dimanche 6 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 2 juillet 2025 – 12 h 25

Je savais que ma compagne allait bientôt être de retour, mais c’était plus fort que moi. J’étais persuadé que je pouvais l’entendre quand elle arriverait et que j’avais le temps de me rhabiller correctement avant qu’elle ne puisse constater que j’avais recommencé à rester sans culotte dans la maison.

Compte tenu de la chaleur, c’était bien plus confortable d’être habillé aussi légèrement et puis je voulais me prouver que j’avais encore une marge de décision malgré ce que ma compagne avait décrété. Ce n’était pas que je considérais sa disposition comme déraisonnable. Considérer que, à mon âge, je ne devais pas me conduire comme un petit garçon, est tout à fait pertinent. Non, mais il fallait que je me prouve à moi-même que je pouvais prendre des initiatives que j’avais décidé seul.


Comme souvent – en fait presque tout le temps dès que la température le permet – quand ma compagne n’est pas là, je ne portais qu’un polo long. Il descendait jusqu’en haut de mes cuisses, ce qui fait qu’il était peu probable de voir mes fesses. Bien sûr, si le vent le soulevait un peu… mais je me sentais protégé par la haie qui entoure le jardin.

Ma compagne avait beau m’expliquer que mes cuisses nues évoquaient, aux yeux de toutes les grandes personnes, la nudité de mes fesses, ce qui en faisait une tenue indécente, son argument se perdait dans l’aise que je ressentais ainsi habillé et dans le sentiment de libre arbitre que cela provoquait.

Toujours est-il que je préparais le déjeuner de midi vêtu seulement de mon polo.


J’étais attentif aux bruits que faisaient les pneus de sa voiture sur le revêtement du sol devant la maison. Quand je les entendrai, j’aurai largement le temps d’aller m’habiller correctement sans qu’elle ne se doute de rien. Et puis ma compagne prenait toujours un petit temps avant de sortir de son véhicule.

Deux, trois fois je crus entendre le bruit caractéristique de son arrivée. Mais ce n’était pas ça. À chaque fois, j’avais ressenti un coup au cœur et l’adrénaline était retombée rapidement. Mais je persistais plutôt que d’aller m’habiller et de mettre fin à cette attente. Je voulais me prouver à moi-même que ma décision était ferme et que j’étais capable de l’assumer, comme un grand.

Il est difficile de se maintenir sur le qui-vive très longtemps. Il est toujours des moments où l’attention est moins aiguisée. C’est probablement ce qui s’est passé. J’ai entendu la porte s’ouvrir.

« Où es-tu, mon petit cœur ? »

Je laissais tout en plan et je filais vers la chambre, aussi silencieusement que je le pouvais sans perdre de temps. Il y avait urgence si je ne voulais pas être puni. J’enlevais le vieux polo que je portais, j’enfilais ma culotte avec précipitation et je m’emparais de mon short. Je n’eus le temps que d’y passer mes deux jambes quand ma compagne apparut dans la porte.

« Mais qu’est-ce que tu fais ?

– J’étais en train de me changer. »

C’était le seul mensonge qui m’était venu à l’esprit. Je nouais rapidement le cordon de la ceinture du short. Dans ma hâte, je dus m’y reprendre à deux fois.

« Viens ici ! »

Ma compagne avait pris son air inquisiteur. Je marchais vers elle.

« Je ne te crois pas. Quand tu m’as entendu arriver, tu es venu ici pour me cacher que tu n'avais pas de culotte !

– Non, Maman, je t’assure ! »

Elle s’était assise sur le lit et je me tenais debout devant elle. Elle défit le lacet de mon short et elle le baissa.

« Ta culotte, elle est à l’envers ! »

Elle accompagna ce constat par une bonne claque sur le haut de ma cuisse.

« Dans ta précipitation, tu n’as pas eu le temps de la remettre à l’endroit ! »

Une autre claque vint souligner sa conclusion.

« Tu étais donc les fesses nues, c’est bien cela ? »

La troisième claque vint renforcer le sérieux de son propos. Je me contentais d’un grognement qui n’était pas un assentiment, mais pas une dénégation non plus. Ma compagne le prit pour un aveu.

« As-tu été dehors sans culotte ?

– Non, dis-je faiblement.

– De toute façon, ça mérite une bonne punition ! »

Je m’attendais à cette conclusion. L’affaire était mal embarquée depuis le début.

« Va me chercher la baguette !

– Oh non, Maman !

– Quoi ? Tu refuses ?

– Non, Maman, non ! J’y vais ! »

Se déplacer avec célérité, avec un short qui entourait mes chevilles, n’était pas aisé. Mais je savais qu’il n’était pas question de le remonter. Cela faisait partie de la punition. Je lui remis la baguette qu’elle posa sur le lit. Elle me coucha alors sur sa cuisse gauche et je sentis qu’elle baissait ma culotte. Ce serait une fessée déculottée, mais il ne pouvait en être autrement.



Ma compagne commença à main nue mais cela suffisait à ce que je regrette rapidement d’avoir été aussi légèrement habillé, comme un petit garçon et non comme un adulte. Il allait falloir que je réfléchisse sérieusement aux bénéfices que je tirais de me promener les fesses nues, au regard des risques que j'encourais.

Heureusement que ma compagne ne s’apercevait pas à chaque fois que je n’avais pas de culotte alors que j’aurais dû en avoir une. Je ne suis pas certain que mes fesses supporteraient toutes les fessées qui en découleraient, surtout si elles étaient très sévères. Mais certainement que je ferai alors plus attention à être correctement habillé.

