Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 25 juin 2025 – 18 h 20

Ma compagne est très stricte quant à l’habillement que je porte. Elle n’est pas d’accord pour que je m’habille trop léger même quand il fait chaud. Elle dit que je dois porter des vêtements décents qui vont à un adulte responsable. Si ce n’est pas le cas, c’est que je ne suis pas capable d’en assumer les contraintes. La fessée n’est alors jamais loin.

Elle tient à ce que j’aie toujours une culotte, pour cacher mes parties génitales. Je suis assez d’accord avec elle, mais seulement si je risque d’être vu par une personne qui ne tient compte que de mon âge. Quand ce n’est pas le cas, j’ai toujours tendance à m’habiller le plus léger possible. La culotte n’est alors pas indispensable. Ce n’est pas l’avis de ma compagne et elle n’accepte pas de discussion sur ce point.

« Ce sont les enfants qui se promènent sans culotte. Toi, tu es une grande personne. Tu dois être correctement habillé ! »

Autant vous dire tout de suite que je ne suis que modérément convaincu par ce type d’argument. Ma compagne, quand elle me baisse la culotte pour me donner une fessée, me traite comme si je n’étais pas un adulte. Et elle voudrait que le reste du temps, je me comporte comme un grand. N’y a-t-il pas une incohérence flagrante ?

Soit elle me traite comme si je n’étais pas une grande personne et elle me donne la fessée déculottée quand je la mérite, alors je peux me déplacer les fesses nues, soit elle me considère comme un adulte. Il est alors normal que je sois habillé comme le veut la plus élémentaire décence, mais alors il n’y a plus de raison de me donner la fessée et encore moins de me baisser la culotte quand elle a décidé de me punir.

Ma compagne n’est pas d’accord avec ce raisonnement. Elle dit que je dois avoir la fessée quand je la mérite et que pour la rendre efficace, il faut me baisser la culotte et que je dois être habillé correctement en toute circonstance. Bien évidemment, c’est son avis qui prédomine et il lui semble normal de me punir quand je ne suis pas ses injonctions.

Elle a sûrement raison, mais je ne peux pas éviter de vérifier si elle n’a pas changé d’avis. Quitte à prendre une fessée, mais cela fait partie de ma vie avec ma compagne.

Ce jeudi, j’avais tondu la pelouse. Il faisait chaud et j’étais en nage.

« Va prendre une douche, m’ordonna ma compagne ! »

J’avais mis mes chaussons et je m’apprêtais à entrer dans la maison.

« Mais tu ne vas pas y aller comme ça ! Tu vas tout salir ! »

Comme ça, c’était avec mes habits de jardinage, une culotte et un vieux bermuda pour le bas et un vieux polo pour le haut. Je reconnais qu’ils n’étaient pas très propres, mais ils étaient très pratiques quand je travaillais dans le jardin.

« Viens ici ! »

Ma compagne m’ôta le polo et le bermuda et elle ne me laissa que la culotte. Nous étions à l’intérieur. Nul ne pouvait me voir. Il n’y avait donc pas de problème à ce que je me déplace dans une tenue aussi légère. Une toute petite claque sur le fond de la culotte.

« Va prendre ta douche, je te monte ce qu’il te faut pour t’habiller ! »

Je gagnais la salle de bain non sans avoir fait un détour dans la chambre pour y enlever ma culotte. Dans ces circonstances, à condition que ce soit pour un bref moment, je savais que ma compagne ne me reprocherait pas ma tenue. Pour prendre une douche, il fallait bien être tout nu.

Quand je revins dans la chambre, mon polo et mon bermuda avaient été déposés sur le lit, à côté de ma culotte qui avait été arrangée. Je l’avais jeté en boule et ma compagne avait dû trouver cela inapproprié. Je passais mon polo pour couvrir le haut du corps. Je laissais le bas comme il était. Comme il faisait très chaud, je ne risquais pas d’attraper froid. J’ouvris mon ordinateur.

Je ne pus pas le consulter bien longtemps.

« Tu as pris ta douche ? »

Ma compagne venait d’entrer dans la chambre.

« Oui, Maman.

– C’est bien, mon cœur. Tu es tout propre ! »

Son ton amène changea brusquement.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Mets-moi tout de suite une culotte ! »

Je ne bougeais pas d’un poil, continuant à faire comme si je n’avais pas entendu.

« Tu m’entends ? Mets une culotte tout de suite !

– Oui, Maman ! »

Je n’esquissais pas le moindre geste qui aurait pu faire croire que j’allais obéir.

« Josip, j’ai dit tout de suite !

– Oui, je vais le faire ! »

Mais rien dans mon attitude ne laissait supposer que j’allais me conformer à son ordre.

« Bon, je vois ce que c’est ! »

Elle me mit debout en tirant sur mon bras. Il y avait urgence.

« Je vais le faire, je vais le faire !

– C’est certain que tu vas le faire, mais ce sera après une fessée ! »

Ma compagne prit place sur le lit et elle me coucha sur sa cuisse. Elle n’eut même pas besoin de me baisser la culotte, je n’en avais pas. Elle se contenta de retrousser mon polo dans mon dos. Sa main s’abattit sur mes fesses une bonne vingtaine de fois de chaque côté.

« Quand je te dis de faire quelque chose, c’est tout de suite ! »

Elle recommença la fessée.

« Est-ce que c’est compris ?

– Oui, Maman, oui ! J’ai compris ! »

Elle continua à me fesser, mais pas trop longtemps. Ma désobéissance ne nécessitait pas une très sérieuse correction.

Quand elle me remit debout devant elle, elle me présenta la culotte. J’y passais mes deux pieds l’un après l’autre, puis elle remonta le sous-vêtement. À ses yeux, j’avais maintenant une tenue décente. À condition de ne pas aller dehors, je pouvais rester comme cela pour la soirée.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

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La première fessée du journal relatée ici

La précédente fessée

 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.

Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.

Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.