Évidemment, avec ma tête de linotte et mon habitude de ne pas faire attention, les choses n’en sont pas restées là. C’est bien mon problème, je ne fais que très peu attention à respecter les règles que ma compagne a édictées. C’est bien pour cela qu’elle dit que je ne me comporte pas comme un adulte responsable et qu’elle est obligée de fermement corriger mes étourderies.
S’il n’y avait que mes étourderies ! Mais il y a aussi mes désobéissances, mes mauvaises habitudes que ma compagne a décidé d’éradiquer, mes impolitesses et mes insolences et j’en oublie… autant de situations que ma compagne sanctionne d’une bonne fessée déculottée. Je sais qu’elle a raison de le faire. Toutes les fessées sont difficiles à supporter. Elles font mal aux fesses, mais c’est fait pour. Les plus déroutantes, c’est quand je ne m’y attends pas. Être déculotté et fessé quand on ne l’a pas vu venir, c’est, il me semble, le plus difficile pour moi.
J’avais à peu près oublié la fessée que ma compagne m’avait donnée la veille. Bien entendu, je n’en ressentais plus rien et comme il n’y avait pas eu de marques sur les fesses, j’avais pu l’oublier ou tout du moins ne pas y penser en permanence. Avec une petite fessée, comme celle que m’avait administrée ma compagne, il y avait certainement eu une rougeur, mais qui s’était atténuée en quelques minutes. Je le supposais car je n’avais pas vérifié.
Ce midi-là, le repas était déjà commencé. Nous avions mangé l’entrée. La viande était sur le barbecue, les légumes à feu doux sur la gazinière. Je faisais l’aller-retour entre les deux. Je devais donc faire la navette entre l’extérieur ou cuisait la viande et l’intérieur ou étaient les légumes. Les premières fois, consciencieusement, j’ai changé de chaussures. J’avais mes chaussons aux pieds quand je rentrais dans la maison et je mettais mes sabots pour surveiller la viande à l’extérieur.
Et puis, ce qui devait arriver arriva. J’avais besoin de rentrer précipitamment pour mélanger la marmite dans laquelle mijotaient les légumes. Sachant que j’allais ressortir aussitôt, pour gagner du temps, sans y penser, je gardais aux pieds les chaussures que j’avais mises pour aller dehors. Cela n’échappa pas à l’œil acéré de ma compagne.
« Mais comment se fait-il que tu as encore ces chaussures ? »
C’est seulement alors que je pris conscience de ma bévue. J’avais reçu une fessée, la veille, pour la même raison, je ne voyais pas comment je pourrais échapper à celle qui s’annonçait.
« Mais je n’ai pas fait exprès, j’ai oublié ! »
L’excuse ne valait rien, je le savais, mais je n’avais rien d’autre sous la main. D’ailleurs ma compagne ne tint pas compte d’une si faible défense. Ma compagne s’est levée. Je n’ai pas esquissé un geste de refus. Il aurait été malvenu. J’avais mérité une bonne fessée, ma compagne avait résolu de me l’administrer, je ne pouvais plus rien y faire.
Dès que je fus à sa portée, elle dénoua le lacet de la ceinture de mon short. Aussitôt, elle me plaça sous son bras. Baisser le short, puis la culotte ne fut pas une difficulté. Elle fit claquer sa main sur mes fesses nues. Je poussais un cri que je ne pouvais réprimer. La fessée avait trouvé son efficacité dès le début.
« La fessée d’hier n’a pas suffi ? Je vais donc m’efforcer de t’en administrer une dont tu vas te rappeler ! »
Elle continua à me donner une fessée dont je ne voyais pas le bout. Elle durait et depuis longtemps la cuisson de mes fesses était insupportable, mais elle continuait la punition.
« Deux jours de suite ! Ah tu as oublié ! Eh bien je vais t’aider à t’en souvenir ! »
La fessée continua encore. Sa main claqua sur mes fesses plus d’une dizaine de fois.
« Heureusement que tu ne l’as pas fait exprès ! Il ne manquerait plus que ça ! »
J’avais les fesses en feu quand elle me laissa me relever. Je fis une grimace qu’elle prit pour un sourire alors que je n’avais aucune raison de me réjouir.
« Parce qu’en plus, ça te fait rire ! »
Elle me replaça aussitôt sous son coude. Elle n’avait pas commencé à me reculotter de sorte que mes fesses étaient encore nues.
« Non, Maman, non ! Je ne riais pas !
– C’est certain qu’après la fessée que tu vas prendre maintenant, tu n’auras plus du tout envie de sourire ! »
Toutes mes protestations d’innocence n’y firent rien. Elle ne crut pas un mot de ce que je lui disais et il n’y avait qu’une façon de me faire expier mon insolence.
Quand je reçois une fessée, j’ai toujours l’impression qu’elle dure très longtemps. En fait, je pense que c’est parce que j’ai très envie que ma compagne y mette fin quand je le souhaiterai, ce qui est toujours bien avant qu’elle décide d’y mettre fin. Elle va toujours au bout de la punition qu’elle a souhaité m’administrer. Même les plus longues ne se prolongent pas au-delà de quelques minutes. Ce laps de temps est largement suffisant pour me faire regretter l’écart que j’ai commis. Ma compagne, même quand le rythme de la fessée est lent, arrive à appliquer sa main sur mes fesses bien plus d’une fois par seconde. Avec la force qu’elle y met, cela fait une sacrée déculottée au bout de deux ou trois minutes.
