température caniculaire et ni elle ni moi n’envisagions de nous rapprocher l’un de l’autre. Chacun vaquait à ses occupations sans s’occuper de ce que faisait l’autre. Je restais donc ainsi, sans ma culotte, toute la deuxième partie de l’après-midi.
Je ne sais pas ce qui a attiré son attention.
Nous discutions, chacun dans un bout de la pièce.
« Mais… a-t-elle fait ! »
Elle est venue vers moi. J’ai pris alors conscience de ma désobéissance : je me promenais de ma propre initiative, dans la maison les fesses nues, ce qui était bien entendu explicitement interdit. Si vous avez lu mon journal, vous savez que j’ai déjà pris une fessée pour cette raison. Elle souleva le devant de mon polo.
« Mais tu n’as pas de culotte ! Depuis quand ? »
Il était bien trop tard pour obtenir son pardon. Je ne pouvais compter que sur la météo pour me sauver. Je bredouillais que je ne croyais pas avoir désobéi.
« Il fait chaud, je pensais que je pouvais rester comme cela.
– Jamais sans culotte ! Va en mettre une ! »
En me levant du canapé, j’exposais mes fesses. La bonne claque que je reçus était tout à fait justifiée. Je n’allais pas m’en plaindre. Je pris, avec empressement, la direction de la chambre.
« Si elle se contente de cette fessée, pensais-je, je m’en sors bien ! »
Mais ma compagne m’emboîta le pas. Ce n’était pas bon signe. Je marchais aussi vite que je le pouvais vers le lieu où je savais que je trouverai ma culotte.
« Pas si vite ! Viens ici ! »
Aïe ! Ça ne sentait pas bon. Elle s’était assise sur le lit et elle me prit la main.
« Toute l’après-midi sans culotte, ça vaut bien une fessée, non ? »
Si je tentais de justifier l’injustifiable, nul doute que la correction n’en serait que plus sévère. Je devais montrer que je reconnaissais ma faute.
« Oui, Maman ! »
Elle me coucha à plat ventre sur sa cuisse.
« Je ne vais tout de même pas tout te passer ! La canicule a bon dos, mais pas à ce point-là ! »
Je ne savais pas à quoi m’attendre. Avec une telle récidive, j’aurais dû avoir une grosse fessée, mais la chaleur n’en facilitait pas l’administration. Ma compagne retrouva, cependant, assez de force pour que je sente sa main me chauffer fortement les fesses. Bien que nous soyons près de la fenêtre ouverte, je ne retenais pas mes cris. L’aurais-je essayé que je n'aurais pas pu.
Ce ne fut pas une longue fessée et je crois que je peux en rendre grâce à la température. Elle suffit cependant pour que, une fois remis sur mes pieds, j’aille au plus vite chercher une culotte et que je l’apporte à ma compagne pour qu’elle me la mette.
« Toujours une culotte, même dans la maison ! »
Son rappel ne pouvait être validé que par une bonne claque sur le haut de ma cuisse.
« C’est bien compris ?
– Oui, Maman !
– La prochaine fois, tu ne t’en tireras pas aussi facilement ! »
Elle me suivit dans le séjour. J’avais peur qu’elle décidât que cette petite fessée n’eût pas été suffisante pour que j’apprenne ma leçon. Il y avait, prêts à servir, plusieurs instruments punitifs qu’elle pouvait décider d’utiliser : martinet, baguette, règle plate en bois, ceinture… il y avait le choix.
Heureusement, elle n’en fit rien. Je crois que je dois une fière chandelle à la température caniculaire. Je gardais ma culotte toute la soirée, jusqu‘à
ce qu’elle me l’enlève quand elle me déshabilla.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Madame aurait peut-être besoin d’un instrument à longue manche, tel une cravache, afin d’épargner efforts :)
RépondreSupprimerLaxmi,
SupprimerNon, merci, sans façon.
Huguette