Cela dit, ça commençait à faire un nombre conséquent de fois où ma compagne me surprenait et les fessées qui en découlaient commençaient à représenter un nombre conséquent. Soit je devrai adopter une façon plus décente de m’habiller, soit il fallait que je fasse plus attention à ne pas être pris. Mes précautions se révélaient bien insuffisantes.

À ce moment-là, je ne pensais pas aux décisions que je devais prendre. Absorber la douleur de la fessée suffisait à occuper toutes mes pensées. Quand elle fut satisfaite du résultat de la première étape de la punition qu’elle me donnait, ma compagne marqua une pause. Je savais que ce n’était que pour prendre la baguette et que la correction n’était pas achevée, loin de là.

« Où est la baguette ? »

Ma compagne cherchait autour d’elle.

« Lève-toi ! Tu dois être couché dessus ! »

Elle avait raison. Elle m’aida à soulever un peu mon buste, juste ce qu’il fallait pour prendre possession de l’instrument qui lui permettrait d’amplifier ma punition. La baguette était fine. Elle sifflait dans l’air avant d’atterrir sur mes fesses.


Je criais lors de la première phase de la fessée, mais mes plaintes redoublèrent. Je sentais les lignes brûlantes que la baguette laissait sur mes fesses à chaque fois que ma compagne l’y appliquait. Il est difficile de comparer la douleur que provoque une fessée à main nue au regard de celle avec la baguette. La cuisson est plus localisée. C’est différent, mais au moins aussi douloureux.

Ma compagne n’avait aucun doute. Il me faudrait plusieurs fessées, mais la honte d’être puni comme un petit garçon et les corrections me permettraient, bientôt sans doute, de comprendre qu’il n’était pas normal que je n'aie pas de culotte quand je me déplaçais, y compris dans la maison.

Elle n’appliqua pas la baguette bien longtemps, mais je ne sais pas combien de fois. J’avais bien autre chose à faire que de compter les coups de baguette qu’elle me donnait. Mais il était certain que mes fesses en garderaient le souvenir, je ne sais pas combien de temps, mais sans doute un bon moment. Elle posa l’instrument, mais sans me laisser me relever. Cela ne pouvait signifier qu’une chose : la fessée n’était pas finie.


Sa main était toujours disponible et c’était ce qui lui semblait le plus pertinent pour finir une fessée. Quasiment à chaque fois, elle achevait une correction par de bonnes claques sur mes fesses de sa main nue. Cette fessée ne fit pas exception. Sa main tomba encore et encore. Je me tortillais sur sa cuisse quand elle s’attardait, trop longtemps à mon goût, au même endroit. Mes pieds dansaient une sarabande incontrôlée mais qui ne l’empêchait nullement de poursuivre la fessée.

Enfin, la correction cessa. Je sentis ma compagne m’ôter mon short et ma culotte. Mais elle ne me remit pas le sous-vêtement. J’étais maintenant nu.

« Va au piquet ! »

Elle désignait un mur où il y avait de la place pour que je m’y tienne en pénitence. Je mis mon nez contre le mur et les mains sur ma tête.

« Non, je préfère que tu croises les mains dans le dos ; »

Je rectifiais ma position et je m’immobilisais. Le temps au piquet serait-il long ? Seule ma compagne le savait.

« Tourne-toi vers moi ! »

Ma compagne avait ramené le polo que je n’avais pas eu le temps de mettre. Passé par-dessus ma tête, il couvrait mon buste, mais laissait mes fesses à la vue de tous. Heureusement il n’y avait qu’elle pour le voir, mais je ne pus éviter de frissonner à la pensée qu’il pût y avoir d’autres personnes qui auraient pu constater comment ma compagne me punissait.

Elle me laissa là durant quelques minutes et je l’entendais dans la pièce à côté. Je ne songeais pas encore aux libertés que cela aurait pu me donner quand elle revint.

« Tu viens avec moi ! »

Je la suivis.

« Mets-toi au coin ! »

Elle désignait l’angle de la pièce où j’avais mes habitudes. J’y pris la position. Mes fesses étaient toujours nues et sans doute bien rouges, mais je savais qu’elle n’apprécierait pas que je m’en plaigne. Je n’en avais pas du tout l’intention. Il était bien plus urgent que je montre mon obéissance. Je ne tenais pas à recevoir une seconde fessée.


Elle s’assit à table et je l’entendis rentrer des informations dans son téléphone. Elle m’appela pour un court instant. Je l’aidais à finaliser ce qu’elle était en train de faire.

« Retourne au coin ! »

Je ne me le fis pas dire deux fois. Elle ne s’occupa plus de moi pendant un long moment. Peut-être un quart d’heure. Vingt minutes ? Pas plus. C’était à la fois long et pas trop. Il y avait eu d'autres fois où j’avais eu largement le temps de m’ennuyer au coin, mais il aurait fallu m’y laisser bien plus de temps.

« Josip, viens me voir. »

C’était la fin de la punition et il n’y avait plus qu’une étape à franchir. Je dus lui demander pardon, debout devant elle, la culotte baissée, comme le petit garçon que j’étais certainement à ses yeux à cet instant.

« La prochaine fois, tu auras les orties, me promit ma compagne. »

Les orties, souvent promises, rarement utilisées ! J’étais certain qu’il en serait ainsi même si je me laissais aller aux mêmes agissements que ma compagne ne voulait plus me voir faire, mais je ne lui fis pas part de ma réflexion. L’avenir le montrerait.




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

2 commentaires:

  1. Bonjour, je viens de lire votre récit et je constate que le mauvais garnement pourrait être moi, surtout que j'ai votre age

    RépondreSupprimer
  2. Marc,
    Eh oui, je ne suis pas le seul à avoir besoin, malgré mon âge, d'une supervision et des fessées qui vont avec de la part de ma compagne.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.