C’est à peu près ce temps où je dus endurer la fessée supplémentaire qu’elle avait décidé de m’administrer. J’aurais pu m’en plaindre car la raison pour laquelle elle me donnait ce complément de punition n’était pas justifiée. Mais je savais que la raison initiale, elle, était tout à fait valable. Essayer de la faire s’apitoyer sur mon sort serait au mieux inutile et j’avais très peur que ce soit contreproductif.
Je ne pouvais plus supporter une fessée de plus et pourtant je le fis en criant ma douleur, mais sans chercher à quitter la position dans laquelle elle m’avait mis. Ce n’est que quand elle me remonta la culotte, puis le short que je fus certain que la fessée était finie.
Je ne sais pas trop comment je dois me comporter après avoir reçu une fessée. Je sais que si ma compagne me l’a administrée, c’est qu’elle avait une très bonne raison de le faire et j’aurais mauvaise grâce à m’en plaindre. Je ne m’y risquais de toute façon pas, cela aurait été un prétexte suffisant à me déculotter et me fesser de nouveau. Mais, d’un autre côté, elle m’a traité, depuis le moment où elle a décidé de me punir, jusqu’à la fin de la correction, comme un petit garçon dont elle avait la responsabilité et non comme son compagnon.
Il est difficile de redevenir, en un instant, l’adulte dont elle a retiré tous les privilèges au point de le déculotter. Mais il est aussi impossible de rester le petit garçon puni qu’elle avait placé sous son bras pour lui baisser la culotte et le fesser. En un sens, c’est plus facile quand elle me met au coin. Au-delà de la difficulté à devoir se tenir en pénitence, il fonctionne comme une espèce de sas, quoique la question se repose une fois qu'elle m'a reculotté.
Là, c’était assez facile, je devais aller vérifier la cuisson de la viande sur le barbecue, ce qui me permit de sortir de la pièce sans avoir d’explication à donner. Je sentis la brûlure sur mes fesses pendant quelques minutes, mais elle s’estompa assez vite. Cela n’avait été qu’une fessée donnée à main nue, il n’y avait donc pas de raison qu’il y ait des marques sur mes fesses, ce que je me gardais bien de vérifier.
Je repris donc mes allers-retours entre le barbecue et la cuisine. Et… ce qui devait arriver, arriva. Je rentrais de nouveau avec mes chaussures dans la cuisine.
« Mais ce n’est pas vrai ! »
Ma compagne tenta de m’attraper mais je fis demi-tour.
« Je vais les changer, tout de suite ! »
Ma compagne me rattrapa près de l’étagère à chaussures.
« Oui, tu vas les changer, c’est sûr, mais ce sera après avoir reçu une fessée, et une bonne !
– Mais je n’ai pas fait attention, ce n’est pas exprès !
– Et tu crois que c’est ce qui va te permettre d’éviter une fessée ? Eh bien c’est non ! »
Je ne me faisais pas d’illusion. Deux fois de suite la même bévue, à quelques minutes d’intervalle bien que j’aie eu une fessée la première fois ! Ma compagne ne pouvait laisser passer cela.
« Une fessée hier, une autre aujourd’hui pour le même motif ! Les deux premières n’ont pas suffi ? Eh bien tu vas te souvenir de celle-là ! »
Si je ne sentais plus la douleur de la fessée reçue quelques minutes auparavant, ce n’était pas pour autant que mes fesses avaient récupéré. Ma compagne raviva la douleur en quelques secondes. Culotte baissée, je dansais bien involontairement sous le bras de ma compagne et je criais sans retenue. Elle prolongea la fessée bien au-delà de ce que j’aurais souhaité. Elle ne s’arrêta que quand elle fut certaine d’avoir embrasé tout mon postérieur.
« Dommage que les instruments punitifs ne soient pas là ! »
Je soufflais de soulagement. Quel que soit celui qu’elle aurait utilisé, la fessée n’en aurait été que plus sévère.
« Encore une fois et ce sont les orties ! C’est bien compris ?
– Oui, Maman ! »
Elle me remonta la culotte puis le short. La fessée avait été sévère, mais elle ne m’envoyait pas au coin. Il est vrai que le repas était cuit et qu’il y avait peu de temps pour le faire. Mais elle n’avait pas envisagé d’utiliser les orties qu’elle réservait pour la prochaine fois ni de m’ordonner d’aller couper une baguette souple dans la haie la plus proche. Je m’en sortais assez bien, finalement.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Bonjour Josip.
RépondreSupprimerDécidément la sévérité d’Huguette ne se dément jamais. Il faut dire que tu es un vrai gamin. Les règles à respecter tu en fais quoi… mais je vois que ta compagne est vigilante… elle est prompte à te fesser pour que tu prennes conscience de tes bêtises. La fessée est parfois nécessaire même aux adultes…